"Pro Loge"

(Πρo Λoγη)

"Notes"

Pour simplifier les choses, je crois que répondre ici aux diverses remarques est plus aisé. Je vais donc m'y employer.

Je m'excuse par avance auprès de ceux qui ont notifié des alertes. Désolé. Chaque upload risque de vous être indiqué. Pour moi, l'intérêt est de rester autant que possible dans les histoires les plus récentes. (ça s'appelle de la stratégie de communication :o)

Personne n'a fait de remarque sur mon jeu de mot vasouillard du chapitre 3. "Sirham sirham ne vois-tu rien venir" non ? c'est pas drôle, je le sais bien, mais tout de même.

A présent que cette partie est achevée, je mettrais moins régulièrement à jour ce petit chapitre introductif, mais je ne l'oublie pas, et vous non plus.

A Circae (chap 28) : Merci de ce petit mot.

L'important, c'est que cela ait plu. D'autant que je n'ai pas une manière d'écrire qui soit, de prime abord, très simple à suivre. Je peux être parfois un peu abscons ou ampoulé. Mais, promis, je fais des efforts.

Merci de trouver mon style bien rôdé car c'est, malgré tout, ma première expérience de romancier.

Les nouveaux personnages me sont dictés par le fait que je connais mal l'univers d'origine de l'oeuvre. Pour rendre l'ensemble agréable, il me fallait des faire-valoir, je les ai créé, c'était plus simple.

A Morvoren (chap 28) : Merci de cette remarque construite et constructive.

Les décors sont travaillés de façon simple, sur photos.

Les personnages sont des extrapolations de mon entourage professionnel.

La cohérence de l'action est tendue par un synopsis de 25 pages. (il faut ça pour être cohérent et ne pas se répéter.) Parfois, néanmoins, j'oublie des pistes que j'ai ajouté hors du synopsis (oups...)

Le suspens, c'est la chose la plus facile. Il suffit de couper le chapitre au bon moment. (merci au marquis Davy de la Palletière, connu sous le nom d'Alexandre Dumas)

Amour et politique. Le premier est essentiel à la progression d'une bonne histoire, le second un outil pour ménager décors et suspens.

Peu de Reviews ? Je ne vais pas traquer les lecteurs pour les obliger à écrire une ch'tite réponse. Si ?

A Jimbei01 (chap 3,4,6,8,9,12) : Courage, plus que la moitié !

Une histoire un peu compliquée, tordue, et évoluant par palier, cela me permet de vous tenir en haleine plus longtemps.

Divers styles sont à l'oeuvre, diverses manières d'envisager la solution. L'important, c'est que l'ensemble soit cohérent et plaise au plus grand nombre.

A Anais (chap.25) : Merci de ce petit mot de soutien.

Tout lire en une fois doit tout de même être un rien épuisant. Moi-même je n'y parviens pas...

Pour ce qui est des passages ennuyeux, je me défendrais lâchement en affirmant qu'ils sont parfois nécessaires pour construire des rebondissements ultérieurs. Cette défense n'est pas totalement honnête. Il m'arrive de patauger dans mes circonvolutions. A vouloir trop construire, on dépasse un peu les objectifs. Désolé donc. Même si, finalement, cela permet aussi de préserver le suspens que vous avez apprécié.

Si cela parait original, alors je suis comblé. C'était l'objectif.

La seconde partie est en cours de publication depuis le 3 novembre 2010.

A DameAureline (chap. 25) : Merci de son petit mot. Nous autres, auteurs, nous avons besoin de vos petits mots. Ainsi, on sait si nous faisons fausse route ou pas. Si on a laissé passer des incohérences ou que l'on dévie de l'objectif.

Savoir que vous aimez ce que l'on fait, rien que pour l'ego, c'est agréable et ça motive pour finir plus vite, donner plus de relief ou penser d'autres rebondissements. (pour le coup, je suis particulièrement touché par les félicitations de Dame Aureline)

Je suis toujours étonné de voir des lecteurs venir à bout de ces 25 chapitres. Ceux-là représentent tout de même l'équivalent d'un Harry Potter moyen (longueur et densité) Moi-même, il m'a fallu plus de deux heures et demi pour relire les 22 premiers chapitres de la seconde partie.

