Hello chers -futurs- lecteurs. Voilà, je me lance sur une nouvelle Fanfiction basée sur Bleach. En fait, j'ai toujours des idées pour des fictions, mais je ne les ai jamais publié. Je le fais au fur et à mesure que ... Je trouve le courage de les poster xD

Bon, je vous dis ça toute de suite, je ne sais pas du tout ou cette fic va aboutir. J'ai toute l'idée, mais pas la fin ...

Enfin, j'espère que ça vous plaira. Même un tout petit peu ^^'

Bonne lecture !

Oh et , une review fait toujours plaisir :)

Disclaimer : Tous les personnages et l'univers de Bleach sont à Tite Kubo. Sauf d'autres qui ne lui appartiennent pas. (logique)


Prologue : Le passé revient toujours nous hanter quand on en a vraiment pas besoin de lui.


Qu'ils choisissent de m'enfermer dans une cellule, je comprenais. Qu'ils m'interrogent sur cette soi-disant Mort, je l'acceptais. Qu'ils me soupçonnent d'avoir une quelconque relation dans cette affaire, était pour moi quelque chose de normale. Et malgré le fait que tous ces procédés me faisaient atrocement mal au cœur, je jouais la fille qui s'en fichait éperdument, acceptant toutes leurs tentatives afin de nuire à ma réputation. Au fond, j'en avais réellement marre, même si je m'efforçais de garder la tête haute, et d'enfouir le tout en moi.

Mais quand il était venu me voir - alors que je clôturais les derniers détails de quelques rapports- , un sourire mesquin collé aux lèvres, m'exposant les réels faits de tout ce manège, mon cœur avait bondi de sa cage thoracique. Ma bouche s'était ouverte en grand. A un moment donné, j'avais carrément oublié comment respirer.

Il m'avait expliqué, sans trop détaillé puisque je n'avais plus de temps à perdre, ce qu'ils projetaient de faire de moi. Je n'en croyais pas mes oreilles. Et pourtant, Il disait vrai. Il ne m'avait jamais menti, et puis son Lieutenant était mon meilleur ami, il n'aurait certainement pas laissé une chose pareille se produire.
Il fallait agir. Et vite.
Cette nuit-là, j'avais réuni tous mes effets personnels, dont j'allais avoir besoin à l'avenir. J'avais troqué mon haori blanc de Capitaine, pour une tenue d'un simple soldat Shinigami, et empochais la dernière chose précieuse que je possédais. Un bracelet en argent. Un cadeau.

Il m'avait ensuite conduite aux portes Ouest du Seireitei, avec toute la discrétion qu'il fallait faire preuve. Il m'avait donné quelques instructions, comme quoi il fallait faire attention au Nettoyeur Kouryu. Bien sûr, ça je le savais. Et c'est après une énième recommandation, et un bref au revoir, qu'il repartit vers son bureau.
La capuche de la cape noire rabattue sur la tête, main agrippant la garde de mon Zanpakuto, j'avais filé, frugalement, en plusieurs shunpos. Je ne laissais rien derrière moi. A part quelques personnes. Je n'avais pas eu le courage de faire des adieux corrects. Je n'étais même pas passée rendre visite à mon meilleur ami. Ni à mes autres amis. J'avais fui comme une lâche, une trouillarde ayant peur de la mort. Non, je ne voulais pas mourir. Pas que j'avais peur de la mort, techniquement parlant, mais j'avais promis à une certaine personne, de rester vivante quoiqu'il puisse arriver. Je ne voulais pas mourir parce que quelques personnes l'avaient décidé, certainement pas. Si je devais mourir, alors cela serait certainement pendant un combat. Ou en sauvant quelqu'un. Je ne voulais pas mourir de cette façon, je n'en avais pas le droit, et je n'avais pas le droit de la trahir. C'est pourquoi ... J'avais déguerpi aussi rapidement que mes shunpos me le permettaient, réduisant mon reiatsu jusqu'à ne plus le ressentir.
J'avais atterri ensuite dans la soixante dix-neuvième zone du Rukongai. Un endroit totalement vide, puisque j'allais ouvrir un Dangai, grâce à la clef qui me le permettait. Ce que je fis avec hâte.

Je ne sentais aucun reiatsu dans les parages, et pourtant, à ce moment, je me sentais observée. Et même si je m'étais concentrée pour voir si, réellement, quelqu'un me jaugeais, le néant me répondait.

J'avais donc décidé de laisser tomber cette soudaine paranoïa.

Une dernière excuse pensée aux personnes auxquelles je n'avais pas pu saluer une dernière fois, et mon corps traversa le Dangai.

» Vraiment, je ne sais pas pourquoi vous m'avez fait endurer tous ces supplices ... Vraiment, je n'en sais rien du tout. J'aurais voulu avoir une réponse, mais rester à la Soul Society, c'était comme signer mon arrêt de mort.

Pourtant, je n'avais rien à voir avec sa Mort.

Hisana ... De là où tu es, me pardonneras-tu ?

Même si en réalité, je n'ai rien fait ...


So ... ?

Toutes les critiques sont acceptées, à la condition qu'elles soient constructives.

Bisou, Nami.