Angel Of Justice
Prologue:
Le néant.
Tout ce qu'elle voyait était le noir. Le noir complet.
Le froid, aussi.
C'était le froid qui l'avait réveillé.
Le froid qui paralysait chacun de ses membres, la mordait, lui arrachait des frissons.
Mais elle préférait le froid mordant au chaud brûlant.
Cette chaleur étouffante, qui vous prive d'oxygène, qui vous donne l'impression qu'un brasier c'est allumé en vous et fait fondre chacun de vos os, de vos muscles dans une horrible douleur...
Elle redoutait plus que tout cette chaleur.
Elle préférait de loin le froid mordant, car le froid pouvait toujours être contourné par la chaleur mais la chaleur, elle, était insurmontable.
C'est pour ça qu'elle restait calme, devant ce rideau noir...depuis combien de temps était-elle en train de contempler le néant derrière ses paupières?
Parce que, il lui paraissait logique qu'il s'agissait de ses paupières, ses paupières à elle, fermées.
Et si ce n'était pas le cas ? Elle allait commencé à paniquer.
Non, elle allait ouvrir les yeux, il fallait qu'elle le fasse.
Sinon la panique allait la gagner. La panique, la peur d'être coincée devant cette énorme étendue noir. Pourtant elle aimait bien le noir. Elle préférait de loin le noir qu'au bleu, au rose ou au vert.
Se retrouver impuissante devant une étendue verte citron ou rose fushia paraitrait ridicule. Non, décidément, le noir est la couleur la plus adaptée à la situation.
Alors qu'elle philosophait sur la couleur noir qui représentait le néant, elle crut apercevoir un petit point lumineux, blanc.
Blanc, le contraire du noir, depuis la nuit des temps. Cela a du apparaître comme une sorte d'illumination aux humains: Le blanc est le contraire du noir. Le blanc signifie le bien , la pureté.
Et le noir le mal, la souillure, la Mort, avec un grand M: le point de non-retour.
Plus elle se concentrait sur ce point, plus elle ressentait une sorte d'inquiétude. Tout à coup, une multitudes de points blanc vinrent briser le calme et la quiétude du néant.
Par peur, inquiétude, surprise ou dans un geste totalement impulsif, elle ne savait pas: elle ouvrit les yeux, très grand, presque à s'en décoller les paupières et inspira une énorme bouffée d'air
qui brutalisa ses poumons en les contractant violemment.
Elle sentit chacune de ses alvéoles pulmonaires poussées a leurs extrêmes pour contenir toute cette quantité d'air qu'elle venait d'absorber, en émettant un son rauque, comme un sac plastique
qu'on gonflait d'un coup. Elle perçut une horrible douleur, comme des milliard de pansements qu'on lui arrachait en même temps. Cette douleur était tellement forte qu'elle lui aurait
sûrement fait poussé un cri, si elle avait pu crier, mes ses cordes vocales tenaient à rester muettes.
Elle sentit des picotements violent au niveau de son estomac, qui lui donnaient la nausée.
C'était comme si elle renaissait, mais dans un corps beaucoup plus vieux, enfin elle le pense, elle ne savait pas qu'elle âge elle avait, elle se disait juste qu'aucun nourrisson aurait pu philosopher sur le néant un peu plus tôt.
Maintenant qu'elle y pensait, elle ne savait rien d'elle même...Elle n'aurait pas su dire qui elle était , ni son âge, ni son nom, ni son sexe, ni même si elle était humaine.
Elle pensait qu'elle était une femme mais après tout il se peut qu'elle soit quelque chose de tout à fait différent, un chat ou encore un oiseau, comment aurait-elle pu le savoir?
La panique s'empara d'elle à nouveau, et affaiblit par la douleur causée par son réveil, elle ne pu l'éviter.
La sueur commença à perler sur sa peau, oui sa peau, elle ne sentait ni poils ni plumes mais belle et bien l'aspect lisse perturbé par seulement quelques sillons d'une peau avec un épiderme et tout le reste.
