Le secret

Disclaimer: Je ne suis pas propriétaire de Life With Derek.


Dans chaque relation, il y a des secrets. Parfois, c'est juste un tic nerveux, quelque chose que l'on ne peut pas contrôler et que l'on cherche à cacher à la personne aimée. Parfois, c'est une lettre dissimulée au fond d'un tiroir, que l'on cache afin qu'elle ne soit jamais découverte ou lue. Et puis, parfois, le mystère est dans une requête, sur laquelle on insiste, mais que jamais on explique.

Dans le cas de Derek et Casey, c'est la dernière énigme qui leur correspondait. Souvent, Derek essayait de déchiffrer cette requête pendant la nuit. Ils étaient enfin ensemble, et pourtant, elle insistait sur une seule chose : que jamais ils ne devaient en parler à quiconque, leur relation devait rester secret. Pourtant ils étaient adultes, ils vivaient leur propre vie, indépendamment de leur famille. Mais elle insistait sur le faite que cela devait rester secret, et il avait accepté avec indulgence. Au début, cela ne le dérangeait pas, mais à présent, Derek en avait assez, quelque chose le chagrinait. Oui, il aimait Casey, et il était certain qu'elle l'aimait en retour. Alors, pourquoi ne pouvaient-ils en parler ? Il y avait quelque chose, et il ne savait pas ce que ce « quelque chose » était.

Un jour, alors qu'ils étaient seule Derek l'évoqua.

-- C'est.. étrange, je ne comprends pas…. Commença-t-il en la regardant. Elle était recroquevillée à côté de lui sur le divan. Il avait son bras enroulé autour de son corps, alors que Casey se blottissait près de lui.

-- Derek, pourquoi tu veux toujours en parler ? Dit-elle, une trace d'agacement évident dans sa voix.

-- Case ...

Avec un gémissement, elle se retourna lui demandant de la regarder droit dans les yeux.

-- Derek, s'il te plaît, je te l'ai dit avant, nous ...

-- Ouais, je sais. Tu ne veux pas en parler. Tout va bien, c'est bon, j'ai compris. Il soupira. Mais Casey, ça fait un mois. Je veux juste comprendre pourquoi tu insistes sur ce secret. Nous sommes adultes, merde. Ce n'est pas comme si nos parents allaient nous séparer. Je suis sûr qu'ils s'en moqueraient. Et pour les autres, eh bien, ils ne savent même pas que nos parents sont mariés. Je ne sais pas, je crois que je suis ...

-- Fatigué de tout cela ! Finit-elle en fronçant les sourcils. Elle avait pâli, il le remarqua, et elle se mordait les lèvres, un tic qu'elle a toujours eu. Derek, tu te rappelles de ce que tu m'a dit il ya un mois ? Quand je t'ai appelé ?

Bien sûr qu'il s'en souvenait. Il se souvenait de tout.

Flashback

Depuis sa sortie de l'université, Derek gagnait sa vie comme photographe pour un magazine. Ce fut une belle vie, beaucoup mieux, pensait-il, que celle d'une star de hockey. Non pas qu'il avait eu le choix, il avait eu une blessure au genou lors de sa première année à l'université qui avait effectivement mis fin à tous ses rêves de devenir un joueur de hockey professionnel. Mais cela n'avait plus d'importance. Il avait vingt-deux ans, et il vivait une vie indépendante à Toronto, sans aucune obligation, avec un travail qui payait assez bien.

La vie était belle.

Ce fut lors d'une nuit pluvieuse que les choses ont changé. Il était tard quand il répondit à l'appel de Casey. Elle semblait à bout de souffle, elle avait l'air effrayé.

-- S'il te plaît, il faut que tu viennes, tout de suite. Plaida-t-elle, citant une intersection où elle a dit qu'elle serait.

