Salut tout le monde !! Et voilà ma super fic (lol), j'espère qu'elle va vous plaire ! En tous cas, je l'ai déjà publié sur FictionPress et je voulais savoir ce que ça donnerait ici. J'explique un peu l'histoire, Ma fic se situe entre le moment où Tomoe meurt ( Ouin !! snif !! ) et où il rencontre Kaoru (quelle pétasse celle- là !! elle a eu un bébé avec mon Kenshin ! ......... hmm). Ma fic prend comme héroïne Aya, une jeune princesse, mais Kenshin est aussi très présent dans l'histoire, enfin vous verrez bien......... Sinon, mon histoire est également fantastique alors si vous aimez pas, vous êtes pas obligé de lire ( oh et puis, si vous insistez.........) Et surtout, surtout, n'oubliez pas de mettre une gentille petite review à la fin, ça réchaufferait un peu mon pauvre petit cœur d'écrivain délaissé......... Non, non, je ne m'apitoies pas sur mon sort, bon d'accord peut- être un peu......... Bon, tout ce que vous avez à faire maintenant, c'est lire ! Bisous

----------------------------------------------------Chapitre 1 : La lueur de la nuit------------------------------------------------

Il fait noir, elle ne voit rien a part une lumière loin devant elle cela doit être la lumière du palais. Elle se rapproche enfin de son but, elle sourit dans la nuit mais personne ne la voit. Soudain, elle trébuche sur une chose tapie dans l'ombre. Son cri se répercute dans les ruelles sombres de la ville mais personne ne l'entend. Tout le monde dort à cette heure-ci. Elle n'arrive pas à se relever, une main posée sur elle l'en empêche. Elle tourne la tête mais n'aperçoit que des silhouettes. Des voix s'élèvent autour d'elle, mais elle n'entend pas très bien. Elle ne distingue que "argent" et "vite". Ce sont des voleurs mais elle ne le sait pas. Ils la relèvent brutalement et la poussent contre un mur de pierre. Elle gémit doucement, ils ne l'écoutent pas. Ils continuent de dire "argent, vite votre argent sinon... "

Elle ne comprend pas, sûrement à cause du choc. Comme elle ne répond pas les hommes s'énervent et la secouent sans ménagement. L'un des deux lui assène un coup de bâton sur l'épaule, elle subit sans broncher malgré la douleur.

« Alors ton argent ? ! Tu es muette ou quoi ? Répond ! demandent-ils »

« On n'a qu'à la fouiller, dit l'un d'entre eux. »

« Ouais, t'as raison ! acquiesce un autre. »

Un des voleurs s'approche et lui retire son manteau qui la couvrait de la tête aux pieds. Elle résiste mais l'homme est trop fort pour elle. Alors elle se laisse faire. L'homme s'exclame :

« Mon Dieu ! Soit c'est une princesse, soit c'est une servante qui a pillée sa maîtresse ! Cette petite est couverte de bijoux ! Elle en a même dans les cheveux ! »

« C'est donc notre jour de chance ! crient le reste de la bande en riant. »

La fille s'accroupie contre le mur en se repliant sur elle-même pour les empêcher d'approcher. Elle voit une main sale qui se dirige vers sa figure, elle ferme les yeux. Soudain, derrière ses paupières closes, un éclat de lumière l'aveugle. Elle entrouvre les yeux en battant fébrilement des cils. Un grondement assourdissant retentit qui cache les bruits d'une lutte, elle a mal à la tête. Un deuxième éclair traverse les étoiles et découvre la figure du voleur qui avait voulu lui retirer ses bijoux. Il a les yeux écarquillés et il crie, si fort que son cri déchire la nuit. La jeune fille ne s'en rend même pas compte, elle ne voit plus que sa main tranchée sur le sol. Elle est prise de nausées et avant de s'évanouir, elle aperçoit deux yeux dorés encadrés de mèches rousses. Elle reste à demi-inconsciente tandis que son sauveur la soulève délicatement en lui murmurant à l'oreille "Ne t'inquiètes pas... c'est fini...". Il le répète inlassablement. Elle se laisse bercer par sa voix douce et s'endort dans ses bras.

