De : Snapou Black

Disclam' : Rien n'est à moi, même si je ne dirait pas non pour un p'tit bout. Enfin si, par la suite il y aura mon très cher James Paterson (que vous avez dû voir dans "Theodore Nott") et mon unique Andrew Scott (que vous verrez prochainement -maintenant- dans "Andrew Scott" ... c'est fou ce que mes "longues" fics ont des noms qui ne laissent aucun doute quand au personnage principal)

Perso principal : Théodore Nott (Nooon pas possible :o) et Zacharias Smith

Résumé : «Sais-tu quelle est la plus grande différence entre toi et moi, Smith ? Toi tu es un être faible, avec une morale de bas étage. » « Parce que tu as une morale, toi ? » « Moi j'ai compris qu'une vie quelconque n'est pas plus importante que la mienne. Je préfère vivre dix minutes de plus et tuer dix innocents que mourir. » « Tu es un monstre. » « Et toi un idiot ».

Titre : A comme Association et comme Abruti (Titre provisoire, faute de mieux … "A comme Association" un livre à lire :B )

Chapitre : Chapitre 01

Année en cours: Fin de Poudlard

Divers : Donc le titre est provisoire (comme souvent avec moi) je m'essaie à un nouveau Theodore (inspirée par la Patate) si vous avez des conseils : ils sont encore plus les bienvenus que de coutume. Au sujet des mises à jour, j'ai déjà une petite avance sur cette fic donc probablement un chapitre par semaine (la rentrée même sans être Hermione : je compte tout de suite commencer à réviser pour mon bac), il en sera sans doute de même pour « L'innocent prisonnier » (Le Serpent Egaré partie 3) et pour Harry Potter 1. Les chapitres sont aussi court que d'habitude…fin une taille « Snapou Black » quoi

Review anonyme : Réponse … je ne sais pas où je recommencerais peut être un Kazeo (n'ayant rien trouvé de mieux)


- Avada Kedavra.

Un éclair vert. Puis plus rien. Rien d'autre que le bruit d'un corps s'effondrant. Rien d'autre que le cri désespéré d'une femme qui venait de voir périr son époux. Rien d'autre que les sanglots d'une fillette qui venait de voir son père perdre la vie. Rien d'autre que tristesse, peur et mort. Cela faisait déjà pas mal, au final.

Un jeune garçon se tenait debout, droit, juste devant le corps du défunt. Sa baguette toujours levée, il semblait ne rien ressentir. Tous les sentiments de ses généreux hôtes lui étaient inconnus, lui glissaient dessus comme de l'eau. Parce qu'il y avait eu de l'amour dans ce foyer, des rires, des moments de bonheur. Que du vent. Le bonheur ce n'est rien d'autre que du malheur déguisé. Preuve en est.

- Vous l'avez tué ! Hurla la femme en pleure. Vous l'avez tué ! Monstre !

- C'est ce qu'ils disent tous, répondit simplement l'assassin. Comme si je ne le savais pas.

Grand aux cheveux bruns et en bataille. Les yeux verts, mais sombre et sans vie, dirait-on. Tout de noir vêtu et la peau pâle : l'assassin releva la manche de son bras gauche, révélant aux yeux du reste de la famille endeuillée la marque des Ténèbres. La femme eut aussitôt un mouvement de recul, et ramena sa fille vers elle.

Sitôt étaient-ils apparus sur le pas de leur porte, qu'elle avait su à qui elle avait à faire affaire. Néanmoins, en avoir la confirmation : il n'en craignait pas tant. Des trois sorciers, le brun avait été celui qu'elle avait le moins craint, au début. Celui qui avait su la faire douter, la rassurer. Il s'avéra, par la suite, que le jeune homme à l'air le plus innocent, le plus gentil et le plus calme, la "gueule d'ange" de ce trio était en réalité le pire.

- Ce n'était qu'un homme, rappela-t-il très justement. Cessez donc de geindre, relevez vous, dégagez moi ce corps puis... vengez le si vous l'aimiez tellement.