Elle était assise dans la pluie quand il est arrivé, regardant un accident de voiture. L'accident était une scène effroyable, à travers la pluie, il pouvait vaguement distinguer une petite voiture qui avait manifestement fait des oupiin à plusieurs reprises. Il jura même avoir vu une jambe qui pendait à la fenêtre d'une voiture renversée. Il ne pouvait comprendre pourquoi Casey se trouvait ici surtout qu'elle a toujours été hyper sensible.

-- Casey, mais que fais-tu ici ? Demanda-t-il en se tournant vers elle. Elle était assise en silence sur un banc, vêtu seulement d'un tee shirt en coton et d'un jeans.

Elle leva les yeux vers lui. Elle tremblait, il lui demanda alors combien de temps elle était assise ici. Elle le regarda, mais ne lui répondit pas.

-- Casey ! La terre à Casey. Qu'est-il arrivé ?

-- Je ... je veux juste sortir d'ici, finit-elle par répondre. Peut-on aller chez toi ?

-- Bien sûr. Casey était une femme fragile. Elle avait juste besoin de quelqu'un, n'importe qui, pour parler, pensa-t-il. Et puis qui était-il pour contredire la femme dont il était amour depuis des années ? Ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait jouer au chevalier blanc.

En silence, ils ont fait leur chemin de retour à son appartement. Il ne remit pas en question pourquoi elle l'avait appelée. Leur relation avait fait beaucoup de progrès au fil des années. En vieillissant, ils étaient devenus amis, de bons amis, d'ailleurs. Ils étaient souvent ensemble afin de parler ou juste pour profiter de la compagnie de l'autre. En plus, Casey habitait également à Toronto, ce qui facilité les choses.

Après que Casey s'était séché et changé avec un t-shirt et un pantalon de sport de Derek, elle s'installe à côté de lui sur son canapé.

-- Je ... ... que sommes-nous ? Finit-elle par bégayer. Choqué, il la regarda.

Si elle lui demandait ce qu'il pensait qu'elle demandait, alors ce serait une conversation qui risquerait de durer tout la nuit.

-- Que veux-tu dire ?

-- Je veux dire ... Elle se tut. Puis, déterminé, elle le regarda dans les yeux. Je veux dire Je t'aime et j'ai besoin de savoir si tu ressens la même chose.

Il la fixa quelques secondes, et tout à coup, sa bouche fut sur celle de Casey.

-- Je prends cela comme un oui, dit-elle à perdre haleine, un moment plus tard.

-- Oui, c'en est un, répondit-il, un large sourire collé sur son visage.

-- Je le savais, murmurait-elle. Une apparence de confusion franchit brièvement son visage, pour être remplacé par un sourire d'une seconde plus tard. Tu me fais confiance ?

Ce fut une drôle de question, mais il s'en moquait. Il suffit d'être honnête, se dit-il.

-- Bien sûr, je te fais confiance. Sourie-t-il. Je te confie ma vie. Ajouta-t-il lui

Elle lui sourit penaud et déclara : -- Mais tout ce que j'ai besoin de savoir, c'est si tu me fais confiance. Et me promettre quelque chose. Peux-tu s'il te plaît me promettre quelque chose ?

-- Tout.

-- Ne poses pas de questions. Je vais peut être te l'expliquer un jour, mais pas maintenant. Je ne peux pas maintenant. Donc, il faut que tu ma fasses confiance, ok ? C'était Casey, elle a toujours sur exagérer les choses. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de la taquiner à ce sujet.

-- Que se passe-t-il ? Es-tu tout à coup membre de la CIA ou du FBI ? Plaisanta-t-il.

-- Derek. J'ai besoin que..., elle fit un signe entre eux, se soit un secret. Ne le dites à personne que nous sommes ensemble. Ne parle pas de moi, ne me mentionnent pas. Agis comme si je n'existe pas.

-- Casey, bon sang qu'es ce que tu racontes ? Jésus Casey, êtes-tu engagé ou marié ? Ricana-t-il.

