Titre : Harem

Auteur : Yaoiboyslife

Couples : Des idées mais rien de précis

Résumé : Naruto, un hybride mi-renard est vendu comme esclave à un homme au regard froid et sinistre nommé Sasuke Uchiwa

Aucun de ses personnages ne m'appartient

Chapitre 1:

J'étais las par avance de cet endroit. Tout y était tellement répugnant et sale. Je n'avais qu'une envie fuir de cet endroit le plus loin possible mais malheureusement pour moi, s'évader lorsqu'on est enfermé dans une cage et les mains attachées dans le dos n'était pas une des choses les plus aisées au monde. Et pourtant j'étais connu pour être le roi de l'évasion, le roi des voleurs...

Enfin tout cela c'était avant d'être attrapé par ces sales flics pour être revendu comme un esclave. Moi un esclave ? Mais on croirait rêver ! Tout ça parce que je suis légèrement différent d'eux... Tout ça parce que j'ai grandi avec un queue de renard et deux magnifiques oreilles rousses et poilues. Pouvait-on être aussi arrièré que ça ? Pouvait-on de nos jours traitait les gens ainsi simplement parcequ'ils étaient différents ?

Apparemment oui, et ce n'était pas le marchand qui m'avait récupéré qui allait dire le contraire. Il semblait ravi de son petit commerce à voir la tête que celui-ci faisait à chacune de ses ventes et surtout à chaque fois qu'il recomptait son argent. S'il y avait une personne au monde qu'e j'avais envie de voir mourir et même tuer de mes propres mains, c'était bien ce sale porc immonde.

Bouffi de la tête au pied, se gavant en permanence, l'air suffisant, violent avec ses esclaves et aux pieds des probables acheteurs à leur lécher les bottes dans l'espoir de gagner quatre sous contre une vie. Rien que cette pensée m'écoeurait. Et le voir faire était encore plus dégoutant. Comment cet homme ne pouvait-il pas avoir honte de ce qu'il faisait et des conneries qu'il était capable de dire pour appâter un client.

Rien que cette pensée réussit à me faire grogner ce qui ne passa pas inaperçu et me valut de recevoir sur ma cage un des vieux cahiers qui traînait sur le comptoir du marchand avec le très raffiné :

« Ta gueule, erreur de la nature ! »

Qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre... Il avait réussi à m'énerver encore davantage mais je me retins de pousser un autre grognement sinon j'allais le payer cher et au minimum me faire frapper et mes articulations me faisait déjà bien assez souffrir.

Mon état n'était pas des plus flatteurs...

Il ne m'avait pas détaché les mains depuis plusieurs jours et j'avais l'enemsble de mes bras qui me lançait. J'essayais de bouger mes épaules pour trouver une position moins douloureuse mais rien n'y faisait. La fourrure de mes oreilles et de ma queue de renard était devenue bien plus proche du marron que de mon roux naturel. Mes vêtements sentait la transpiration de manière écoeurante. J' aurai donné n'importe quoi pour un non bain...

Rien qu'à l'idée de me prélasser dans un bon bain d'eau chaude, les poignets délivrés, je pense que j'aurai pu en ronronner.

Malheureusement, j'étais très loin de cette situation là, les quelques bleus qui parcourait mon corps me faisaient particulièrement souffrir alors que je ne pouvais même pas bouger pour me dégourdir les pattes.

Le défilé des clients allaient encore recommencer. Tout ces gens qui ne se sentait même pas une seule seconde mal à l'aise alors qu'on les regardait dans les yeux. Je ne suis pas un objet merde ! Je suis un être vivant ! J'ai un coeur qui bat comme eux, une tête qui pense.

Comment pouvaient-ils me regarder et ne pas voir ces simples choses et seulement voir en moi un bon objet qui pourrait effectuer les tâches les plus dures voire même mortelles ou voir en moi ou un autre de mon espèce un moyen de satisfaire leur bas instinct primitif que aucune personne censée n'acceptait d'assouvir.

Je ne comprenais pas comment on pouvait agir ainsi. Je n'avais jamais pu comprendre et ceux qui osait me, dire en face que l'être humain était ainsi fait et qu'il était par nature égoïste et capricieux et qu'il ne pensait qu'à eux finissait pas se ramasser une baffe de ma part.

Et non je le nie, je n'ai pas mauvais caractère. Ce n'est pas ma faute si je suis un petit peu sauvage et si je suis bien mieux dehors libre sans entrave. Sans aucune obligation... il n'y avait vraiment rien de mieux que la liberté.

Le marchand venait d'ouvrir la boutique et le bal des faux-culs inhumains allait pouvoir commencer et je priais encore pour y échapper aujourd'hui.

Je me calais au fond de ma cage espérant échapper au regard pervers des hommes qui venaient examiner nos cages. Mais nous n'étions pas très nombreux. C'était peut-être aussi une des raisons de notre mise en esclavage... Peu nombreux et donc pas capable de s'unir pour se défendre contre ceux qui voulait notre malheur.

Et tout ces gens-là qui me regardaient alors que je n'avais qu'une seule envie leur cracher au visage.

A peine avait-il ouvert la porte, que le marchand se dirigea vers ma cage... Apparemment il lui tardait de se débarasser de moi vue qu'il venait de baisser encore une fois le prix affiché devant ma cage. Ce crétin allait finir par l'avoir son foutu fric contre ma personne. Comment pouvait-on fixer le prix d'une vie ? Quels pouvait en être les critères ?

Quand j'avais débarqué ici, il n'avait pas hésiter à me mettre le meilleur prix de toute la boutique mais c'était sans compter sur mon mauvais caractère et mon agressivité naturelle pour ce genre de personne.

