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« Je déambule dans le monde, à demi dans le Ciel, à demi sur la terre, et tout cela tant à la débâcle, à la débauche, au débordement… Depuis combien d'année, cette débandade a commencée ? La décadence est partout, le désespoir darde son désir au dandy, et quand la danse dangereuse des corps s'enflamme, le débutant décalé est déboussolé de bon cœur…
Quand le décès de la décence est déclarée, et quand la déesse du dédain déflore le défunt, ce dernier, de gré à gré, se déhanche dans un sursaut de delirium, le délice du dédain n'en est que plus délictueux. Le déni dénudé des dépravés n'en est que plus dépucelé.
De tout temps, la déraison a dérouté, je suis déshumanisé, moi le dandy, et j'ai dérogé à la diatribe, depuis que j'ai dépucelé la pure parfaite désacralisée, qui, dans un dernier cri, est désengagée et désormais est désavoué. Elle m'a rejoint dans le désert déséquilibré du désespoir et du désir déshabillant, désinhibé, déshumanisé, désignant le déshonneur sur ma désobéissance.
Elle me désintoxique de son plein grés des désordres de ma desquamation, et quand, sublime, le dessein déstabilisant s'en dégage, il est destiné à destituer le désuet désaxé. Elle aura tout de même déteint sur moi, détesté et détérioré. Chaque détracteur de cette détonante et divine relation, devra être détrompé. Car désormais, le désaxé est détrôné et la dette est payée. Dans ce monde dévasté, nous pouvons nous aimer.
A toi et à jamais…
Ton dévoué, Drago… »
Lettre de Drago Malefoy à Harry Potter, à propos d'Hermione Granger. Ces deux personnes, reconnues désormais comme acteur principaux de la défaite du très tristement célèbre vous-savez-qui. Ils ont reçus l'ordre de merlin de première classe. Ceux ci on disparut suite à la guerre, les corps n'ont jamais été retrouvé. La rumeur veut qu'ils se soient enfuit, mais rien ne tend à vérifier cette information, sauf les lettres que reçoit régulièrement le héros, Harry Potter (cf articles p 1, 2 et 3).
A la recherche de la vérité par Pavarti Patil et Lavande Brown.