Bonjour bonjour !
Alors tout d'abord je tiens à préciser que c'est ma première fic, et que je suis seule à l'avoir écrite et donc je n'ai pas de Béta vous m'en voyez désolée :_)
Ensuite, ce petit (je l'admet) bout de fic est seulement un aperçu qui j'espère vous plaira, ce qui veut dire que les reviews sont les bienvenues afin de me donner une motivation pour écrire la suite ! ^_^
Je garde les vrais noms des personnages lorsqu'ils ne sont pas à moi.
Personnages : ° Castiel personnage inspiré du jeux amour sucré, mais il n'a pas le même comportement ici.
° Legolas (prochainement) est tiré du Seigneur des Anneaux et sera uniquement un elfe, soit aucuns rapports avec les livres et les films mis à part le nom.
° Alice personnage de mon invention.
° Steve alias Captain America (prochainement) est dans le même cas que Legolas, tiré des Marvels.
° Les Dursley, Dumbledore, Luna Lovegood , Severus Snape, Ron Weasley, des films Harry Potter ^_^
Je suppose que je n'ai pas besoins de dire à quel point j'adore les Harry Potter, j'aime tellement que c'est ma religion XD
Bon par contre les Twilights ne sont pas lus, seulement regardés
Le rating M est à venir ne vous en faite pas :-)
Chose à savoir : j'aime pas trop Bella Swan donc pouff ! y'a plus personne ! Elle n'apparaîtra donc pas !
Donc merci à J.K Rowling et Stephenie Meyer pour leurs personnages !
- Sur ce, bonne lecture ! -
Il tombe, là, à genoux devant moi. Il me regarde, ses yeux me lancent le plus de haine possible. Sa baguette vole vers moi, pourtant je ne la rattrape pas. Il ferme les yeux. Sûrement de douleur, ou peut-être de soulagement. Je n'en sais rien, je l'aurais su s'il m'avait touché avant. Mais non, c'est moi qui ai gagné. J'ai tué le fameux Lord Noir, appelé Voldemort.
Serais-je moi aussi entrain de me décomposer sous ses yeux si j'avais perdu ? Personne ne le sait. Autour de moi les sorts ont arrêté de fuser. Les Mangemorts se tiennent l'avant bras, se retenant d'hurler de douleur et de rage, à genoux face à leur adversaire. Tandis que les sorciers de Poudlard encore vivants tremblent de peur de la tête aux pieds, le regard dans le vide. Le sol est recouvert de corps entassés les uns sur les autres, pataugeants dans le sang.
Le silence règne. Soudain brisé par le son d'un sort me percutant de pleins fouet, suivit par mon cri étouffé et le bruit sourd de mon corps tombant durement au sol. J'essaye de me relever mais je reçois un Doloris. Ma tête, mon coeur, ma peau, tout brûle en moi. Je hurle. J'ai si mal ! Cette torture indescriptible ne cesse qu'au bout de longues minutes, ou du moins je le pense. Ma respiration est saccadée, tous mes muscles me font mal. Les gens présents ne bougent pas, ils ont apparement bien trop peur ou sont trop étonnés de la personne qui s'en prend à moi. Allongé à terre, je me retourne sur le dos afin de voir le visage de mon agresseur.
J'aperçois une tignasse rousse que se distinguant dans le ciel gris. Ma vue est embrumée, la personne est floue. Je remarque ensuite distinctement le bout, puis la baguette entière du concerné.
Non … NON ! RON ! Je peux pas le croire ! Je veux pas … Non … Ron … moi qui croyais que tu étais mon ami !
Des larmes bordent mes yeux, les regorgent et les noient. Je pleure, comment as-t-il pu me trahir !? Il se penche vers moi, pointe sa baguette dans mon cou et s'approche de mon oreille.
-« Harry, Harry, Harry … tu n'es rien. Tu entends ? Rien. Tu n'as jamais été qu'un connard se cachant derrière son statut célèbre. Et pendant que toi, sale con, tu étais en vadrouille on ne sait où, saches que je ne servais plus à rien. Personne ne s'intéressait à moi tant que tu n'étais pas là. Mais maintenant c'est terminé. Tu vas mourrir, me laisser ta place et je serais l'homme le plus comblé, jouant parfaitement mon rôle d'ami du survivant qui est terrassé par son absence. Tu verras, la vie sera meilleure sans toi.»
Il se redresse. Je n'arrive pas à parler, mes paroles sont étranglées par mes sanglots qui redoublent. Quand je pense qu'il m'a trahi simplement par jalousie. Mais moi je n'ai jamais, au grand jamais, voulu de cette célébrité ! Mais personne ne comprend. Personne n'a réussi à voir ma détresse derrière ce masque. Si, peut-être, Luna et Castiel, eux ont toujours été là pour me soutenir quand mon statut, non désiré, me pesais trop.
Mais ils ne seront pas là pour voir ma fin. Je n'arrive plus à lutter, il m'est impossible de me relever. La fatigue gagne la partie, mes yeux se ferment, j'entends mon coeur battre, et sens mes muscles se tendre. Je n'ai pas peur de la mort, je reverrais peut-être mes parents après tout. Je regrette seulement de ne pas m'être excuser auprès de mes deux meilleurs amis. De m'être excuser à propos de mon existence qui les a sûrement dérangé en leurs apportant des ennuis de toutes les sortes, et d'avoir tuer Cédric, Sirius, mes parents et beaucoup d'autres. Je mérite ce qu'il m'arrive. Alors j'attends patiemment que la mort me prenne.
