Titre:Instinto maternal
Auteure: Kasumi Shinomori
Traductrice: Texte traduit de l'espagnol par Elizabeth Mary Masen .
Spoilers : Aucuns
Rating : K+
Genre(s) :Famille/Romance
Disclaimers :
-L'histoire appartient àKasumi Shinomori
-Tous les personnages, lieux et autres appartiennent à Stephenie Meyer
-L'auteure fait cette fanfiction par plaisir d'écrire et ne gagne rien si ce n'est des reviews en écrivant cette histoire.
Pairing: Carlisle/Esmé
Notes:
Une petite review (quelque soit votre avis) fait plaisir.
Le lien vers la VO est disponible sur mon profil.
Il n'avait jamais vu sa mère. Elle avait quitté ce monde en lui donnant le jour. Son père, les quelques fois qu'il avait parlé d'elle, la décrivait comme belle, simple, souriante, avec un cœur d'or. Dans son esprit, elle souriait toujours sa longue chevelure blonde ondulée au vent. Quand il était encore humain, il rêvait d'elle…elle parlait avec lui ou qu'elle était là tout simplement. Chantant ou cuisinant, elle devait être la meilleure dans tous les domaines.
Malheureusement, il ne la connaitrait jamais et pouvait seulement faire des hypothèses mais c'était comme elle l'était dans son cœur.
Elle était assise dans le fauteuil avec un livre mais sans lire. Elle était toujours attentive à tout ce qui se passait. Autant Alice se précipitant hors de sa chambre en se plaignant de n'avoir rien à se mettre qu'Emmett ronchonnant que personne ne voulait joué avec lui, Edward s'énervant parce qu'il ne savait pas pourquoi on avait rayé la moitié de ses disques, Rosalie excédée de pas pouvoir se maquiller « dans tant de vacarme » ou Jasper se plaignant qu'il lui manquait de l'espace.
Elle était là pour tous. Elle s'asseyait et pouvait discuter avec eux pendant des heures et les apaiser sans don comme celui de Jasper, sans savoir ce qu'ils pensaient comme Edward, sans connaître l'avenir comme Alice, sans la force surnaturelle d'Emmett ou la beauté inhumaine de Rose (Même si elle était la plus belle à ses yeux.), elle agissait à l'instinct.
Instinct maternel diront certains, mais pour lui c'était son don. C'était là le vrai don d'Esmé.
