Bonjour! Alors voici ma toute première publication de Fanfiction, et je dois dire que c'est un accomplissement fantastique!

Merci mille fois à Seth Sieben et BloodShadow, les deux personnes qui ont généreusement donné leur temps à la correction de mon histoire! (plus amples notes d'auteure à la fin du document...)

***Tous les droits du livre de Hobbit appartiennent à J.R.R. Tolkien***

Le sang coulait, les horreurs se multipliaient les uns après les autres et les cris de douleurs et de terreur résonnaient partout autour de lui. Il était complètement apeuré, ne savait pas où se diriger, quoi faire pour que tout cesse et à la fois, il cherchait désespérément dans le massacre autour de lui ceux qu'il aimait. Il avait le cœur glacé par ce qu'il voyait et rongé par la peur de ce qu'il allait trouver. « Ils sont tous morts, c'est toujours la même fin, le même cauchemar… » Il courait comme un désespéré, criant des noms qu'il ne reconnaissait pas mais qui avait toute la signification du mot sentiment accroché à eux. « Cesse de chercher, ils sont morts… cesse de me torturer… » Il approchait d'un mont remplis de morts, de créatures qu'il ne connaissait pas et qu'à la fois lui était familier et prenant une grande respiration, essuyant son sang et ses larmes, s'avança vers une silhouette sur le sol qui lui était trop familier et…

« NOOOOONNNN! »

William se réveilla en sursaut, le cœur en chamade, les larmes aux yeux et les mains en poings, serrant ses draps trempés de sa sueur. Il respirait très fort et tenta de se calmer le plus rapidement possible. Incapable de se contenir, il laissa un petit cri de désespoir s'effacer dans le silence soudain de sa chambre, et se passa une main moite dans le visage et dans ses cheveux blonds bruns frisés. Sachant qu'il n'allait pas être capable de se rendormir de si tôt il prit son cellulaire, déposé sur le meuble près de son lit et regarda l'heure : 5h23 am. Il roula des yeux. Il ne lui restait qu'une demi-heure pour dormir avant que son alarme sonne. Il s'étendit sur son lit et laissa un soupir amer passer au travers de ses lèvres. Le même cauchemar, la même peine, la même fin. Rien qui ne changeait, rien qui pouvait être alterné même s'il le voulait du plus profond de son cœur. Dans tous les autres rêves qu'il faisait, il était capable de changer les choses, de contrôler ce qui se passait. Mais pas ceux-ci. Fixés dans le temps comme des vieux souvenirs, il n'était pas capable de rien modifier, n'étant qu'un passager derrière le regard d'une personne qu'il ne pouvait pas voir, partageant à chaque fois les mêmes sentiments, la même peine et le même deuil de chaque personne qu'il voyait mourir. Ces rêves avaient débutés il y avait presque cinq ans, lors de la mort de ses parents lorsqu'il avait quinze ans. Il avait assez de vivre le deuil de ceux-ci et soudain, il vivait cette peine au travers de ses rêves. Au début, il croyait que ce n'était que son esprit qui se vidait le cœur mais à la longue, il s'était rendu compte que ce n'était pas le cas. Les rêves passaient un jour ou l'autre vers de nouveaux horizons, cessant pour changer vers autre chose. Mais pas ceux-ci. Ils étaient incessants, à intervalle irrégulier, finissant toujours dans la même tragédie, laissant un gout amer dans sa bouche et avec le sentiment d'impuissance si puissant que parfois, il était incapable de faire autrement que de rester figé dans son lit, en petite boule, à pleurer jusqu'à ce qu'il n'ait plus de larmes.

