Chapitre 1

La bataille contre Gerard argent, avait été gagné. Les membres de la meute se rejoignent chez Lydia, pour fêter ça. L'alcool coule à flot Stiles et Lydia sont en train de danser un slow. Stiles ne se sent plus à l'aise parmi cette meute. Depuis quelques temps, Il ne ressent plus d'attraction physique, pour sa douce Lydia. Il l'aime encore, mais plus de la même façon. Il la trouve toujours aussi belle, avec sa chevelure blonde vénitienne. Il sait que leur couple ne va plus aller très loin, même s'il pensait faire sa vie avec elle. Il s'est toujours imaginé marier avec elle, depuis qu'il était à la maternelle. Il doit se faire une raison, l'amour n'est plus là. Mais a-t-il était là un jour ? Son cœur n'en était pas sûr, et ses yeux lui ont montrés le contraire pendant la bataille.

Pendant le slow, Stiles repense au tressautement de son cœur, quand Derek est venu le chercher pour aider la meute. Il savait qu'il devait y retourner, mais il était tellement bien dans sa nouvelle vie. Il a fini ses études de criminologie, mais il a la possibilité de se perfectionner en validant une année de plus, ou s'arrêter et prendre une place dans un commissariat. Il sait qu'il peut travailler avec son père, il lui a déjà proposé. Sur la route pour revenir chez lui, il pensait réellement revenir sur Beacon Hills, auprès de ses amis. Malheureusement, il n'y retrouve plus sa place. Il se sent mieux à new York. Là-bas il peut enfin avoir une vie normale, non y'a pas à dire, il aime beaucoup trop la tranquillité. IL réfléchit toujours à son choix de vie, il a trois choix possibles : revenir à Beacon Hills, retourner à new York se perfectionner ou chercher un travaille dans une autre ville. Il en est là dans ses réflexions, quand le slow pris fin. Il lâche sa petite amie, mais un autre débuta. Lydia commence à bouger, quand Jordan lui demande de danser avec elle. Stiles lui laisse sa petite amie et cavalière avec l'adjoint, et les informes qu'il va se servir un verre. Isaac le rejoint, il commence à lui raconter sa vie en France avec Chris. Il en est à sa cinquième vodka sec, quand il sent une personne derrière lui.

«Derek, on ne t'a jamais dit de ne pas mater les gens de dos. C'est mal poli» dit Stiles.

«Tu ne crois pas que tu as assez bu ?» demande le concerné qui se place à ses cotés

«Non, il me reste encore un verre à boire, ensuite je vais au lit !» s'exclama le jeune homme.

«Bien je n'aimerais pas à avoir à te porter pour te coucher !» répliqua Derek en croisant les bras.

«Toi ? Me porter ?!» s'esclaffa Stiles. «Mais tu es aussi fait que moi ! Tu titubes et tu sais quoi ? Je t'ai même vu rire à une plaisanterie de Scott ! Scott quoi !».

«Finis ton verre et va te coucher, Stiles !» insista Derek.

«Oui papa, j'y vais! Après tout, je dois vous obéir, je ne suis là que pour ça!» cracha-t-il.

«Arrête!» dit le loup.

«Non, je ne m'arrêterais pas! J'étais bien dans ma nouvelle vie, pourquoi a-t-il fallu que tu viennes me chercher!» Cria Stiles.

«Viens, je vais t'emmener dans ta chambre!» dit Derek en le prenant par le bras.

«LÂCHE MOI HALES !» cria Stiles.

La meute, alertée par les cris de Stiles, stoppèrent leurs activités. Ils regardèrent Stiles et Derek, et se demandaient s'ils devaient intervenir.

«Stiles, tu as bu !»

«Bien vu Sherlock !»

«Viens je vais t'…» Derek n'avait pas fini sa phrase, que Stiles le coupa en criant.

