hola! Sa fait un moment que j'ai pas posté ^^' DÉSOLÉ! Mais bon les études vous devez comprendre :p
J'essaie de continuer mais histoire mais j'ai un petit manque d'inspiration! Alors voilà! Je devais écrire un texte en français et c'est ce qui en est ressortie!


Kurt entra dans son lycée d'un pas mal assuré. La rentrée avait toujours quelque chose de terrifiant pour lui depuis qu'il avait avoué son homosexualité et une peur profonde le tenaillait depuis son réveil, bien qu'il le cacha à son père à qui il voulait éviter tout stresse depuis sa crise cardiaque quelque temps plus tôt.

Le jeune garçon marchait donc dans les longs couloirs de l'immense établissement, tentant d'éviter les foules, mais surtout ses persécuteurs qui, depuis sa sortie du placard, lui faisait vivre un enfer, quand il fut violament projeté contre un casier.

-Hey tapette! Dégage d'ici! Tu pollue notre air! intima un noir au regard mauvais.

-Ouais va-t'en! On veut pas devenir des petits gais dégoûtants comme toi! Ajouta une voix grave appartenant à un élève plus âgé à l'air menaçant.

Par malchance, Kurt avait croisé le chemin de Dave et Azimio, deux brutes homophobes qui l'avaient pris en grippe lors de leur première année. Les larmes perlaient aux coins des yeux du plus petit après le chose de son dos contre le métal froid et la dureté des propos de ses compagnons de classes, mais il fit tout pour les retenir, ne voulant pour rien au monde laisser ses bourreaux gagner.

Bien sûr lui qui était petit et maigrichon ne pouvait rien faire face a eux, mais il tente tout de même de se défendre "Laissez-moi tranquille. Je veux juste aller en classe, je vouas ai rien fait."

Un rire gras s'échappa de la gorge de Dave au son de la voix fluette, tandis qu'Azimio répondit d'un air dédaigneux "Tu sonne comme une fillette pédé." Il donna un coup d'épaule à sa victime et s'en alla suivi de son acolyte.

Ce n'est qu'une fois les deux garçons partis que le petit châtain à la peau de porcelaine remarqua que les couloirs étaient vides et donc que les cours étaient commencés. Il soupira et se laissa glisser contre le casier. il enroula ses bras autour de ses jambes, puis posant sa tête sur ses genoux, il murmura doucement entre deux sanglot: "Kurt Hummel, un jour tout le monde t'admiras."


Pas très long mais j'espère que vous avez apprécier!