Il prit connaissance que ses pieds étaient un peu trop chauds et se décida de se lever une fois pour toute. Il traversa la porte de sa chambre pour se diriger dans son salon et aller ouvrir ses rideaux afin de voir le lever du soleil. Cela faisait deux mois qu'il avait aménagé dans son nouveau condo, ayant quitté la maison de son oncle pour enfin avoir de l'intimité tant désiré. Le condo était relativement moderne, étant le premier résidant depuis sa construction. Aménagé à même une ancienne église en pierre grise en plein milieu du centre-ville, il avait la chance d'être au dernier étage et d'avoir une partie de l'immense grenier qui avait été séparé en deux. Il avait aménagé une grande pièce qui lui servait de bureau et de bibliothèque à la fois, rempli de notes, poèmes, cartes et de dessins qu'il avait fait dans ses nuits d'insomnie après ses cauchemars. Cette pièce privée constituait tout ce qui s'apparentait à ce cauchemar, de tout ce qu'il pouvait se rappeler, déduire et reconstruire de ce qu'il avait vu, entendu et ressentit dans ceux-ci. Outre cette pièce, son plancher principal était de son entrée, avec garde-robe et portique, de sa cuisine et salle à manger spacieuse et de son salon à aire ouverte. Il avait une grande chambre de bain avec l'espace pour laveuse et sécheuse et deux chambres, dont une qui lui servait de chambre principale et une chambre d'invitée avec futon, son équipement de musique et un bureau pour faire ses devoirs. Outre sa grande porte de patio menant sur son grand balcon et la grande fenêtre de sa salle avec futon, le restant du condo ne possédait pas de fenêtre. Et pour une raison quelconque, il aimait l'effet de semi pénombre qui régnait dans sa demeure. Debout dans son salon, il contemplait les images de son cauchemar, et se demandait parfois si ceux-ci n'étaient pas des « souvenirs », un peu comme dans les livres d'aventures où le héros s'était réincarné et qu'il avait des visions du passé. Avec un petit sourire, il secoua sa tête, sentant ses cheveux frisés caresser ses joues. Il se prit une mèche et remarqua qu'ils étaient devenus beaucoup plus long depuis les derniers mois. Mais il n'allait pas couper ses cheveux. Tout pour donner une raison de plus à sa famille paternelle pour parler négativement de lui. Pas assez qu'il était un jeune orphelin, héritant d'une somme énorme d'argent que, s'il le voulait, n'était pas obligé de travailler de son existence, et qu'il était maintenant propriétaire d'un condo de luxe au cœur de la grande ville et qu'il habitait seul. Sa famille maternelle, quant à eux, encourageait son indépendance, ses études et ses accomplissements, même si ceux-ci étaient petits. Se passant la main dans ses cheveux, il se décida de se changer pour son jogging matinal de 6h du matin.

Changé pour la course en t-shirt et bermuda de sport, enfilant ses souliers et attachant sa gourde d'eau à sa ceinture, il se regarda dans le miroir de l'entrée. Il pouvait y voir le regard aux yeux vert d'un jeune homme de presque vingt ans, de 5 pied 5, les cheveux blonds bruns avec des reflets qui rappelait la couleur du miel et qui étaient frisés. Coquet pour une fille, ridicule pour un garçon, se disait-il. Il était mince, voir maigre selon certain, mais il n'était que du muscle. Il était petit mais avait des pieds anormalement grands et roulait des yeux à chaque fois qu'il se rappelait que le pédiatre qui le voyait quand il était jeune avait prédit qu'il allait être grand car il avait des grands pieds. Il n'avait pas des grandes mains, mais adéquates pour jouer de la guitare. Imberbe, il avait la peau du visage douce qui s'apparentait presque à une jeune femme, mais il avait les jambes et les pieds assez velus. La seule autre partie du corps qu'il avait vraiment du poil, outre le duvet délicat sur ses avants bras était… enfin. Il se regarda encore pendant quelques secondes, soupira de découragement et s'assurant que ses cheveux étaient bien fixés sous son bandeau de sport, il sortit de son condo pour aller voir la ville en plein éveil. Il prit les escaliers pour descendre vers le rez-de-chaussée et passant vers le vestibule, il vit son nom écrit vis-à-vis de la sonnette numéro 8 : « William Burgundy ». Il y avait encore l'ancien étiquette « vaquant » pour le numéro 7 mais il savait qu'il y aurait quelqu'un d'ici la fin de la semaine. Il avait entendu deux de ses voisins parler comme quoi le dernier des condos vacants avait été acheté et que la personne allait aménager très bientôt. Haussant les épaules, il se disait qu'il allait avoir sa curiosité assouvie tôt ou tard sur son nouveau voisin. Ouvrant la porte vers l'extérieur, William prit une bonne respiration, partit sa musique sur son cellulaire et commença sa course dans les rues grouillantes de la ville en pleine heure de pointe de fin d'été.