Elle se sentit rassurée, mais, sa conscience la mettait en garde. Après tout, les lézards aussi avait une "peau". Mais les lézards transpirent-t-il ? Sûrement pas, mais est-ce vraiment de la sueur qu'elle sentait ? Peut-être pas...Alors qu'est-ce que cela pouvait être? Elle avait sentie cette chaleur étouffante significative pourtant...
Non elle se posait trop de questions, se torturer l'esprit comme cela ne servait à allait encore plus s'inquiéter et augmenter son mal-aise. Et la panique reviendrait, elle la sentait, elle est tapi dans l'ombre de son esprit ,comme une sorte de prédateur qui sauterait au cou de sa cible dès qu'elle serait vulnérable.
Rien que le fait d'y penser la révulsait. Un goût lui parvint dans sa bouche, celui du sang. Elle s'empressa de vérifier: elle reconnut une langue, des gencives, des molaires, un palet...Oui c'était bien une bouche humaine, pas de toute là-dessus.
Alors elle est une personne, une personne humaine. Maintenant elle allait pouvoir arrêter cet examen ridicule de son propre corps et pouvoir voir où elle était.
Pendant qu'elle se bornait à savoir de quelle race elle était issue, ses yeux avaient eu largement le temps de s'habituer à l'obscurité et elle pu sans grandes difficultés reconnaître une pièce.
Non encore mieux, elle avait même l'impression de se trouver dans une chambre. Une chambre très mal éclairée.
Tout ses muscles la faisait atrocement souffrir. Elle dû y aller progressivement afin de tourner sa tête vers la droite et vers la gauche afin de pouvoir examiner les alentours.
A droite se trouvait une fenêtre, seule source de lumière dans la pièce et à sa gauche une série de porte. Elle ne pouvait pas voir le reste, il y avait bien trop peu de lumière.
Il lui parut donc logique que la seule chose qu'il lui restait à faire était de traîner son corps quelques mètres jusqu'à la fenêtre et ensuite pouvoir examiner le reste de l'appartement.
Le fait de se lever lui demandait une préparation physique et psychologique: elle savait pertinemment qu'elle s'exposait à une douleur, elle en avait déjà eu un avant goût lorsqu'elle avait tenté d'observer les alentours.
Elle rassembla toute ses forces et se leva.
Elle émit une sorte de grognement: tout ses muscles se tendaient : ses abdominaux ventrales se contractaient, lui faisant ressentir les mêmes picotements que lorsqu'elle avait eu la nausée, tout les muscles de ses jambes tentaient de soutenir son poids, ils étaient tous sollicités et elle essayait tant bien que mal de tenir debout sans chuter et de maîtriser ses tremblements.
Finalement elle prit pour appuie un mur et finit par atteindre la fenêtre debout, à la verticale.
Il ne s'agissait pas d'une fenêtre comme elle l'avait penser mais d'un balcon. Elle souleva le rideau et observa l'extérieur: il faisait très beau et très chaud aussi. Elle attendit quelque minutes baignée dans la lumière, le temps que ses yeux s'habituent à la lumière du soleil,et sortit. Ses pieds nus rencontrèrent le carrelage qui décorait ce balcon. Elle tremblat un peu au contact froid avec ces petit carrés de pierre glaciale, mais cette fois elle réussit a se maîtriser.
Elle reporta son attention sur la petite pancarte accrochée sur le building en face d'elle: Elle était écrite en anglais. Elle était donc dans un pays anglophone.
Une jeune femme portant une robe et cheveux au vent faisait la publicité d'une nouvelle marque de parfum. Mais ce n'était pas la femme en elle même qui la surprenait mais la taille de la pancarte:
Elle devait bien faire 40 mètres de hauteur. Tout à coup, ses tympans commencèrent à sifflés: les sons commencèrent à lui venir, ceux des voitures klaxonnant, des vendeurs ambulant, des cris de joies des passants,et des pleurs de bambins...
