Salut tout le monde! J'ai décidé de poster le premier chapitre de ma nouvelle fic pour voir ce que vous en pensez.

Je reprends le thème classique ou Harry est maltraité par sa famille et où Snape viens le sauver, mais bon je sais que comme moi, beaucoup aiment ce genre de fic alors...

Je vous préviens tout de suite que le début est assez dur donc âmes sensibles passez votre chemin!Dans le premier chapitre, il y a présence d'un viol, je n'ai pas décris la scène en détail, rassurez vous mais:

"le programme qui va suivre peut heurter la sensibilité des plus jeunes!"

L'ambiance des premiers chapitres sera sombre, montrant la difficile remontée à la surface d'un enfant abusé par sa famille. Si vous trouvez que j'insiste trop sur certains aspects de la "remise en forme" d'Harry, essayez de vous immaginer à la place d'un gamin de cet âge das une telle situation et vous verrez qu'il n'y a rien de trop!

En tout cas, laissez une petite review, merci!

PS: je pense poster environ un chapitre par semaine normalement.


PREMIERE PARTIE :

Chapitre 1:

Deux semaines cher les Dursley

Cela faisait deux semaines qu'Harry était rentré de Poudlard. Dès qu'il avait aperçu le visage de son oncle à la gare, Harry avait su que l'été serait difficile, que son oncle allait lui faire payer d'être parti dans cette école de fou avec cet homme immense, mais à ce point là, il n'aurait jamais deviné.

Dursley l'avait enfermé dans sa chambre dès son arrivée. Certes cette année il ne dormait pas dans un placard mais la pièce ressemblait plus à une cellule de prison qu'à une chambre d'adolescent; des barreaux à la fenêtre, un lit avec un vieux matelas troué et une couverture déchirée, une armoire bancale, un pot de chambre et une trappe en bas de la porte pour laisser passer de la nourriture. Il avait était autorisé à garder sa chouette mais comme il était enfermé, elle ne pouvait pas sortir. Le seul avantage c'est qu'il ne devait plus faire ses corvées.

Les deux premiers jours se passèrent sans incidents. Sa tante étant absente jusque fin juillet (elle était en voyage avec une amie), son oncle lui passait un maigre repas deux fois par jours et le laissait sortir le matin pour aller à la salle de bain et vider son pot de chambre. C'est le troisième soir que tout bascula.

Vernon était rentré ivre d'un rendez-vous d'affaire qui avait mal tourné et c'est sur Harry qu'était tombée toute sa fureur. Il était entré dans la chambre de son neveu vers minuit, le traitant tout d'abord de raté, de bon à rien, puis les coups avaient commencé à pleuvoir: coups de pieds, coups de poings, coups de ceinture…. Puis Vernon avait dit que comme il devait le nourrir et le loger, il allait se rembourser en lui faisant faire la seule chose dont il était capable. Il lui avait alors retiré le pyjama et l'avait bâillonné avec son T-shirt avant de libérer son sexe de ses propres vêtements. Il s'était ensuite assit sur le ventre d'Harry qui se débattait autant que lui permettaient ses blessures et s'était masturbé avant d'écarter les jambes du jeune garçon et de le pénétrer violemment.

Pour Harry, cela sembla durer des heures. Il sentait son oncle bouger en lui et un liquide chaud s'écouler entre ses jambes. Il avait l'impression d'être déchiré en deux. La douleur était telle qu'il fini par tomber dans l'inconscience.

Depuis ce fameux soir, le même rituel se répétait, parfois plusieurs fois dans la même journée. De temps en temps, Dudley se joignait à son père qui voulait lui apprendre comment traiter les gens anormaux. Dans ces occasions, il obligeait Harry à le sucer, le tenant par les cheveux pour s'enfoncer plus profondément dans sa bouche, pendant que son père le besognait sauvagement avant de recommencer à le battre.

C'est pourquoi, après deux semaines de ce traitement, le corps d'Harry était méconnaissable. Il était couvert d'ecchymoses et de sang séché et ne pouvait presque plus bouger. Il ne sentait plus son bras gauche et avait sans aucun doute quelques fractures. Malgré cela, il continuait de résister, bien que de plus en plus faiblement à son oncle, refusant de lui servir d'objet sexuel à lui et à son énorme cousin.

Un soir, vers mi-juillet, M Dursley avait emmené son fils au restaurant et ils étaient rentrés quelque peu éméchés. En arrivant, ils s'étaient rendus comme d'habitude dans la chambre d'Harry 's'amuser un peu' avant de dormir. Ils étaient tellement occupés qu'ils ne virent pas Hedwige passer par la porte de la chambre qu'ils avaient oublié de fermer et s'envoler par une fenêtre du rez-de-chaussée.

