Bonjouuuuuuur le monde :D Bienvenue dans la première fiction publiée dans ce site, Pirates des Caraïbes et la légende du Baroudeur !
J'espère que ça vous plaira, sacher que je me met en tout cas coeur et âme dans cette histoire. N'hésitez pas à m'en dire ce que vous en penser, que ce soit sur l'histoire (où, le début, pour l'instant, tout du moins), l'univers, ou les personnages ( Eillieen, bien construite ? Pas trop Mary-sue ? Je suis assez nule pour reconnaître les persos trop parfaits, alors, n'ayez pas peur de m'en faire part. Et Jack Sparrow, Joshuamee Gibbs & Cie, fidèles à eux même ? Jack est un personnage assez difficile à cerner, j'ai eu du mal à le retranscrire version texte. J'espère y être arrivée... ) !
Pour ce qui est de la progression de l'histoire, je l'avoue, je ne l'ai pas finis :S... Mais, j'ai tout le déroulement en tête, alors ça devrai aller vite. Ensuite, pour la publication, ça se fera en fonction du succès du prologue, et des premiers chapitres. Histoire de pas publier dans le vide x)...
Voila, bla-bla-auteurien terminé, passons au disclamé : Comme vous le savez, Pirate des Caraïbes, ainsi que tout les personnages & lieux que vous reconnaiterez, ça appartient à Disney ! Le reste, c'est à Bibi ;)
Bonne lecture !
Pirates des Caraïbes Et la légende du Baroudeur - Prologue
Sur la grande mer des Caraïbes, en plein après-midi; se trouvait un bateau. Un grand bateau au bois de couleur bordeaux & ocre, un véritable bâtiment pirate d'époque. Sur la coque, était écrit en lettres argentées "Le Baroudeur", et la figure de proue était tout bonnement une tête de mort. Seuls éléments pouvant porter à confusion, étaient les voiles, ainsi que le drapeau, où dessus n'y avait ni de tête de mort, ni drapeau noir, mais à la place, une fleur de lys de couleur noir, aux contours bordeaux. Ce bateau naviguait au gré du vent calme, sur une mer toute aussi calme, ce qui était un peu inhabituel pour cette grande mer à risque qu'était celle des Caraïbes. N'importe quel navigateur aurait pu prévoir qu'une tempête aurait surement lieu dans la journée, mais le petit équipage de ce grand Baroudeur avait d'autres chats à fouetter à ce moment là...
« Père ! » S'écria une jeune voix féminine.
La propriétaire de la voix, une jeune femme de 20 ans à tout casser, dont les boucles blondes vénitiennes bougeaient, retombant sur les omoplates de cette jeune fille au même rythme que les pas décidés qu'elle abordaient avança sur le pont, vers l'homme qui sembla être son père, un vieil homme d'une bonne cinquantaine d'années aux yeux bleu mélancolique, au sourire bienveillant et aux cheveux blancs dégarnis. Son sourire s'élargit d'un bon centimètre lorsqu'il vit sa jeune fille avancer vers lui.
« Eillieen... Ce que tu peux ressembler à ta défunte mère, avec cet air contrarié...
- Père ! S'indigna la blonde.
- Qu'y a-t-il ? Vous êtes-vous disputés, toi et William ?
- Père, s'il vous plait, cessez de feindre l'innocence ! Les mercenaires arrivent, il faut absolument prendre le cap vers tribord, pour suivre notre route, ou ils nous retrouverons ! Vous qui vous entêtez à vouloir fuir, faites-le au moins correctement !
- Je le sais bien, mon enfant. J'en suis bien conscient. Ces mécréants. Ce stupide Baron. Eillie, fit son père en caressant la joue de sa fille. Je reconnais bien là l'esprit chevaleresque que t'as transmise Amanda. Je sais aussi que fuir t'es douloureux... Mais, ces gens là sont bien trop dangereux, tu le sais bien...
- Père... Je veux me battre !
- Je le sais, Eillieen, je le sais. Tout comme tu connais leur force. Je ne dit pas que tu ne serai pas capable de leur tenir tête, mais, ta protection, ainsi que celle de William est tout ce qui m'apporte..
