Character(s) : Edward/Bella

Rated : M Genre : Romance

Résumé : Je l'aime. C'est plus. Je l'aime plus que ma propre vie. C'est plus. Je l'aime à en mourir. C'est peut-être trop mais c'est ça.

FEAR OF NIGHT

Je l'aime. C'est plus. Je l'aime plus que ma propre vie. C'est plus. Je l'aime à en mourir. C'est peut-être trop mais c'est ça.

[Blue jeans (Jean bleu )

White shirt (Chemise blanche )

Walked into the room you know you made my eyes burn (Entré dans la pièce tu sais que tu m'as brûlé les yeux )

It was like, James Dean, for sure(C'était comme, James Dean, c'est sûr )

You so fresh to death & sick as ca-cancer (Toi, aussi frais que la mort et malsain comme le cancer,)

You were sorta punk rock, I grew up on hip hop ( Tu étais genre punk-rock, j'ai grandi dans le hip-hop )

But you fit me better than my favorite sweater (Mais tu m'allais mieux que mon pull préféré)

And I know that love is mean, and love hurts (Et je sais que l'amour est mesquin, Et l'amour blesse, )

But I still remember that day we met in December – oh baby (Mais je me rappelle encore le jour de notre rencontre, en décembre - oh bébé ) ]

Deux ans auparavant

Mes talons claquaient sur le sol sale du bar, touts les regards étaient tournés vers moi. Jamais, je n'aurais du entrer mais quelque chose m'y avais pousser. Je ne sais pas quoi mais c'était si ... fort, violent … saisissant que je n'avais pas pu résister.

C'était comme si … Je ne sais pas …

Mais rien. Il n'y avais rien. Alors les épaules basses je me dirigeai vers la table la plus reculée du bar et m'y assis. La radio diffusait une chanson que je ne connaissais pas , quand il entra. Mon monde s'arrêta de tourner et mes yeux me brulèrent, tellement le regarder me faisais mal. Il était beau mais ce n'était pas ça.

Je savais. Oh oui je savais. Il dégageait une aura malsaine, puissante, masculine, il puait le sexe à trois mètres à la ronde et ça ce n'était pas bon pour moi. Il portait un tee-shirt blanc moulant parfaitement ses abdos et un jeans bleu légèrement descendu sur ses hanches. Des lunettes de soleil sur le nez alors qu'il faisait nuit, typique. Il tourna la tête dans tout les sens surement dans l'espoir de trouver sa nouvelle proie tout en ne posant jamais un regard vers moi comme si il m'ignorait en ne m'ayant jamais vue. J'étais frustrée pourquoi s'obstinait-il à ne pas me regarder ? J'étais tellement dans mes pensés que je ne m'aperçus même pas que quelqu'un avait pris place face à moi. Bien sur. C'était lui. Peut-être qu'aujourd'hui la chance me souriait ou peut-être pas …

-Alors tu te caches ? Demanda-t-il tout en sortant une cigarette de derrière son oreille. Il chercha son briquet, c'était un test. Bien j'imagine que tu ne fumes pas. Tant mieux, au moins j'embrasserais pas un cendrier ! Lança t-il tout en rigolant. Quel culot ! Et même si il avait raison je ne pouvait pas ne rien dire.

-De un, qui te dis que tu vas m'embrasser et de deux pourquoi moi devrais-je embrasser un « cendrier » comme tu le dis si bien ? Il rit légèrement puis me regarda fixement comme si il cherchait quelque chose au-delà de mes yeux. Cela dura … je ne sais pas trois minutes peut-être trois heures même ;je ne savais pas, je ne savais juste plus. Ses yeux verts m'hypnotisaient tellement que même si j'avais voulu faire ne serait-ce qu'esquisser un petit mouvement je n'aurais pas pu.

