Histoire publier le : 5/08/2012
Réécriture officielle commencer le : 06/02/2017
Réécriture terminer le :

Katekyo Hitman Reborn! et tous ses personnages appartiennent à Amano Akira. Cette œuvre est une fanfiction et donc ne suit pas l'histoire originale.


Wish n°0 (édité)

C'était une nuit d'Hiver en Décembre. Le ciel était rempli d'étoiles plus brillantes les une que les autres et quelques fois, une légère brise de se faisait sentir tandis que les criquets chantaient doucement. Dans un certain manoir -où l'on pouvait apercevoir que des pièces étaient encore éclairés, un majordome sortit de la grande demeure et s'arrêta une fois arrivé devant un grand portail en fer forgé qui délimitait l'entrée de la grande propriété.
Quelques minutes après, ce qui s'approche d'un carrosse avec des chevaux noirs qui le poussent apparut et se stoppa devant le dit portail. Le majordome, qui n'avait toujours pas bougé depuis son arrivé devant la grande porte de métal, attendu qu'un garde ouvre la porte avant de se précipiter vers la carrosse. Il attendit

Le carrosse était assez grand pour que sept personnes soient confortables à l'intérieur. Les deux roux arrières étaient plus grandes que celles près du cocher et de l'homme qui était assit près de lui. Les chevaux ne firent aucun bruit, ils étaient calmes mais pourtant si un paysan passait à ce moment-là, il croirait que c'était des messagers de la mort.
L'homme qui était assit près du cocher descendit de la banquette et s'approcha de la longue portière. Malgré le fait qu'il y avait des glaces permettant les gens de voir qui était à l'intérieur et à l'inverse, les glasses avaient des rideaux empêchant les regards indiscrets. En voyant ce mouvement, le majordome s'approcha lui aussi avant de se courber pour s'adresser avec respect à la personne que la portière une fois ouverte dévoila.

« Bienvenu Maître, la réunion s'est-elle dérouler correctement ? » Demanda le majordome.
Un jeune homme blond aux cheveux hérissés sortit du carrosee et répondit au majordome avec un sourire :
« S'il vous plaît, appelez-moi Giotto. Et pour vous répondre, elle s'est assez bien déroulée, même s'il y a eu quelques désagréments par moments. »

L'homme connu donc sous le nom de Giotto, fit une grimace se voulant discrète en finissant sa phrase, ce qui fit rire le majordome. Ce dernier ayant vu la légère déformation -plus que comique, qui était apparue un bref instant sur le visage de l'un de ses maîtres.
Sitôt après, six autres hommes sortirent à leur tourse. Certains arboraient la même grimace que Giotto avait eut, mais en beaucoup moins discrète, d'autres riaient simplement alors que les derniers gardaient leurs visages neutre.

Lorsque les huit hommes étaient à l'extérieur, Giotto fit signe au cocher pour le donner la permission de partir. Sans une plainte, les chevaux galopèrent vers là où le cocher donner direction. Le garde qui était avec eux se courba avant de se remettre droit dans ses gardes.

« Maîtres, le dîner sera bientôt servi. » le jeune majordome baissa légèrement la tête en guise de salut et se remit aussitôt dans sa position initiale, c'est à dire droit comme un piquet.
« Merci Henrique. Vous pouvez allez vous reposer.» L'homme blond offrit un sourire mais le majordome secoua la tête.
« Non merci, Maître. Je ne suis pas fatigué, de plus ceci est mon devoir. Sur ce, je suis désolé mais il me reste du travaille, aussi dois-je prendre congé » Et sur ces paroles, il repartit.
Giotto soupira avant de donner signe au garde qui les accompagnait qu'il pouvait partir. Le garde fit un salut avant de se diriger vers là où les hommes de gardes se reposent. Puis il se tourna vers l'homme qui se tenait à sa droite. Il était grand, des cheveux rouges clairs tombaient au niveau du menton encadrant son visage et avait des yeux d'un ton plus foncer.

« Dis-moi G, y aurait-il un jour -ne serait-ce qu'une seule fois, où nous serons pas appeler 'maître' ? »
« Pour tout te dire Primo, je ne crois pas. » Cette réponse fit soupirer le blond.

Les sept hommes marchèrent alors jusqu'à la demeure, profitant de ce moment de paix pour remettre les idées en places. La réunion fût épuisante, Giotto étant présent comme un médiateur entre les familles qui étaient présentes. Pour empêcher des morts inutiles, l'un des parrains l'invita en informant que un grand nombre des Famiglie présentes avaient été d'accord pour.
Suite à cette invitation, l'homme aux cheveux blond en avait profitait pour former d'autres alliances avec différentes Famiglie. Ce pourquoi la présence de ses hommes fût importante.

« Ma-ma, et si on allait se reposer ? » Intervint une voix calme. Giotto tourna sa tête vers sa gauche, où se tenait un japonais qui le regardait un sourire serein. C'était un homme grand -un peu plus que G, aux cheveux noir et yeux d'une couleur identique.