-- Non ! C'est juste que ... Je te le dirai plus tard, je le promets. Mais tu dois faire cela pour moi. Personne ne doit être au courant pour moi, et je dis bien personne. Ne m'appelle pas, ne viens jamais me voir, d'accord. Sa voix était calme, mais il y avait un courant d'urgence dans ses paroles. Ses yeux étaient grands, et elle tremblait encore une fois.

-- Casey, bon sang ? Tu ne peux pas m'attendre à te dire juste «Okay» à quelque chose comme ça, sans une sorte d'explication.

-- Tu dois ! Dit-elle. Je ne peux rien te dire, et je ne peux pas être vu. S'il te plaît, Derek, faire juste cela pour moi. Je ne vais pas te forcer à faire quelque chose si tu ne veux pas, tu peux me mettre dehors, et nous oublierons à jamais ce qui s'est passé. Mais je te supplie dit quelque chose ! Dit-elle.

Il était assis, sonné. Jamais il ne l'avait entendu parler comme ça. Elle n'avait jamais été si étrange, depuis qu' il la connaissait. Il l'aimait, c'était certain. Mais dans quoi était-elle embarquée ? Il ne pouvait imaginer ce qui lui fessait tellement peur, pourquoi elle était si paniqué. Elle interpréta son silence comme un rejet, elle commença donc à se lever.

-- Je suis désolée d'être si présomptueux. Je n'aurais pas dû t'appelé ...

-- Non, attend, j'ai juste besoin d'un moment. Casey, je ne sais pas ce qui t'es arrivé, mais Je t'aime, et je ferais tout ce que tu me demande. Je suis juste confus. Je veux dire, pourquoi diable veux-tu que nous nous cachons ?

-- Je vais te le dire ...

-- Plus tard. Ouais, je sais. Et je promets que je vais te faire confiance. Mais rappelles-toi, c'est une voie à double sens.

-- Bien sûre, c'est normal. Déclara-t-elle.

-- Je t'aime, murmura-il à ses lèvres avant de l'embrassa.

Fin du Flashback

-- Derek. Casey l'interrompit dans ses pensées, tu te souviens de ce que tu as dit ?

-- J'ai dit que je te le promettait, et que je te faisait confiance. Et je le fais. Mais, en réalité, Casey ! Ce secret a été sympa, mais ça devient ennuyeux. Les gens me demandent de sortir, ils ne dissent qu'il faut que je m'amuse un peu. Ils pensent que je ne sors jamais car à chaque fois je leur répond que je ne peux pas. Ils pensent que je suis comme un vieux vieillard ennuyeux. Casey, j'ai envi qu'on sorte ensemble, j'ai envi de te présenter à mes amis. Je ne peux même pas à juste titre remettre les mecs à leur place quand ils se vantent de leur femme. Il plongea une main nerveusement dans ses cheveux en désordre, et ferma les yeux pensif un instant. Je tiens à te montrer, Case.

Elle n'avait pas l'air content. Au contraire, elle avait l'air terrifié. -- Tu n'as rien dit, non ? Personne ne sait ...

-- Personne ne sait sur toi. Bon Dieu, mes voisins ne savent même pas. Je ne peux même pas te contacter et je ne sais même pas pourquoi ? Il lui posait toujours cette question car il n'était pas autorisé à l'appeler ou lui envoyer des SMS, ou lui envoyer un courriel, ou correspondre avec elle de quelque façon. Pourtant, elle savait toujours où le trouver.

Parfois, elle se présentait à une de ses séances photos, et elle l'attirait dans l'ombre, lui donnant un regard remplit de désir. Parfois, quand il sortait pour dîner, elle le tirait tout d'un coup derrière un bâtiment, hors de vue, pour avoir leur petit bonhomme de chemin. Et puis, elle savait toujours quand venir à son appartement.

