Titre : Sans bon sang...
Résumé : Severus doit se trouver un nouveau travail après s'être fait montrer la porte de Poudlard…Et il se retrouve avec deux gryffondor sur les bras... HP\SS\HG
Disclaimer : Je ne suis ni britannique, ni très riche… De plus, est-ce que je maltraiterais autant des personnages qui seraient mien?
Note : Je suis à la recherche d'une personne courageuse pour être mon ou ma beta...
Severus Snape n'avait vraiment pas eu de chance dans la vie. Après un mauvais départ, ou il avait reçu la marque et qu'il avait énormément regretté, il était maintenant rendu une personne indésirable à Poudlard. Il avait eu beau expliquer à McGonagall qu'il n'avait qu'obéit aux ordres du directeur en lui envoyant le sort fatal, elle lui indiqua malgré tout la direction de la sortie, ne voulant pas avoir un meurtrier parmi son personnel. Elle demeura inflexible malgré les explications de l'homme. Albus aurait comprit la situation, lui, mais il n'était plus là pour lui donner une nouvelle chance.
C'est ainsi qu'il se retrouva un bon matin installé à une table, la gazette ouverte devant lui. Il avait décidé d'éplucher les journaux à la recherche d'un emploi pour pouvoir subvenir à ses besoins. C'était rendu un cas prioritaire puisque ces maigres économies disparaissaient précipitamment. S'il ne voulait pas être dans l'obligation d'errer dans la rue à la recherche d'un coin ou dormir et de quêter pour se nourrir, les gallions devaient rentrer rapidement.
Annonce #1 : Besoin d'agent pour centre d'aide psychologique du aux effets de la guerre. Personne calme et positive recherché. Bon sens de l'écoute obligatoire. Répondre par hibou.
- Pas certain qu'écouter des plaignards à longueur de journée est la meilleure solution. Ce n'est pas mon genre de jouer les consolateur. Annonce suivante…
Annonce #2 : Conseillé mode demandé pour la boutique Madame Guipure. Personne dynamique, convaincante et qui ont une facilité d'aller au devant des autres choisi en priorité. Vous présenter sur place pour une entrevue. Deux postes disponibles.
- Pas pour moi, je n'ai pas envie d'entendre des femmes rechigner sur des couleurs de tenu alors que le noir est tellement plus simple, sobre et toujours approprié… Next…
Annonce #3 : Recherche démonstrateur pour farces et attrapes. Sens de l'humour requis. Contactez Fred ou Georges Weasley.
- Ah non! Certainement pas. J'ai eu assez d'eux durant leur séjour d'étudiants à Poudlard sans avoir à les supporter comme patron. Je n'y survivrais pas…
Annonce #4 : Travail facile et payant. Aucune formation requise. Se présenter sur place pour tester des projets expérimentaux. Bonne santé requise!
- Je n'ai pas vraiment l'air d'un cobaye. Et qui sait ce qu'ils peuvent tester et ce qui pourrait m'arriver. Je n'ai pas survécu à la guerre pour mourir d'une expérience raté… Ensuite, une nouvelle annonce…
Annonce # 5 : Vendeur pour une librairie, doit connaître les livres et savoir les manipuler. Bonnes références nécessaires, ex-mangemort refusé.
- C'est fin ça, pour une fois qu'il y aurait eu un poste pour moi. Qu'est-ce que ça peut bien faire aux livres que je sois un ancien mangemort… grr… Maudits préjugés…
Annonce # 6 : Recherche gardienne à la maison pour adorable petit bambin de un an. Doit aimer les enfants, être patient et amusant. Demandez Parvati ou Ron Weasley.
- Tiens, il a été capable de faire des enfants celui-là? C'est bien sa seule réussite. Mais si le gamin est comme son père, je préfère ne pas m'en approcher…
Annonce # 7: Professeur pour le collège de Poudlard. Patient et bon pédagogue, ayant une certaine connaissance des forces du mal pour enseigner la matière. Envoyez hibou à Minerva McGonagall.