« C'est une excellente idée Asari. » Approuva Giotto.

L'intérieur du manoir avait des murs beiges. La lumière de l'intérieur provenait principalement du soleil pendant le jour grâce au fenêtres, la nuit des cierges étaient allumés. Un tapis de couleur bordeaux commençait dans les escaliers et se terminer à la porte, créant une cascade de couleur sang si ce n'était pas pour un emblème en couleur or et bleu marin.
Après avoir pris les premiers escaliers, ceux-là ce divisaient en deux. Les hommes prirent les escaliers à leurs gauches avant d'entrer dans un long couloir.
Avant de se séparé de ses compagnons, Giotto leur souhaita une bonne sieste avant d'entrer dans sa propre chambre. Une fois entrer il enleva sa majestueuse cape qu'il posa sur une chaise.

La chambre était grande et sombre. La seule source de lumière provenant de quelques bougies placés dans la pièce. Le sol en pierre était couvert de tapisseries tout comme les murs. Si ce n'était pas un tapis avec une image qui racontait une certaine histoire, alors c'était des tableaux de la mer et de ses bateaux. En rentrant, à sa droite se trouvait la baignoire et plusieurs linges blancs pour se laver. Pour privatiser, des rideaux étaient installer pour cacher cette partie. Quelque chose pris part la culture asiatique qui plût l'homme aux cheveux blonds.
Vers le centre de la chambre, un lit pour six personnes s'y retrouver. A la gauche, un feu fût préparer pour chauffer la pièce.

Giotto se coucha sur son lit, fermant les yeux et prenant des grandes inspirations. Il savait bien que ce n'était pas la peine de s'endormir étant donné qu'il allait être réveiller après. Sa paix fût de courte durée, comme il l'avait prédit. Des bruits d'explosions et des injures se firent entendre dans les couloirs -et probablement dans toute la demeure. Il soupira d'exaspération à ces événements bien trop habituels pour son plaisir, puis émit un grognement à la réalisation qu'une paperasse allait être demandée.
"Est-ce possible de produire un objet indestructible ?" Songeait-il, passant une main sur son visage.

L'homme poussa un soupire lorsque quelqu'un toqua à sa porte. Une fois qu'il donna la permission d'entrer, une femme de ménage ouvra la porte, mais ne fit pas un pas à l'intérieur. La femme lui annonça que le dîner était servit, après une hésitation elle demanda si le maître voulait manger dans sa chambre. Mais Giotto la remercia et lui dit qu'il allait descendre, suite à cela la femme se courba avant de fermer la porte derrière quand elle partit vers sa prochaine destination.
Probablement à la recherche pour remplacer ce qui a été détruit.

Giotto réajusta ses habit, repris sa cape qu'il accrocha à ses épaules. Prenant une profonde inspiration il ouvrit la porte, priant que rien de coûteux a était endommager.

L'ambiance fût l'habituel dans la salle à dîner. Des illusions de mort vivants par-ici ou par-là; des adultes qui crient et s'insultent; un brocoli qui s'envole vers une autre assiette; des menaces... Giotto se demandait juste comment il n'avait pas une migraine. Un vase a été casser; deux tableaux antiques brûler; un pied manquait à une table. Tout cela seulement parce qu'il est entrer avant qu'ils aient le temps de créer plus de... désastre.

Maintenant Giotto était dans le jardin profitant la paix qui régnait enfin le manoir. La brise de vent emmenait avec elle une odeur de nature,celle de terre et herbe humide par le froid. Les étoiles scintillaient le ciel, le seul moment où leurs lumières pouvaient être apprécié.
Il sentit deux présences derrière lui, tournant la tête il vit deux de ses inséparables amis. Il sourit aux souvenirs des aventures qu'il eut avec G et Asari pour créer la Vongola. Un groupe d'autodéfense au départ, pour protégé ceux qui avaient besoin, mais dût devenir un groupe de mafia. L'objectif principal néanmoins resta le même. Mais hélas, un jour ou l'autre il devra choisir un successeur et là était tout le problème : il ne pouvait pas avoir d'enfant. Pourquoi ?
Tout simplement parce qu'il n'avait pas de femme et ne voulait pas entraîner une personne innocente dans un monde tel qui est celui de la mafia. Malgré combien il aimait cette personne. D'ailleurs, rien ne pouvait dire qu'elle l'aimerait sincèrement, dans ce monde toute action a une raison et beaucoup d'entre elles ne sont pas innocente.
Une femme d'aujourd'hui pouvait demain planifier de le tuer. Ou de le tromper pour une autre Famiglia.

Giotto fronça des sourcils à cette pensée, ce n'était pas ce qu'un homme de son âge devait se préoccuper. Et pourtant, le voici. Il poussa un lourd soupire pour l'énième fois de cette journée qui fût longue et stressante.
Entendant ce soupire G et Asari se regardèrent, l'inquiétude pouvant être lue sur leurs visages.