Il marche tranquillement, il connaît le chemin. Après quelques minutes, il arrive à une grande maison en bois. Il passe devant l'enseigne d'une auberge et la contourne. En faisant bien attention de ne pas réveiller la jeune fille, il ouvre une porte et la dépose sur des couvertures. Il n'y a qu'un lit mais ce n'est pas si important, il dormira assis contre un des murs comme il a l'habitude de faire. Dans la lumière vacillante d'une chandelle, il observe le visage paisible de la fille. Elle lui paraît si jeune, que faisait-elle dehors à une heure aussi tardive ? Une chance pour elle qu'il passait par-là, elle aurait pu se faire tuer par ces voleurs. Il était heureux d'avoir pu la sauver mais il n'aurait pas du les tuer. Il ne devait pas se faire remarquer.

"Enfin bon, c'est trop tard maintenant ! Espérons que la police prendra çà pour un simple règlement de compte. Quand même, j'ai été stupide, tout cela pour une petite fille !"pense-t-il.

Il soupire faiblement et décide qu'il est temps de dormir. Avant de fermer les yeux, il souffle sur la flamme de la bougie.

Les rayons du soleil traversent la chambre où dort la jeune fille, la tirant de son profond sommeil. Elle gémit, son épaule lui fait terriblement mal. Son esprit est encore très embrouillé. Regardant autour d'elle, découvre une petite chambre où il n'y a qu'un lit, le sien, un bureau et quelques vêtements pliés sur le sol.

Alors tout lui revient soudainement, les voleurs, l'éclair, l'horrible main à ses pieds et les yeux dorés.

"A qui appartiennent-ils ces yeux ?"se demande-elle.

Sûrement à celui qui l'a sauvé et qui l'a amené ici. Rassemblant ses forces, elle essaye de se lever. Sa couverture tombe, elle est vêtue d'une simple chemise blanche. Affolée, elle jette un coup d'œil à sa gauche, ses vêtements et bijoux sont juste à côté d'elle. Elle entend la porte devant elle coulisser. C'est alors qu'il entre dans la chambre avec un grand sourire.

« Bien dormi ? J'espère que oui parce que j'ai dû me priver de lit pour toi ! »

« Je suis désolée, répond-elle en chuchotant. »

« Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas si grave. »

Elle reconnaît la voix qui l'avait rassurée la veille. Elle le détaille rapidement pour ne pas paraître indiscrète mais n'ose pas regarder son visage. Il porte une chemise blanche qui découvre une partie de son buste et un large pantalon noir. Mais surtout, il porte un sabre rangé dans un fourreau accroché à son pantalon, c'est un samouraï.

Elle frissonne, elle repense à la main tranchée. Les nausées reviennent, elle baisse la tête en pleurant.

Le jeune homme accourre vers elle et pose sa main sur son épaule. Elle crie de douleur, c'est l'épaule qu'a frappée le voleur. Inquiet, l'homme retire sa main et découvre l'épaule blessée de la jeune fille. Il fronce les sourcils, se lève et sort de la pièce.

Elle n'arrive plus à contenir ses pleurs, des larmes se succèdent sur ses joues pâles. Lorsqu'il revient, le samouraï porte des bandages et un flacon. Elle essaye de se mettre debout. Il lui demande :

« Ne bouges pas, je pose tout çà et je viens t'aider. »

« Je n'ai pas besoin d'aide, réplique-t-elle, retrouvant son orgueil. »

Ravalant ses larmes, elle s'appuie sur ses coudes et entreprend de se lever. Elle retient plusieurs cris mais arrive finalement à tenir debout quelques secondes. Puis elle chancelle et marche en zigzaguant comme une aveugle. Elle arrive jusqu'au jeune homme qui regardait la scène avec un sourire amusé et n'en pouvant plus, tombe dans ses bras en maugréant.