William était un peu appréhensif de sa première journée d'Université. Il entrait pour ce qui semblait être un long cheminement vers en Doctorat en littérature, commençant par la base, son Baccalauréat de trois ans. Il adorait la littérature, les livres et la calligraphie et avait soit l'intention de devenir auteur ou d'être professeur lui-même afin de transmettre sa passion aux autres. Il était au beau milieu du grand chemin principal de l'Université, une monstruosité de pierre grises, avec pavillons divers et qui était vieux de plusieurs centaines d'années. La fin de l'été était au rendez-vous, laissant encore la météo être clémente avec ceux qui étaient encore en vacance jusqu'au milieu septembre. Mais la fin aout était le recommencement des classes, et il était anxieux de s'aventurer dans cet endroit rempli de savoir et qui allait lui ouvrir des portes d'avenirs divers. L'allée principale, qui était asphaltée mais qui n'était que piétonnier, était jonché d'arbres encore dans les couleurs d'été et le vent chaud caressait les feuilles, mélangeant le bruit des étudiants qui parlaient et qui circulaient partout au bruissement des feuilles qui ondulaient sous le vent. Il avançait en observant le paysage, regardant les gens d'un air curieux et à la fois superficiel, sachant qu'il ne connaissait personne et n'étant pas inquiet de la situation. Il était assez social et se faisait des connaissances facilement partout où il allait. Il avait passé ses années de collège outremer et avait laissé derrière lui des bons amis avec qui il communiquait régulièrement via Internet. Il s'attenait que, d'ici la fin de la première session, il allait avoir quelques amis avec qui il allait s'entendre bien et qui allait venir à l'occasion chez lui soit pour étudier ou pour le simple plaisir de sa compagnie. D'autant plus qu'il était un cuisinier hors pair…

Il arriva dans l'entrée principale, et se dirigea vers les guichets étudiants afin d'aller récupérer son horaire. Se frayant un chemin, il vit un autre étudiant un peu nerveux échapper ses documents par terre devant lui. Sans se poser de questions, il se pencha et aida le jeune homme à reprendre ses choses. Il leva le regard et le jeune homme, probablement deux ou trois ans son ainé, le remercia profondément et lui offrit une poignée de main. Il lui retourna un sourire, serrant sa main et prenant l'occasion de se présenter et de lui demander son nom. Il fit alors la connaissance de son premier ami d'Université : John H. Watson. Les cheveux blonds coupés courts, presque militaire, les yeux bleus foncés et un peu plus grand que lui, il était étudiant en médecine afin de devenir médecin pratiquant en traumatologie. Il était en résidence et venait de déménager le matin même, sans avoir rencontré son colocataire qui n'était pas encore arrivé. Il était à sa troisième année de Baccalauréat, ayant pour la première fois la possibilité d'être avec une seule personne comme colocataire et d'être dans un petit appartement financé par l'école au lieu des chambres presque dortoirs des tours de résidences standard. Il était une personne sincère, facile de confiance et honnête. William appréciait sa première impression de lui. Il s'échangèrent leurs numéros de cellulaire, suggérant de se rencontrer plus tard dans l'après midi et William fit la file pour les guichets, laissant John retourner vers sa résidence afin d'aller porter ses documents.

