Il neigeait, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas neigé à Bakuten. Pourtant, Ray regardait par la fenêtre en souriant cela faisait longtemps qu'il n'avait pas sourit ainsi. Il s'assit devant la fenêtre en tannant de se rappeler le bon vieux temps.
La première fois qu'il l'avait vu, c'était dans sa télévision, il neigeait doucement. Elle était derrière une journaliste, au centre-ville. Elle servait un café. Elle le servait merveilleusement bien le café. IL avait l'impression qu'elle était un ange venu du ciel juste pour lui. Il avait toujours rêvé d'une femme avec les cheveux couleur aqua qui lui souriait. Et là elle était présente devant lui. Il se dit à voix haute : « je dois la rencontrer».
À partir de ce moment, il alla tous les jours au café qu'elle travaille ou non. Il ne voulait vraiment pas la manquer. Pourtant, il ne la parlait jamais, ce n'était jamais le bon moment. Au début, il arrivait souvent en retard à son travail. Comme il était bon travailleur son employeur laisser passer, mais il cessa simplement di aller. Il voulait l'admirer plus longtemps. La regarder en espérant un jour la toucher.
Les jours passaient, les factures s'empilaient dans sa boite aux lettres et il avait toujours de travail. Il du donc déménager pour pouvoir continuer à payer son cappuccino quotidien et bien sur ses factures. Il vendit ses meubles, ses vêtements et même son chat, car elle était allergique.
Il le savait, car il avait osé. Il lui avait parlé. Leur conversation avait commencé. Il avait parlé un peu de lui et de sa vie, elle avait parlé un peu d'elle et de sa famille.
-----------------------------------Monsieur…
Il l'avait invité à un restaurant de luxe. À la fin de la soirée il ne lui restait plus un rond, mais il sent foutait, il était avec la femme de ses rêves. Il lui avait écrit un court poème
le premier jour
Je t'aime, je t'aimerais toujours
Maris moi mon amour
--------------------Monsieur…
Elle accepta sur-le-champ. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants
-------Monsieur… c'est l'heure de vos médicaments, vous étiez censé les prendre il y a une demi-heure.
-Il regardait toujours la fenêtre quand il lui dit :
-Mais je suis occupé tu ne vois pas. Je donne un massage à ma femme. Elle est fatiguée. Elle a eu une dure journée au travail.
Devant lui il n'y avait personne, il massait une personne qui excitait que dans ses rêves. Il l'avait réellement vu à télévision et il avait tenté mainte et mainte fois de s'enfuir de son asile, mais enfin
Il était fou
Mais heureux
Dans son monde
J'espère que vous avez aimé
Review svp
C'est ma première histoire avec RAY
La fille c'était Salima
Je ne trouvais pas important de vous dire son nom au début, car de toute façon le pers. Principale ne le sait même pas