Disclaimers : Besoin de re-préciser que le monde Harry Potter appartient à J.K. Rowling ?

Pairing : HP/DM

Rating : M pour dans longtemps... (Ou pas ?)

/!\ Spoilers des tomes 5 (juste la fin), 6, 7 et The Cursed Child /!\


Résumé :

Quand on débarque à Poudlard, ça donne :

« Aïe ! Maman… HELP ! »

Et au détour d'un couloir :

« WHAT THE F*CK IS THIS F*CKING CORRIDOR ?! »

Mise en bouche :

Attention, il y aura de l'action :

Click ! Stuck ! Crack ! Bouh ! Click-Click ! Ouf ! Haha ! BOUM !

« Boum ?

- T'inquiète, c'est encore Dean qui a fait sauter son assiette. Haha ! Diversion !

- Oh non !

- Niahahah ! C'est moi qui ai eu la dernière part de gâteau. »

Il y aura du suspens :

« Non, non, non, très chère…

- Mais dis-le-moi !

- Suspens ! »

Il y aura également de l'amour :

« Pancakes Number One, je t'adore ! C'est une merveilleuse idée.

- Oui, je sais, moi aussi je m'aime ! »

Mais aussi des doutes :

« Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

- Je n'en sais rien moi !

- Mais moi non plus !

- Alors si on ne sait pas… Qu'est-ce qu'on va devenir ?

- Attends, attends ! Mon instinct me dit de prendre le couloir de droite-

- Ok je vais à gauche ! »

Et beaucoup de déconnade… Surtout venant de nous. Donc si vous n'aimez pas, vous le verrez très vite : on a, comme qui direz, la tendance à partir en live facile. Donc ce n'est pas gagner, surtout pour notre cher Survivant International. ^.^'


Pour la première co-écriture des Pancakes… J'ai nommé :

Quand les Pancakes s' en'mêlent…

Chapitre 1

Ça donne un beau merdier !

« MWAHAHAH !

- En garde, ô immonde assassin ! »


POV Pancakes :

Contexte : Remake d'Harry Potter.

Lieu : Champ de bataille sanglant.


POV… les autres :

Eléments perturbateurs : Euh… Deux folles d'humeur un peu trop bonne ?

Motif du désordre : Bataille de nouilles (à double sens de double sens*) armées de baguettes chinoises.

Lieu : Restaurant (chinois vous l'auriez deviné).

Temps pour les maîtriser : En cours de chargement, veuillez patientez…


« Tou né mé vaincrrrras yamais ! Yé souis (Comment ça, t'essuies ?!) invincible ! S'écria l'une d'elle (avec l'accent mexicain. What the actual f- ?!)

- Parle toujours, Voldemort, tu ne me fais pas peur ! Défia l'autre.

- Régarrrrde-toua Harrrrrry Potterrrrr, tou n'es rien ! Seul face à moué et mon arrrrrrmée ! Renchérit la première. »

Comme pour appuyer ses propos cette dernière désigna l'assemblée d'un grand geste théâtral de la main, soit les clients, le personnel et les vigiles… Les vigiles ?! Mais emportées dans leur combat à mort (?), elles n'y prêtèrent aucune attention.

« Mesdemoiselles, veuillez-vous calmer et sortir, je vous prie, ou nous serons obligés d'user de la force.

- Tais-toué, infidèle ! Comment oses-tou interrrrrrromprrrrre ton Maître ? Dit-elle la voix sifflante. (Et toujours avec son accent mexicain…)

- On se retrouvera en enfer, Voldemort ! J'espère que tu y resteras cette fois-ci !**

- Mesdemoiselles ! S'écria l'homme en essayant de couvrir le bruit qu'elles faisaient.

- Yé vais en finirrrrr avéc toué une fois pourrrrrr toutes ! »

Alors que les vigiles s'avançaient vers elles pour les attraper et les forcer à se calmer, ces dernières s'écrièrent en cœur :

« AVADA KEDAVRA ! »

En cet instant, un long filament vert sembla s'échapper de leurs baguettes chinoises respectives et- POUF !