- Elle m'a mis à la porte, pas convaincu qu'elle me reprendrait… La dernière…
Annonce #8 : Scientifique recherché pour la recherche médicale. Passionné des potions demandé. Horaire flexible. Connaissance en magie noire serait un atout. Se présenter avec références.
- Celle-là est parfaite pour moi… Je vais immédiatement me présenter pour ne pas laisser la chance à personne de prendre le poste qui me revient.
L'homme se leva et après s'être assuré qu'il paraissait bien, il transplana et arriva devant le numéro indiqué dans l'annonce. Il fut surpris de voir que c'était une petite maison au lieu d'un bâtiment industriel comme il s'y attendait. Il marcha vers la porte en traversant lentement la cour, en profitant pour humer la bonne odeur de l'herbe fraîchement coupée. Il frappa ensuite à la porte, deux coups francs mais pas trop brusque, pour annoncer sa présence. Lorsque qu'on lui ouvrit, c'est le visage d'Harry Potter qui était là.
- Je viens pour l'emploi, dit simplement Severus.
- Je me doute bien que vous n'êtes pas ici pour moi, mais je suis content, j'espérais réellement que ce sois vous qui preniez le poste. répondit le jeune homme.
- Et pourquoi donc, Monsieur Potter?
- Parce que je sais que vous êtes une personne fiable.
- Je vous rappelle que j'ai tué le directeur, rétorqua Snape.
- Contre votre volonté, à sa demande… Et oui, je suis au courant. C'est pour cette raison que je sais que vous ne laisserez pas ce poste sans avoir au préalable trouvé une solution à mon problème.
- De quel problème parlez-vous?
- Suivez-moi, je vais vous expliquer ce qu'il y a à faire.
Rendu dans le petit salon de la résidence, le survivant enleva le sort de dissimulation qui pesait sur lui. Severus vit alors des plaques rouges et des bouts de chairs pendants sur le visage du jeune homme. On aurait dit une toile de maître dont la peinture s'écaillait et décollait. La vue était horrible et aurait coupé l'appétit au plus affamé des hommes.
- C'est un remède pour ça qu'il faut trouver, reprit Potter rapidement. C'est le dernier cadeau que m'a fait Voldemort avant de disparaître définitivement. À Ste-Mangouste ils ne savent pas quoi faire pour moi.
- J'avais déjà entendu parler de se sortilège mais c'est la première fois que j'en vois les effets. Et je suis certain que le Lord n'avait prévu aucun remède pour ça.
- C'est exactement pourquoi je vous engage. Pour être celui qui trouvera la solution. Je ne suis pas le seul à avoir reçu le sort, vous pourriez améliorer plus d'une vie.
- Ça c'est seulement si je trouve un antidote, ce qui n'est pas si sur.
- Mais comme vous êtes un combattant et que votre fierté est forte, je sais que vous tenterez tout pour réussir.
Sale manipulateur, il réfléchit comme un parfait Serpentard
- Et si j'accepte, quelles seront mes conditions de travail?
- J'ai choisi cette maison parce que le sous-sol est en fait un grand laboratoire. Je crois que vous y serez très bien pour travailler et j'ai aménagé une chambre à l'étage pour vous y loger.
Pour la première fois de sa vie, Severus sentit de la pitié l'envahir. Il n'avait jamais vraiment enduré la présence du fils de son ennemi près de lui, mais pour une fois c'était différent. Il voulait l'aider, il voulait trouver le remède qui lui rendrait sa peau de jeune homme. Et surtout, il avait besoin de se poste pour avoir un revenu.
- Ça ira, je commence quand? Demanda Snape.
- Dès que vous êtres prêt.
Dès l'après-midi, Severus arriva avec ses affaires dans la résidence de Potter. Il prit quelques minutes pour installer sa chambre puis il alla à la rencontre du jeune homme.
- J'ai quelques questions à vous poser avant de commencer les recherches, dit-il en le voyant.
- Allez-y, l'invita Harry.
- Premièrement, je dois savoir jusqu'ou vous avez des problèmes?
- De la tête au pied!
- Partout?
- Oui, partout.