« Décidément, tu aimes beaucoup mes bras on dirait! »

« Ca n'est pas drôle ! dit-elle avec une moue boudeuse. »

« Non, ça ne l'est pas, chuchote-il avec plus de sérieux. »

Il l'a fait asseoir sur les couvertures et commence à nettoyer sa blessure.

Elle ne peut s'empêcher de regarder ses yeux. Ils ne sont pas dorés comme elle l'avait vu mais marron très clair, il n'y que quelques paillettes dorées qui n'apparaissent qu'à la lumière. Ses cheveux sont bien roux mais foncés par endroits par des mèches châtains. Retenus par un tissu noir enroulé, ils semblent plutôt longs. Quant à l'homme, il paraît grave et porte une cicatrice cruciforme sur sa joue gauche.

Lorsqu'il la regarde, il s'aperçoit qu'elle le scrute avec curiosité. Il sourit, il a l'air plus jeune quand il sourit. Il approche sa main du visage de la fille et passe un doigt sur sa joue pour essuyer les larmes séchées.

« Tu es mignonne toi. Comment t'appelles-tu ?demande-t-il. »

« Ayashi mais on m'appelle Aya. »

« Ayashi, ça veut dire "étrange". Pourquoi tes parents t'ont-ils appelés ainsi ? »

« Je ne sais pas. »

« Moi, c'est Kenshin. Enchanté. »

« Euh... pour mes vêtements..., elle rougit. »

« N'aie pas peur, c'est ma logeuse qui t'a changée. Au fait, que faisait-tu hier soir dans la rue si tard ? »

« En fait... je me suis enfuie... du palais... »

« Alors les voleurs avaient raison, tu as volé ta maîtresse et tu es parti en emportant tous ses bijoux. »

« Ah non ! Ca jamais, je n'ai jamais volé qui que ce soit !se rengorge-t- elle. Si je les ai, c'est parce que ces bijoux sont à moi ! Ne croyez pas les voleurs Monsieur ! »

« Appelle-moi Kenshin, tu veux. Tu es vraiment très mignonne, Aya, surtout quand tu te mets en colère ! Mais comment cela se fait-il que tu aies autant de joyaux? »

« C'est parce que... je suis... la fille... du roi Ashura... »

Le visage de Kenshin s'assombrie aussitôt, il recule.

« Je suis désolé, mais tu dois repartir chez toi. Ce n'est pas la place d'une princesse ici ! Et pourquoi donc t'es-tu enfuie du palais ? Quelle idée ! Personne ne doit savoir que je suis dans la ville, tu m'entends, personne! Surtout pas le roi ! Si on me voit, c'est la mort assurée pour tous ceux qui ont croisé ma route. Je ne veux plus ça, plus personne ne doit mourir par ma faute ! »

« Non ! S'il vous plaît... Ne me ramenez pas là-bas ! Mon père veut qu'aujourd'hui, je choisisse un mari, je ne veux pas me marier. Je n'ai pas encore trouvé l'homme que j'aimerai. Je vous en supplie... »

Des larmes roulent de nouveau sur ses joues. Elle s'accroche au bras de Kenshin et dans un élan désespéré, elle se blottit une fois de plus contre lui. Les traits de Kenshin s'adoucirent et ses yeux la regardent tendrement, mais avec désolation.

« Je suis vraiment désolé pour toi, mais je n'ai pas le choix. Tout ce que je peux faire, c'est t'accompagner et rester avec toi ce jour. Après, je dois partir et tu ne me reverras plus jamais. Maintenant, je vais sortir quelques minutes, habille-toi et nous partons. »

Son ton n'admet aucune réplique. Il ferme la porte derrière lui.