Pouf ?

La suite se passa très vite. Toutes deux se retrouvèrent alors propulsées à toute allure dans une pièce sombre. Elles se heurtèrent à une masse noire alors qu'un jet de lumière verte les frôlait. Elles volèrent sûrement sur plusieurs mètres accompagnées de cette chose qu'elles avaient percutée et retrouvèrent bien rapidement leur sol bien aimé avec, comme qui dirait, un peu trop d'élan.

Aïe ! Se plaignirent-elles en cœur lorsqu'elles se retrouvaient face contre terre (même si poussière serait plus exact dans le cas présent).

Elles se redressèrent vacillantes, encore confuse quant à ce qui venait tout juste de se passer. Finalement, elles se hissèrent en silence et non sans mal sur cette masse sombre qui leur obscurcissait la vue. Un paysage visuellement et bruyamment chargé s'offrit alors à elles. Des jets lumineux fusaient de toutes parts, passant par toutes les couleurs de l'arc-en-ciel***, tel un feu d'artifice… En fait, ça faisait à peu près autant de bruit qu'un feu d'artifice.

Elles distinguaient à peine l'origine de ces raies lumineuses dans cette pénombre mais parfois elles apercevaient une silhouette sombre au masque d'argent ou des visages presque familiers. Le tout courait, s'emmêlait et se démêlait dans un ballet plutôt confus. La trame sonore était, quant à elle, composée d'un brouhaha plutôt indescriptible. Tantôt elles distinguaient peut-être une voix qui criait plus fort que les autres, tantôt des bruits d'éclats, d'explosion ou d'agonie.

- T'as pris le pop-corn ?

- Non.

- Dommage. Oh ! Regarde celle-là.

- En effet, joli bleu !

- A ton avis, il se passe quoi là ? Et… On est où ?


- Bonne question !

L'autre s'apprêtait à répliquer lorsque toutes deux ressentirent l'onde de haine qui parcourut la scène. Instinctivement, leurs yeux se posèrent sur la source de cette puissante magie destructrice alors que la personne disparaissait dans le couloir à l'opposé de leur position.

- "La source de cette puissante magie" ?

- Bah, laisse la narratrice raconter ce qu'elle veut. Elle n'est pas omnisciente pour rien !

Soudain, la scène se figea. Les sorts cessèrent et le silence se fit en un instant, juste le temps pour nos héroïnes (?) de repérer un petit groupe de quatre personnes masquées acculées par une dizaine d'autres personnes. Fait notoire : les deux camps se menaçaient mutuellement de bouts de bois.

- Elle est complètement barrée ta narratrice !

Les personnes aux masques se concertèrent d'un regard avant de disparaître dans des nuages de fumée noire.

- Ah non alors ! Ce n'est pas drôle si c'est déjà fini, je n'ai même pas eu le temps de comprendre ce qui se passait.

- Je ne sais même pas si avec le temps tu aurais compris…

- Oh, ça va toi ! Je te signale que tu n'es pas beaucoup plus avancée que moi, madame.

- Mademoiselle ! Corrigea sa compère avant de reprendre avec un petit rire démoniaque. Moi je veux du sang, des boyaux, des viscères dans tous les sens. Un carnage. Je veux un massacreeeuh !

Le ton de leur discussion était monté d'un cran lorsque la totalité du bâtiment fut secouée par une explosion violente accompagnée d'un grand bruit de fracas.

- Oh non !

- Quoi encore ?!

- Je suis sûre qu'il y a un truc qu'il se passe sans nous !

- Nooooooooon ! T'est pas potibleuh ! (Traduction : "Ce n'est pas possible !")

- Vite, on monte !

- Attends, j'ai une idée.

- Euh… J'le sens mal. Est-ce que j'ai le droit de le sentir mal ?

- Lévicorpus ! S'écria Number Two en pointant la chose sombre toujours sous elles.

- Comme si ça allait marcher, moqua sa compère. On n'est pas dans Harry Potter !

Mais contre toutes attentes, le machin s'éleva dans les airs.

- Ah ha ! Ça marche !