Elle se pencha au-dessus de la rambarde pour regarder en-bas et vit une sorte de marée humaine: des dizaines de milliers personnesse pressaient, couraient, marchaient dans toute les directions dans son champs de lorsqu'elle levait les yeux, tout ce qu'elle voyait c'était d'immenses buildings qui surplombaient le paysage, tout plus grand les uns que les autres.
Elle ne connaissait qu'un endroit où elle pouvait trouver aussi grouillant de vie et où elle pouvait voir tant de building:
Elle devait être dans une des plus grandes agglomérations des États-Unis.
Elle grimaçât: elle n'était pas très friande des contacts avec les humains, elle préférait la solitude. Mais elle était très curieuse et mourait d'envie de sortir et découvrir le monde de dehors.
Alors elle rentra dans la pièce et pu enfin regarder là où elle avait atterri. Elle reconnaissait bien là le style miteux d'une chambre d'hôtel de la downtown.
Elle était dans une chambre d'hôtel assez modeste: la peinture verte qui peignait les murs était écaillée. Le parquet était très vieux et les nombreux moutons de poussières qui jonchaient le sol laissai penser à plusieurs jours sans que personne ne soit venue nettoyer cette chambre.
Il y avait une armoire en imitation bois, très vielle et pas très grande, son lit , qui tenait avec difficultés sur ses deux seuls pieds, une commode, et sûrement un peu plus loin, une salle-de-bain.
Elle s'avançât vers l'armoire puis examina son contenue: elle n'avait à sa disposition que des habits noirs. Cela lui convenait: elle n'aimait pas trop les autres couleurs.
Elle pris un short, un pull, une paire de collant, des bottes , tous de la même couleur: noir, puis elle se dirigeât vers la série de 3 portes au fond de la pièce.
L'une d'elle était la porte d'entrée, l'autre donnait sur de petit cabinets et la dernière, sur la salle-de-bain..
Elle se stoppa nette devant le miroir et laissa tomber les vêtements qu'elle portait dans ses bras à terre.
L'image que lui renvoyait le miroir était celle d'une jeune femme d'environ 20 ans , elle était grande, dans les 1m75, et aussi très très mince, presque anorexique. Ses
cheveux étaient d'un noir profonds, ils étaient long, lui arrivaient jusqu'à la taille et formaient des longues boucles anglaises. Ses yeux étaient grand et très sombres, de légers cernes sombres apparaissaient sous ses cils mais ils étaient plutôt violet clair que bleu ou noir. Sa peau était de couleur resta comme cela à se dévisager pendant plusieurs minutes.
Soudain elle ressenti des picotements elle regarda de plus près ses bras et fut horrifiée: De longues cicatrices rappelant celle que pouvait laisser un rasoir étaient présentes sur l'intégralité de ses avant-bras.
Et le pire étaient qu'elle ne savait pas du tout d'où elle provenaient. En fait elle ne se rappelait de rien : ni de son nom, ni de son âge, ni de comment elle est arrivée ici.
Elle sentit la panique la regagnée et fit alors la première chose qu'il lui passa par la tête: s'assoir à même le sol en tailleur et battre des jambes. Ce geste la calma immédiatement.
Bien vite, elle retrouva son calme et pu changer de vêtements. Elle trouva les clés de la chambre sur la commode en face de la porte.
Elle se demandait vraiment qui l'avait laissé là...Il lui paraissait logique que quelqu'un avait prévue qu'elle allait se réveiller et vouloir sortir. Elle sortie de la chambre et regarda les chiffres gravées sur la porte:
212.
Elle retint mentalement se nombre. Elle prit les escaliers et arriva bien vite au rez-de-chaussée mais avant de sortir, elle se retourna vers la réceptionniste.
Une femme d'âge plutôt mûr aux long cheveux blonds et aux yeux bleu bordés de petites rides.
-Excusez-moi dit-elle.
-Oui, je peux vous aidez ? répondit la réceptionniste
-Et bien , j'aurais voulut savoir si vous pouviez le donner quelques informations au sujet de la chambre 212 s'il-vous-plaît
La réceptionniste la regarda d'un regard soupçonneux mais sa politesse et son regard doux eurent raison d'elle:
-Bien sûr : elle a été réservée par Mlle Lucinda Richards hier soir.