Tant que cela plaît, soyons fous !

A Eliie Evans (chap. 24 et 25) : Ces monnaies, je le connais pour les avoir pratiquées pendant des années. Le plus difficile c'était le franc belge avec la livre (de mémoire) ou la lire avec les pesetas. Mais, bon, passons.

J'aime bien les personnages un peu structuré. La fête à Brécourt servait surtout à préparer cette interaction. (de temps en temps, je conçois des personnages féminins aussi)

Les ruptures dans l'action vous gênent ? pourtant vous devriez être habituée à cette habitude de feuilletoniste. Non ?

Je n'aime pas trop les auteurs qui retrouvent la réalité livresque par une pirouette littéraire. C'est commode pour eux, mais je trouve que cela tue leur histoire, finalement. Dans ces conditions, je n'efface pas les aventures d'Hermione dans ce chapitre.

Donc, ce Troll qui nous vient donc du livre 1 est justement prévu pour vous alerter. Je voulais que la reprise de conscience d'Hermione paraisse immédiatement étrange. Ainsi on voit rapidement qu'elle oscille entre deux réalités. Ces souvenirs et ce qu'elle vit. L'un et l'autre lui sont aussi agréable. Il est donc difficile, pour elle, de trancher.

Mais, en fait, elle fait le bon choix, à la fin du chapitre. Non ?

A mortbleue (chap. 23) : La suite le mercredi visiblement. (plus pratique pour moi que le samedi) Il reste deux chapitres avant la fin de la première partie. Puis, on commencera la seconde dans la foulée.

A Eliie Evans (chap. 23) : L'orbe point de départ et fil de trame de la première partie. J'aillais pas le ressortir au dernier moment, alors, un petit rappel n'était pas luxueux.

Tous les utilisateurs des métros parisiens doivent avoir reconnu une quelconque ligne française. (je ne critique pas, je constate)

Comment pouvais-je résister à cette mauvaise blague avec Isabelle de Truchis.

Quand à avoir d'autres chapitres de ce genre. Je fais ce que je peux. C'est bien comme réponse ?

A Eliie Evans (chap. 22) : A part pour cette attaque, ma promenade à Caen n'a pas vraiment de sens. Sauf que je devais les y faire rencontrer quelqu'un.
On ne le verra pas d'ailleurs. Oups. Aurais-je omis un détail ? Cela m'arrive aussi parfois.

C'est un chapitre court qui m'a permis de mettre en place une sorte de "vaccin de rappel" pour Hermione. Elle se sent bien chez ses amis, mais il va bien falloir les quitter un jour ou l'autre. (comment ça c'est le titre du chapitre précédent ? J'ai découpé a posteriori mon texte, désolé.)

A Elladoremi93 (chap. 12) : Merci, c'est gentil. Heu, c'était vrai à ce chapitre, l'est-ce encore ?

A Eliie Evans (chap. 21) : Hermione a quitté son univers avec précipitation et avec une grande mission : Protéger Harry de sa famille, éviter que Sirius finisse à Azkaban.

Une fois que cela est fait, elle se retrouve désoeuvrée et sans direction précise à suivre. Dès lors, elle est emportée par les évènements sans vraiment décider de quoi que ce soit. Il me semblait donc important de mettre en perspective ces questions et de la placer devant ses responsabilités.
Quoi qu'il en soit, Hermione est toujours libre de ses choix (même si elle est sous le contrôle plus ou moins étroit d'autres personnes) Et, surtout, elle devient pleinement adulte dans ses actions et ses réflexions.

Personne n'a l'air de trouver amusant ma légèreté au lendemain de la fête. C'était un clin d'oeil amusant non ?

Ensuite, si l'Angleterre est concernée par Jedusor, pourquoi pas la France ? La noblesse me donnait des outils pour mettre en relief la question d'identité culturelle. Car finalement, qu'y a-t-il de si important à être sorcier ?
Je crois que la confrontation donne quelques éléments de réponse.