«NE ME TOUCHES PAS HALES! TU ES VENU ME CHERCHER DANS MA NOUVELLE VIE!» Il baissa d'un ton et rajouta. «Tu ne m'as pas laissé le temps de leurs expliqués, pourquoi je devais revenir. Je ne leur ai pas dit au revoir parce que Mr HALES, était revenu et en avait décidé ainsi. Tu nous as lâchés i ans, tu m'as abandonné moi. On a dû se battre contre pleins de loups pour que Mr Hales, puisse vivre tranquillement. Tu n'as pas cherché à savoir si on allait bien, si la meute était toujours réunie.»

«Tout a l'air d'aller bien. Tu es en vie et avec la femme de ta vie. Tu fais les études que tu voulais. En quoi ta vie a changé après mon départ?» demanda Derek.

Lydia qui sentit Derek se tendre et commencer à s'énerver, décida d'intervenir.

«Stiles, mon chéri viens avec moi! On va aller dormir.»

«Ah Lydia ! Ma douce et tendre petite amie, tu m'aimes toi ! Hein?»

«Oui, je t'aime Stiles!»

«MENTEUSE, TU ME MENS DEPUIS COMBIEN DE TEMPS, HEIN LYDIA? La parfaite petite amie qui se tape une autre personne, quand son petit ami n'est pas là! Tu me prends pour un con, dis-moi ? Non en faite, dites-moi tout, vous qui êtes censé être ma meute.»

La meute se regarda en chien de faïence, la tête baissée. Personne n'osait parler, donc Stiles reprit.

«Laissez tomber, je suis content d'être rentré! Derek aide moi à aller me coucher s'il te plait.»

Derek sous le choc de la révélation de Stiles, acquiesça et l'emmena à l'étage. Stiles se cramponna à lui et lui demanda.

«Reste avec moi cette nuit, juste cette nuit! S'il te plait !»

«D'accord déshabille-toi, qu'on se mette sous la couette.»

Stiles fit ce que lui demanda Derek, une fois prêt et dans le lit, Stiles se colla à Derek. Les deux garçons s'endormirent une fois bien installés. Ce n'est que dans la nuit que Derek se réveilla, il avait vraiment chaud. Il sentit Stiles allongé sur lui, enfin, il sentit plus la partie de Stiles qui était collé contre son sexe. Il essaya de décaler Stiles, mais cela créa une friction. Son sexe déjà à moitié dure, se durci immédiatement. Stiles se déplaça un peu, ce qui fit gémir Derek. Ce dernier essaya de se maitriser, mais il ne pouvait plus se contrôler, son loup prit le contrôle. Il bougea les hanches, afin de faire durcir Stiles. Une fois qu'il sentit le sexe de son partenaire, il le mit sur le dos. Se mettant à genoux au-dessus de ses cuisses, et commença à le masturber. Stiles se réveilla et Derek commença à reculer, mais Stiles le retint.

«Non encore, fais-moi l'amour cette nuit!»

Derek s'empressa de l'embrasser sur la bouche. Avec ce baiser, il lui montra toute son envie. Il fit retomber sa tête sur l'entre jambe de Stiles et commença à le lécher puis le prit en bouche. Stiles gémit de plus en plus fort. Derek insérera un doigt dans son antre chaud. Son partenaire souleva ses hanches, et lui en demanda plus. Il rajouta un deuxième doigt et fit des mouvements de ciseaux pour le dilater. Sentant qu'il était proche, Derek lâcha le sexe dans un pop et enleva ses doigts. Il se positionna devant l'entrée chaude, et bien dilatée. Il inséra sa queue à l'intérieur de lui et embrassa Stiles. Ce fut après de longs va et viens, et de nombreux gémissements que Derek empoigna la queue de Stiles et le masturba. Ne tenant plus, Stiles joui la tête en arrière. Derek, qui sentit son canal se refermer sur sa queue, céda à l'orgasme et joui à son tour. Stiles se rendormit aussitôt, trop fatigué pour parler. Derek prit conscience de ce qu'il venait de se passer et se maudit. Il se leva, se rhabilla et sortit de la pièce sans un regard en arrière.