Quand il y pensait, c'était assez étrange. Lorsqu'il en parlait, elle abordait juste un sourire énigmatique.

-- Je sais juste, Derek. Elle l'embrassa une fois de plus, et toutes les autres idées ont été immédiatement mis de côté dans son esprit.

* DASEY * DASEY * DASEY * DASEY *

Une semaine plus tard, il oublia sa promesse, mentionnant à un de ses collègues sa petite amie. Il se ressaisit, et ne lui révéla pas son nom, tout en se demandant pourquoi diable.

Elle l'attendait quand il est arrivé à son appartement. Il ne se souvenait pas qu'il lui avait donner une clé. Il pensa que peut être elle avait fait un double puisqu'elle l'attendait très régulièrement dans son appartement.

Quand il arriva, elle faisait les cent pas nerveusement.

-- Que fais-tu ? Demanda-t-il amusé par ses pitreries. Elle leva les yeux, et laissa échapper un soupir de soulagement.

-- Je suis ... rien. Je suis simplement heureux de te voir, dit-elle.

-- Moi aussi. Dit-il avec désinvolture, se laissant tomber sur le divan, Quand ce secret va-t-il finir ? J'ai parlé de ma petite amie à Jack aujourd'hui, et il voulait savoir où il pourrait la rencontrer. Ils commencent à douter de moi, Casey. Si je continue à présent, je vais perdre ma réputation «d'homme», Plaisanta-t-il. Elle rit avec inquiétude.

-- Tu n'as pas mentionné mon nom ? Interrogea-t-elle.

-- Non, Casey, je n'ai pas mentionné ton nom, bon sang. Non pas que ça ferait une différence. Ajouta-t-il avec amertume.

-- Ce serait pour moi, marmonnait-elle tristement.

-- Casey, de quoi as-tu si peur ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Sa voix était douce et tendre. Obstinément, elle secoua la tête. -- Je ne te le dirais pas, tu sais que je ne peux pas.

-- Casey je veux savoir, afin que je puisse te protéger de ce « quelque chose » qui te fait tellement peur.

-- Je ne peux pas ...

Soudain, elle fut interrompue par une frappe provenant de la porte.

-- Merde. Murmura Derek. C'est Jack, j'ai complètement oublié qu'il devait passer ici pour quelques clichés.

Casey regarda autour de lui nerveusement, les yeux écarquillés de terreur.

-- Il ne doit pas savoir que je suis ici. Personne ne doit savoir. Je dois me cacher. Prononça-t-elle se parlant à elle même. Derek, dit quelque chose, n'importe quoi.

-- Casey, je ...

-- Venturi, arrête de te parler à toi même et viens ouvrir la porte. Contrairement à toi, il m'arrive d'avoir une vie et j'aimerais en profiter. Hurla l'homme de l'autre côté de la porte. Derek commença à se diriger vers la porte, jetant un dernier regard sur Casey, qui se dirigeait vers sa chambre.

-- C'est bon, je suis là ! Prononça Derek en ouvrant la porte fessant entrer un homme d'une trentaine d'année. Jack laissa échapper un léger sifflement.

-- Alors, c'est le fameux appartenant Venturi, où tu sembles passer tes soirées. Je dois admettre que je suis déçu. Avec la manière dont tu parles, je pensais qu'il y aurait quelque laboratoire secret ou du moins quelques femmes. Merde, tu vis vraiment comme une ermite.

-- Si tu as fini de critiquer ma vie, pourrais-tu me donner les tirages ? Et je ne suis pas tout le temps seul, répondit-il. Il pourrait jurer avoir entendu une voix dire : « Non ! »

-- Vraiment. Se moqua Jack. Derek se mit à rire nerveusement.

-- Vraiment, tu ne penses pas que je vis replié sur moi, c'est ce que tu penses ? Il savait que certainement, son collègue devait avoir entendu la voix de Casey quelques instants auparavant. Mais Jack haussa les épaules.