Enfin, le voyage de notre amie n'est pas encore achevé, tant pour la distance que pour la durée. L'Albanie est à trois chapitres d'ici, la modernité, à quatre. Bientôt la seconde partie... Hé oui, déjà !

A Eliie Evans (chap. 20) : Oui le domaine de Brécourt existe (auprès de l'A13 entre Paris et Rouen) A priori, c'est un hôtel. Mais je ne sais fichtre pas à quoi il ressemble.

Hermione va errer un peu dans cet univers que je connais fort bien, le temps de préparer la fin de la première partie. Pour ceux qui s'attendent à des clichés sur la noblesse, passez votre chemin...
Comme on dit, "Va y avoir du Sport !" (enfin, pas tout de suite)

A Eliie Evans (chap. 19) : Je voulais montrer Lokhart avant qu'il ne devienne vantard. Et puis, j'ai réalisé qu'il l'avait toujours été... (en même temps, c'est pour cela qu'il est drôle)

Chaque fois que je fais référence à Dumbledore, ce n'est pas sous un angle valorisant. Rowling elle-même égratigne méchamment le personnage. J'en ajoute un peu. D'ailleurs, Thorsthon lui interdit de s'occuper d'Hermione !

La légilimentie. Prévue dès le chapitre 5, notamment avec l'aide de Roger Spencer, est utile sous de nombreux aspects. Et j'ai envie de bien en profiter...

A Eliie Evans (chap. 18) : Vous êtes allergique à Queen ? Ceci dit, la chanson vous a fait comprendre que nous changions bientôt d'univers. Vous constatez donc que je fais attention à ces détails. Relisez les autres allusions maintenant !
Le discours est Gaulliste parce que je suis fondamentalement chrétien et que la réconciliation, le pardon, est un message important dans ma foi.
Les journalistes ont beaucoup de défauts, mais parfois ce sont de bons romanciers. Surtout que cette fois, je me suis inspiré de Zola pour Finnighan (son "J'accuse")
Vous m'y avez autorisé, je prend possession de vous (au figuré évidemment) et vous intégrerez progressivement l'histoire. Zut, tous les lecteurs vont le savoir maintenant...

A HannahPotterGranger (chap. 18) : Merci de votre impression. A votre surnom, j'imagine que vous voudriez voir Harry sortir avec Hermione. C'est une possibilité.
Je ne sais pas si je dois être flatté ou ennuyé par le "bizarre".

A Aeris de Lothlorien (chap. 18) : Merci de son soutien.
Pour ce qui est de continuer, comment dire, je fais comme je peux avec le peu de temps qu'il me reste.
Dans tous les cas, les 49 premiers chapitres sont prêts. (Il en reste donc 3, soit deux de plus que prévu) Et j'espère que le contenu plaira autant et plus qu'actuellement.

Chap. 17 : Je suis très déçu. Personne n'a fait de remarque sur mon "une heure et demie, douche comprise". Je trouvais ça amusant (et un tantinet provocant). Non ?

A Eliie Evans (chap. 16 et 17) : Bonne fin de vacances à vous et à tous les autres lecteurs. Hermione ne pouvait pas rester insensible à un décès pour lequel elle se sent responsable. Et je crois sincèrement qu'il faut du temps pour admettre tout cela.
Un nouveau fabricant de baguette s'imposait. Je me voyait mal faire revenir systématiquement notre bon vieil Ollivander.
Au passage, notez le jeu de mot avec Ridley Scott. (qui n'amuse que moi visiblement)
Et Albert, mon Albert à moi. J'l'aime beaucoup aussi. Il allège la situation rien que par le décalage que sa personnalité induit.
Faut voir que la miss reste bien accrochée à son Ronron... (comme un matou, c'était facile. désolé)

La réaction des irlandais est simplement naturelle. Je voulais que l'ensemble reste cohérent. Et même si les chapitres sont trop peu développés, il fallait faire ressortir le fait que se sont des gens biens des deux côtés.
La stratégie d'Hermione est, elle aussi, cohérente par rapport aux exemples historiques.

Hermione mélomane ? Albert, certainement. Je n'ai fait qu'utiliser Paul Hewson introduit plusieurs chapitres plus tôt.
(je rappelle : Paul Hewson = Bono = U2. D'où la chanson. Hermione l'ayant probablement entendue au cours de la soirée)

Où va Hermione ? surprise !