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La chouette arriva à Poudlard le lendemain directement dans la grande salle mais ne trouvant personne, elle commença à voler dans les couloirs à la recherche de quelqu'un pouvant aider son maître. En passant près des appartements du professeur de potion, elle sentit une présence et commença à hululer en donnant des coups de bec au portrait gardant l'entrée, ce qui alerta l'occupant des lieux.

Snape ouvrit la porte pour voir qu'est ce qui pouvait faire un tel boucan et vit une chouette fondre sur lui: une chouette blanche à taches rouges sombres…… taches rouges?

- « Mais qu'est ce que… » Puis il examina plus attentivement le volatile.

# Mais c'est la chouette de Potter! Qu'a encore fait ce stupide gamin? #

C'est à ce moment qu'il comprit que le sang qui recouvrait la chouette qui continuait à voler autour de lui en piaillant n'appartenait pas au volatile mais à quelqu'un d'autre.

Snape blêmi légèrement: est ce que le garçon avait était attaqué par des mangemorts voulant venger leur maître? Pourtant les alarmes anti-intrusion posées sur la maison de sa famille et qui étaient reliées directement sur l'école n'avaient pas sonné…. Alors quoi? Il avait bien du se passer quelque chose pour que l'animal revienne vers Poudlard, surtout dans cet état. Étant le seul dans le château à l'heure actuelle les autres professeurs étaient déjà rentrés chez eux, d'ailleurs lui-même était sur le point de partir, et le directeur était en réunion au Ministère il devait aller vérifier comment allait Potter lui-même. Rageant contre cet imbécile incapable de rester loin du danger, il prit ses bagages #au moins je n'aurais pas à repasser par l'école# qu'il réduit pour les mettre dans sa poche et partit vers Pré-au-Lard, la chouette sur l'épaule afin de transplaner chez le stupide morveux. (Ayant participé à l'installation des barrières de sécurité, aucune alarme de se déclancherait)

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Le professeur atterrit directement dans un salon d'apparence ordinaire: un canapé, une cheminée et une de ces boîtes où les moldus regardent des images défiler. Il fut soudain alerté par des bruits venant de l'étage. Cela ressemblait à des halètements et des cris étouffés. Saisissant sa baguette, il se dirigea à grands pas vers les escaliers qu'il monta le plus silencieusement possible.

Les bruits venaient de la première porte à sa gauche. Il ouvrit doucement et se figea devant le spectacle qu'il avait sous les yeux: un moldu dont les proportions étaient proches d'un cachalot était en train de pénétrer brutalement le corps ensanglanté d'un enfant aux cheveux en bataille étendu sur le sol tandis qu'un autre garçon, ressemblant fortement à l'homme les observait en sirotant un verre de jus de fruit, une main plongée dans son caleçon, attendant apparemment son tour.

Snape brandit sa baguette et stupéfixa le plus jeune. Le père voyant son fils tomber se releva avant de se tourner vers l'intrus, le visage figé de haine et de colère.

- « Vous êtes un de ces monstres n'est ce pas? Sortez! Sortez immédiatement de chez moi! Vous n'avez rien à faire ici! Je dois déjà supporter cette vermine… » Éructa t'il en désignant sa victime.

En ayant suffisamment entendu et écoeuré par les propos de cet être immonde, Snape lui lança le même sort qu'à son fils avant de s'approcher doucement de l'enfant prostré au sol complètement nu.

- « Potter? » demanda t-il le plus doucement possible

- « Non…. Pitié oncle Vernon…. Arrête…. Non…. » Gémit la frêle silhouette en essayant de s'éloigner le plus possible, en cachant son corps de ses bras frêles.

- « Calmer-vous Potter! Il ne vous touchera plus! »

Le voyant toujours aussi paniqué et réalisant que le garçon ne l'avait pas reconnu, il poursuivit:

- « C'est le professeur Snape, Potter, vous n'avez rien à craindre. Je vais vous emmener à Poud… »

- « Non, je v-vous en prie! »

- « Il faut vous soigner Potter! Je dois vous emmener en sécurité! »

- « pas…pas…là-bas…..s'il v…plait…per-so-nne…voir…ça » expliqua t'il difficilement avant de s'évanouir.

- « Potter? Potter? … Harry? » Demanda Sévérus en le secouant légèrement.

N'obtenant aucune réponse, il prit le plus délicatement possible le petit corps meurtri dans ses bras avant de lancer un sortilège d'amnésie aux deux moldus pour qu'ils ne se rappellent pas que quelqu'un était venu et un sortilège d'illusion pour leur faire croire qu'Harry était toujours là, avant de transplaner chez lui.

A suivre...