- Il était mon époux depuis près de quinze ans, grinça la veuve, en le foudroyant du regard.

- Et il est mort. Je l'ai tué. Le pleurer ne le ramènera pas. Le pleurer ne fera que vous faire souffrir plus longtemps que nécessaire.

- Comme je vous plains, cracha-t-elle, pleine de haine. Monstre !

- Vous l'avez déjà dit, sourit-il. Vous n'avez rien d'autre en réserve ?

- Nott, appela un de ses complices. T'as fini ? On se barre ?

Ce nom de famille ne semblait pas inconnu aux oreilles de la maîtresse de maison. Elle était presque certain qu'il travaillait au ministère, d'après Tom son mari, au département de la justice magique... si ses souvenirs n'étaient pas erronés. Mais il semblait si jeune. Trop, même, pour avoir pu acquérir un poste à responsabilités au ministère.

- C'est mon père, expliqua Nott. L'imbécile à qui vous pensez est mon père.

- NOTT ! S'impatientaient les autres.

- Oh c'est bon. On peut bien papoter un peu... t'façon dans cinq minutes elles sont crevées.

La femme eut un sanglot sonore et ramena sa fille aussi près d'elle que possible. Elle espérait mourir vite, dès l'instant où Tom avait été tué elle avait voulu mourir. Mais pas aussi vite. Et sa fille. Elle ne pouvait pas... elle n'avait que sept ans. Sous ses airs d'être sans cœur, le brun ne pourrait pas lui ôter la vie, si ?

- Maintenant une question se pose : laquelle... je tue en premier ? Questionna le jeune Nott, tout sourire. Madame Taylor : vous ou votre fille ?

Il n'était tout de même pas en train de lui demander cela. Il ne pouvait pas lui demander cela. Elle ne pourrait jamais choisir, décider. Dans les deux cas, elle ne voyait que des objections. Tandis que la veuve et mère était en pleine réflexion, le jeune Nott avait trouvé le moyen de s'approcher d'eux et de poser sa baguette sur la joue de la petite tête blonde.

- Je compte jusque trois, annonça-t-il, froid. Arrivé à trois : je coupe, j'entaille, j'ouvre et je torture. Je la laisse se vider de son sang en jouant avec son corps et je vous oblige à la regarder souffrir et mourir. A trois. Un. Deux. Tr...

- Attendez ! Hurla-t-elle, pleurant plus que jamais.

Le mangemort la regardait de nouveau, un sourire moqueur accroché aux lèvres. Il accepta de laisser parler le futur cadavre, curieux de connaître la décision de l'inconnue et de faire l'inverse de sa dernière volonté.

C'est pourquoi ce fût la mère et non pas la fille qui périt la première. La petite hurla, pleura, mais ne tenta à aucun moment de fuir. Pour aller où ? Peu importait tant que cela lui sauvait la vie. Mais non : elle préféra rester dos au mur et tremblotante... en regardait son futur bourreau de son regard larmoyant.

- Et bien Kyara, souffla l'assassin. Bon voyage. Avada Kedavra.

Le troisième, et dernier, sortilège de mort de la soirée sortit du bout de bois, éliminant définitivement le dernière membre en vie de la famille Taylor. C'était la fin de cette mission, finie pour ce soir, et il n'y avait donc plus qu'une seule chose à faire pour parfaire le tableau.

Sans une parole à l'égard des deux hommes qui l'accompagnaient, qui n'avaient été que simple spectateurs et étaient restés inactifs toute la journée... il sortit de la maison, la regarda une dernière fois et leva sa baguette.

- Morsmordre.

Un instant plus tard, il n'y avait plus aucun signe de vie dans la maison. Les trois mangemorts étaient partis avant que les voisins ne commencent à débarquer, alertés par la tête de mort dans les airs. Ils savaient ce qu'ils trouveraient, mais entreraient quand même : mieux valait donc ne plus répondre présent.


Il faudra quelques chapitres pour bien planter le décor etc.

Tout avis est bon à prendre :B

A bientôt