A Dawnlil (chap. 17) : Je suis charmé de sa proposition. Je suis sincèrement convaincu qu'un auteur ne peut pas voir toutes les incohérences de son histoire. Nous l'avons en tête et des détails qui n'apparaissent pas sont souvent bien présents à notre esprit. Parfois, un regard extérieur permet de valoriser des choses mises en retrait ou de réduire la néfaste influence de certains passages.
Qu'il y ait si peu de fautes viens de ma formation essentiellement. Mais croyez-moi, ce ne fut pas si simple. Je n'ai appris le français qu'après l'âge de 7 ans. Ce qui fait qu'aujourd'hui encore je continue de penser en anglais avant de transcrire en français. C'est pour cela que mes titres sont tous en anglais. Sur des phrases courtes, je ne sais pas traduire correctement. Sur de longues sentences, le français prends le dessus naturellement. (nota bene: les chapitres 7, 10 et 11 sont des titres de chansons françaises. De Jacques Brel évidemment.)

A Marilyn (chap. 17) : Dommage que vous ne soyez pas enregistrée, je ne peux vous remercier de votre touchant message que par le biais de ce prologue.

Vous touchez juste. Mon histoire est récente (à peine 3 mois) est publiée en été (moins de lecteurs) et il faut du temps à une histoire pour s'imposer. (le temps que les lecteurs s'habituent à l'auteur)
Je n'avais pas le sentiment de faire très différent des autres. En dehors du fait que ma manière d'écrire est plus dense (650 mots/pages en moyenne, soit plus que J.K. Rowling) mais je suis peut-être l'un des rares professionnels de l'écriture présent sur ce site (journaliste pendant 5 ans, ça laisse des traces)
J'ai peur que ma volonté de créer des personnages forts, bien construits, attachants peut-être, ne soit à terme un handicap. Cela alourdit terriblement l'écriture et rend difficile les dialogues. (je prends tant de temps à décrire les postures, les évolutions de la situation, etc. qu'il devient délicat de créer de l'interaction)

A Aeris de Lothlorien (chap. 17) : Qui refuse les mp ! Je le remercie de son avis, évidemment.
Quand à légaliser son identité. C'est bien vu. D'une certaine manière je souhaitais reconstituer une famille autour d'Hermione. Et un peu la transposer dans des milieux absents de l'oeuvre originale. La scène un rien pompeuse de sa promotion sociale me permet de l'introduire dans une autre vision du monde magique. Je n'en dis pas plus sinon je dévoile l'histoire...
Et. Oui, elle reviens dans son époque. Mais dans la seconde partie (au chapitre 25, ou bien est-ce le 26 ?)

A DawnLil (chap. 16) : Lorsque je cherchait des noms pour mes personnages secondaires, j'ai d'abord trouvé des formulation alambiquées et opaques. Finalement, je me suis aperçu que d'employer des références limpides était bien plus amusant. J'aime bien Disney, pas vous ?
A part ça, je ne sais pas si l'ensemble tient la route. Je fais juste comme ça me plait.

A Eliie Evans (chap. 15 et 16) : Jack n'est qu'un homme. (dois-je développer ? ) Sirius aussi et heureusement pour lui il bénéficie de l'aide de Molly Weasley, visiblement grande entremetteuse devant l'Eternel.
Hermione n'est pas en retrait. Elle est douée et sait faire un usage efficace de la magie. Je voulais insister sur l'idée qu'elle entrait pleinement dans un monde adulte et quittait Hogward. Appartenir à quelque chose de plus grand lorsqu'on est habitué à être la plus puissante, la plus douée dans son petit monde, c'est un peu perturbant. Hermione parait être au second plan pourtant elle reste l'axe essentiel de l'histoire.
Quand à la disparition d'O'Tusckk. J'avais imaginé plein de solutions. Aucune n'était plus crédible que cette suggestion.

A DawnLil (chap. 12 et 13 ) : Le retour à la réalité ? voir premier chapitre de la prochaine partie. D'ici là, je vous réserve plein de bonnes choses.