- Même… en bas… là? Demanda Severus en pointant l'entre-jambe du jeune homme.
- Si vous parlez de mes parties intimes, oui, jusque là.
Severus se senti légèrement honteux d'avoir à questionner si intimement le jeune homme. Une légère teinte de rouge passa rapidement sur ses joues.
- Je croyais qu'à votre âge ce n'était plus gênant de parler de fesses et de pénis.
- N'exagérez rien Potter! C'est juste que ne croyait pas avoir à vous soigner jusque là.
- Pourtant vous vous abstenez de dire ces mots, c'est si simple, essayez… Pénis, fesses… vous voyez.
- POTTER!
Le ton avait légèrement augmenté et Harry préféra cesser de taquiner l'homme pour ne pas perdre ses chances qu'il fasse de la recherche pour lui.
- N'empêche que vous allez vraiment devoir me soigner jusque là parce que je tiens à mon équipement.
- Bien sur, le héro du peuple à besoin de tous ses atouts pour pouvoir courtiser la gente féminine qui ne rêvent que de lui.
- Petite correction, dit Harry, c'est plutôt la gente masculine qui m'intéresse.
Deux-zéro pour Potter, encore une fois le rouge passa sur les joues de l'homme habituellement froid.
- Ne me dites pas que d'apprendre que vous travaillerez pour un gay vous choque?
- Pas du tout, se reprit rapidement Severus. C'est simplement que je ne vous pensais pas de se côté.
- Et vous, de quel côté êtes-vous?
- Vous êtes beaucoup trop indiscret, ça ne vous regarde pas.
- D'accord, donc vous êtes un gay refoulé qui ne s'assume pas. Pourquoi nier qui vous êtes vraiment?
- Potter! Cessez immédiatement. Je suis ici pour trouver un remède qui vous aidera et non pour discuter de mon orientation sexuelle qui ne vous concerne absolument pas… Maintenant, si vous voulez bien me décrire ce que vous ressentez, douleur, picotements ou autre.
- C'est simple, ça me démange constamment et si j'ai le malheur de me gratter, la peau décolle dans une incroyable sensation de brulure.
- Toutes les caractéristiques d'un sort réussi, le Lord avait le don pour créer des sortilèges douloureux.
- Et je suis certain que vous aurez le don d'y trouver un antidote, dit Harry sur le même ton.
- J'y travaillerai de mon mieux mais je ne garantie rien. Ces sorts sont faits pour ne pas être contré. Au pire, je vais pouvoir alléger vos souffrances avec une crème calmante.
- C'est un bon début, mais j'ai confiance en vous pour pouvoir aller jusqu'au bout!
Severus passa deux jours entiers enfermé dans le laboratoire. Il avait ordonné à Potter de ne pas le déranger sous aucun prétexte.
Pendant ce temps, Harry avait eu la visite de sa bonne amie Hermione.
- T'as réussi à le convaincre d'accepter, dit-elle tout ébahit.
- Oui, j'ai suivi ton conseil. J'avais placé une annonce et lorsqu'il s'est présenté, j'ai flatté son égo de Serpentard. Il ne pouvait plus refuser.
- Et il n'a pas demandé à toucher tes plaies?
- Non, c'est probablement trop dégoutant pour avoir envie de le faire.
- Je ne sais pas comment te remercier. C'est tellement fantastique! Jamais je n'aurais cru entendre une aussi bonne nouvelle aujourd'hui.
Hermione avait été elle aussi atteint par le même sort qu'Harry. Et elle aussi ne savait plus trop quoi faire pour faire diminuer la douleur qui la traversait à chaque fois qu'on la touchait.
- Grâce à lui, bientôt toi et moi retrouverons notre peau d'avant.
- Attention Harry, rien n'est encore gagné. Ce n'est pas certain qu'il réussisse non plus.
- C'est Snape, Mione, il a trop d'orgueil pour échouer.
- Ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué, tu seras trop déçu s'il n'y arrive pas.
- Mais au moins, maintenant, j'ai de l'espoir…
- Ron va être content d'apprendre la nouvelle.