- …

- J'ai des pouvoirs magiques ! Mwahahah !

- Euh… Ça te dis tu le diriges ton machin, ô toi, puissante magicienne. Parce que là tout de suite maintenant, on fonce dans le mur !

Ainsi, la pseudo (Non mais oh !) sorcière, telle une pilote de formule 1 s'empara d'une masse épaisse de… De… Euh… (Poils ? Cheveux ?) Oui, voilà. (Truc emmêlé non-identifié ?) Mais tais-toi, c'est moi qui raconte ! (Pfff…On aide les gens et voilà comment on est remercié. Ces conteurs, de nos jours, non mais j'vous jure…). Humm, donc. S'emparant d'une masse de boucles épaisses et hirsutes, elle tira violemment sur le côté, faisant dévier dangereusement leur… (Tapis volant ?) Euh, si tu veux… Et évitant ainsi la collision imminente avec le mur désormais hors de portée. Ce fut donc à tout allure (Tu veux rire, on va à deux à l'heure !) qu'elles se dirigèrent vers le cœur de l'action, c'est-à-dire l'étage supérieur.

- Papalapaaaaaa, papala, papalapaaaaa, palapapapa !

- Arrête avec la musique d'Indiana Jones !

- Ok… Papa, palapa, papaaaaaa, paaaaa, pa, palapa, papaaaaaaa…

- Voilà, Harry Potter, c'est dans le contexte !

Humm. (PAPA, PALAPA, PAPAAAAA, PAPAAAAA, PAPA, PALAPAAA, PAPAAAAAAA : en cœur) HUM HUUUMM ! Laissons donc de côté nos deux pitoyables choristes (Vois sur ton chemiiiiiin…~) et revenons-en aux faits.

Arrivées à destination, elles furent de nouveau soufflées par une vague d'explosions et volèrent jusqu'au mur le plus proche (I believe I can fly… I believe I can -aoutch !). Le corps inanimé qui leur servait de monture retomba sur place soulevant un nuage de poussière. Nos deux jeunes protagonistes de nouveau sur pied (Toujours plus haut ! Toujours plus fort !) Mais arrêtez de me couper-euh !

Ainsi nos deux chieuses, se dirigèrent vers la lumière.

- Oh regarde là-bas, de la lumière !

- Non ! N'y vas pas !

- Mais pourquoi ?

- Ne vas pas vers la lumière ! Retourne du côté obscur de la force !

- Trouillarde ! Moi j'y vais… Donc tu viens ! Et pas de "mais".

Toutes deux s'avancèrent alors vers la lumière et découvrirent… Un champ de ruines.

- Aaaaah ! Soupira le Pancake Premier du Nom. Moi qui pensais qu'on allait tomber sur une pièce baignée de thunes.

- Ce n'est pas demain la veille qu'on tombera sur la caverne d'Ali baba… Au moins, il y a de la baston.

- Mais pas de viscères !

- Oh ! Regarde le vieux là-bas.

- Ah ouais, trop balèze !

- Génial la barbe ! On dirait un vieux chnoque genre Merlin.

- Maintenant que tu le dis… Et puis regarde là-bas, le mec qui fait tâche.

- Lequel ? Ils font tous tâches avec leurs brindilles dans la main.

- Bah, tu vois celui dans le fond avec les cheveux roux et l'air ahuri ?

- Oui, je vois !

- Et bah ce n'est pas lui…

- …

- Je te parle du p'tit brun aux lunettes toutes moches et l'allure de qu'est-ce-que-je-fous-ici-?

- Ah lui… Ce n'est pas lui, c'est ça ?

- Si, si ! Moi je le verrais bien dans le rôle d'Harry Potter.

- Bien vu. Et le vieux, je le vois bien comme Dumbledore !

- Regarde le grand là-bas. Il a deux trous à la place du nez…

- Mais qu'est-ce qu'il est moche !

- Je le vois bien en Voldemort !

Perchées sur ce qui semblait avoir été une fontaine, elles observaient la scène avec, comme qui dirait, détachement et discutaient joyeusement du physique des trois hommes engagés dans un combat à mort. Lutte infernale durant laquelle-

- Merde !