Étrangement elle ne vient pas, mes paupières sont trop lourdes et m'empêchent de voir ce qu'il se passe. J'entends un sort fuser au loin et frapper Ron qui s'écroule à côté de moi. Je sursaute lorsque son corps heurte le sol et crée un léger courant d'air venant refroidir ma peau. Quelqu'un cours dans ma direction, et se laisse tomber près de moi. La personne me prend dans ses bras, ses cheveux chatouillent mon visage et je reconnais Luna.
Elle me couvre de baisers, ne cessant jamais de répéter mon prénom. Une autre personne accours, je devine alors Castiel. Il susurre des mots à ma protectrice et elle se détache de moi laissant mon meilleur ami me prendre dans ses bras. Il passe une main derrière mon dos l'autre sous mes genoux, et me soulève avec une facilité déconcertante. Il me serre plus fort contre son torse et se met à marcher.
Vers où ? Je n'en sais rien. Des murmures d'élèves parviennent à mes oreilles, j'en déduis donc que nous rentrons dans Poudlard. Castiel se met ensuite à sauter doucement et régulièrement se qui pourrait être des escaliers descendus. L'air devient plus froid, je frissonne, nous sommes dans les cachots. Luna toque à la porte très rapidement. À l'intérieur, un pas lent pouvant être qualifié de boitant, est vite rattrapé par une course rapide intimant à la personne blessée de rester assise. Cette dernière nous ouvre, jure à la vue de mon état, et nous fait entrer.
Elle s'active et ordonne à Castiel de me déposer sur le canapé. Luna s'accroupit, attrape ma main, et frotte son pouce doucement sur le dos de celle-ci. Pendant ce temps, la personne infirme qui était déjà présente dans la salle s'approche et entame de légères caresses sur mes cheveux qui sont, je l'imagine, poisseux.
La main est rugueuse, elle appartient à une personne extraordinaire qui m'a très souvent sorti d'affaires toutes plus incongrues les unes que les autres. Quand je pense qu'il y a encore trois ans, ce simple geste sur ma tête aurait pu me réveiller et me faire retourner au combat, simplement pour que la personne arrête.
Maintenant c'est totalement différent, j'ai envi de me blottir contre cette main si chaude et douce, et ne plus jamais la quitter. Le propriétaire de cette main si accueillante, vous l'aurez compris, c'est celle de mon ancien professeur de potions, Severus Snape. Notre haine mutuelle s'est terminée durant une attaque à Pré-au-Lard.
- FLASH BACK -
J'étais en compagnie de Ron. Nous étions venus acheter un cadeau pour Hermione, afin qu'elle pardonne sa mascarade avec Lavande Brown. Et bien sûr, comme c'était en rapport avec Hermione, il avait absolument fallu que je vienne l'aider à choisir le cadeau parfait.
Je comprends d'ailleurs mieux pourquoi nous étions dans cette rue abandonnée, coupée de tout, lorsque nous fûmes attaqués. Enfin «nous», Ron s'était volatilisé au bout de deux minutes de combat, me laissant seul face quatre mangemorts très entrainés. N'étant pas assez apte à combattre plusieurs personnes en même temps, les partisans de Voldemort prirent rapidement le dessus.
Les sorts devenaient plus agressif, je m'affaiblissais à vue d'oeil, lorsque quelqu'un arriva derrière moi et expulsa les attaquants. Le temps que je me retourne pour voir à qui j'avais affaire, la personne enroula autour de moi un bras et nous transplanâmes. Nous atterrîmes dans une grande maison, je paniquai et me dégageai rapidement de l'entrave pour m'éloigner de cet homme. Sauf que j'avais surestimé mes forces, et pour cause je tombai à genoux lourdement. Ma tête vacilla, mais je fus retenu par deux mains fortes qui empêchèrent une chute, sûrement plus grave, d'arriver.
L'homme s'accroupit, je me débattais, me tenant toujours d'une main, il retira sa capuche qui lui cachait la moitié du visage. Et ce fût là, que ma surprise dû se lire sur mon visage comme dans un livre ouvert. Je m'étais arrêté, incrédule, c'était Snape, je ne comprenais plus rien. Mais la chose qui m'avais le plus marqué fût lorsqu'il m'appela par mon prénom et à partir de ce moment là, je fus totalement largué.
Il débita des paroles dont je ne comprenais plus le sens, avisant mon état, il choisit de me porter à l'étage, dans une salle de bain. Vraisemblablement je devais être recouvert de sang de par mes blessures, pour qu'il soit si prévenant et doux avec moi. Aucun son ne voulut franchir mes lèvres lorsqu'il me déshabilla et me fit couler un bain.À la place, mon regard était des plus paniqué et horrifié. Mais je restais là, tendu à l'extrême et rongé par la peur de me faire abusé encore une fois.
J'avais une peur démesurée; revenir chez les Dursley.
Il décida finalement de m'endormir et, d'ensuite me questionner sur mon comportement excessivement affolé. Le lendemain, nous nous étions expliqué sur nos actions l'un envers l'autre, ce qui nous fit découvrir notre passé à tous les deux.
Je lui avais raconté une partie ma vie chez les Dursley, et lui m'avait apprit la vérité sur ses relations avec mes parents. Ceux-ci lui avaient demandé de toujours veiller sur moi et de m'aimer comme un fils si ils venaient à mourrir. Severus et mon père ne s'étaient jamais détestés, ils étaient devenus amis dans le Poudlard express avec ma mère et avaient seulement créé une couverture à cause de leur maisons respectives. Il n'était jamais tombé amoureux de ma mère, ils avaient simplement été meilleurs amis.
- FIN DU FASH BACK -
Depuis ce jour, nous nous sommes respectés et par la suite créés un lien unique: père et fils.
- À suivre ! -
N'oubliez pas les reviews et lâchez vous ! dites moi si cela vous plait ou pas ^_^ !