Lorsque Severus daigna enfin sortir du laboratoire, quarante-huit heures plus tard, il avait une fiole contenant une substance rose à la main. Il approcha d'Harry et lui expliqua qu'il croyait que cette concoction ferait cesser les démangeaisons. Il prit quelques goutes du produit et les fient tomber sur la main du jeune homme. Dès que le liquide toucha la peau d'Harry, ce dernier se mis à hurler de douleur et les larmes lui virent aux yeux.
Severus ne comprenait pas vraiment ce qui se passait, il avait pourtant testé la potion sur un chat avant de l'administrer au jeune homme et la bête avait aussitôt cessé de gémir et de se gratter. Il ne s'attendait donc pas à ce que les résultats soient différents avec un être humain et comme s'était le cas, ça compliquait drôlement les choses. Il allait toujours devoir tester ses potions sur Harry et n'aurait pas la chance de lui épargner les souffrances d'un essai raté.
Lorsqu'Harry se calma enfin, après près de deux heures de maux, Snape lui demanda de décrire du mieux qu'il pu la douleur qu'il avait ressenti pour pouvoir avoir une idée de base pour recommencer ses recherches. Ensuite, il retourna à son laboratoire, voir ce qu'il pouvait modifier pour faire avancer son travail.
Ce n'était pas évident pour Severus de trouver une solution, puis qu'il était impossible que le résultat soit une crème car en étendant celle-ci, la peau du jeune homme arracherait. Il ne voulait pas non plus lui faire boire une potion parce que les effets d'une potion ingérée resteraient plus longtemps dans le système du jeune homme et en cas d'erreur, il souffrirait encore plus. Il voulait donc absolument trouver un liquide qu'il pourrait faire couler sur Potter pour l'enduire complètement si cette potion fonctionnait.
Et il savait qu'il devait faire très rapidement, il n'en avait pas avisé Harry, mais il avait entendu le Lord dire une fois que ce sort s'activait aussi sur les organes internes. Donc il était possible que le jeune homme se désintègre de l'intérieur sans le savoir, ce qui réduirait considérablement son espérance de vie. Mais il ne voulait pas lui rajouter une part d'inquiétude en lui révélant l'information.
Ça faisait maintenant quatre jours que Severus faisait des tentatives pour trouver une solution aux douleurs du jeune homme, mais rien jusqu'à présent ne l'apaisait. Ce n'était pas évident pour le chercheur, il devait essayer de penser comme Voldemort pour réussir à trouver une solution. Mais le Lord n'aurait jamais cherché de remède à un sort particulièrement douloureux, il aimait trop voir les gens souffrir jusqu'à la mort. Et il était définitivement plus complexe de chercher une solution à un sortilège qu'à une potion empoisonné. Avec un sort, tout était qu'essais et erreur tandis qu'avec une concoction, on avait un point de départ pour trouver l'antidote.
Hermione venait voir Harry à tous les jours dans l'espoir qu'il ait une bonne nouvelle à lui annoncer. Elle avait hâte de voir ses démangeaisons diminuer.
Lorsqu'Harry annonça à Snape que la brunette était atteinte du même mal que lui, Severus ne pu s'empêcher de maugréer un peu. Puis, il décida de tourner la situation à son avantage. C'est ainsi, qu'à la fin de la quatrième journée, il demanda à Hermione de devenir son assistante. Ainsi, à deux, ils doublaient les chances de réussite. Il du évidement piler sur son orgueil pour avouer qu'Hermione avait un talent en potion et une bonne connaissance, mais pour sauver des vies, il pensait que c'était peu cher payer.
Severus fut surprit de constater après quelques heures auprès d'Hermione, que ces symptômes à elle était beaucoup moindre que ceux d'Harry.
- Comment ce fait-il que vous ayez moins de démangeaison que Potter?
- Je calme un peu la douleur avec un analgésique moldu.
- Et ça fonctionne?
- Un peu, mais pas suffisamment, ça calme la douleur mais elle ne disparaît pas totalement.
- Pourquoi ne pas en avoir parlé avant? Demanda-t-il.
- Quoi, je ne pensais pas que ça puisse être important de le faire.
