Une fangirl, un Potter et gros serpent.

JE SUIS DESOLE POUR MON RETARD.

MAIS J'AI DE VRAIES EXCUSES.

Donc, je suis entrée en première ES. Et je caresse le doux rêve de faire une année à l'étranger après mes secondaires, or ça coûte pas mal ces trucs là. On a trouvé une espèce "d'association" sélectionnant sur dossier. On va donc prendre celle-ci, mais je dois avoir des beaux points ! En plus de ça, j'ai aussi la douce illusion d'espérer réussir mon année sans échec, donc je bosse.

Et pour prouver ma bonne foi, je n'ai même plus le temps de lire pour pour mon plaisir ou regarder des séries !

M'enfin.

Sinon, après avoir vu le trailer, je doute pouvoir faire un OS spécial Sherlock avec Elizabeth. Pour des raisons on ne peut plus simple, si au 19e siècle ce bon vieux John avait eu une fille hors mariage et d'origine différente, il l'aurait légèrement renié. Mais, peut-être qu'en regardant l'épisode je changerai d'avis ! Rien n'est figé !

Autre info : le Malefoy/Elizabeth me plaît, c'est grave ? (EW : oui).

Enjoy, les gars, vous avez assez attendu, vous êtes géniaux ! En ce jour d'anniversaire (le mien), je vous fais cadeau de ce chapitre !

Disclaimer :

Même si j'en rêve, aucun de ces personnages ne m'appartient excepté cette déception d'Elizabeth (EW : Heeeey!)


Aujourd'hui, on est le premier août. Est-ce que vous savez ce que ça veut dire ? Bien sûr que non. Vous êtes tous une bande d'ignorant planqué derrière un écran et s'empiffrant devant des séries ou des bouquins.

Nerds.

Bref. Je vais vous dire ce qu'il se passe le premier août. NEVILLE ET HERMIONE DEBARQUENT. Après des vacances étonnamment plates (c'est-à-dire que Sherlock n'a rien fait exploser), quelques lettres échangées et la promesse de retrouver les Weasley et Harry au chemin de traverse, ils arrivent.

Sherlock rumine déjà, le nez plongé dans son journal il m'adresse un regard flamboyant de colère. Je souris un peu plus, déjà prête et lui embrasse la joue. S'il n'est pas correct, je ne lui rends pas ses cigarettes.

Mon père entre dans la cuisine. Pour l'occasion, il porte un pull horrible mais neuf. Son pul doit être en laine et doit lui donner de l'urticaire un truc de malade. Mais j'ose rien dire et lui sourit simplement.

- Prête ?

- Bien sûr !

Je vais attendre dans le salon, le nez contre la fenêtre et attendant de façon assez enfantine l'arrivée des deux guignols qui me servent d'amis. Je vois Hermione arrivée en voiture. Ses parents observent l'appartement en hésitant. Je leur fais coucou comme une dératée et ils ont la politesse de répondre à mon salut puis vont frapper à la porte.

Miss Hudson leurs ouvrent et je cours devant la porte, me plaçant devant celle-ci. J'accueille poliment les Granger mais, et ce malgré l'insistance lourdingue de mon père, ils refusent de rester. Je présente Hermione à Sherock qui la dévisage de haut en bas.

- Fille de dentistes, harcelée quand elle était en prim…

- OKAY PAS DE CIGARETTE ! je crie en voyant le regard d'Hermione.

Sherlock me regarde, trahis.

- … PARDON ?! Mais… Elizabeth !

- Excuse toi !

- Non !

Il semble outré.

- Pas de cigarette.

Il serre les dents et y murmure à travers.

- Excuse moi, fillette.

Girls power, bitch.

- Elle s'appelle Hermione.

- Tant mieux.

- Elle s'appelle Hermione.

- Hermione.

Je souris de toutes mes dents et amène mon amie dans ma chambre sous le regard empli de fierté de mon père.

- Et ta mère ? demande Hermione avant qu'on atteigne la chambre.

Je serre les dents, sentant le regard de Sherlock et John. Je lui souris doucement.

- Ma mère et mon père se parlent à peine. Je passe le mois d'août avec Papa et celui de juillet avec Maman.

- Elizabeth, soupire mon père.

Je lui jette un regard insistant.

- Mon père n'aime pas que j'en parles aux autres.

Hermione fronce les sourcils.

- C'est vrai ?

Pardon ? Elle ne me croit pas ?

Elle fixe mon père en attendant une réponse.

- Oui, soupire-t-il après une longue hésitation.

Nous allons finalement dans ma chambre et Hermione est au bord de l'évanouissement devant tous mes livres.

Je souris doucement et la laisse frappe à la porte un peu plus tard et je vais ouvrir en vérifiant que les grognements de Sherlock ne soient pas si grossier que ça.

Neville me sourit, un sourire crispé tout comme la main de sa grand-mère posée sur son épaule. Serait-ce une façon de marquer son territoire ?

- Votre père est là ? demande-t-elle sans même me saluer.

Mais je m'en fiche un peu. Après tout, je vis avec un Holmes et en fréquente régulièrement un deuxième.

- Ouep. Papa !