- Et... Le Baroudeur ?
- Bien sûr que ce bateau est important. Mais, le plus important, c'est vous. Et fuir est malheureusement la seule solution. J'ai déjà demandé à ton frère de changer le cap. Ne t'en fait pas, Eillieen, ne t'en fais pas.»
Eillieen, dite Eillie, soupira. Au fond d'elle, elle savait que son père avait raison, mais, l'admettre ne lui ferait que trop souffrir. Elle baissa la tête quelques secondes, puis regarda William, son grand frère assis à califourchon sur la proue du bateau, regardant l'horizon, avant de re regarder son père qui lui fit un sourire réconfortant auquel elle répondit furtivement sans grande conviction par un faible sourire.
« Je vois en tout cas que tu t'obstines à porter les vieux habits de ton frère..
- Les jupons, c'est trop peu pratique, et porter un corsais, c'est faire une croix sur la respiration, répondit-elle en grimacent. En plus, ça me donne l'impression de faire partie du siècle dernier.. »
À ses paroles, le père de la jeune femme ne put s'empêcher de rire d'un rire franc, ce qui eu pour effet de faire légèrement rougir la blonde, peu habituée à voir son père s'esclaffer de la sorte. Elle décida finalement d'aller voir William qui regardait toujours l'horizon. Elle prit donc congé de son père et se dirigea vers la proue du bateau.
« Un problème ? Lui fit son frère sans même baisser les yeux vers elle.
- ... Pas spécialement...
- Tu rigoles ? Je serais capable de détecter ta tristesse et ton anxiété à 100km à la ronde !
- J' te trouve bien prétentieux... fit elle en un sourire
- Allé, dis-moi donc ce qu'il y a... »
Eillie soupira, puis, regarda l'horizon, tendit que son frère tourna son regard vers elle. Et puis, après quelques secondes, elle se lança aux confidences.
« C'est juste que... Même si je sais que c'est la seule solution... Je... J'en ai plus qu'assez, de fuir... Je veux me-
- Te battre, oui, ça on le sait tous... Mais comme tu l'as si bien dis toi-même, fuir est maintenant le dernier recourt que nous ayons. Crois-moi, moi aussi, j'aimerais me battre pour nos conviction ! Mais, non. La vie est dure, Eillie. On ne peut pas toujours faire ce que l'on voudrait.
- Tu m'énerve, à toujours avoir raison, grommela la jeune adolescente dans un soupir.
- Eh, oui, que veux tu, je suis la voix de la raison !
- Tes chevilles vont exploser, attention...
- C'est pas grave, j'ai l'habitude, ricana William. Enfin. Si tu veux un conseil, retourne dans ta chambre, prend un bon bouquin ou une bonne douche, ou fais donc du piano. Tout ça te détendra.
- Mouais.
- Et arrête donc de fouiller dans mon armoire ! »
Comme toute réponse, William eu droit à un tirage de langue de la part de sa petite sœur, ce qui le fit sourire. Et puis, cette dernière suivit son conseil, et fit demi tour, pour retourner à ses appartements.
Deux heures plus tard, dans sa chambre, Eillie, maintenant plus détendue, était assise et accoudée a son piano, à chantonner des petites mélodies qu'elle accompagnait distraitement de quelques notes, quand soudain, un bruit sourd qu'elle n'aurait pu reconnaître se fit entendre sur le pont.
Intriguée, elle décida de se rendre là-bas, sans faire le moindre bruit, et attrapa au passage, le poignard de combat que sa mère lui avait légué à sa mort, juste au cas où.
Et puis, des éclats de voix. Et plus elle s'approchait de la porte menant au pont, mieux elle entendait ces fameuses voix.
« Non, William, je t'en pris, calme toi !
- Ouais, ouais, c'est ça, Willy, calme-toi, ricana une voix qu' Eillie ne connaissait que trop bien.
- Bande de lâches, pesta son grand frère.