- Pas important! Pas important! Mais votre copain Potter souffre le martyre et vous ne lui dites rien pour le soulager, constata Snape.
- Je lui en ai parlé une fois… je crois l'avoir fait en tout cas.
- Donnez-moi ce produit que j'analyse sa composition, on a peut-être le début du remède qui vous aidera tous les deux.
Hermione lui tendit le contenant d'analgésique. Severus regarda immédiatement les ingrédients.
- Mais c'est quoi ce truc? Il n'y a aucune plante connu dans ces choses!
- C'est chimique, expliqua Hermione. Les chercheurs ont trouver le moyen de faire des médicaments qui font réagir certaines glandes de notre corps en fonction de ce qu'il faut régler comme douleur ou malaise.
- Et comment je fais pour travailler à partir de ses ingrédients?
- On peut aller dans une bibliothèque moldu et faire des recherches sur les produits, on pourra surement ainsi trouver par ou commencer.
Severus tiqua à l'énoncer d'aller dans un endroit moldu, ce n'était pas du tout un endroit qui lui tentait. Il proposa donc que la jeune femme et Harry aillent y faire un tour pendant que lui préparait un nouvel essai.
- Pourquoi tu ne m'as pas dit avant que tu prenais des cachets? Demanda Harry lorsqu'Hermione lui tendit deux pilules.
-J'étais certaine de t'en avoir parlé, dit-elle.
- Non, je n'étais pas au courant. C'est une bonne nouvelle si ça aide vraiment.
- Dans mon cas, ça réduit un peu la douleur sans pourtant tout enlever.
- Et c'est à partir de ça que Snape veut poursuivre les recherches? Questionna Harry.
- Oui, au moins pour trouver une façon d'éliminer complètement la douleur. C'est pour ça qu'on va à la bibliothèque, pour trouver le plus d'informations possibles sur les médicaments et les ingrédients entrant dans leur composition.
- Et si… débuta Harry, pensif.
- Quoi, si tu as une idée, dit-le, insista la jeune femme.
- Ben… Voldemort n'a certainement pas prévu qu'un sorcier utilise un remède moldu, donc, je pourrais peut-être aller voir un médecin et il me prescrirait exactement le médicament qu'il croit utile pour mon problème.
- Bien sur! Pourquoi n'y aie-je pas pensé avant? S'exclama Hermione.
- Va à la bibliothèque pendant que je vais à la clinique. On se rejoint ensuite à la maison à la fin de la journée.
- D'accord, à plus tard.
La visite du jeune homme dans une clinique ne fut pas aussi simple qu'il l'avait imaginé. Il ne pouvait logiquement pas dire au médecin qu'il avait reçu un sortilège lorsqu'il le questionna sur son mal. Il du donc inventer qu'il s'était levé ainsi un matin sans savoir pourquoi.
- Vous n'avez aucune idée de ce qui vous est arrivé? Insista le docteur.
- Non, je ne sais pas comment expliquer ce qui m'arrive, mais c'est très douloureux et j'aimerais avoir quelque chose pour soulager le mal.
- Je vais devoir prendre des prises de sang pour faire faire des analyses. C'est très étrange tout ça. Mais à première vue, je dirais que ce doit être une réaction allergique quelconque. Mais habituellement la peau ne décolle pas pour une allergie, c'est pour ça que je suis perplexe quand à votre cas… Je vais vous prescrire une crème pour soulager les démangeaisons et dès que je reçois les résultats, je verrai ce que je peux vous donner de plus.
- Merci beaucoup, dit Harry qui avait écouté attentivement le praticien.
Dès qu'il quitta le bureau, il alla dans la toilette du bâtiment et il appliqua l'onguent sur lui. Immédiatement, une sensation de fraicheur le parcourra, comme lorsqu'on applique un cube de glace sur sa peau.
Il se dépêcha donc de repartir vers chez lui pour avertir Severus de sa découverte.
Voilà le premier chapitre de terminé… J'espère que ça vous a plu, la suite viendra sous peu… Dans le prochain chapitre, l'histoire commence réellement…