Alors elle s'appelle Lucinda...Lucinda Richards.
-Est-ce que c'est Mlle Richards qui à réservée cette chambre directement ?
-Non c'est sa sœur: Mlle Emily Richards, d'ailleurs j'ai un message à lui délivrée de sa part. Dit la femme aux cheveux blonds
Emily...ce nom ne lui disait rien. Mais il était évidant que c'était cette femme qui lui avait réservé cette chambre d'hôtel et Lucinda devait savoir quel était ce message.
Elle tendit la main à la femme par dessus le guichet de réception:
-Je suis Lucinda Richards. Ravie de vous rencontrer.
La réceptionniste resta bouche-bée quelques secondes:
-Oh Mlle Richards, je suis désolé, je ne m'attendais pas à vous voir d'aussi bonne heure! bégaya-t-elle
-Il n'y a pas de quoi, vous ne pouviez pas le prévoir. Dit Lucinda lui offrant par la même occasion un sourire éblouissant
-Je m'appelle Stella Armstrong dit la femme
-Armstrong...comme dans le roman des dix petits nègres d'Agatha Christie ? demanda Lucinda
-Oui s'exclama-t-elle, vous êtes cultivée! dit la blonde
-Je n'ai aucun mérite à ça, donc, j'ai crue comprendre que ma sœur m'avait délivré un message dit la jeune femme
-Oui elle m'a laissé ça à votre attention.
La réceptionniste aux cheveux blond lui tendit un sac noir avec une tête de mort blanche cousue sur le flanc qui bizarrement allait parfaitement avec sa tenue du jour.
Mais elle ne pouvait pas en examiner le contenue ici, devant cette femme, dans se rez-de-chaussée désert.
Elle savait que la plus part des réponses à ses questions se trouvaient dans se sac, et que c'était pour cette raison, elle ne pouvait pas l'ouvrir ici.
-Merci , je m'absente quelques heures je reviendrais sûrement en fin d'après-midi dit Lucinda
-Bien , au revoir.
Lucinda sortie de l'hôtel et pu prendre une bonne bouffée de gaz carbonique: elle respira à plein poumons, a s'en étouffer. Elle se laissait emporter par le flot de passants, et finit par s'arrêter devant un café.
Une pile de journaux se trouvait devant l'entrée, elle en prit un par hasard et lu machinalement le titre:
Los Angeles Times: parut le 29 novembre 2003.
Donc elle était à Los Angeles et on était le samedi 29 novembre 2003...
Elle feuilleta machinalement le journal et tomba sur un article qui éveilla son pressentiment de malaise qu'elle avait eût plus tôt dans la matinée:
"Hier au Japon, Otoharada Kurou, le meurtrier qui à tué et blessé 6 personnes avant-hier à Shinjuku c'était barricadé dans l'infirmerie d'un établissement scolaire et tenait en otage 8 enfants et employés de garderie, lorsque vers 18h30, tout les otages furent libérés, et les policiers ne trouvèrent dans l'infirmerie que le corps du meurtrier.L'autopsie révèle une crise cardiaque.
La victime, âgée de 42 ans ne montrait pourtant aucun signe de faiblesse physique."
Lucinda fronca les sourcils et porta son pouce gauche à ses lèvres. Elle fixait l'article soucieuse: elle ne savait pas pourquoi, mais cette histoire de mystérieuse crise cardiaque ne présageait rien de bon. Rien de bon du tout...Elle ferma les yeux et tenta de se reprendre, après tout ce n'est rien , les enfants sont sains et saufs c'est le principal.
Elle se trouva une table au fond de la salle, posa le journal sur un coin de table et ouvrit son sac afin d'en examiner le contenue.
-Bonjour, je peux vous servir quelque chose?
Lucinda se tourna surprise vers la jeune serveuse, calepin à la main attendant sa commande.
