La cinquième année de Harry Potter
Bah oui, je sais, encore une histoire sur la cinquième année de notre héros préféré, mais étant donné que J.K.Rowling ne se décide toujours pas à terminer le tome 5, il faut bien tromper son impatience avec les moyens du bord. Je remercie le peu de gens qui pourrait lire cette fic, qui, disons le, est ma toute première fanfiction, alors s'il vous plait, soyez indulgents (et, si l'envie vous en prend, envoyez des reviews, que vous ayez aimé ou non ( avec des remarques intelligentes ! ! ! ()
Bien sûr, le blabla de circonstance que tout le monde connaît déjà par c?ur : les personnages de Harry Potter appartiennent à J.K.Rowling et non pas à ma propre petite personne (sniff.)
Avertissement : il est possible que certains détails un peu trop explicites puissent « choquer » les âmes sensibles, mais qu'elles se rassurent : pour l'instant cet avertissement se limite à cette page.
Prologue
Little Hangleton. Un ravissant petit village, situé au c?ur de la campagne britannique, et que tous louent pour son calme et sa quiétude. Pourtant, en ce brûlant début de mois de juillet régnait une agitation bien inhabituelle : rappelant en cela les bourdonnements et les va-et-vient incessants d'une ruche, tous les habitants sans exception traversaient les rues d'un pas vif et pressé, en direction d'un seul et unique lieu : le café du village. Là, ils se chuchotaient à l'oreille avec excitation ou en écoutaient quelques-uns donner leur opinion sur ce qui avait bien pu se passer, un chaud mois d'été comme celui-ci, dans l'ancienne demeure des Jedusor. Car cela faisait bientôt trois mois que cette effervescence durait : trois mois que Franck Bryce, gardien de l'immense propriété adossée à la colline voisine, et disparu voilà un an, avait été retrouvé ( ou plutôt ce qu'il en restait ( entassé sur le bord de la route.
On avait enterré avec soin dans un coin du cimetière les membres du vieil homme, c'est à dire sa tête ( dont les yeux, encore grand ouverts, affichaient une expression d'horreur ( et ses vêtements, du moins le pensait-on car il s'agissait là d'un tas de vieux chiffons lacérés et à moitié dissous dans une étrange matière visqueuse et gluante. Comme l'avait fait remarquer le médecin légiste, le cas était très particulier puisqu'il semblait que la victime soit éventuellement décédée d'un choc cardiaque (impossible à vérifier), ait été décapitée puis engloutie par quelque chose qui en aurait ensuite déglutit les « parties indigestes ». Quant au « quelque chose » qui avait fait ceci, personne n'en avait la moindre idée.
C'est donc dans la plus grande terreur que les villageois avait appris la nouvelle. Si ceux-ci avaient, il y a des dizaines d'années, trompés leur frayeur en accusant de l'assassinat de ses maîtres, morts eux aussi d'une façon mystérieuse, ils ne pouvaient trouver aucune explication plausible au terrible sort qui s'abattait sur tous ceux qui avaient un lien avec les Jedusor. Ils devaient se rendre à l'évidence : le manoir était bel et bien hanté et quiconque s'y intéresserait de trop près le regretterait amèrement.
Bah oui, je sais, encore une histoire sur la cinquième année de notre héros préféré, mais étant donné que J.K.Rowling ne se décide toujours pas à terminer le tome 5, il faut bien tromper son impatience avec les moyens du bord. Je remercie le peu de gens qui pourrait lire cette fic, qui, disons le, est ma toute première fanfiction, alors s'il vous plait, soyez indulgents (et, si l'envie vous en prend, envoyez des reviews, que vous ayez aimé ou non ( avec des remarques intelligentes ! ! ! ()
Bien sûr, le blabla de circonstance que tout le monde connaît déjà par c?ur : les personnages de Harry Potter appartiennent à J.K.Rowling et non pas à ma propre petite personne (sniff.)
Avertissement : il est possible que certains détails un peu trop explicites puissent « choquer » les âmes sensibles, mais qu'elles se rassurent : pour l'instant cet avertissement se limite à cette page.
Prologue
Little Hangleton. Un ravissant petit village, situé au c?ur de la campagne britannique, et que tous louent pour son calme et sa quiétude. Pourtant, en ce brûlant début de mois de juillet régnait une agitation bien inhabituelle : rappelant en cela les bourdonnements et les va-et-vient incessants d'une ruche, tous les habitants sans exception traversaient les rues d'un pas vif et pressé, en direction d'un seul et unique lieu : le café du village. Là, ils se chuchotaient à l'oreille avec excitation ou en écoutaient quelques-uns donner leur opinion sur ce qui avait bien pu se passer, un chaud mois d'été comme celui-ci, dans l'ancienne demeure des Jedusor. Car cela faisait bientôt trois mois que cette effervescence durait : trois mois que Franck Bryce, gardien de l'immense propriété adossée à la colline voisine, et disparu voilà un an, avait été retrouvé ( ou plutôt ce qu'il en restait ( entassé sur le bord de la route.
On avait enterré avec soin dans un coin du cimetière les membres du vieil homme, c'est à dire sa tête ( dont les yeux, encore grand ouverts, affichaient une expression d'horreur ( et ses vêtements, du moins le pensait-on car il s'agissait là d'un tas de vieux chiffons lacérés et à moitié dissous dans une étrange matière visqueuse et gluante. Comme l'avait fait remarquer le médecin légiste, le cas était très particulier puisqu'il semblait que la victime soit éventuellement décédée d'un choc cardiaque (impossible à vérifier), ait été décapitée puis engloutie par quelque chose qui en aurait ensuite déglutit les « parties indigestes ». Quant au « quelque chose » qui avait fait ceci, personne n'en avait la moindre idée.
C'est donc dans la plus grande terreur que les villageois avait appris la nouvelle. Si ceux-ci avaient, il y a des dizaines d'années, trompés leur frayeur en accusant de l'assassinat de ses maîtres, morts eux aussi d'une façon mystérieuse, ils ne pouvaient trouver aucune explication plausible au terrible sort qui s'abattait sur tous ceux qui avaient un lien avec les Jedusor. Ils devaient se rendre à l'évidence : le manoir était bel et bien hanté et quiconque s'y intéresserait de trop près le regretterait amèrement.