Il semblerait que j'ai réussi mon évocation de la mort imminente. Merci ! Ce n'est ni facile ni agréable à évoquer mais incontournable tout de même.

J'ai voulu que ces petites phrases soient structurantes pour la jeune fille. Une fois cette révélation faite, Hermione murit et grandit un peu plus. Même s'il lui reste, en effet, beaucoup de choses à vivre.

A Eliie Evans (chap. 12 et 13 ) : Le volcan d'origine dans mon texte était le Laki (celui qui est la cause de la Révolution française) très voisin de celui qui s'est amusé en juin dernier (et dont il ne me faudra pas demander d'écrire le nom de mémoire...) Ayant déjà rédigé ces chapitres en avril, je n'ai eu qu'à modifier les noms (et un peu ma géographie, le Laki est plus à l'Ouest).

Hermione n'est plus l'enfant du roman et pas encore une adulte. Je joue sur cette ambivalence pour construire un personnage féminin réaliste.
Albert est un personnage atypique très intéressant à faire vivre. Je l'aime beaucoup, peut-être parce qu'il a beaucoup de moi en lui... Je ne le voulais pas caricatural mais sensible et généreux. Visiblement, j'ai réussi.

L'origine du SC, basé sur l'acronyme du "Sleepin' Chess" (ou est-ce l'inverse ?) est la seule faille laissée par J.K. Rowling dans sa construction théorique du monde magique. Elle fonctionne par Etats, je suis plus internationaliste (au sens humaniste et non communiste Mlle Evans !) L'intérêt de cette construction est de me libérer la géographie pour construire des rebondissements aux aventures d'Hermione. (comment-ça elle va voyager ? c'est déjà le cas non ?)

A Eliie Evans (chap. 10 ) : A partir du chapitre 8, j'ai abandonné l'idée de finir mon texte en 25 chapitres et 180.000 mots. J'ai laissé l'histoire et les personnages s'imposer. Du coup, c'est plus naturel, moins contraint par les obligations de contraction (ou de rétractation, c'est quoi le bon mot en français ?) et cela devient plus fluide (et j'espère, un peu plus agréable).
Vous l'aimez manifestement mon nonos. Je ne l'ai pas choisi humain, il y a des limites tout de même.
Maintenant, souffrez ! car c'est les vacances et vous n'aurez que cela à faire : ATTENDRE ! na ! (pour les questions, il y a les mp)

A Lianna Erren (chap. 10 ) : Le titre de la première partie est celui qui j'avais réservé pour l'ensemble de l'histoire. Son explication sera complète au cours du premier chapitre de la seconde partie. L'erreur étant parfois aussi, simplement une question de perception.
C'est aussi une mauvaise transcription de "A Series of wrong (time) disruptions". Qu'il faudrait traduire par "une succession de mauvaises perturbations (temporelles)". En dehors du fait que c'est littéralement imbuvable comme titre, je le trouvais trop évident, trop révélateur de la finalité de l'histoire.
La baguette est un détail auquel je prête une grande importance parce que ce n'est pas aussi anodin qu'il n'y parait.

A Dogywoman (chap. 9 ) : Olaf est donc plutôt gentil. Je voulais mettre un peu de drame dans une aventure un peu trop lisse et facile à mon goût. Visiblement, j'ai réussi. J'ai prévenu sur mon profil que je ne tuais personne de l'univers de Rowling. Et puis, j'aime trop Sirius pour m'en passer.
Je n'avais pas pensé à Voldemort pour cette affaire de baguette. C'est bien vu. Dans les faits, il me fallait quelque chose d'à peu près aussi effroyable que lui pour contre-balancer les pouvoirs du mage noir.

A Eliie Evans(chap. 7 à 9. décidément prolifique comme lectrice. merci !) Albert et Jack m'amusent beaucoup et auront leurs places dans la suite de l'aventure. Que tout le monde se rassure. J'avais oublié de préciser que les personnages de la saga ne sont jamais totalement exclus de ma vision de cette histoire. Ils sont toujours un peu là. (je maintiens ainsi le lien, c'est important, non ?)
Il faut me le dire si le contenu de l'histoire vous parait peu clair. Par mp nous pouvons en discuter !
Deux blagues très lourdes plus tard... désolé.
Avoir peur d'un os, n'est-ce pas avoir peur de la mort ? Exactement ce qu'Hermione ne pourrait accepter. D'où la provocation en choisissant cet objet si particulier.
Qui plus est, j'avais besoin qu'elle perde sa baguette.

