Chapitre 1 - NOUVEAU

Je ne veux que de l'amour

24 décembre. Telle est la date de mon 16eme anniversaire.

Et j'étais seule,assise,sur le bord de ma fenêtre,à regarder les enfants passer dans la rue d'a coté.

Je fermai les yeux,et vis mon enfance,une enfance pas comme les autres,une enfance noir et sombre,ou j'ai succombé à la tristesse et à la douleur.

Quelques larmes coulèrent sur mes joues,mais je ne pouvais pas retirer mes yeux de la scène. Ces enfants sain et en bonne santé,qui jouait et s'amuser … Et qui ne pensé qu'a ca.

Depuis bien longtemps,je n'y avais plus pensé,je retirai cette pensée de ma tete jusqu'au moment on frappa à ma porte.

-Oui ? demandais-je avec une voix à peu près calme.

-Lenah ? Tu viens ? On va manger la gâteux ! me dit ma tante.

- J'arrive …

- Si seulement tes parents étaient la pour assister à ton 16eme anniversaire … dit ma tante pensive.

- Oui,mais seulement ils ne sont plus de ce monde,alors evite de parler de ça,s'il te plait !

Oui,mes parents ont fait parti de mon enfance sombre. Ils sont mort tous les 2 dans un accident de voiture quand j'avais 7 ans,je ne comprenais pas pourquoi mais on m'avait menti,et j'ai su la nouvelle à mes 10 ans. On m'avait trahi et sali de l'intérieur.

On m'avait faire croire des choses horrible et ils étaient mort …

Sans eux,je voyais la vie dégoûtante,sans coeur,égoïste,je ne pouvais plus avancer.

Sans eux,je ne pouvais plus vivre,je n'avais gout à rien,je me laissai aller. Je m'étais tellement laissé aller … qu'a mes 12 ans,j'ai fait une tentation de suscide. Je ne pouvais plus supporter la suppression des 2 êtres les plus chers dans ma vie.

C'était un soir de décembre,il faisait très froid,et ma tante rentrait tard,je réfléchissai longuement,et je pris dans le tiroir de la salle de bain,deux petites lames de rasoir,puis,des médicaments très puissants.

C'est alors que je commençais à me couper les veines,très lentement,je voulais souffrir une dernière fois,reprendre gout à la vie,car on me l'avait gâché.

2h après ma tentative,ma tante m'a retrouvé sur le tapis du salon,et a directement appeler les pompiers pour me "sortir de la".

Depuis,ce jour,je suis suivi par le psychologue de mon lycée,une séance par semaine.

Depuis ce jour,je me promi de ne plus jamais recommencer,je pensais que ce ne serai pas le souhait de mes parents,même … si je souffrais encore et encore….

J'arrivai vers la table de la salle à manger,qui était recouverte d'une grande nappe rose,rempli de rose blanches,d'un géant gâteau à 3 étages et des dizaines d'assiettes en carton.

Puis je vis,mes cousins et mes cousines qui étaient tous autour de la table en question et qui,devaient m'attendre.

Ils dévoraient avec les yeux,le gâteau placé au centre de la table. Il était blanc,comme les roses,entouré de chantilly et à l'intérieur,du chocolat au lait.

C'était mon gâteau preferé,depuis que je suis toute petite,je me rappelle,j'avais 5 ans,et ma mère me la fait pour mon anniversaire,et je l'ai toujours demandé … jusqu'à ce fameux jour de décembre…

Je ne voulais plus qu'on me parle de mon enfance,de mes parents,tous ces choses,c'était du passé et j'avais décidé de faire une croix dessus.

-Lenah ? Tu viens ou tu vas rester devant la porte toute la nuit ? me demanda ma cousine,Marie,ce qui me déchira dans mes pensées du passé.

- Oui,j'arrive,j'arrive,fis-je.

Je m'assis devant ma tante,elle semblai heureuse,le sourire jusqu'aux oreilles,elle partagea le gâteau en 10 parts.

Oui,nous étions plutot beaucoup dans la famille,2 cousins,Thomas et Gabriel et 3 cousines,Marie,Clara et Morgane.

Ma tante,Coralie,mon oncle,Daniel,sa femme Elsa et puis moi.

Daniel et Elsa avaient Marie,Clara,et Thomas et les deux qui restaient Gabriel et Morgane,étaient les enfants de mon autre oncle,Claude.

-Tiens,voila pour toi,Lenah,ton gâteau preferé ! Tu te souviens ? Ta mère te l'avait fait pour la première fois quand tu avais … commença Coralie.

-STOP lui criais-je. Ne me parle plus de mon passé,plus jamais !

-Lenah,je…

Je m'étais levé tellement vite,que je vis la chaise tournoyé sur elle meme,je me précipitai dans ma chambre, et claqua la porte violemment.

Et les larmes coulèrent,coulèrent,et ça ne s'arrêtait pas !

Je pleurai mes 16 années de souffrance ...