-- Je n'entends rien, Venturi. Tu te parle à toi-même. Prononça-t-il lui donna les clichés.

-- Mais ...

-- Je te jure qu'un de ces jours on va devoir t'enfermer dans un hôpital psychiatrique, Venturi. Il ricana. Amuses-toi bien avec tes amis imaginaires. Sur ces mots, il le quitta. Une minute plus tard, Casey émergea de sa cachette. Elle avait l'air plus calme que quelques minutes auparavant, et elle semblait dire quelque chose sous son souffle.

-- Tu ne lui a pas dis, dit-elle soulagée.

-- Non.

La conversation prit fin sur ces mots. Casey alla se couchée suivit de près par Derek. Ce dernier songea pendant la nuit au secret qui perturbait l'esprit de sa bien aimé. Quelque chose s'était passé, cette nuit-là quand il l'a trouvé, il en était persuadé, . Elle avait vu ou entendu quelque chose. Mais quoi ? Et pourquoi l'avait-elle appelé ? Pourquoi ne pas appeler la police si elle avait vu quelque chose de compromettant. Etait-ce en quelque sorte liée à l'accident ? Mais c'était juste un banal accident, ce n'était pas grand chose, les journaux n'en avaient même pas parlé, d'après ce qu'il avait vu. Dans une ville de cette envergure, les accidents de voiture et les décès ont été monnaie courante. Alors pourquoi était-elle aussi effrayée.

* DASEY * DASEY * DASEY * DASEY *

-- As quoi penses-tu ? Il sentit une main se poser doucement sur son épaule. Il se retourna souriant. Elle avait l'air radieux, portant une de ses chemises, les cheveux froissé.

-- Je pense à la façon dont tu es super sexy quand tu porte ma chemise, répondit-il. Elle roula des yeux.

-- Typiques, dit-elle en riant. Mais je suis sérieuse, tu as été agité toute la nuit. As quoi pensais-tu ?

-- Toi. Je me demandais ce que tu avais vu pour avoir si peur.

-- Derek, non. Prévient-elle.

-- Je pense que tu as vu quelque chose que tu ne veux pas que quiconque connaître, même pas moi. Mais quoi ? Je ne sais pas. Pourquoi tu n'as pas appeler la police ? Pourquoi as-tu préféré m'appeler ? Prononça-t-il, exprimant toutes ses pensées, en essayant de faire le tri. Es-tu menacée ? Demanda-t-il, la regardant droit dans les yeux. Puis, tout d'un coup il gela, frappé par une révélation. C'est ça n'est ce pas ? Quelqu'un essaie de te faire du mal. Qui est-ce ? Parce que je vais les tuer, Hurla-il. Oh, mon Dieu, ils t'ont fait du mal. Jésus, Casey, parle-moi ! Raconte-moi ce qui s'es passé ! J't'en supplie !

-- Derek, non ... Elle s'arrêta, et se mordit les lèvres, comme pour réfléchir. Je ne peux rien te dire, Derek, je ne peux pas. Tu comprends ?

-- Je suis sur la bonne voie, n'est-ce pas ?

-- Je ne peux ni confirmer ni nier, Derek. Pense ce que tu veux. Il suffit de ne le dire à personne. Je ne veux pas que cela finisse. Pas maintenant.

-- N'ai pas peur, je t'aime, ça ne pourra jamais finir. Je te promets.

-- Si tu parles de moi à personne alors il ne sera pas, Assura-t-elle.

Bien sûr, il accepta. Que pouvait-il faire d'autre ? Elle avait confiance en lui et lui seul (il supposait). C'était nouveau pour lui, et cela le rendait heureux de savoir qu'elle comptait sur lui pour l'aider. Il ne pouvait pas briser sa confiance, pas comme ça. Pourtant, il ne pouvait s'empêcher de penser avec amertume, « Génial le secret. »