Salut! J'ai décidé d'écrire un autre fanfic. Ne vous inquiété pas, je n'arrête pas pour autant mon fanfic L'important c'est d'aimer, mais j'avais juste besoin d'écrire quelque chose d'autre. Celui-ci est plus court. Il n'a que 5 chapitres.
Disclaimer : Bien que j'apprécierais énormément les posséder, les personnages appartiennent à Clamp uniquement… sauf que s'il y a du monde qui veule m'aider, j'irais bien prendre Syaoran et Eriol en otage quelques temps!
Bonne lecture!
Sakura Kinomoto était une jeune étudiante modèle. À 17 ans, elle avait tout pour plaire, vraiment tout. Son sourire charmait tous les garçons de son école. Elle et sa meilleure amie Tomoyo Daidouji était les deux filles les plus populaires et tout le monde les aimaient.
La fin de l'année approchait à grand pas. Sakura se leva pour aller prendre son petit déjeuner. Pour une des rares fois de sa vie, elle était en avance.
Toya : Tiens, je ne savais pas que les monstres pouvaient se lever de bonne heure?
Sakura : Grrrr! Toya, je ne suis pas un monstre!
Elle s'approcha pour lui donner un coup de pied, mais celui-ci l'esquiva.
Toya : Mais ce n'est pas tout de se lever de bonne heure, il faudrait que le monstre soit de bonne humeur aussi!
Sakura lui fît un regard noir avant d'aller s'asseoir pour manger.
Fujitaka : Tiens Sakura, je t'ai préparé le petit déjeuner préféré.
Sakura : Yahoo! Des crêpes aux fruits! Merci beaucoup papa.
Sakura enfila ses rollers pour aller à l'école. Bien que ça faisait un peu jeune, elle préférait faire de l'exercice le matin pour se rendre à l'école. Ses longs cheveux légèrement bouclés flottaient dans le vent.
Elle arriva à l'école Seijo. Sa meilleure amie l'attendait avec un magnifique sourire.
Tomoyo : Bonjour Sakura! Tu es bien matinale ce matin!
Sakura : Oui! Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que ça va être une journée spéciale aujourd'hui.
Les deux filles se dirigèrent en classe. En chemin, tous les regards se posèrent sur elles. Elles ne semblaient pas s'en rendre trop compte.
Garçon 1 : Wouha! Ce qu'elles sont belles aujourd'hui. Je suis sûre que c'est Sakura qui va être élue reine du bal de printemps.
Garçon 2 : Mais non, tu sais bien que ça va être Tomoyo!
Les filles avaient entendu la conversation et s'étaient retournées pour voir comment cette histoire allait finir. Elles sourirent en voyant le jeune qui s'approchait d'eux pour leur faire son commentaire.
Takashi : Vous ne l'avez pas du tout! La reine sera ma Chiharu!
Tomoyo : Oui! Vous allez faire un roi et une reine parfait!
Sakura : Oui! Mais il faudrait bien que tu te déclares un jour Takashi. Elle n'est même pas encore au courant de tes sentiments. Elle ne t'attendra pas éternellement.
Takashi : Je sais. D'ailleurs, je l'ai invité au cinéma ce soir.
Sakura : Pour vrai! Compte nous tout demain! Depuis le temps que j'attend ce jour.
Les trois amis rigolèrent et se dirigèrent vers leur classe.
Plus tard dans la journée
Sakura : Au revoir Tomoyo. Je t'appellerais ce soir.
Sakura rentra le sourire aux lèvres. Encore une autre journée de passée. Elle était seule dans la maison. Son père devait rentrer bientôt et Toya était avec Yukito. Elle avait déjà été avec Yukito. Personne ne le savait, même pas son grand frère. Elle devait garder ça secret. C'est à ce moment qu'il s'était rendu compte qu'il aimait quelqu'un d'autre. Sakura avait été triste au début, mais maintenant, elle était heureuse qu'il ait trouvé son âme sœur. Elle espérait qu'il oserait lui avouer un jour. Elle était restée une amie très proche du jeune et ils se disaient tout.
Fujitaka : Sakura! Je suis rentré!
Sakura descendit les marches et alla retrouver son père. Elle le regarda un instant, il avait un air grave sur le visage.
Fujitaka : Nous devons parler Sakura.
Sakura se senti nerveuse. Elle n'avait pas du tout aimé le ton que son père avait employé. Ça devait être une mauvaise nouvelle. Une seule chose lui venait en tête.
Sakura : Mon dieu, il n'est rien arrivé à Toya j'espère!
Fujitaka : Aujourd'hui, j'ai rencontré ton grand-père. Nos relations se sont grandement améliorer.
Sakura : Ah, mais c'est une bonne nouvelle ça!
