Bon… Je reviens avec… Ça. Mais pas « Ça » comme Ça le film avec le clown flippant, non non non ! Trois fois non (= 43 !) ! « Ça » comme ça, cette fanfic. Je tiens à préciser que l'histoire était simple à la base. Et vous verrez qu'au final… Bah elle est genre pas simple du tout. Toute la trame est faite, me reste plus qu'à écrire dessus. Je vous préviens d'avance, elle devrait avoir son petit pesant de lemon… Parce que bah… Voilà quoi (notez l'éloquence de ma personne c'est très important). Je pense que vous allez bien vous marrer. En tout cas vu ce que j'ai en tête, vous devriez bien vous marrer… Vu que moi je me suis bien marrée. Bref si je fais bien mon taff' (ce dont je doute beaucoup et en permanence) on devrait bien se marrer.
Disclaimer : Non Teen Wolf n'est pas à moi. Non je n'ai pas essayé de racheter la série. Non je n'ai pas pleuré toutes les larmes de mon corps quand j'ai compris que bah… Ça servait à rien d'essayer, Jeff Davis y tiens trop U.U
Rating : M (et ça commence à être légitimé dés la première ligne de ce chapitre...)
Paring : Euuuuuh... J'ai pas envie de vous spoiler en fait... Parce que c'est un peu compliqué à expliquer dooooonc euh si je le dis on va me tomber dessus rapidement alors je me tais. Si vous voulez savoir, demandez. si vous voulez la surprise, attendez U.U
Vénérez la Sainte cuillère qui vous accompagne et vous donne la force !
Bonne lecture!
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Chapitre 1 : Un rêve, ça ne veut rien dire.
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Il était alangui, nu, sur un lit dans une chambre au parquet ébène et aux murs cinabres qui lui était inconnue. Une odeur douce et envoutante s'échappait des bougies posées çà et là qui préservaient une douce lumière rougeoyante. Le velours sombre des draps du lit à baldaquin tranchait avec sa peau blafarde totalement exposée sans qu'il n'en ressente un quelconque embarras. Il n'aurait pas su expliquer à qui que ce soit ce qu'il faisait là et à vrai dire, il ne voulait étrangement pas le savoir. Qu'elle importance cela avait-il ? Il n'avait pas besoin de connaitre le pourquoi ni le comment. C'était parfaitement inutile.
Il était dans un simple rêve.
Un rêve qui prenait une tournure des plus agréables quand il rencontra deux yeux d'un vert foncé superbe. Il les connaissait bien pour les avoir autant admirés que rêvé et ce, à de nombreuses reprises, dans des situations pour le moins similaires.
- Stiles...
Cette douce voix, appartenant à la jeune femme pour qui il avait nourrit un amour sans bornes pendant presque une dizaine d'années. Une décennie à l'admirer, à l'aimer dans quelque période que ce soit. Dans les moments les plus difficiles et obscure de son existence, elle était même devenu son rayon de Soleil. Dans un secret quasiment total qui en était presque devenu quelque peu malsain.
Presque, pas totalement c'est une nuance qu'il aimait à rappeler.
- Stiles, l'appela-t-elle de nouveau à voix basse.
Il la regardait se pencher sur lui, il sentait ses seins tendus par le désir contre son torse alors qu'elle plongeait dans son cou pour y suçoter la peau.
- Lydia...
Il voulut l'écarter de lui alors qu'il sentait ses doigts fins s'aventurer au niveau de ses hanches.
Car il avait mis dix ans pour se rendre compte que Lydia ne serait jamais autre chose pour lui qu'une meilleure amie. Il ne pouvait que l'admirer et être heureux de pouvoir partager son quotidien. Parce que ses fantasmes n'étaient justement que des fantasmes et qu'il n'aurait jamais été capable de la toucher de cette manière. Il la tenait en trop haute estime pour la souiller.
Il ne se faisait pas d'illusions pour autant, elle n'était pas un ange. Mais elle n'était surtout pas pour lui. Il était son plus grand soutien moral et ça leur suffisaient. Ce n'était pas un amour que devait se vouer deux amants, il ne pourrait rien y avoir de charnel. Mais Stiles se rendit à l'évidence que son cerveau n'était pas d'accord avec lui. Il essaya de penser à quelqu'un d'autre en priant pour que ça marche. Pas que Lydia le dégoutait, au contraire. Elle attisait le désir de nombreux hommes et c'est justement là que ce faisait toute la nuance, il n'était pas les autres, il ne la désirait pas de la même manière.
D'une certaine façon, ses douces obsessions pour la jeune femme dans le passé c'étaient mués en un amour similaire à celui entre lui et Scott.
- Stiles...
Des ongles pointus commencèrent de griffer sa peau. Il sentait un feu bien connu à présent l'envelopper. La crinière blonde vénitienne était devenue châtaine et il ne retint pas un sourire, c'était déjà beaucoup mieux. Il ne savait pas trop pourquoi il avait couché avec Malia à la base. À vrai dire ça avait été un besoin immédiat et les chaleurs de la jeune femme avait précipités les choses. Dans les mouvements tumultueux de leurs corps ils s'étaient compris, avaient appris, sur eux même ainsi que sur l'autre.