- Et fière de l'être, si ça peut me rendre riche ! »
Le souffle coupé, Eillie s'approcha de la porte, et l'entrouvrit afin de voir sans être vue, et la son sang ne fit qu'un tour : Les mercenaires. Ils les avaient rattrapés. Inconsciemment, Eillie serra un peu plus sa main sur son poignard, et s'apprêta à faire son apparition pour défendre ceux qu'elle aimait lorsqu'elle entendit son père
« Eillieen n'est pas ici ! Arrêtez ! »
À ces mots, Eillie sentie se figer. Son père et son frère tentaient tout deux de la protéger. Sachant ça, elle n'osa plus bouger, bien qu'elle en mourrait d'envie, elle se ravisa, car elle savait que si elle se montrait, ces bandits se rendraient donc compte que son père et William leurs auraient mentit, et ils n'hésiterait pas une seconde à les tuer, comme pour les punir. Elle se contenta donc de suivre la conversation quelque peu rythmée qu'avait lieu sur le pont du Baroudeur.
« Vraiment ? Elle n'est pas ici ? Humpf ! J'en doute ! Comment cette entêtée d'enquiquineuse pourrait vous avoir abandonnés ?
- Elle ne nous a pas abandonnés ! Ne put s'empêcher de dire son frère.
- Uuuuh ? Dans ce cas, elle va revenir... Nous allons donc l'attendre !
- Mais avant ça, allons aux cuisine, chercher de la bouffe, j'ai la dalle !
- Moi aussi.
- Très bien. Mais, ligotons-les, pour être sur qu'ils ne tenterons rien. »
Et les quatre mercenaires joignirent le geste à la parole, et attachèrent les deux hommes assis contre les rebords du bateaux. Et, la jeune fille eu la frayeur de voir les bandits se diriger tout droit vers elle. Elle se dépêcha alors de courir dans sa chambre pour s'y réfugier. Les cuisines étant placé avant les appartements, elle était à peu près sur d'y être à l'abri.
Une fois certaine que ses ennemis étaient bien occupés aux cuisine, Eillie accouru sur le pont, et vint à la rencontre de ses proches.
« Père ! Will !
- Eillie ! Tu vas biens ? Ils ne t'ont pas vu ? S'inquiéta William.
- Non, non, ça va... Mais, et vous ?
- Oh, nous allons bien, mon enfant, pour l'instant, tout du moins.
- Père, ne parlez pas ainsi, je vous en prie ! Regardez ! J'ai le poignard de Maman... Je vais pouvoir défaire vos liens, pour que nous puissions nous enfuir, tous ensemble ! Fit-elle en sortant le l'arme de son fourreau, un léger sourire aux lèvres.
- Non, Eillie. Range-le.. Commença William.
- Hein ?
- William a raison, Eillie. Ne t'en fait pas pour nous, et enfuie-toi avec la chaloupe, avant qu'il ne soit trop tard !
- Qu-quoi ? Je ne... Je ne comprend pas... Père, pourquoi ?
- Eillie, s'en ai trop tard, pour nous... Mais pas trop tard pour toi ! Je t'en pris... Ne perd pas de temps, a nous détacher... Ils risquent de revenir d'un moment a un autre... Je sais que cela sera dur, pour toi... Mais je te demande, mon enfant, de sauver ta vie !
- Au détriment des vôtres ?
- Je comprend ta douleur, Eillieen, mais, il le faut ! Et puis, il faudra bien que l'ont protège ce bon vieux Baroudeur, non ? Si nous nous enfuyons, se sera comme donner raison au Baron ! »
Eillie eut voulu répondre quelque chose, lorsque qu'ils entendirent des mercenaires dans le couloir. Eillie se retourna alors pour s'assurer qu'ils n'étaient pas la quand son frère repris la parole.
« Tu vois, de toute façon, tu n'aurais pas le temps de nous libérer.
- Eillie, ma fille, mon ange, écoutes-nous... Je te le demande... Sauve ta vie, et enfuie-toi !
