Bonjour ou bonsoir tout le monde. Je suis tellement heureuse de vous retrouver aujourd'hui pour une nouvelle fanfiction.
J'ai eu une grande envie depuis quelque temps : imaginer un de mes couples préféré en tant qu'Anastasia Steele et Christian Grey. Et ce couple est ... DU MALEC. J'espère réussir à retranscrire l'histoire de la très talentueuse E.L James. J'essaye à tout pris de ne pas écrire l'histoire mot pour mot, mais de ne pas changer également l'histoire. J'espère que vous serez indulgents avec moi, 50 nuances de Grey est une histoire que j'adore autant en livre qu'en film.
Disclaimer : L'histoire appartient un petit peu à moi, mais en très très très grande partie à la talentueuse E.L James même si elle ne lira jamais cette histoire. Les personnages appartiennent à la magnifique Cassandra Clare que j'admire énormément.
Rating : Un énorme M ! Pour tous ! Le langage, les allusions sexuelles, les scènes très peu innocentes.
Paring : Alec/Magnus, Magnus/Alec
Résumé : Alexander Lightwood, jeune étudiant en lettres se retrouve à interviewer Magnus Bane, grand P-DG de la Bane Entreprises, qui est un homme beau, brillant, séduisant et pour le moins intimidant. Tout le contraire d'Alec qui reste un homme innocent et naïf, va se rendre compte qu'il désire cet homme mystérieux.
Pour plus de détails, vous devriez lire (lol)
Rythme : Je n'en sais rien pour pas vous mentir.
J'ai vraiment corrigé mes fautes, je prie pour que ce soit lisible et qu'il n'y est pas de grandes fautes.
J'ai fini cette introduction, n'oubliez pas avant tous, s'il vous plaît, que cela est une histoire basée, et même écrite du livre 50 nuances de Grey ou comme je préfère Fifty Shades Of Grey.
Je vous souhaite une très bonne lecture et que le spectacle commence...
50 NUANCES DE BANE
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Je grimace devant le miroir, exaspéré de ne pas arriver à dompter cette foutue coupe de cheveux que l'on pourrait même qualifier de nid d'oiseau. C'est ce genre de chose qui vous donne envie de vous recoucher et de vous réveiller beaucoup plus tard dans la journée. Merci Izzy. C'est sa faute si je n'arrive pas à discipliner mes cheveux et que je sois habillé d'une chemise noire centrée, un jean de la même couleur qui selon elle "moule mes fesses à la perfection". Je repasse ma main dans mes cheveux en soupira, dans quoi je me suis lancé. Je me fixe encore pendant 10 secondes, observant le reflet que je rejette, mes yeux noisette tirant sur du vert qui est mon seul atout.
Izzy est ma sœur de 20 ans qui est au lit depuis deux jours pour cause : un rhum. Je sors de la salle de bains, les mains dans les poches, l'air renfrogné. Je rejoins Izzy dans le salon qui éternue au moment où j'entre.
- Alec, je suis tellement désolé de t'imposer cela. C'est juste que cette interview est très importante pour moi. T'imagines, j'ai tellement galéré pour obtenir un rendez-vous, je ne peux pas y aller dans cet état ou même annuler. Je ne peux pas laisser tomber la rédac du journal de la fac. Je t'en prie, ne tire pas cet air, me supplie-t-elle avec sa voix toute cassée et le bout de son nez rouge.
C'est une des choses que je déteste chez elle. Déjà petite, elle arrivait à me supplier de rien dire aux parents quand elle faisait une bêtise. Sacré Izzy, si tu n'étais pas ma sœur, jamais je n'aurais accepté.
- Très bien, j'y vais. Toute façon, je ne me suis pas habillé comme cela pour aller me promener. Il te faut quelque chose, une aspirine ou du Doliprane ?
- Un Doliprane, s'il te plaît grand frère. Sur la table, il y a un cahier avec mes questions ainsi qu'un dictaphone. C'est maman qui me l'a passé, je n'ai pas vérifié s'il marchait, au pire utilise ton téléphone si tu es trop stressé. À, et Alec, prend des notes de tous, des questions ou s'il a des maniques... Je comprendrais.
- Je ne connais rien sur ce mec, je n'ai jamais vu de photos de lui ni rien Izzy, dis-je avec une touche de panique qui montait au fur et à mesure.
Elle se leva du canapé où elle était installée et se rapproche de moi :
- Big Bro', avec mes questions, tu t'en sortiras. Maintenant, pars. Tu as beaucoup de route à faire et je n'ai pas envie que tu arrives en retard. Sois prudent et encore, merci, je t'en suis reconnaissante.
Elle planta un bisou sur ma joue et remit en place sur ses épaules le large plaide violet qui lui sert de carapace chaude.
- J'y vais, O.K. Recouche toi et repose-toi. Il y a de la soupe au bouillon de poule sur le meuble dans la cuisine. Tu as juste à la faire chauffer.
- Merci Alec. Bonne chance, tu me sauves la vie comme toujours.
Je prends mon sac à dos en laçant un dernier regard à Izzy qui s'est déjà recouché. Je n'arrive pas à croire que j'ai réussi à me laisser avoir, mais Izzy pouvait tellement être convaincante quand elle veut. Personne ne pouvait lui résister. C'est une femme forte, qui ne lâche jamais l'affaire, persuasive, belle et c'est ma sœur avant tout.
Je dois parcourir 265 kilomètres qui séparent Vancouver dans l'État du Washington, du centre-ville de Seattle pour rencontrer, le trés grand et mystérieux P-DG de la Bane Entreprises Holdings, Inc ... J'ai de la chance, les routes sont dégagées pour une l'heure matinale de la sorte. Je suis attendue à Seattle pour 14 heures, je peux donc rouler tranquille. Mes parents avaient donné leur Mercedes classe B à Izzy pour ses 20 ans, et pour me remercier, elle me l'a donc prêté. Ma vieille Raziel, une Volkswagen, n'aurait certainement pas tenu l'allée et le retour. Avec la Mercedes, pas besoin de passer les vitesses. C'est tellement agréable. Je devrais songer à changer de voiture un de ces quatre.
J'arrive enfin à Vancouver et m'arrête devant le siège de la multinationale de . C'est une tour d'à-peu-près une vingtaine d'étages qui est composé principalement de verre et de fer. Un BANE HOUSE est écrit légèrement en lettres d'acier qui devaient sûrement s'allumer la nuit, au-dessus des portes de l'entrée principale. Je regarde ma montre. 13h45. Je suis à l'heure, je peux souffler quelques instants.
Je pénètre finalement dans l'immense bâtiment et me dirige vers le bureau d'accueil en grès massif où une jolie blonde m'adresse un sourire quand elle me voit approcher. Elle a des cheveux blonds tellement immaculé.
- Bonjour, j'ai rendez-vous avec. Alexander Lightwood, de la part d'Isabelle Lightwood.
- Un instant, monsieur Lightwood.
Oui, je sais je suis une sadique (lol)
Mais il faut bien mettre un peu de suspense. On se retrouve bientôt pour la suite, promis.
En tout cas, j'espère que vous avez apprécié le début de cette histoire.
Merci beaucoup d'avoir lu, et on se retrouve très très vite.
Bisouus,
Angek20