Depuis, Malia et lui étaient ensemble et Stiles n'en était que plus heureux, la jeune femme était une bouffée d'air frais. Sauvage, indomptable, elle le surprenait dans chacune de ses paroles ou de ses actes.
Et son esprit s'évertuait à lui faire revivre cette partie de sa vie.
Sa première fois.
Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, la jeune coyote avait des mains graciles et savait s'en servir à la perfection. Ou étais-ce parce qu'il était en plein rêve? Aucune idée, il n'avait pas envie d'y réfléchir davantage et s'abandonna aux bons soins que lui procurait Malia, après tout, ce n'était pas la réalité alors il n'y avait aucun problèmes n'est-ce pas? Il se sentait de plus en plus proche de la jouissance et la main de la jeune femme se fit plus rapide, plus rude, plus...
… Plus grande?
Il ouvrit les yeux qu'il avait fermés pour se rendre compte que Malia n'était plus vraiment Malia.
Elle n'avait plus une once de poitrine, ses longs cheveux avaient disparus, ses hanches voluptueuses étaient devenues droites, trop droites pour que son corps soit encore celui d'une femme. Son analyse n'avait d'ailleurs rien à voir avec la présence d'une excroissance pulsant contre sa cuisse à laquelle il essayait de ne pas penser.
Il senti une autre main se frayer un chemin jusqu'à son postérieur, ses pensées partaient dans tous les sens, d'abord assez surpris, il s'était pourtant soumis à son besoin d'aller jusqu'au bout. Il tenta vainement de retenir les sons qui s'échappaient de sa gorge quand il sentit un doigt entrer en lui. Sa peau le brulait et les mains de l'inconnu calmaient cette sensation profonde qu'il allait s'enflammer d'un instant à l'autre.
La partie rationnelle, loin d'être en grève, lui hurlait de prendre ses cliques et ses claques et de fuir vite et loin. Mais depuis quand écoutait-il la partie rationnelle ? Depuis environ jamais, ouais ça devait être ça. Et même s'il ne voulait pas l'avouer, parce que c'est un peu honteux l'air de rien, il n'avait vraiment pas envie d'arrêter.
L'inconnu retira son doigt et le retourna comme s'il n'était qu'une vulgaire crêpe, le forçant à être à genou la tête enfouie dans les oreillers duveteux. Stiles aurait râlé, en fait il était prêt à le faire, il allait même lui gueuler dessus que ça ne se faisait pas de ne pas prévenir les gens. Mais tout ce qui s'échappa de sa gorge fut un long cri de plaisir alors que l'autre s'était enfoncé en lui jusqu'à la garde. La sensation d'être remplit lui faisant définitivement perdre la tête, ses mains crispées tirant sur le drap sombre.
Maintenant même sa partie rationnelle en profitait, finalement bien heureuse de la situation. N'omettant pas tout de même un petit murmure de « C'est pas possible de ne pas avoir mal » que Stiles n'écouta pas, se perdant dans le plaisir intense que provoquaient les coups de butoir de l'inconnu.
Il finit par se libérer dans un long gémissement coupable, l'autre relâcha ses hanches le laissant s'écraser de tout son long encore tremblant. Il se tourna sur le dos, haletant, les yeux clos savourant son orgasme.
Quand il les rouvrit, il mit un moment avant de reconnaitre sa chambre. Essayant tant bien que mal de calmer son cœur et de faire le point sur ce qu'il venait de lui arriver.
Il dégoulinait de sueur et avait une sensation collante dans son caleçon. Il grimaça en se rendant compte qu'il venait littéralement de se jouir dessus. Il se redressa, avisa l'heure sachant bien qu'il ne pourrait pas se rendormir après ça et se mit en devoir de se laver lui et son caleçon afin de dissimuler les répercutions qu'avait eu son rêve sur son corps.
Une question trottinait dans sa tête mais il ne lui donnait pas tellement d'importance. Enfin un peu quand même, sinon elle ne trottinerait pas dans sa boite crânienne mais il ne voulait pas y faire attention, il essayait actuellement de se convaincre que la fin de ce rêve mouillé ne voulait strictement rien dire et que son cerveau cherchait juste un moyen d'évacuer la pression.
Et il ne fallait surtout pas que son père l'apprenne de quelque manière que ce soit.
Ce n'était pas la première fois que ce genre d'accident nocturne lui arrivait et franchement, il n'avait pas envie de recommencer une conversation avec son père dans la rubrique sexualité avant un moment.
Le jour où son père l'avait coincé pour tester ses connaissances sur comment bien se protéger lui avait largement suffit. Encore heureux qu'il ne savait pas pour ce qu'il s'était passé entre lui et Malia et Stiles suppliait le ciel pour que son paternel ne l'apprenne jamais.