Qui était-il ? Pourquoi avait-il une telle emprise sur moi non pas seulement sur mon cerveau mais sur mon corps aussi. Car si en apparence je semblais sereine à l'intérieur je bouillais littéralement. Pas de désir, non, mon corps – j' – avais juste une sorte de besoin viscéral de le toucher pas forcément sexuellement parlant, juste … le toucher.

Soudain, il se releva sur sa chaise et dit :

-Bien, je pense que je vais y aller …

-Attends ! Criais-je pathétiquement. Tu m'a promis un baiser que je sache … Oui, j'avais surement sorti la chose la plus débile que j'ai trouvé mais j'en avais besoin. En tout cas il du prendre ça pour une blague car il rit.

-Très bien, tout ce que madame veut, madame auras.

Et je n'eus même pas le temps de m'en rendre compte que ses lèvres était déjà sur les miennes. Ce baiser étrangement sonna comme le début de mes emmerdes et pourtant ma vie n'était déjà qu'une merde alors … Plus vite que prévu il se retira et tourna les talons sans un regard vers moi. Non, il ne s'était pas retourné et je savais ce que ça voulait dire. Pourquoi alors avait-je le pressentiment que ce n'était le début ? Je ne connaissais cet homme que depuis quelques minutes, nous n'avions échangé seulement deux phrase et déjà mon corps le réclamé mais je n'était pas une de ces pauvres filles nunuches qui croient au grand amour. Bien sur je croie à l'âme sœur mais pas à l'amour parfait parce que je suis bien placée pour savoir que l'amour ce n'est pas juste un mec rencontré à l'université (d'ailleurs cela faisait longtemps que l'université ne m'avait plus vue) trois ans de vie commune, un mariage avec la famille, une nuit de noces plus que douteuse pour finir femme au foyer, quatre enfants et un mari présent une semaine tout les deux mois****. Bien sur, il y a des gens à qui cette vie plait alors ils sont heureux et au fond peut-être que c'est tout ce qui compte … être heureux et chacun à notre manière essayons de vivre notre vie d'une manière différente, de juste être heureux. Mais au fond qu'est-ce que le bonheur ? Une fin ? Peut-être, en tout cas moi il y a bien longtemps que j'avais arrêté de chercher. A quoi cela sert car de toute façon on pourra essayer et arriver à être différent mais il ne faut pas oublier qu'on est tous arrivés sur cette terre de la même façon alors dans la suite logique des choses on finira de la même façon. Mais nous sommes humain alors comme notre nature l'exige nous essayons en vain de devenir quelqu'un dans ce monde si vaste. Mais qui se souviendras de moi dans … dix, vingt, cinquante ans. La réponse est simple : personne. Contrairement à ce que l'on peut croire je ne suis pas pessimiste juste réaliste, un peu trop peut-être.

Je me levais et rentrais chez moi, la journée avait été longue même si je n'avais rien fait de spécial.

Cela faisait maintenant presque un mois que j'avais rencontré mon charmant inconnu et je dois avouer que je l'avais oublier bien que mon corps, lui ne l'avait pas oublier. Chaque jour, je me levais mon corps toujours plus en manque de quelque chose mais je ne savais pas quoi. J'avais essayé de combler mon besoin avec des coups d'un soir mais rien n'y faisait j'avais besoin de lui. Désespérément. Mon moral aussi en prenait un coup, j'étais toujours fatiguée, lasse, vide presque … morte.

Alors, un fois n'est pas coutume, je sortis de chez moi vers une heure du matin mon colt dans une petite pochette, je l'avais acquis après qu'un pervers ai essayé de me violer dans une petite ruelle. Autant dire que c'était la pire soirée de ma vie. J'avançais tranquillement dans la nuit quand des bruits étouffés me parvinrent, surement une bagarre. Je continuais à avancer quand j'entendis une voix ou plutôt un cri de douleur. Son cri de douleur. Prise dans l'adrénaline du moment je courus jusqu'à cette ruelle et sortis mon colt le pointant sur les trois cons qui tabassaient mon inconnu. Ils n'eurent même pas le temps de se retourner que j'avais déjà tiré. Un avait une balle dans la tête et les deux autres dans le cœur appelait ça la chance du débutant, l'adrénaline ou autres conneries de ce genre mais en tout cas je venais quand même de commettre un crime, j'avais commis un meurtre. Pour lui. Quelqu'un que je connaissais à peine. Et le pire je croie c'est que je n'avais aucun regret et au fond de moi je savais que je n'en aurais jamais. C'est la voix de mon inconnu qui me sortit de mes pensées :