Au même moment, son ventre se mit à gargouiller...cela devait faire plusieurs heures qu'elle n'avait rien manger, alors elle dit la première chose qui lui passa par la tête:
-Je vais vous commander un verre de lait frais avec quelques cookies.
Elle se sentit honteuse de commander du lait dans un café, mais la serveuse ne semblât pas surprise, elle écrit la commande sur son petit bloc-notes et disparut.
Du sac, Lucinda sortie une montre : elle montrait 9h30 du matin, elle sortie aussi un porte-feuille contenant environs 500$ et une carte de crédit, une carte d'identités
qui décrétait qu'elle était une citoyenne américaine de 22 ans née à Los-Angeles, un permis de conduire, un portable, et deux bouts de papiers qui ressemblait à des lettres.
La première venait de la police de Los-Angeles et disait que Lucinda avait été retenue pour devenir un agent mobile du commissariat de Police de Los Angeles et qu'elle commençait demain.
La deuxième avait été écrite à la main, d'une écriture claire et raffinée:
Ma chère Lucinda,
J'espère que tu vas bien, j'imagine que tu ne dois pas comprendre ce qu'il t'arrive,
Je suppose que tu ne dois avoir gardé aucun de tes souvenirs, c'est pour cela que je te demandes de ne pas trop sortir, même si je sais que si tu lis cette lettre c'est que tu n'es plus dans l'hôtel.
Tu as tout ce dont tu as besoins dans ce sac, un permis de conduire, une carte d'identités, de l'argent, un portable, même si tu n'as personne à appeler encore avec...
Tout ce dont tu as besoins pour cette nouvelle vie qui commence,
Et pour cette mission que tu as à accomplir.
Tu dois te demander qui je suis,
Ne sois pas impatiente, tu le sauras bien assez tôt.
Au fond de ce sac, tu trouveras aussi un collier noir avec un croissant de lune en émeraude,
Je voudrais que se soir lorsque tu seras dans ta chambre d'hôtel, tu le porte.
Voilà je crois que je t'ai tout dis,
n'agit pas sans réfléchir aux conséquences comme à ton habitude.
Utilise ton cerveau Luce...
PS: Ta carte de crédit a pour code 25898, et elle contient environs 500 000$ : ne gaspille pas tout, même si je sais que tu n'es pas dépensière.
La dernière phrase eu l'effet d'une bombe sur Lucinda: 500 000 dollars! C'était énorme!
Un cris de surprise retentit dans le café. Tout le monde se retourna vers la jeune femme rouge tomate au fond de la salle en train de suffoquer devant une feuille de papier.
Elle remarqua que tout les regards étaient tournés vers elle.
Lucinda grogna...elle qui n'aimait pas attirer l'attention, c'était raté. Elle avala ses cookies et son lait avant de payer l'addition et de déguerpir le plus vite possible du café.
Il lui fallait trouver une tenue pour pouvoir se présenter à son nouveau travail ( dont elle n'avait toujours pas compris l'utilité).
Elle soupira et ressortie la feuille. Elle sourit: Cette Emily avait l'air de bien la connaître.
Mais elle avait surtout l'impression que la zone sur laquelle elle était sur le point de s'aventurer allait se révéler très dangereuse et qu'elle n'en ressortirais pas indemne.
Voilà donc voici le prologue de ma première fan fiction.
J'espère qu'il vous a plu et qu'il vous donne envie de continuer l'histoire!
J'aimerais tout d'abord remercier Lulu Murdoc , (ou L2 pour les habitués)
qui m'a beaucoup aidé pour ce prologue, et je vous conseille, si ce n'est pas
déjà fait d'aller lire quelque-unes de ses fan-fiction!
Elles m'ont beaucoup inspiré!
La suite de l'histoire ne devrait pas tarder, quelques jours minimum et 1 ou 2 semaines maximum!
Voilà, donc n'hésitez pas à laisser des reviews, vu que c'est mon premier écrit, ça m'aiderait beaucoup d'avoir vos avis.
Bonne journée/soirée à tous!