Tout en séchant ses larmes, elle s'habille rapidement. Kenshin frappe à la porte, elle sort. Il en reste bouche-bée, cette fille-là n'a rien à voir avec la fille qu'il a laissé en pleurs 5 minutes auparavant.

Ses cheveux châtains sont démêlés et ils glissent sur ses épaules comme de la soie. Ses yeux sont bleus mais ils nuancent tous les tons de l'océan. On ne voit plus les larmes passées, il n'y a qu'une détermination farouche. Son menton est relevé, volontaire. Elle porte un diadème qui lui passe dans les cheveux pour finir en tresse en un fil d'or. Des pendants ornés de pierres précieuses sont accrochés à ses oreilles. Son kimono est d'un gris perle un peu bleuté et des fleurs sont dessinées à certains endroits. Des bracelets et des colliers sont disposés à ses poignets et à son cou. Elle est digne d'une princesse.

Kenshin s'exclame :

« Et dire que j'ai cru que tu n'étais qu'une servante ! »

« Merci, dit-elle en ébauchant un sourire. »

C'est tout ce qu'ils se disent jusqu'à ce qu'ils débouchent sur la rue commerciale. L'un est trop occupé à penser à la manière de se cacher tout en tenant sa promesse, c'est-à-dire rester avec la princesse toute la journée. L'autre à penser à son futur mariage avec un parfait inconnu. Tout le monde se retourne sur eux, ils offrent un spectacle peu commun, ce qui n'arrange pas Kenshin qui voudrait passer inaperçu.

Finalement, Kenshin dit :

« Bon, je suis d'accord pour rester avec toi pendant deux heures mais c'est tout, d'accord ? »

« Est-ce que j'ai vraiment le choix ? »

« Eh ! si tu es si grognon, c'est pas la peine que je reste avec toi. Je peux te ramener au palais si tu veux. »

« Non, non ! excusez-moi, ne partez pas, s'il vous plaît ! »

« Bien. Que veux-tu faire ? »

« Je voudrais me promener dans la rue et regarder les bijoux. »

« C'est une réponse digne d'une jeune fille, ça ! »

« Vous voulez peut-être qu'on aille admirer des sabres ? Ou alors aller boire un saké ? Quelle galanterie, dites-moi ! »

« Mais, je n'ai pas du tout dis ça ! »

« C'est comme si ! Bon, si vous voulez bien m'excuser, je vais aller faire mes trucs de filles toute seule puisque vous êtes capables de laisser une pauvre fille sans défense. »

« Oh là ! Ne t'énerves pas, ça te rend encore plus jolie ! Allez, c'est d'accord, on va faire ce dont tu as envie. »

Ils passent ces deux heures à marcher dans la rue et à discuter de plein de choses.

Kenshin raconte certains de ses voyages, sans toutefois entre dans plus de détails. Aya, elle, parle de sa vie au château, son enfance dorlotée mais qui, d'un autre côté, lui a beaucoup pesé. Aucun enfant ne voulait jouer avec elle. De toute façon, son père le lui interdisait. Le samouraï et sa princesse commencent à s'apprécier, malheureusement, l'heure de la séparation arrive et le moment de rentrer au palais s'impose. A contrecœur, ils se dirigent vers lui.

Le palais se dresse devant eux, de toute sa puissance. Ses portes sont immenses, deux soldats les protègent et filtrent les passages. Autour de cette entrée, des murs peints continuent sur cinq cents mètres, d'autres gardes surveillent les hauteurs dans des tours situées aux quatre coins du palais. Au-dessus des murailles, le palais est aussi grand qu'une montagne, même vu de derrière la porte.

Kenshin et Aya arrivent devant les gardes qui aussitôt abaissent leurs longues lances pour les bloquer, ils ont vu le sabre de Kenshin.