-Je n'avais pas besoin d'aide, tu sais mais puisque tu m'a sauvé et qu'on est destiné à se revoir je vais t'appeler « mon ange gardien » ! Lança-t-il comme si le mec mort à ses pieds le crane pissant le sang n'existait pas.

-Viens. Lui répondis-je doucement et commençais à partir direction la maison. Je savais qu'il me suivait car je pouvais sentir son regard sur moi. Il devait être dans ses pensées car il n'ouvrit pas la bouche tout le long du trajet. Et moi, je pensais à ce que j'avais fait. Tuer n'était pas rien pourtant je ne ressentais rien. Rien. Que voulais dire «rien» ? Selon un dictionnaire «rien» exprime l'absence de quelque chose mais comment un mot qui exprime une absence peu vouloir dire autant de chose pour moi en ce moment. Je ne savais pas, encore une fois, je ne savais juste plus.

Une fois arrivé à destination j'ouvris la porte de ma maison et laissais passer mon invité.

-Charmante petite maison, tu dois être pétée de tune ! S'exclama t-il.

-Merci, mais tu es loin du compte … hum …

-Edward.

-Eh bien, Edward pour ta gouverne c'est la maison de mon père qui est mort y a trois ans maintenant.

-Ah.

Je me détournais pour qu'il ne voie pas ma douleur à travers mes yeux. Charlie était un sujet sensible. Il était mort il y trois ans, un an après que j'eus emménagé chez lui car Renée m'avait gentiment mise à la rue. Super ! Soudain, je sentis des bras forts m'entourer. Il s'emboitait à merveille avec mon corps. Très vite ses mains commencèrent à se balader sur moi, remontant vers ma poitrine, il la malaxa me faisant ainsi gémir. Entre ses mains expertes je n'étais qu'une pauvre marionnette, tout n'était que sensualité et érotisme mais qui pourrait m'en blâmer ? Certainement pas lui. Il me retourna et me poussa contre le mur le plus proche. Il m'embrassa et nous nous battions pour avoir le contrôle à partir de se ce moment là la bête en nous l'avait emporté et j'avais su, su que j'étais foutue. Si j'avais eu une chance de reprendre un jour le cours normal de ma petite vie, je l'avais perdue. Oui, tout n'était que bestialité quand il m'avait prise contre ce mur dans la pénombre ou quand il m'avait portée jusqu'à ma chambre pour continuer. J'étais foutue et je m'en foutais.

Le lendemain, je me levais à ses cotés et contrairement à ce que vous croyez nous n'affichâmes jamais d'immense sourire de satisfaction car une discussion nous attendait. Nous le savions, lui comme moi.

-Pourquoi ? Lui demandai-je doucement.

-Parce que. Et toi, pourquoi ? Me répondit-il.

-Parce que. Soufflais-je.

Il se leva, s'habilla et partis. Je ne l'en empêchai pas. Il reviendra. Parce qu'il m'appartenait et qu'il en était conscient. Nous avions fait un choix à nous de l'assumer.