- Et puis, vois le côté positif ! Toi qui à toujours voulu vivre d'aventure, comme une vrai Pirate, comme Maman ! C'est l'occasion ou jamais ! »
Toujours retournée, mais regardant le sol, Eillie réfléchit. Elle ne savait que faire. Son cerveaux lui ordonna de fuir, mais son cœur l'empêchait de bouger, la faisant hésiter. C'est finalement lorsque un deuxième éclat de voix se fit entendre qu'elle se décida. Elle se retourna alors vers son frère et son père, se leva, et pris la parole.
« Très bien. Mais, si vous pensez que c'est comme ça que vous vous débarrasserez de moi ! Foi de pirate ! Je vous retrouverai ! Vous, et le Baroudeur ! Mais, pas seule, non ! Je trouverais des compagnons digne de ce nom ! Des compagnons fort, très fort, qui terrasserons cet imbécile de Baron, et ces idiots de sous-fifres ! C'est une promesse que je vous fais !
- Comme c'est émouvant ! » Fit une voix derrière elle.
A l'entente de cette voix, Eillie sursauta, tout en se retournant, et vit les quatre mercenaires ricanant devant elle. Elle leur adressa son regard le plus noir, et s'apprêtait à répliquer pour les provoquer, mais son père la devança.
« Eillieen ! Vite, dépêche-toi ! »
Et c'est cette simple phrase qui la ramena à la réalité. Après avoir hésité une ou deux secondes, la jeune blondinette se mit à courir le plus vite qu'elle put, vers la chaloupe de son frère amarrée à côté. Malheureusement, un des bandits ce mit en travers de son chemin. Elle fut donc obligée de s'arrêter, et, lorsque ce fut fait, en à peine trois secondes, elle se retrouva encerclée. Elle s'arma alors de son poignard fétiche, et couru vers le plus chétif des quatre hommes, et commença à l'affronter dans le seul but de pouvoir avancer vers la direction de la chaloupe. Le mercenaire ce laissa prendre au jeu sans s'apercevoir de rien, persuadé qu'elle se pensait juste plus forte que lui. Après quelques minutes de combat, Eillie était maintenant assez proche de sa voie de sortie pour y allé d'elle même. Elle poussa donc son adversaire dans les tonneaux de rhum et couru de toutes ces forces, évitant tant qu'elle pouvait les trois autres sous-fifre du Baron. Elle réussit finalement à être au bord du bateau, juste au dessus de la chaloupe. Elle grimpa sur le rebord du bateau, et lança un dernier regard a William et son père, avant de sauter, et de s'enfuir via le petit bateau.
« Adieu, ma fille... » Murmura son père tout en fixant l'endroit d'où sa progéniture avait sauter.
Eillie était maintenant a environs cent mètres du Baroudeur lorsqu'elle s'autorisa à regarder derrière elle, où elle pu apercevoir son père et son frère. Elle ne pu s'empêcher d'esquisser un faible sourire en les voyant, sans même qu'elle sache pourquoi. Mais vite, son sourire laissa la place à un regard d'effroi : Elle venait de voir le plus baraqué des mercenaires pointer sur eux... Ce qui semblait être... Un fusil... Elle n'en était pas sur, mais son soupçon se confirma lorsqu'elle entendit les coups de feu. Et puis, elle vit les corps de William et de son père s'effondrer au sol. Elle était certes loin, mais avait une excellente vue, qui était même hors du commun, et pouvait clairement voir le rouge qui s'imprégnait sur leurs vêtement. Elle eu un bon au cœur lorsqu'elle compris ce qu'il s'était passé, et, tremblante, tomba au sol, sur les genoux, fixant les deux corps, au loin. Et puis, sous le choque, elle se mit d'abord à murmurer des choses incompréhensibles, avant de hurler son désespoir, tandis que les larmes et les sanglots arrivèrent par milliers.
Elle venait de perdre sous ses yeux ceux qu'elle aimait plus que tout au monde.
Et voila ! Prologue terminé ! Alors, avis ?
Vous retrouverez notre Jack adoré dès les premières lignes du premier chapitre !
Enjoy ;)