« Je suis désolé mais vous n'avez pas le droit d'entrer, il faut un laissez- passez, dit l'un d'entre eux. »

« Vous ne m'avez pas reconnue ?fait Aya avec un sourire mi-moqueur, mi- amusé. »

« Mon Dieu, Kujaku, c'est la petite princesse qui se marie aujourd'hui, s'exclame l'autre garde. »

« Mais... c'est vrai, excusez-moi, altesse. Bien entendu, vous pouvez passer, vous n'avez pas besoin d'autorisation pour rentrer chez vous mais votre ami... »

« ...est avec moi. Je m'en porte garante. C'est compris ? »

« Bien, votre altesse, répondent-ils en chœur en écartant leurs armes et en s'inclinant. »

Ils entrent dans l'allée qui mène à l'entrée du palais. Elle est bordée d'arbres en fleurs. Il y en a de toutes sortes, venant de partout dans le pays. Des jardiniers s'affairent à leurs parterres de fleurs. L'allée est dallée de pierres. Reconnaissant la princesse, tout le monde s'écarte pour lui laisser la place, en s'abaissant et en répétant "Petite princesse".

Aya rayonne mais entre ses dents, elle murmure "Petite ? Pourquoi disent- ils tous "petite" ? Je vais avoir 16 ans tout de même !"

Seul Kenshin l'entend, il sourit malgré le fait qu'il se sente mal à l'aise. Avec tous ces regards posés sur lui, on pourrait le reconnaître. Il regarde autour de lui, les sujets sont trop occupés à prier la princesse pour faire attention à lui.

Suivis des servantes, ils passent la porte du palais et arrivent dans la salle du trône. Le roi y est assis, sur son visage ridé se lit le soulagement et le bonheur mêlés. Il porte une couronne, son autre fille et son fils aîné aussi, ils siègent tous les deux sur des grands tabourets de chaque côté du roi.

Le fils sourit largement tandis que la sœur fait un sourire forcé. Elle reste à sa place, pendant que Kenshin et Aya marchent vers eux. Lorsqu'ils arrivent à une dizaine de mètres du trône, n'en pouvant plus, le prince se lève brutalement et courre vers Aya.

Il la serre dans ses bras et chuchote à son oreille "Tu m'as manqué, ptite sœur !" Elle lui répond que lui-aussi même si elle ne s'est enfui que la veille. Ils rient. "Ils ont l'air heureux" constate Kenshin pour lui-même. Il jette un coup d'œil à l'autre princesse, elle les regarde avec dégoût et envie.

Lâchant son frère, Aya se tourne vers son père, la tête baissée, prête à recevoir la punition. Mais celui-ci est si heureux qu'il ne parvient qu'à lui sourire et à la prendre à son tour dans ses bras. Etonnée, elle lui demande :

« Mais, Père, je ne suis pas puni ? »

« Pas aujourd'hui, mais ça viendra, ne t'inquiètes pas ! »

« Oh..., dit-elle avec une mine déçue »

« J'ai cru que tu ne reviendrais jamais ! Tu t'es enfin décidée à accepter ton mariage ? »

« Bien sûr que non ! Je serai déjà loin si ce samouraï ne m'avait pas ramené ! »

« Eh bien, je lui en suis très reconnaissant. Comment s'appelle-t-il ? »

« Il s'appelle Kenshin. Il m'a sauvé aussi, parce qu'hier soir, des voleurs m'ont entourée, ils voulaient mon argent. »

Une lueur indescriptible passe dans les yeux du roi. "Pas de doute, se dit Kenshin, il m'a reconnu." Mais le roi ne dit rien, il se contente de le regarder avec suspicion.

« Bon, je vais lui parler en privé. Toi, vas te changer pour ton futur mariage, il commence dans 2 heures. Allez, dépêche-toi ! »

Elle sort de la pièce en grommelant, les servantes derrière elle. Le roi invite le samouraï à aller dans son salon particulier. Kenshin s'avance, c'est un salon de taille moyenne, bien isolé. De toute évidence, personne ne pourra entendre leur conversation.