Fujitaka : On peut dire. Il veut que nous reformions une famille. D'ailleursà tes dix-huit ans, il compte de donner une part dans la Amamya Corporation. Et à sa mort, tu hériteras de toute son industrie.
Sakura : Et Toya lui?
Fujitaka : Grand-père lui en avait déjà parlé, mais il n'était pas intéresser. Alors, grand-père lui as donné l'argent nécessaire pour qu'il étudie pour devenir avocat et ensuite, il lui légueras son bureau à Tomoéda.
Sakura : D'accord. Et c'est tout?
Fujitaka : Malheureusement non.
Il baissa le regard. Il avait honte de ce qui s'était produit et il ne savait pas comment l'annoncer à sa fille. Il la regarda avant de pouvoir prononcer ces mots qui allaient sûrement peiné Sakura.
Fujitaka (sa voix se brisait par la tristesse) : Sakura… J'ai aussi appris quelque chose concernant ton avenir. Comme toute les filles de la famille Amamya, tu auras un mariage… (soupire) arrangé. Comme tes 18 ans sont dans une semaine, tu rencontreras le jeune qui t'es promis le jour de ton anniversaire. Tu te marieras avec lui à la fin de ton année scolaire. Je… je n'ai rien pus faire pour l'en empêcher. Je suis désolé.
Des larmes coulaient sur les joues de Fujitaka. Il ne pensait pas qu'un jour, il devrait faire cela à sa fille.
Sakura (abasourdie) : Mais… mais c'est impossible. Pourtant, toi et maman?
Fujitaka : Je l'ai épousée alors qu'elle était encore jeune. Mais si ça n'aurais pas été de celaà ses 18 ans elle aurait elle aussi eu un mariage arrangé.
Sakura se leva et regarda son père. Lentement, quelques larmes se mirent à ruisseler sur son visage.
Sakura : Je… je comprend… je vais dans ma chambre.
Et elle se leva et courut s'enfermer dans sa chambre. Elle devait trouver un moyen d'éviter cela. Une seule idée lui venait en tête. Elle devait s'enfuir. Elle commença lentement à faire son sac à dos. Elle mis quelques vêtements et des souvenirs essentiels. Avant de partir, elle pensa laissé un message à son père pour ne pas qu'il s'inquiète. Mais elle se ravisa vite en pensant qu'il serait alors plus facile pour lui de la retrouver.
Il était très tard et elle marchait seule dans la nuit. Elle avait besoin de parler à quelqu'un. À cet heure, elle ne pouvait pas aller chez Tomoyo. Et de toute façon, son amie ne pourrait rient faire pour elle puisqu'elle devait être dans la même situation. Elle décida d'aller chez Yukito. Son frère ne serait sûrement plus là. Elle cogna à la porte. Lorsque Yukito ouvrit, il vit la jeune fille en pleures.
Yukito : Entre Sakura, tu pourras tout me dire à l'intérieur.
Yukito alla préparé du lait chaud. Il savait que ça aidait toujours Sakura à ce sentir mieux.
Yukito : Tiens ma grande. Tu peux tout me dire maintenant.
Sakura soupira et dit tout ce qu'elle avait sur le cœur. Elle lui parla du mariage arranger et qu'elle devait voir son « fiancé » cette semaine.
Sakura : J'ai toujours crus aux âmes sœurs, mais à cause de ce mariage, je ne pourrais jamais rencontré la mienne. Et toi, as-tu pus enfin dire à Toya ce que tu ressentais pour lui.
Yukito rougit. Ça lui faisait toujours bizarre que Sakura essaie de l'aider.
Yukito : J'ai… J'ai essayé. Je me suis embourbé et je n'ai pas été capable de le lui dire. Il m'a dit que je pourrait toujours lui dire la prochaine fois qu'on se verrait si c'était important. Il est vraiment gentil.
Sakura : Je sais. Je suis sûre que la prochaine fois, tout va mieux aller.
Yukito : Je l'espère. Et toi, que comptes-tu faire?
Sakura : Je vais m'enfuir de chez moi. Si c'est le seul moyen que j'ai de vivre ma vie comme je l'entend, et bien je vais le faire. Et pour l'école, je verrais bien plus tard. J'ai assez de crédit pour passer l'année quand même. S'il te plaît, Yuki, n'en parle pas à Toya.
Yukito : Je ne peux pas faire ça à Toya. Il va se faire un sang d'encre pour toi.
Sakura : S'il te plaît, c'est important pour moi. Je t'appellerais à chaque semaine pour te dire comment je vais.
Yukito : D'accord. Mais fait bien attention à toi. Reste ici pour la nuit et demain, tu pourras aller où tu veux.
Sakura : Merci beaucoup Yukito! Je savais que tu comprendrais.
