HISTOIRE DE GOBAN

Comme j'ai vu l'épisode 4, il n'y a pas longtemps, j'ai pas pu résister. J'espère que ça va inciter d'autres à en faire de même ! looool !

Après s'être séparés de Hikaru, Kaga et Tsutsui rentraient chez eux … en discutant …

Tetsuo Kaga (soupirant) : Tu vas pas faire la gueule quand même ?

Kimihiro Tsutsui (lui jetant un regard furieux de derrière ses lunettes) : Si je mettais un chewing-gum dégoûtant sur ton plateau de shogi, j'aimerai bien voir ta tête à ce moment-là !

Kaga (grand sourire) : Ca ne risque pas … tu n'es pas suicidaire et tu es bien trop respectueux pour ça !

Tsutsui (conclusion qui s'impose !) : Crétin !

Kaga (se rendant compte qu'ils sont seuls dans la rue) : … J'ai même pas droit à un câlin ?

Tsutsui : Après ce que tu viens de faire ? Tu rêves ! (Grommelant) Même pas fichu de s'excuser … roi du shogi, … tu parles, Charles !

Kaga : Allez … 'y a pas mort d'homme … tu l'as enlevé après tout !

Ne daignant même pas répliquer, le brun tourna les talons. Soupirant de nouveau, Kaga rattrapa Tsutsui et l'enlaça par derrière.

Kaga (murmurant dans son cou) : Pardon, je ne le referais plus. Tu sais bien pourquoi j'ai fait ça pourtant.

Tsutsui (passant une main dans ses cheveux flamboyants et ayant suffisamment de tact pour ne pas mentionner le nom qui tue « Akira Toya ») : Oui, je sais.

Kaga (coupant court) : De toutes façons, j'ai droit à ce câlin pour quatre raisons.

Tsutsui (amusé) : Lesquelles ?

Kaga : Un, c'est moi qui ai proposé qu'on aille tous les trois à ce concours … vu comme ça te tient à cœur.

Tsutsui (protestant pour la forme) : Ou Hikaru finissait dans la piscine d'eau froide … tu étais gagnant à tous les coups !

Kaga (continuant dans sa lancée) : Deux, comme tu viens de le mentionner, dans ma grande mansuétude, j'ai épargné le petit et trois, je me suis excusé quand même !

Tsutsui : Quelle âme charitable !

Kaga (susurrant à son oreille) : Quatre, on est devant chez moi et il n'y a personne.

Entraîné par la main à sa suite, Tsutsui ne put rien répliquer de plus. Il ne pouvait pas lui en vouloir bien longtemps.