A Eliie Evans(chap. 4 et 5) : En dehors d'un inévitable merci qu'elle a déjà reçu depuis longtemps, je rassure tous les lecteurs. Vous en saurez bien plus sur mon vieux Thorsthon (Olaf de son prénom) sur ses relations avec Dumbledore. Nous reverrons aussi Sirius et la plupart des personnages traditionnels de la saga. Mais pas tout de suite !

J'essaye de ne pas dénaturer les personnages de J.K. Rowling. Au départ, l'histoire était conçue pour Ginny Weasley, mais Hermione avait un caractère qui se prêtait mieux à ma tentative.
Enfin, en ce qui concerne la location du lieu d'embarquement, j'avais pensé à Dover, mais je connais trop mal la ville. J'ai donc préféré rester évasif. Je ne pensais pas que cela gênerait. Je me rattraperai.

Merci d'aimer cette pâle restitution du monde maritime. J'ai essayé d'être réaliste sans être fatigant (je ne dis rien des allures notamment) Quand à naviguer, essayez, on ne sait jamais.

Enfin, merci de la remarque. A présent, il est possible de laisser une remarque, même si on n'est pas inscrit. C'était juste écrit en gros sur la première page du compte... (ce n'est pas un message subliminal, je vous invite à laisser des petits mots... bouhou, personne ne m'aime !)

A Anastasiapotter (chap. 4) : C'est un pseudo, rassurez-moi. Parce que sinon, ça doit être dur à porter dans la rue. Ceci dit, j'aime bien comme prénom (celui de la fille cadette de Nicolas II Romanov de Russie en l'occurence.) Maintenant que j'ai fait mes civilités. (hum) je tiens à rassurer les gens inquiets. Les 37 premiers chapitres sont écrits (je sais en mp j'avais dit 33 ou 34. Vous voyez, ça évolue tous les jours ces choses là ma p'tite dame.) Le synopsis des 42 premiers est établi (avec évidemment des variations) et la fin prévue vers le 45 (on peut rêver).

A Dogywoman (chap. 4) : énigmatique moi ? Diantre. En même temps si je donne toutes les ficelles maintenant, personne ne va lire jusqu'au bout ! C'te blague. L'important c'est adhérer (ça colle entre nous, gnarf ;p) à l'histoire.

A Eliie Evans(chap. 1 et 2) : En dehors des compliments qui m'ont touchés (les mp permettent d'y répondre plus cordialement), le neud de l'histoire reposant sur le voyage dans le temps, peut-on envisager de renvoyer la jeune fille chez elle en ayant pleinement conscience de ce qu'elle avait accompli ?

C'est une vraie question. Pas de la réthorique. J'ai fait des choix, dont certains probablement contestables. Mon seul objectif : vous intriguer jusqu'au bout !

Mais je rassure, Hermione ne rêve pas, son action est réelle et ne peut être effacée d'un seul coup. (je crois que nous avons lu la même fiction :p )

Pour le futur antérieur c'est bien vu et indéfendable ! "Le sot garde des sceaux glissa sur un seau et tous ces xx?xx tombèrent" racontait mon grand-père. Une prime à celui qui trouve.

(sceaux, sots, seaux ?)

Sirius à Azkaban ? Vous avez lu ça dans quel mauvais roman ? ;p

À Benji251 (chap.1) : à l'origine, Hermione devait trouver seule une solution, dans un bouquin probablement volé à Dumbledore. Finalement, j'ai pensé qu'introduire des personnages récurrents de la saga dès le 1er chapitre pouvait rendre cette livraison plus amusante. Malheureusement, je n'ai pas trouvé de manière satisfaisante de rédiger cette confrontation. Mais, j'essayerais de réécrire certains morceaux pour les rendre plus crédibles et plus fluides.