« Giotto, y a-t-il un problème ? » Demanda Asari.
« Tu peux tout nous dire, Primo. » Rajouta G.
Giotto se tourna pour les voir avant de soupirer à nouveau et tourner son attention à nouveau vers le ciel étoilé.
« C'est juste que... Je suis préoccupé par l'avenir des Vongola et puis... »

Surpris par cette déclaration venant d'un homme qui à l'air d'être sûr de lui-même, ses amis ne savaient pas par où commencer. Pour eux, la Vongola n'avait pas à se préoccupée de son avenir. Il y aura certainement quelques difficultés, cela c'était certain, mais la Vie ne faisais pas d'exceptions à ses enfants.

« Comment peux-tu être préoccupé par l'avenir des Vongola ? Nous sommes assez forts pour protéger plusieurs villes, sans oublier que personne n'essaye de créer une guerre... tout du moins ici. » G était assez fier en disant ces paroles et Asari avait retrouvé son sourire.
« Voyant G. Laisse au moins Giotto continuer de parler. » G soupira et laissa la parole à Giotto qui lui, observait toujours les étoiles.
« Désolé... » S'excusa G, regardant ailleurs dût à l'embarras.
« Je veux un fils. » Dit-t-il d'une voix qui sonnait triste et fatiguée. Mélancolique.

Le silence de ses amis lui était une réponse suffisante pour ce qu'ils pensaient. Giotto n'était pas surpris de cette réaction, il s'y attendait.

Il est un homme sincère et honnête, ce pourquoi il ne cacha pas ce désir. C'était quelque chose qu'il voulut depuis bien longtemps, le fait qu'il est né orphelin a très probablement intensifier ce vœux. Celui d'avoir un enfant, de fonder une famille. Lorsqu'il allait à la ville, il voyait des couples et des familles, créant en lui un... trou. Ou bien ce trou a toujours exister et, maintenant qu'il est en âge, ce trou ce fait ressentir.
Adolescent, peut-être lui, G et son autre ami Simon, ont parler d'un futur avec une femme et des enfants. Mais mise à part ces moments, il n'a jamais montré qu'il voulait une famille. Une autre raison étant qu'il était bien trop occuper à fonder son groupe d'autodéfense.

Giotto finit par se retourner et regarda ses deux amis qui étaient désormais les deux seuls à connaître son vœux le plus cher.

Ils étaient choqués ? Non, pas tout à fait. Surpris ? Plutôt.

C'est un mélange de plusieurs de ces sentiments qui pouvait être lu dans leurs yeux. Giotto soupira encore une fois et s'exclama avec une moue adorable, décidant de taquiner un peu.
« C'est assez sympa de votre part d'être comme ça ! ». Celle-ci aussitôt remplacé par un visage d'enfant quand il reçut une frappe derrière la tête, cadeau de la part de G. Asari quant à lui, se mit à rire.
« Vous aviez l'air assez sincère en disant cela ! » Giotto regarda Asari, reprenant son sérieux.

« C'est parce que je le suis. » Puis il se retourna pour fixer de nouveau les étoiles. « Je veux sincèrement avoir un fils. »


Quelque part ailleurs, un petit enfant pleurait en regardant deux corps inanimés gisants au sol. Il été baignait dans leur sang et avait vu ces personnes se faire tuer sous ses yeux en voulant le protéger. Il sanglota longtemps en regardant les corps. Une femme aux long cheveux bruns, des yeux de biches sans émotions. La lumière de joie qui scintillaient d'habitude, morte. Un homme aux cheveux blonds sale était pas très loin, ses lèvres qui normalement était étiré en un sourire, était ouvert dans un cris.

C'est personnes étaient ses parents.

Des grands yeux bruns larmoyants, reçut de sa mère, observaient le ciel étoilé. Se demandent pourquoi les étoiles avaient l'air si heureuses, loin du massacre qui eut lieu.
« Je ne veux pas être seul... » Avoua-t-il, d'une voix faible et remplie de désespoirs. Tremblante par la peur. Il ouvrit la bouche pour dire plus mais des bruits de tirs l'interrompirent. Il se releva avec du mal avant de se retourner et se mettre à courir. C'était les derniers mots de son père qu'il a reçut après tout.
Court et ne t'arrêtes pas, continue à vivre.
Il avait peu d'espoir de réussir à semer les hommes en noir qui le pourchassait, mais il courut.

C'était la seule chose qu'il pouvait faire après tout.


N/A : J'apprécierai que, si vous voyez des fautes, vous me les localiser au lieu de juste dire: "Tu fais des fautes horribles." Je suis humaine et une seule, malgré des relectures il y a des très fortes chances je ne verrais pas le problème. De plus, cette histoire a était écrite dans ma deuxième années en France. (donc 5ème) Il faut avouer que c'est sûr que le niveau de français n'est pas très élevé. (Surtout si c'est une deuxième année et on parle trois langues.)