Son horaire était assez simple : quatre cours condensé en trois jours. Il avait le mercredi et vendredi de libre et ses cours étaient majoritairement le matin, sauf un d'après-midi le mardi. Il allait avoir assez de temps pour organiser ses activités autres que ses cours, comme ses entrainements d'auto défense (judo, principalement) et ses pratiques de guitares (électrique et acoustique) et de chant. Il avait gardé contact, malgré la distance, avec son ami d'enfance Joshua Lizbor, un chanteur connu du groupe Main Down. Il avait assisté aux débuts du groupe (composé de Josh comme chanteur et synthétiseur, Albert Sand à la base, Victor McKelter à la batterie et piano), aidant Josh à composer sa musique et certaines chansons, participant au premier album et étant le guitariste et vocaliste jusqu'à ce qu'ils trouvent Christopher Blake Jr. Comme guitariste stable et qu'ils puissent engager des vocalistes temporaires avec assez de budget. William participait encore à l'enregistrement des albums et en composant des mélodies pour eux et surtout les paroles pour les chansons romantiques, autant positives que négatives. Il était un romantique fini et avait de l'inspiration pour dix lorsqu'on lui demandait de les aider avec ce thème en particulier. Joshua avait été son voisin pendant des années, jusqu'au décès de ses parents. Au lieu de le laisser tomber dans la drogue, l'alcool et autres dépravations quelconques, étant plus vieux et mature de cinq ans, il l'avait aidé à construire la base de son groupe musical, le laissant passer son deuil dans la musique et entouré de personnes qui lui donnait le support qu'il avait de besoin et une épaule sur laquelle il pouvait pleurer. La rencontre de Christopher avait aidé le processus de guérison, rencontrant en lui un adulte de presque trente ans, ayant lui-même perdu un de ses parents mais au cancer (sa mère). Il avait passé des heures avec lui à parler, pleurant mutuellement de leur pertes, sachant que malgré l'âge qui les séparaient, ils avaient plusieurs choses en commun. Ce que William avait apprit en musique, Christopher polit ce savoir à une presque perfection, lui donnant des pièces beaucoup plus dur et sachant qu'il ne pouvait refuser un bon défi. Il avait participé aux albums mais n'allait pas en tournée, misant sur ses études postsecondaires (avec l'appui sans équivoque du groupe). Il n'avait que des bons mots pour eux, sachant qu'ils étaient toujours disponibles pour lui. Ses pratiques de guitares étaient principalement au studio d'enregistrement du groupe, là où il pouvait jouer sans déranger ses voisins, faisant crier les décibels et martyrisant les cordes de sa guitare électrique à sa guise. Cela faisait au dessus de 11 ans qu'il avait caressé les cordes d'une guitare pour la première fois et il en avait encore des frissons de plaisir à chaque fois qu'il jouait de ses instruments. Il y avait aussi un assistant en vocalises qui le coachait à l'occasion pour ses pratiques de chants mais sinon, il avait le studio à lui seul. De là, il pouvait enregistrer ses démos afin d'envoyer à Josh de partout au travers le monde et recevoir les feedback rapidement. Une autre raison pour laquelle il n'était plus vocaliste, c'était que malgré son apparence petit, sa voix était beaucoup trop masculine et grave pour être soprano ou alto. Il se contentait alors de chanter pour faire la démo de ses chansons et faire un ou deux duos avec Josh. Il était appelé affectueusement le membre secret du groupe et il appréciait son anonymat. Il ne voulait pas être une vedette mais bien être quelqu'un de semi inconnu, un nom mais pas un visage.

