Bonjour ! C'est Hunny !

Voilà une de mes fiction OS Yaoi Twincest ;) Bonne lecture D

C'est un matin d'hiver, comme les autres, cette nuit il y a eu un orage et tu es venu me rejoindre dans mon lit. Je me réveil et te retrouve tout contre mon torse. Je souris. Tu es si beau quand tu dors... Ha petit frère que je me hais ! Je me hais car j'éprouve envers toi plus qu'un amour fraternel, plus qu'un simple jumeau.

Tu pose une de tes mains froides sur ma hanche et resserre notre étreinte. N'étais-tu pas assez proche de moi ? Dans un sens, j'aime ça. Trop. Et le fais de savoir que nous sommes tout deux en boxer n'arrange pas mon cas.

Voilà bien une dizaine de minute que je te regarde, t'admire. Tu sembles si paisible. Il me semble entendre dans un souffle de tes murmures un prénom, le mien. Mes joues deviennent rouge. Je pourrais passer pour une jeune collégienne. Petit frère, suis-je donc un monstre ? Est-ce mal de t'aimer, te désirer ? Même si nous sommes frères, c'est de l'amour ! Et on ne peux choisir qui aimer...

Ah ! Tu ouvres enfin un œil. Maintenant l'autre. Tu me salue puis t'écarte de moi, l'air gêné. Non, reste encore un peu. Juste le temps de m'enivrer de ton parfum, juste le temps de caresser ta peau. Non. Tu te lèves. Moi je me remet sous ma couette. Tu me dit quelque chose mais je n'y ai pas prêté attention, tu n'aimes pas ça. Tu fais le tour de mon lit puis commence à essayer de m'enlever la couette afin de me lever.

Je m'excuse, petit frère, mais s'en est trop... Je ne peux plus résister. Je tire alors la couverture vers moi et toi par la même occasion. Tu atterri sur moi. Je caresse doucement une de tes joues, tu ne comprends pas. J'aime cette expression naïve sur ton visage. Je passe mon autre main derrière ta tête puis approche nos deux visages l'un de l'autre. Tu veux répliquer quelque chose mais je t'en empêche, prenant tes lèvres en otages.

Quelques secondes plus tard, tu te retire. Tu m'as tout juste laissé le temps de percevoir la douceur de tes lèvres. Maintenant tu as un air choqué, à la limite du dégouté. Dans tes yeux passe un mouvement de peur. Pardon, petit frère, ne m'en veux pas. Je j'aime, c'est tout.

Tu te relèves. Doucement. Puis commence à t'en aller, tu ne dois pas en revenir. Je me sens honteux, oui, honteux, c'est le mot. Honteux d'avoir volé un baiser à mon frère, l'avoir presque forcé.

Quelque chose m'empêche de parler. C'est toi ! Petit frère ! Tu m'embrasses ! A mon tour de ne pas en revenir. Ce qui voudrait dire que tu ressens les mêmes sentiments que moi ? Non, tu dois penser que ce n'est qu'un jeu. Oui, un simple jeu.

Quoi ? Répète ! Tu viens de me dire que tu m'aimes ? Ho, mon cœur viens de manquer un battement. Deux simples mots mais mon être chavire. J'ai embrassé beau nombre de fille... aucune ne m'a fait cette sensation de bonheur... Petit frère que je t'aime !

Tu reprends enfin ta place dans mes bras, notre mère nous appel. Tu m'embrasse une seconde fois puis te lève, me prend ma main. Je fais de même. On attrape tout deux un vêtement afin de ne pas descendre voir notre mère en petite tenue. On sort doucement de ma chambre puis descendons deux à deux les quelques marches qui séparent les étages.

C'était un matin d'hiver, finalement pas comme les autres. C'était le matin où mon jumeau, mon frère, est devenu l'homme de ma vie...

FIN

Désolée pour les fautes d'orthographe /3

J'espère que ça vous a plus (l)