[ I will love you till the end of time (Je t'aimerai jusqu'à la fin des temps )

I would wait a million years (J'attendrais un million d'années )

Promise you'll remember that you're mine(Promets-moi que tu te rappelleras que tu es à moi )

Baby can you see through the tears(Bébé, peux-tu voir à travers les larmes )

Love you more(Je t'aime plus )

Than those bitches before(Que ces garces d'avant )

Say you'll remember - oh baby - say you'll remember (Dis que tu t'en rappelleras - oh bébé – dis que tu t'en rappelleras )

I will love you till the end of time(Je t'aimerai jusqu'à la fin des temps ) ]

Aujourd'hui

Bien sur, il était revenu. Nous nous sommes aimé pendant un an sans que je ne sache le pourquoi du comment. Et maintenant je me retrouvais dans une maison, seul, à l'attendre … parce que je l'aime.

[ Big dreams ( Grands rêves )

Gangster ( Gangster)

Said you had to leave to start your life over (Tu a dis que tu devais partir pour recommencer ta vie)

I was like « No please stay here ( J'étais comme: "Non, s'il te plait reste-là )

We don't need no money we can make it all work » (Nous n'avons pas besoin d'argent, nous pouvons faire sans")

But heheaded out on Sunday, saidhe'd come home Monday(Mais il est parti un dimanche, a dit qu'il rentrerait lundi)

I stayed up waiting, anticipating and pacing(Je suis restée à l'attendre, en anticipant et faisant les cent pas)

But he was chasing paper (Mais il cherchait de l'argent)

Caught up in the game, that was the last I heard (Pris dans le jeu, voilà la dernière chose que j'ai entendue) ]

Il y a deux jours

Cela faisait déjà longtemps qu'il me semblait bizarre mais il n'avait pas voulu se confier. Alors, j'avais laissé tomber. Seulement j'étais loin de me douter de ça. Ils l'ont arraché à moi. Me tuant ainsi. Depuis que je lui avais dit que je voulais plus. Mais je ne pouvais rien faire car quoi qu'il fasse c'est lui qui menait la danse. Il sortait tout les soir mais ça ne me dérangeais pas. Pourtant une phrase revenait sans cesse dans mon esprit dès qu'il passait la porte : «Je voudrais t'enchainer pour que tu ne partes plus mais je ne peux pas alors j'attends ».

Sauf qu'un jour ça a dérapé. Il est renté comme une furie et a pris un sac le remplissant d'habits.

-Que fait-tu ?

-Je vais chercher de l'argent. Me dit-il sans même me regarder.

-Quoi ?!

-C'est bien toi qui a dit que tu voulais plus.

-C'est eux !

-Mon ange, je t'en prie laisse-moi faire ça pour toi. Tu en as déjà fais assez pour moi. Dois-je te rappeler que tu as tuer pour moi !

-C'est parce que je t'aime ! Tu n'as pas le droit de me reprocher de t'aimer !

-C'est ça le problème ! Putain !

-Je ne comprends pas. Soufflais-je les larmes inondant mes yeux.

Il partit en direction de la porte et je ne fis rien pour l'en empêcher parce que c'est lui qui guide et pas le contraire.

-Au revoir, Bella. Je t'aime …

-N'oublie pas

Et il était partit sans même se retourner.

[He went out every night (Il sortait tous les soirs )

And baby that's alright (Et bébé, ça ne me dérange pas, )

I told you that no matter what you did I'd be by your side (Je t'ai dis que quoi que tu fasses je serai à tes cotés )

Cause I'm a ride or die*** (Parce que je suis un marche ou crève )

Whether you fail or fly* (Que tu faillisse ou vole )

Well shit at least you tried. (Bon sang au moins tu as essayé )

But when you walked out that door, a piece of me died (Mais quand tu as franchi cette porte, une partie de moi est morte)

I told you I wanted more, but that not what I had in mind (Je t'ai dis que je voulais plus, mais ce n'était pas ce que j'avais à l'esprit, )

I just want it like before (Je veux juste que ce soit comme avant )

We were dancing all night (Nous dansions toute la nuit )

Then they took you away, stole you out of my life (Et puis ils t'ont pris, ils t'ont arraché à ma vie )

You just need to remember…. (Tu dois juste te rappeler... )]