En sortant du hall d'entrée, il décida d'aller visiter les lieux afin de se retrouver facilement pour la rentrée. Il observa la carte des environs et remarqua que son pavillon principal était celui à la droite de la bâtisse originale. Il vit que la cafétéria et la bibliothèque étaient des additions à ce même établissement et qu'il y avait en tout neuf bâtisses adjacentes à la principale. Il y avait aussi une onzième bâtisse, mais celle-ci était dédiée à la section administrative, là ou les personnes des finances, ressources humaines et autres se trouvaient. Se décidant d'aller à la cafétéria afin de voir à quoi elle ressemblait, il entendit derrière lui quelqu'un qui lui adressa la parole : « Bonjour mon petit cœur. » Il se retourna avec un sourire, reconnaissant la voix de celle-ci. Elle était plus grande que lui, étant six pieds deux, les cheveux longs et en bouclettes serrées d'un noir opaque, les yeux bleus presque violet, longue silhouette mince malgré les courbes définitivement féminine et le sourire aux lèvres avec plein d'affection dans le regard. Clarice Serven. Son amie d'école, son premier amour d'enfant et une féroce adversaire dans ses cours de judo. Elle tendit les bras vers lui et avec des bruits d'affection, lui donna pleins de baisers sur la tête. Il la serra aussi fort qu'il put, riant de son affection soudain et de ses baisers dans ses propres boucles. Ils se regardèrent dans les yeux et se dirent mutuellement qu'ils étaient si contents de se revoir. Ne perdant pas de temps, ils se dirent dans un torrent de paroles et de rires ce qu'ils avaient fait des deux dernières années qu'ils avaient été séparés et restant en contact physique l'un avec l'autres. Clarice était pour lui une sœur, celle qu'il n'avait jamais eu et elle partageait les mêmes sentiments pour lui. Il avait été là pour elle lors de son premier chagrin d'amour et elle avait été présente lors de son grand deuil. Ils étaient pour l'un et l'autre des confidents et il avait su qu'elle allait étudier dans la même Université mais ne savait pas qu'il allait la rencontrer aussi vite. Ils s'échangèrent leur horaire, elle, étudiant en biologie et ayant un cours de plus que lui durant sa session. Ils se promirent de se revoir le lendemain et il la laissa aller vers sa résidence pour les femmes avec un beau sourire et le cœur léger.

Durant le restant de la journée, il rencontra Sarah, une amie du secondaire comme Clarice, mais moins proche que celle-ci. Elle avait décidée de se lancer en médecine générale et avec les notes parfaites qu'elle avait, William avait confiance qu'elle allait réussir. Il rencontra à nouveau John qui lui présenta Gregory Lestrade, un étudiant de deuxième année en criminologie et qui était dans son équipe de Rugby. Ils allèrent au Starbucks le plus près, parlant de ce sport et fraternisant sur ce qu'ils aimaient, échangeant son numéro de téléphone avec Greg et les invitant à une petite réunion avec ses deux amies Sarah et Clarice le vendredi soir. Après deux heures de bavardages, de rires et d'histoires de sport, William les laissa pour aller faire un peu d'épicerie. La journée était encore jeune, l'après midi à peine entamée et déjà, il était heureux de sa première journée de reconnaissance de l'Université. Il était en mode « cuisine », c'est-à-dire que lorsqu'il était heureux (ou émotionnellement chargé), il avait besoin de cuisiner. C'était un talent qu'il s'était trouvé outre l'écriture et la musique et n'ayant jamais prit de cours de cuisine et apprenant qu'avec des livres, il se débrouillait plus que bien. Parmi sa famille maternelle, ses plats étaient convoités et il avait amplement l'intention de partager ses talents avec ses amis d'Uni. La seule personne ayant gouté à sa cuisine étant Clarice, il avait trois autres personnes avec qui partager ses mets et desserts déjà. Qui sait, peut-être aurait-il l'occasion de pouvoir partager ce talent avec d'autres personnes d'ici Noël? Souriant à cette idée, il partit de l'épicerie, à deux coins de rues de chez lui, les écouteurs sur ses oreilles à écouter les derniers démos corrigés de Josh et Main Down.

**Ok, Merci beaucoup à vous, chers lecteurs et lectrices, de vous êtes donné la peine de lire mon premier chapitre. Je suis d'autant plus heureuse de vous dire que l'histoire est déjà écrite en son intégrale, et je vais publier à la semaine (ou à peu près) chaque chapitre.

Vous remarquerez aussi que j'ai changé le nom de Bilbo Baggins pour sa réincarnation, qui est évidemment William Burgundy. Pour les prochains chapitres, je vais inclure une liste des noms des autres personnages qui ont un nouveau nom... peut-être que cela facilitera les choses pour vous aussi. :)**