J'avançai sur cette pluie battante, seule et triste comme un petit abandonné. C'est ce que me disais parfois ma « grande-sœur », qu'avec mes cheveux châtains qui sont relevé en pique et mes yeux cacahuètes je ressemblais a un mignon petit chat. Bien sur, pour lui je ressemblai à un guépard. Je me dis parfois que puisque je suis un garçon, il ne m'aimera jamais, j'avais gardé une once d'espoir en gagnant chaque match de football américain pour lui, mais aujourd'hui il avait dis une phrase qui m'a fais perdre espoir d'être un jour dans cœur.

Flash Back

On était tous dans les vestiaires car on avait terminé l'entraînement, nous les devil bat, tous partait un à un pour rentrer chez eux pour dormir un peu car aujourd'hui aussi l'entraînement a été très dur. Comme d'habitude je serai le dernier a te regardé, te voir taper sur ton ordinateur, mais j'avais décidé de te demander quelque chose.

-Hiruma ?

Tu jetas à peine un œil sur moi, mais sa suffisais que je pouvais te parler.

-Es...Es-tu…. Es-tu gay ?

Tu arrêtas de taper sur ton ordi tellement tu étais surpris, sa devait être la première fois que je voyais cette expression sur ton visage. Tu clignas plusieurs fois des paupières et tu recommenças à taper. Mais néanmoins, tu me dis une phrase qui me brisa le cœur

-Non.

-Je vois et bien à demain. En disant cela j'essayai de ne pas pleurer.

Je courus sur la pluie qui avait commencé de tomber, comme si elle participait à ma peine.

Fin flash back

En me souvenant de ce moment, je me remis à pleurer encore plus. Puis je m'arrêta car je ne sentais plus une goutte de pluie mouiller mon uniforme, et je te vis qui tenais ce parapluie qui me protégea. Tu me dis qu'on va chez toi, et la je sens mon cœur battre encore plus fort car je vais toi, et bien sur j'accepte. Nous arrivons sur un appartement, pas trop petit ni trop grand, un appart qui peut contenir environ 3 personnes. Puis tu me fais entrer dans ta chambre, je la trouve un peu triste, les murs n'étaient qu'en blanc et ils y avaient le strict minimum, une armoire, un lit et un bureau avec bien sur quelque poster sur les murs. Il me prit mon sac et déposa le mien et le sien sur son bureau, il alla vers l'armoire et fouilla, il trouva une serviette et me demanda d'enlever mon uniforme. A cette demande je rougis d'un coup, et enleva mes vêtements avec hésitation, dés que ce fut fini, il vient me sécher avec une certaine tendresse que je n'avais vu ni dans son regard ni dans ses mouvements il me sécha très rapidement et me dis d'appeler mes parents pour les prévenir que je dormais chez toi. A ce moment la je rougis, et dit :

-Non Hiruma-san ce n'est pas la peine j'appel mes parents pour qu'ils viennent me récupérés, dis-je sur ton déconcerté.

-Non, tu resteras ici, est-ce clair minus, il dit plus sur une affirmation que sur une question avec un ton de non-contredis.

-Mais….Je vais te déranger ainsi que tes parents.

-Mes parents n'habitent pas ici et puisque c'est moi qui te le dis, tu ne gêneras personne. Tu me le dis sur un ton de fermeté et moi j'acceptai avec réticence, j'appellais mes parents et lui dirent ils n'nt vu aucune objections, ensuite tu fouillas ton armoire et sortis un tee-shirt que tu me l'envoyas et le mit, il était trop grand sa arrivais à me cuisse et il y avait une épaule dénudée. Lorsque je me retournai, tu n'étais plus la donc je sortis et sentis une bonne odeur, je la suivis et découvrit une magnifique cuisine, tu devais surement préparer le dîner. Mais je dis une phrase qui m'échappa :

-Pourquoi tes parents ne sont –ils pas la ?, lorsque je découvris ce que j'avais dis je me suis dis qu'ils devaient travailler ou encore que ce n'était pas mes affaires, mais toi tu continuais de préparé le repas comme si de rien n'était et me répondis :

-Lorsque j'étais petit, j'habitais à Hokkaido mais je détestais mes parents alors je suis partis vivre ici, cette appartement est un cadeau de ma mère pour ne pas que je vive à la rue. C'est vrai qu'un ado de 14 ans qui n'a personne ici devra aller à la rue. Lorsqu'il eut terminé, je me sentis triste peut-être que sa lui gênait d'en parler.

-Désolé, lui dis-je. Et tu me répondis que ce n'était pas grave, et posa le dîner sa avait l'air tellement bon qu'après un « idakimatsu » je goutais et trouva cela exquis, bien sur le silence était pesant, je lui jetai quelque coups d'œil par moment, dés que je finis le repas j'allai dans sa chambre après luis avoir demandé si je pouvais faire mes devoirs et il accepta, pendant que je terminais mon dernier exercice, je t'entendis l'eau couler, je me suis dis que tu devais te doucher, j'étais tellement fatiguer que je suis aller sur ton lit et m'endormit instantanément.

Un peu plus tard je sentis le matelas s'enfoncer ce qui me réveilla un peu puis un corps me prendre dans ses bras, mais j'étais tellement fatigué qe je me rendormit après avoir entendu une phrase du genre :

-Bonne nuit…Sena.