"Introduction"

C'est exactement la valeur que j'ai voulu donner à ce chapitre introductif.

Sans qu'il s'agisse d'un présentation de l'auteur, ce qui n'aurait aucun intéret ici, il faut revenir au base de cette participation au site "Fanfiction".

J'y suis arrivé par les excellentes publications de Alixe. (que je ne saurais trop conseiller)

Et sans avoir lu l'intégralité des textes disponibles, j'ai eu l'occasion d'en parcourir quelques unes.

Ce qui me conduit à une constatation étonnante. L'univers d'Harry Potter est bien vivant dans toutes ces lignes.

Chacun des auteurs donne une vision et une profondeur différente aux personnages de J.K. Rowling, tout en essayant de ne pas les dénaturer. Ma participation est conçue dans les mêmes optiques. Il n'est pas utile de préciser que tous les personnages de la Saga Harry Potter sont la propriété de J.K. Rowling et que nous la remercions de son amabilité de ne pas trop râler contre nos écrits.

(ces lignes faisant office de disclaimer pour l'ensemble du texte, merci.)

Au cours de mes lectures, je suis passé par le texte de Eliie Evans. Je ne me destinais pas à rédiger quoi que ce soit pour ce site et l'idée d'une uchronie a titillé mon intellect. Reprendre certains des personnages, tordre leurs places dans l'histoire originelle et voir ce qui allait en ressortir, voilà un défit particulièrement excitant.

Je suis parti, le 10 mars dernier, du même point de départ que Miss Evans (Eliie de son prénom semble-t-il) en adaptant la fin du tome 6 "Le prince de Sang-Mélé" pour proposer une autre opportunité de fin.

C'est là le principe stricto-sensu de l'uchronie. Je précise que je n'ai pas suivi les mêmes directions que la personne que j'imitais. Par ailleurs son texte se limite à 25.000 mots, soit mes deux ou trois premiers chapitres. J'ai décidé de scinder en deux mon histoire que je nomerais "Cycles" faute de mieux pour en simplifier la publication.

Au cours des 25 chapitres qui composent la 1ère Partie de ce texte, nous (vous, plutôt, moi je sais comment ça fini) suivons l'évolution de Hermione Granger qui a fait le choix de se sacrifier pour les autres.

Sans dévoiler l'issue de cette histoire (d'une certaine manière, il suffit d'aller sur le profil de Eliie Evans pour avoir une idée de ce que je vais vous donner à lire) je peux partager avec vous quelques éléments de l'histoire.

Prenez pour base l'idée que la mort de Dumbledore soit traumatisante pour les héros de la saga. (c'est un fait ? Diantre, il serait bon que je lise ces livres !)

L'un des maillons de la chaine composée autour de Harry prouve qu'il y a une possibilité de changer ce destin. A part Hermione, je ne voyais pas qui aurait les compétences pour le faire. Donc, c'est elle qui s'y colle.

Au lieu d'attendre que Harry rencontre Voldemort, elle décide d'aller chercher l'un et l'autre en 1981.

C'est là qu'on commence à rigoler. Changer un élément si ce n'est pas difficile, pourquoi se limiter à un seul ? Hermione prend donc le risque de perturber profondemment son histoire.

Toute la première partie de cette histoire s'appelle donc "Erreurs en Cascade" à cause de ce postulat,

J'ai essayé d'être simple et de ne pas trop noyer les lecteurs sous les détails. (ce qui me permet par ailleurs de gagner un peu de temps pour la rédaction)

Si parfois le texte semble s'allonger jusqu'à épuisement, c'est peut-être parce que j'étais fatigué ce jour-là. J'ai la fâcheuse manie de ne pas le relire (sinon, je n'écrirais rien), du moins pas de A à Z. Il peut rester des coquilles ou des détails non réécrits après des évolutions de synopsis.

J'espère que le style vous plaira et que les malheurs d'Hermione sauront vous intéresser.

Si vous prenez moitié moins de plaisir à lire que moi à l'écrire, alors ce serait parfait.

Post-Scriptum :

La seconde partie devrait s'appeler : "Retour aux sources"