- Quoi ?

- Pourquoi Pancake Number Two n'a pas de nez ?

- Et pourquoi toi, tu n'as pas de bouche ?

- Toi non plus !

- Et toi non plus tu n'as pas nez !

Ce n'est que maintenant que vous vous en apercevez ? Donc pour information, vu que vous avez probablement skip le briefing d'intro, oui vous n'avez ni bouche ni nez car, pour faire court, votre anatomie a été quelque peu modifiée. Pour ce qui est de la version longue-

La narratrice aurait pu continuer longtemps encore mais l'attention de nos compères, s'était portée sur la baguette qui venait de choir à leurs pieds.

- Pourquoi est-ce que dans les mains des… Des choses là-bas qui se crêpent le chignon c'était une brindille…

- Alors qu'à côté, nous, on fait la taille de la brindille ?!

- Avec ça on ne fait même pas vingt centimètres !

Vingt centimètres et demi pour être précise.

- Aaaah… Soupira-t-elle de soulagement. Quoi ?!

Et encore vous n'avez pas fini de vous surprendre avec votre nouvelle forme !

Contre toutes attentes, elles semblèrent s'en accommoder plutôt bien :

- LES PETITS VAINCRONT ! "S'écrièrent-elles" en cœur

- Pourquoi tu mets le "s'écrier" entre guillemets, Narratrice ?

Je vous rappelle que vous n'avez pas de bouche.

- Merde comment on fait pour parler alors ?

Trans-inspi', les filles trans-inspi' ! (Explications : la trans-inspiration est un terme désignant la télépathie pour l'inspiration mais ici utilisé pour les communications entre les Pancakes.) Alors que la narratrice se lançait dans un long discours que nos miniatures n'écoutaient déjà plus, le combat avait évolué.

- Pancake Number One !

- Quoi ?

- Ça devient intéressant ! Il y a des journalistes qui arrivent.

- Tu penses à la même chose que moi ?

- Ha ha ! Trans-inspi' !

Et toutes deux s'élancèrent vers la foule de journalistes qui ne semblaient pas les voir, prenant la pose devant leurs objectifs ignorants. Entra alors en scène un homme bedonnant et essoufflé qui se décomposa à vue d'œil lorsqu'il aperçut le pseudo Voldemort possédant le pseudo Harry Potter.

« Dumbledore mais qu'est-ce que tout ceci ? S'étrangla-t-il à cause de son manque de souffle. »

- Dumbledore ?

- Ouais, j'avais raison ! Rit-elle en narguant un photographe qui ne la voyait toujours pas.

« Alors c'est vrai ? Voldemort est de retour ? Pâlit l'homme bedonnant.

- En effet, Fudge, répliqua Dumbledore en hochant gravement la tête. »

- Dit-il en laissant crever Harry derrière…

- Tel le moucheron qu'on oublie écrasé sur la vitre.

- Quelle belle métaphore.

Lorsque les flashs cessèrent et que les foules se dissipèrent quelque peu, les Pancakes se rapprochèrent d'Harry de nouveau conscient. Voldemort avait disparu et le petit groupe qu'elles avaient vu au sous-sol les avait rejoints.

- Il a l'air complètement abattu, le pauvre petit.

- Petite nature…

« Sirius… Je le vengerai ! Bellatrix, je te retrouverai ! »

- Il se rend compte qu'il est ridicule et qu'il n'a aucun style dans sa réplique ?

- J'avoue que si c'est pour dire ce genre de connerie autant se taire…

« C'est flippant ! Quand tu dis ça on dirait que je suis mort.

- Sirius ! Sursauta Harry au bord des larmes. Je croyais que tu étais passé à travers le voile !

- Ah bon ? »

En effet, la masse sombre que les Pancakes avaient percutée n'était autre que ledit Sirius Black.

- Waouh ! Génial, j'ai chevauché Sirius !

- Quand tu dis ça comme ça, c'est… Suspicieux.