La meute était déjà dans la cuisine, il ne manquait que Stiles. Ils ne parlaient pas, ne se regardaient pas, ils savaient que Stiles n'avait pas tout à fait tort. C'était dans un silence religieux que Stiles les rejoignit. Il regarda la meute en fronçant les sourcils, il regarda alors Derek, mais il évita son regard. Ce fut Scott qui prit la parole en premier.

«Stiles, écoute…»

«Ah je vois! Ça va être règlement de compte ce matin!» dit-il en lui coupant la parole.

«Tu ne peux pas penser t'en tirer si facilement après ta scène d'hier soir!»

«Non, mais on peut en parler si tu veux? Depuis combien de temps baises-tu ma petite amie? Alors Lydia, quand me l'aurais-tu dit ?»

«Stiles.»

«Non! Non, je comprends. Après tout, c'est moi qui suis parti pour mes études. Tu n'as pas voulu m'attendre ou comptes-tu jouer sur les deux tableaux? Tu sais Scott, ça me fais mal que tu baises ma copine, que vous me preniez tous pour un con. Oui, vous me prenez pour un con, combien de personnes sont au courant qu'ils baisent tous les deux ?» Tous les membres de la meute baissèrent la tête. «Après tout, ce n'est pas ce qui me fait le plus mal de ta part Scott. Non, c'est le jour où tu m'as tourné le dos. Je suis arrivé à New York le cœur en miette, car tu m'avais viré de ta meute!»

«Bonjour tout le monde!» dit une voix féminine que Stiles reconnaitrait entre mille. «Eh bien, je tombe à un mauvais moment?»

Stiles se tourna alors vers Braeden. Il n'en revenait pas, la mercenaire était enceinte. Ses yeux la suivirent jusqu'à Derek. Son cœur se brisa quand il la vit l'embrasser sensuellement. Il savait maintenant ce qu'il devait faire. Il passerait la journée avec son père et repartirait ailleurs.

«Non, tu tombes très bien, je faisais mes adieux à cette meute. Je ne veux plus rien à faire avec vous. Que je ne vous recroise jamais sur mon chemin, est-ce bien claire ?»

Lydia qui pleurait essaya de le raisonner.

«Stiles, reste s'il te plait! Reste avec moi!»

«Avec toi ?! Jamais, je ne veux plus te toucher.»

«Stiles arrête!»

«Ah, mais c'est Mr HALES à la rescousse de la meute. Tu as raison, je vais arrêter, à moins que tu veuilles que je parle de toi?»

«Stiles, je suis dé…»

«Désolé je sais, moi aussi. C'est plus que je ne peux en supporter. Retourne à ta vie parfaite avec ta copine, et ne me recontacte plus.»

«S'il te plait, je ne suis pas la meute. Je ne savais pas ce qui c'était passé!»

«C'est vrai, mais tu sais quoi Derek? Ce que tu m'as fait est pire. Toi comme le reste de votre meute, m'avez pris pour un con. Vous me contactez que quand vous avez besoin, sinon à la poubelle le Stiles. Ne fais pas cette tête Derek! Tu m'as prouvé encore hier soir, que je n'étais rien qu'une merde, un bouche trou. Alors, je vais passer quelques jours chez mon père. Vous allez me laisser seul, ne me contacter pas. Ne vous approchez pas de ma maison tant que j'y serais ! Est-ce bien claire?»

La meute acquiesça, en silence. Derek avait senti son loup pleurer à ses mots. Stiles ne se considérait plus membre de la meute. Il resserra Braeden contre lui, et posa sa tête sur son épaule. Il voulait lui expliquer pour cette nuit. Il voulait déchiqueter Scott, pour ce qu'il avait fait à son ami.


un grand merci a la louve qui me corrige je ne saurais comment te remercier.