Très vite, il avait déchanté le pauvre. J'avais réussi à faire fuir plusieurs de ses clients et même à en mordre un. Cela m'avait valu une belle correction vue qu'il se sentait tout puissant une fois que j'étais attaché mais je ne regrettais pas une seule seconde ce que j'avais fait. Et tous les crétins qui avaient eu l'idiote idée de venir me parler pour me demander si je voulais être leur esclave l'avait regretté.

Il ne fallait pas compter sur de la docilité de ma part ou sur de la tendresse. Ce n'était absolument pas mon genre et c'est ce qui m'avait permis d'échapper jusque là à avoir mon premier maître ou ma première maîtresse d'ailleurs.

J'appréhendais vraiment le jour où un de ses sales richards m'achéterait car vu mon caractère, je savais que j'aurai droit à tous les jouets possibles et inimaginables qu'ils utilisaient pour faire obéir les esclaves récalcitrants.

Les fouets, les colliers électriques, et les autres jouets de ce même genre.

Et je savais que je ne me laisserai pas faire mais je savais aussi que ma capacité à supporter la douleur n'était pas infini et je savais que je finirai par devoir plus ou moins céder certaines choses et je ne voulais pas que cela arrive.. Je ferai tout pour l'éviter...

Je secouais la tête pour éloigner cette idée de mon esprit alors qu'un regard se fixait sur moi. Loin de ma cage, un homme me regardait fixement ce qui me dérangeait mais je fis comme si je ne l'avais pas remarqué.

J'attendais le moment traditionnel où le client viendrait juger la marchandise de plus prêt... Il allait bien être acceuilli cet abruti...

Il finissait toujours par venir essayer de voir comment aller se comporter celui qu'il voulait acheter et c'est généralement à ce moment-là que je réussissais à leur faire comprendre qu'il vallait mieux abandonner...

Et fois de Naruto, ce type-là n'allait pas déroger à la règle, il allait se rappeler de l'acceuil que je lui préparait. Je n'hésiterais pas un seule seconde si j'avais l'occasion de le mordre.

Ce bonhomme était grand et devait avoir le même âge que moi.. Probablement la vingtaine. Il avait un regard sinistre. Le genre de regard qui vous glace le sang dès que vous le croisait. Il ne devait pas être commode... Cela tombait bien je ne l'étais pas non plus... Ses yeux étaient probablement aussi noirs que son âme. Il était très richement vêtu et cela se voyait de loin. Il portait des vêtements de premier choix et ne devait avoir aucun mal à sortir le prix que lui demanderait le marchand. Bien coiffé, il avait des cheveux presque aussi foncés que les yeux ce qui accentuait son air sombre.

Je me forçais à faire semblant de l'ignorer mais son regard insistant à la fois me déstabilisait et commençait même à m'agacer. J'essayais de lui tourner le dos pour ne plus le, voir. Il se lasserait peut-être avant moi ou remarquerait un autres qui pourrait lui convenir davantage que ma personne.

Je regardais la vitrine laissant errer mes pensées lorsque je vis un papillon passé devant la vitrine ce qui me fit sourire me rappelant un souvenir heureux.

Je me revoyais alors alors encore en train de courir après des papillon semblables avec mes amis dans une clairière ensoleillée. J'étais libre encore à cette époque... Je vivais comme je le pouvais de quelques petits vols. On se débrouillait dans la forêt loin de la ville où on n'allait que pour chercher que de quoi se nourrir. On vivait dans des ruines abandonnées que l'on avait aménagé à notre façon...

C'était ma vie... Une vie qui me convenait très bien avant que je me retrouve enfermé ici.

Je redescendais sur terre alors que j'entendais le pas lourd du vendeur passer à proximité de ma cage pour se aller voir ce sale type qui me dévisageait depuis tout à l'heure. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir aller lui raconter comme conneries ?

Cela m'agaçait encore un peu plus si c'était possible. Ma queue de renard s'agitait dans mon dos trahissant un peu ce que je ressentais même si j'essayais de le dissimuler. Et plus je les regardait tous les deux plus je le sentais vraiment mal ce coup-là. Et croyez-moi j'ai toujours eu un grand instinct pour se genre de chose.

Je tentais d'entendre leur conversation mais rien ne me parvenait même si j'essayais de tendre l'oreille pour au moins saisir l'essentiel mais rien.

Tout à coup, le marchadn s'avança vers ma cage et en arracha la petite affiche où était indiqué le prix.

« Je t'ai enfin vendu sale bête ! »

Je dressais mes oreilles et haussais les sourcils. J'avais mal entendu et mal compris. Ce type m'aurait acheté sans même s'approcher de moi, sans même venir me parler ? Je me retrouvais complétement déstabilisé par cette attitude que je n'avais pas prévue.

« Il reviendra te chercher plus tard et adieu le renard ! «

Le rire gras de ce type m'agaçait alors que je me vit poser un nouveau papier sur ma cage où je pouvait lire : vendu à Sasuke Uchiwa.

A suivre...

Bonjour, voici donc ma première fic qui contiendra je pense plusieurs yaois divers et variés ( je ne l'ai pas classé M pour rien ) selon le ou les couples que je mettrais en place. J'espère que ce début vous aura plus, si c'est le cas n'hésitez pas à m'envoyer une petite review, ça prend peu de temps et ça fait très plaisir ! Merci par avance !

Je connais mes faiblesses et je suis à la recherche de quelqu'un pour faire la bétalecture donc si vous êtes intéressé, faites-moi signe...

Voilà, je crois que tout est dit^^ En espérant vous revoir sur cette fic ^^

YBL