Bonjour et merci d'avoir cliqué sur ce lien =) Voici la première fiction que je publie, mais ce n'est pas la première que j'écris !

N'ayant pas de bêta, je m'excuse s'il y a des fautes =/

Ma première fiction est donc un remake du célèbre film Titanic de James Cameron, mais l'idylle interdite concerne cette fois Kurt Hummel et Blaine Anderson, deux jeunes garçons que tout oppose...

Ce chapitre est plutôt court, mais c'est un prologue pour poser les bases de l'histoire ! J'espère que l'histoire vous plaira =) J'essayerai de poster un chapitre tous les 2-3 jours, ou bien toutes les semaines, à voir ! L'histoire est déjà écrite, mais je n'ai pas envie de tout donner d'un coup :3

Rate : T pour la sécurité.

Disclaimer : L'histoire du Titanic revient à James Cameron, et Kurt et Blaine appartiennent à Ryan Murphy !


Prologue

Voilà déjà plusieurs jours que Père préparait notre prochain voyage vers l'Amérique à bord du paquebot Titanic, réputé plus luxueux, plus grand que n'importe quel autre paquebot.

Mon père, Burt Hummel, était le dirigeant de la célèbre compagnie automobile Hummel Tires & Lube. Moi, Kurt Hummel, était destiné à reprendre les rênes de l'entreprise dès que j'en serai prêt. Mais cela ne m'intéressait pas, les voitures et la mécanique n'étaient pas ma tasse de thé, trop salissant et dangereux. A 15 ans, je préférais largement Broadway et les défilés de mode, mes deux raisons de vivre. Broadway était la raison de mon retour en Amérique. Oh, bien sûr, ce n'était pas pour aller à Broadway que mon père et moi repartions à New York, mais pour que je finisse mes études afin de succéder à mon père à la tête de Hummel Tires & Lube, et bien sûr, commencer les préparatifs de mon futur mariage avec Rachel Berry, l'héritière fortunée du clan Berry. Rachel avait passé quelques jours de vacances en notre compagnie et rentrait avec nous en Amérique. Mon destin était tout tracé.

− Monsieur, dois-je séparer votre collection de chapeaux Chanel des Lanvin ?

Je me tournai vers la domestique et lui adressai un regard fatigué. Toujours les mêmes questions stupides.

− Bien entendu, Hélène, combien de fois dois-je vous le répéter ? Et faites attention à ne pas les abimer ! Père ne m'a toujours pas pardonné l'achat du dernier Chanel.

Trop féminin, disait-il. Maudit soit le sens exécrable de Père pour la mode.

− Bien, Monsieur. Excusez-moi, Monsieur, dit la domestique avant de s'en aller précipitamment.

Je soupirai devant le défilé de domestiques qui portaient diverses boites et valises, dont plus de la moitié n'appartenait qu'à moi. Père n'avait jamais compris ma passion pour les vêtements et les accessoires, ni même mon désintérêt pour la belle Rachel. Je n'étais pas normal, d'après lui. Un vrai garçon de 15 ans devait aimer l'économie, la politique, la finance, la mécanique… les femmes. Rien de tout cela ne m'intéressait.

Mon majordome, Finn, me tendit un verre de cognac. Il avait dû remarquer que quelque chose me tracassait.

− Vous verrez, Monsieur. Vous aurez une belle vie avec Mademoiselle Berry, me dit-il.

Je pris le verre de ses mains et le remerciai, acquiesçant vaguement. Depuis ma naissance, Finn s'occupait de moi comme de son propre fils. Je sentais que cet homme me comprenait mieux que Père. Et je l'aimais comme un fils aime son père.


Et voilà pour le prologue de I'll never say goodbye to you ! N'oubliez pas de reviewer pour me dire ce que vous en avez penser =)

L'histoire restera du point de vue de Kurt, à la première personne !

Mizugachi.