- Oui mais… Tu m'as comprise et puis tu étais là, tu sais ce qui s'est passé ! Alors il n'y a pas de confusion, n'est-ce pas ?

- …

- N'est-ce pas ?!

- Oui, oui, c'est bon. (Plus moyen de rire de nos jours…)

- Je sais que je vais paraître hors sujet mais… Si on a sauvé Sirius du passage à travers le voile, que Dumbledore et Harry se sont battus contre Voldemort, que Fudge arrive et découvre que Voldemort est bel et bien de retour.

- Ça veut dire qu'on est au Ministère de la Magie, à la fin du tome cinq de Harry Potter…

- Qu'on vient tout juste de changer le cours de l'histoire !

- Merde !

En effet, vous avez perturbé le bon déroulement de l'histoire et il va falloir en assumer les conséquences.

- C'est trop génial !

J'ai comme l'impression de ne pas être écouté que les Pancakes se réjouissaient de leur sort, la narratrice se lamentait sur le sien.

- Mais… Pourquoi il n'y a plus personne ?

Ils viennent de prendre un porte-au-loin.

- Et tu n'aurais pas pu nous prévenir ?

Hummm, laissez-moi réfléchir… Non !

- Et on fait quoi nous maintenant ?

- On ne va pas rester ici pour toujours !

Mwahahah ! Je vous avais bien dit qu'il faudrait assumer les conséquences du changement de l'histoire. Bien fait pour vous. Hahahaha !

- Mets-la en sourdine, on essaye de réfléchir ici !

- …

- Toi, tu as une idée.

- On est bien au Ministère, non ?

- Oooh ho !

- Alors ça veut dire qu'il y a sûrement plein de dédales, couloirs et chemins à perte de vue !

- Un vrai labyrinthe !

- On est parties pour de nouvelles aventures !


Et dans le prochaine épisode, les Pancakes à la découverte du Ministère de la Magie :

- Hey, je crois que j'ai trouvé la caverne d'Ali baba !

- Il y a des sous de partout ! S'exclamèrent-elles en cœurs en plongeant la tête la première dans les montagnes de billets.


POV des photographes :

Plus tôt au Ministère :

« Heu, Phil… Ta pellicule est en train de se dérouler toute seule.

- Quoi ? Nooooon ! Mes photos vont être toutes bousillées ! »

Ou bien :

Plus tard en chambre noire :

« C'est quoi ces clichés ? J'étais pourtant sûr d'avoir nettoyé mon objectif et m'être assuré qu'il n'y avait personne devant moi. Alors expliquez-moi pourquoi il y a deux machins qui s'agitent sur la photo ?! »

Et ce fut ainsi que la Gazette ne put publier de photo de l'incident le lendemain. (C'est également une des autres conséquences de l'apparition des Pancakes dans l'histoire.)


* « Bataille de nouilles », explication du double-double sens : nouilles pour les andouilles d'auteurs et pour l'aliment. Là où est le second double sens, c'est dans le mot double sens lui-même… Ne cherchez pas, il n'y a rien à trouver. (C'est surtout qu'on a oublié pourquoi on avait écrit ça. - Chut !)

** « Anglico-mexicain de mes deux ! » (Passage amputé pour raison d'injures raciales indésirables…)

*** Gay pride !


Voilà la fin du premier chapitre explosif de la 1ère co-écriture des Pancakes Anonymes ! ^.^

P n°1 : - Je me permets de rajouter que si ça vous a plu, si vous avez vu des fautes (bien qu'on compte sur nos deux cerveaux et Mlle. T., notre bêta, pour ça), si vous avez des remarques et/ou des questions, que vous voulez que je frappe Pancake Number Two, laissez une review, please ! (Bon ok, pas besoin de reviews pour me demander de martyriser mon acolyte mais tous les moyens sont bons pour arriver à nos - mes - fins !)

P n°2 : - Hey ! C'est méchant, ça !

Bon, dernière précision, on vient tout juste de finir ce chapitre donc on ne sait pas du tout pour quand sera le prochain... Les sorties seront donc plus qu'irrégulières. Voilà ! ^u^