Aujourd'hui

Il n'était pas revenu. Et j'attendais. Encore. Parce que je l'aime. Car je lui ai toujours dit « Le monde peut pendre fin mais tant que tu es alors je suis ! ». Sans lui je n'existe pas, il était ma drogue. Mais je ne pouvais rien faire. Une partie de moi, me disait qu'il ne reviendrait pas, pire, je savais qu'il ne reviendrait pas. Je devais arrêter ce gachit et espérer qu'il n'oublierait pas. Alors, dans un ultime moment de lucidité je décidais que s'en était fini. Puisqu'il l'avait dit. C'était lui qui dirigeait. Certains ce diront « Elle a bien vécu sans lui auparavant ! » et moi je répondrais « Après avoir connu le bonheur peut-on appeler notre misérable existence un vie ? ». Je ne le crois pas, sincèrement. Je me levais donc du sol froid et dur et m'avançais vers son piano. Je pris une feuille, un stylo et commençais à écrire …

Il mio salvatore**,

La solitude m'a tuée mais tu m'as détruite

Mais je t'aime et je savais alors je t'attends parce que bébé tu es mien

J'ai fait la guerre pour toi. Oui j'ai tué et alors tant que c'est pour toi ?

Tu m'appelle " mon ange gardien" pourtant c'est toi qui m'a sauvé. Amour dis leur, dis leur que tu es mien!

Je t'aimerais pour toujours et à jamais

N'oublie pas …

[ I will love you till the end of time (Je t'aimerai jusqu'à la fin des temps )

I would wait a million years (J'attendrais un million d'années )

Promise you'llrememberthatyou're mine

(Promets-moi que tu te rappelleras que tu es à moi )

Baby can you see through the tears(Bébé, peux-tu voir à travers les larmes )

Love you more(Je t'aime plus )

Than those bitches before(Que ces garces d'avant )

Say you'll remember - oh baby - say you'll remember

(Dis que tu t'en rappelleras - oh bébé – dis que tu t'en rappelleras )

I will love you till the end of time(Je t'aimerai jusqu'à la fin des temps ) ]

La fin est quelque chose que l'on ne peut contrôler comme l'amour, le temps, la vie, l'avenir ainsi que l'invisible. Est-ce que tout le monde a le droit à sa fin heureuse ou est-ce un prix qu'il nous obtenir? Peut-on aimer quelqu'un au point de le détruire? Ou l'amour n'est-il qu'une blague? Peut-on savoir avant de savoir? Je ne sais pas. L'amour est le plus mortel des poisons, pire que la guerre, il a décimé de nations entières. Prenons l'exemple d'Hélène de Troie, tous morts pour une femme. Voici juste la fin de cette triste histoire, dans une rubrique nécrologique.

8 Décembre 2012

Un jeune homme retrouvé mort à l'arrière d'un bar répondant au nom de Edward Cullen.

10 Janvier 2013

Une jeune femme du nom d'Isabella Swan retrouvée morte chez elle. Des experts estiment la date de son suicide le 10 Décembre 2012.

Et après tout ça une seul question subsiste : Qui se souviendra d'eux ?


Salut! Si l'histoire n'ai pas exactement ce que la chanson raconte c'est pas grave la chanson sert juste à "illustrer" en quelque sorte l'OS. Ensuite, pour ceux qui ne connaissent pas c'est

"Blue jeans" de Lana Del Rey. Voilà je pense avoir tout dis …

Ah oui! DÉSOLÉ si ce n'est pas très joyeux surtout en cette période de fêtes. En parlant de ça BONNES FÊTES A TOUS!

***: "Ride or die" se rapproche de vivre ou mourir

**: cela veut dire mon sauveur en italien

*:" you fail or fly" se rapproche de "tu soit en échec ou que tu réussisse"

****: les pensées de Bella pas les miennes mais elle parle ici des femmes qui se font trompé par leur mari et je ne pense pas que beaucoup apprécient.