Le dit père arrive en prenant un sourire qui se veut professionnel et chaleureux. Bref, il met en avant son côté médecin plutôt que son côté père de famille. Je me demande comment je dois le prendre.

- Madame Londubat, c'est ça ?

Je vous jure sur Merlin que je dois faire un effort surhumain pour m'empêcher d'exploser de rire. Mais… Londubat…

- Oui, répond elle sèchement. A quelle heure dois-je venir récupérer mon petit fils ?

Sachant qu'il est 14 h, je réfléchis et devance mon père :

- Je pense que 17h c'est bien.

B- ien, à plus tard Neville.

Elle s'en va : le dos courbé, son chapeau hyper bizarre en avant et son sac assez cliché précieusement tenu contre sa poitrine.

- Bah tu vois, je souris à Neville. Ça a été !

Le pauvre vieux n'a pas l'air de s'en remettre. Il me sourit :

- Ouais ça a été…

- Et le trajet ?

- On a prit le baxi.

- Taxi, corrige Sherlock avec agacement.

Je le fusille du regard et pousse Neville dans ma chambre, je le laisse fêter ses retrouvailles avec Hermione pendant que je me cure les ongles. Après un petit temps, on s'assoit dans mon lit, en tailleur. Je prends Voldy sur mes genoux et je lui caresse sur le ventre, le pire est qu'il se laisse faire.

- Alors, des nouvelles du Survivant ?

Hermione claque la langue, elle ne supporte pas quand je l'appelle comme ça.

- Il est chez les Weasley.

- Pourquoi ?

Je ne lui ai pas envoyé de lettre personnellement, Sherlock et moi se doutions que sa baleine d'oncle et sa girafe de tante devaient intercepter les lettres qui lui étaient destinés. À la place, j'allais à Privet Drive une ou deux fois par semaine et essayait de voir quelque chose.

En vain, évidemment.

- Je n'ai pas d'autres informations, répond Hermione. Tu nous accompagneras pour aller chercher nos fournitures ?

- Sans problème. Mais qui est Gilderoy Lockhart ?

Et là, sous nos yeux choqués, Hermione Jean Granger se mit à rOUGIR et personne ne sait pourquoi.

- Un sorcier… De Serdaigle, il a fait des choses si…

Elle devient aussi écarlate que la bannière de Gryffondor. Je lève un sourcil.

- Un héro ? Genre, connu ?

- Il a écrit des livres sur les exploits qu'il a fais.

Le mec qui a besoin de reconnaissance.

- Les véritables héros n'ont pas besoin d'être reconnu. Sherlock ne se vante pratiquement jamais de ses enquêtes, Mycroft n'est connu que par ceux qui sont au gouvernement, Dumbledore ne se vante jamais de ce qu'il a fait. Excuse-moi si j'y crois moyen.

Je l'aurais insulté, elle m'aurait regardé de la même façon.

- D'ailleurs je n'ai aucune preuve que ce Mycroft est si… influent que ça.

Mon tour de prendre une pause choquée. Neville a la tête du gars qui n'a rien à foutre là. Je pince les lèvres et sors mon téléphone.

- Okay. Regarde.

Je tape le numéro de Mycroft et mets sur haut parleur.

- Allô ? répond sa voix agacée.

- Mycroft, comment allez-vous ? Je voulais savoir si vous avez dîné avec le premier ministre dernièrement.

- Qu'est ce que Sherlock veut savoir ? soupire-t-il.

- Sherlock n'a rien à voir avec ça. C'est de la curiosité.

- Que veux tu prouver ? grogne-t-il, agacé.

Je fronce les sourcils, il me connaît mieux que prévu.

- J'ai à côté de moi une idiote de sorcière à ascendance moldue qui ne me croit pas quand je lui dis que votre place au sein du gouvernement dépasse de loin celles de certains ministres.

- Elizabeth ?

Oui, mon cher Mickey ?

- Oui ?

- Je suis en rendez vous avec le premier ministre en ce moment même.

Un sourire narquois nait sur mes lèvres, je raccroche en le saluant et me tourne lentement vers Hermione.

- Échec et math.


EW : Euh, la meuf est absente deux mois et t'as vu la daube qu'elle nous sort.

AP : Maiiiiiis !

JW : Je dois reconnaître qu'en plus d'être court c'est décevant fade.

AP : Johnny boooooy !

MH : En plus les personnages sont mal décrit. Ca va incohérence sur incohérence pour terminer sur une chute plate.

SH : On se demande pourquoi les gens attendaient ton retour.

AP : MAIS C'EST BON.

EW : On a vexée la petite chérie ?

AP : T'as 13 piges, j'en ai 16. Wait...

JW : Pardon ?

AP : JE VAIS DEVOIR DECRIRE LA CRISE D'ADOLESCENCE D'ELIZABETH.

EW : Oh fuck.

JW : Langage.

EW : Fuck off.

JW : Langage.

EW : Fuck it.

JW : Langage.

EW : Fuck you.

AP : POPOPOPO J'AURAI PAS AIME.

MH : Mais pourquoi suis-je encore là...

NL : Du pop corn ?

SH : Il est plutôt gâteau.

HG : Ooooh ! Moi aussi !

AP : Je craque.

EW : Lâche un com's 3 et je rends !

JW : ...