Bonjouur, étant une grande fan d'assassin's creed et tout particulièrement d'ezio ;) j'ai décidé d'écrire une fanfiction car j'ai été assez triste de voir qu'en français il n'y en avait pas beaucoup alors j'espers que vous allez aimer, l'univers Assassin's creed me m'appartient bien évidement pas ainsi que les personnages sauf quelques uns, je vous demande de m'excusez pour les fautes que je peux faire, j'essaye de faire du mieux que je peux pour les corrigées, sur ce, Bonne lecture ;) ( Tout ce passe durant Assassin's creed Brotherhood)
Rien n'est vrai, tout est permis
Chapitre 1 : Le début d'une histoire
Peur. Si je devais résumer une grande partie de ma vie avec un mot, c'est avec ce mot que je le ferais. Ne vous méprenez pas, cela ne veut pas dire que j'ai vécu toute ma vie dans la peur, oh non ! Ma vie a été calme et tranquille jusqu'à ce que je décide de m'en aller avec mon frère pour découvrir le monde et abandonnée de notre petite vie de noble égoïste. Si seulement j'avais su...
Ainsi commence mon histoire, l'histoire d'une assassin, enfin, non pas vraiment à ce moment de l'histoire je ne le l'étais pas. Olimpia Orsini da Firenze, c'est ainsi que mes parents m'avaient nommée il y avait 25 ans de cela. Née dans une famille noble, je n'avais jamais manqué de rien, mise à part le manque d'attention de mes parents, mais je ne pouvais pas leur en vouloir, ils nous aimaient mais leur amour était plus fort.
J'étais donc partie alors un matin sur les traces de mes grands parents et surtout loin de cette vie qui m'ennuyait, bien que j'aimais beaucoup ma famille mais j'avais la conviction de ne pas être à ma place qu'une autre vie m'attendait ailleurs et ne demandait qu'à être vécue, ce qui me m'envoya a Rome, capitale de l'Italie et surtout le lieu de vie depuis quelque temps d'Ezio Auditore da Firenze...
Après de longues journées à cheval, je fus enfin arrivée dans la capitale du pays, et quelques minutes après mon arrivée dans la ville, j'entendis les portes par lesquelles je venais d'entrer se fermée, si je voulais partir désormais il fallait attendre le matin. Epuisée par toute cette route que j'avais parcourue, je ne perdis pas de temps pour essayer de trouver une auberge pour la nuit.
Cependant après plusieurs dizaines de minutes, je n'essuyai que des cuisants échecs… Je descendis de cheval et me mit à déambuler dans les rues de Rome comme une âme en peine et me retrouvant vite perdue dans un endroit isolé et silencieux, un peu trop même.
Habituée du silence, cette fois ci, le silence était pesant et ne prédisait rien de bon. Mais j'étais si fatiguée, que je restai dans cet endroit, adossée à un mur, les yeux fermés et seule. La proie parfaite pour n'importe quel voleur, pervers ou je ne sais quoi d'autre. Je me laissai alors glisser contre le mur et m'assis par terre avant de tomber dans les bras de Morphée.
J'ouvris lentement les yeux quand je sentis quelque chose sur ma gorge, c'était froid alors je touchai avec une de mes mains et écarquillai les yeux avec effroi quand ma main glissa et se trouva couper. Je compris alors que ce quelque chose de froid, n'était d'autre qu'une épée. Je fus alors soulevée et plaquée contre le mur.
« -Ce n'est pas très recommandé pour une jeune femme d'être seule tard la nuit...
-Que me voulez-vous ? »
L'individu ce mit à rire, il était sans aucun doute soûl et ses intentions à mon regard étaient claires comme de l'eau de l'eau de roche. Je le laissai rire en restant silencieuse et posai la main sur ma ceinture avant de me rendre compte que mon épée n'y était plus, que le fourreau de celle ci était vide. Et cela me fit que plus rire l'inconnu qui remarqua que je cherchai mon épée.
« -Mi scusi, je ne pouvais vous laisser avec cela, c'était dangereux voyons ! »
Un soupire de frustration passa entre mes lèvres pour ensuite laisser place au silence. Ce moment parut une éternité tandis que la personne qui était en face de moi et que je ne pouvais voir à cause de l'obscurité, me regardait et m'examinait. Sentant que la lame qui était contre ma gorge se retirer lentement, je pris une inspiration avant de donner un coup de genou entre les jambes de l'homme qui cria de douleur en tomba au sol et me laissant ainsi partir en courant.
« -Puttana! »
Sans perdre une minute, il se releva et se lança à ma poursuite. J'avais beau courir vite, je regardai plusieurs fois derrière moi pour être sure qu'il ne me rattrape pas à force je ne fis pas attention à ce qui se passait devant moi et trébucha pour ensuite finir ma course au sol. Et l'homme en profita pour me rattraper et m'attrapa le bras pour me forcer à me lever avant de me gifler et m'ouvrir la lèvre me laissant crier de douleur tandis qu'il continuait de me frapper.
-CREVE PUTTANA!
Mon heure allait sans aucun doute venir quand je le vis prendre l'épée qu'il avait tout à l'heure. Je fermai les yeux pour ne rien voir et après quelques secondes sans que rien ne se passe, je les rouvris et vis l'homme avec un filet de sang qui coulait au coin de sa bouche avant qu'il ne s'effondre au sol dévoilant derrière lui quelqu'un qui portait une tenue principalement blanche doté d'une capuche assez grande pour dissimuler son visage
« -Requiescat in pace... »
Ce fut la dernière chose que j'entendis avant de sombrer dans l'inconscience...