Parce qu'il avait commis l'erreur suprême moderne en même temps que le péché de chair, ils l'avaient fait sans se protéger. Une fois lancé, il n'avait pas pu retenir Malia qui s'était laissé aller à cause de ses chaleurs.
Il n'avait pas subi la chose non plus, y prenant largement du plaisir, mais à aucun moment il n'avait vraiment eu les commandes. Et il n'avait encore moins pu arrêter la coyote quand elle eut la brillante idée de s'empaler sur lui sans prévenir.
Fort heureusement, ils avaient fait par la suite une batterie de test dans le plus grand secret et avaient tous deux été rassurés de découvrir qu'ils n'avaient rien de néfastes ou d'handicapants pour l'avenir. D'une parce que Stiles ne se voyait pas annoncer à son père qu'après s'être fait interné et possédé par un esprit démoniaque il avait écopé d'une MST ou d'une paternité non voulue. L'impact semblait certes moins important mais il préférait ne jamais avoir à le faire. Et de deux parce que lui ? Avoir un enfant ? À son âge ? Avec Malia ? Stiles voulait faire bien d'autres choses avant de s'installer avec une femme et fonder une famille.
Il soupira en frottant le tissus sous le jet du robinet avec un peu de savon, c'est vrai que parfois, il avait peur que la maladie de sa mère ne le rattrape. Cette peur s'était faite encore plus présente depuis que le Nogitsune lui avait joué ce sale tour à l'hôpital. Il y pensait sans arrêts.
Quand Scott lui avait dit qu'il serait prêt à le mordre pour le sauver, Stiles avait largement réfléchis à cette possibilité. Mais il n'était même pas sûr de survivre à une morsure, peut-être qu'il n'était pas fait pour être autre chose qu'un humain. En soi, ça ne l'aurait pas gêné de se dire ça avant, avant d'apprendre qu'il était aussi utile dans un combat qu'une petite cuillère le serait. Enfin une petite cuillère fine stratège mais toujours une petite cuillère.
Au moins, il se consolait en se disant qu'il faisait des plans géniaux et avait souvent -TOUJOURS !- raison quand il se méfiait de quelqu'un, à un moment ou un autre, cette personne devenait la cause d'une petite pelote de problèmes. Et quand on n'écoutait pas Stiles qu'est-ce qu'il se passait ? Eh bah la pelote grossissait et s'ajoutait aux autres pelotes jusqu'à devenir tellement grosse qu'elle pouvait fournir trois pullover à chaque être humain de cette planète sans aucun problèmes ce qui donnait environ 21 milliards de pullovers. Au moins, l'hypothermie serait éradiquée. Et c'était cool de se battre contre les fléaux de ce monde.
Par contre la question se posa du type de matériaux, parce que si c'était du coton, certains préféreraient peut être revendre leur pull. Et à ce compte-là, la pelote pourrait peut-être vaincre la pauvreté. Sauf que qui achèterait un pullover s'il en a déjà trois ?
Il passa une main lasse sur son visage. Il en avait marre de réfléchir à des truc aussi cons et inutiles. Puis il se rendit compte que sa main était pleine de bulle de savon et ses yeux s'agrandirent alors qu'un picotement désagréable commença à s'y faire sentir, un picotement caractéristique lui dévorant doucement la sclérotique.
Aussi vite qu'il put il tenta de nettoyer ses yeux pour retirer le plus de savon possible.
- Merde ! Ah putain de merde de-Aïe ! Bordel ça pique !
Il lui arrivait de savoir à l'avance quand une de ses journée était foutue comme aujourd'hui. Il le sentait venir à dix kilomètres. Mais quoi me direz-vous ?
Un régiment de problèmes naturellement.
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Résultat des courses, ses yeux le grattaient, il avait mal au dos parce qu'il était tombé de la douche en sortant parce qu'il n'avait pas regardé où il mettait les pieds parce qu'il avait les yeux fermés parce qu'il avait mal aux yeux. Puis, il avait fait tomber chacune de ses tartines par terre, côté beurre évidemment sinon ce n'était pas drôle, la base du comique de répétition ! Bref, sa journée commençait extrêmement bien.
Il allait engloutir sa quatrième tartine beurrée agrémentée de quelques saletés provenant du sol qu'il n'avait pas réussi à retirer quand son père, en pyjama -parce que en congé - composé d'un jogging noir et d'un t-shirt blanc avec l'inscription « Sexy Daddy » -cadeau de Stiles- en rouge, s'approcha de lui doucement, un sourire amusé aux lèvres et les bras cachés dans son dos. Stiles le regarda faire, sa main en l'air prête à le nourrir comme il se devait.
- Ça y est ? L'âge a emporté ta raison au loin ? Se moqua-t-il.
Le shérif leva les yeux au ciel.
- Sache en tout cas fils ingrat que tu vieillis aussi.
Le ton mystérieux et de ce fait inhabituel de son père l'interpella.
- Tu peux en venir aux faits ?
Stiles savait qu'il était intelligent et qu'il comprenait les choses rapidement. Mais ce matin et certainement pour le reste de la journée, ses talents de compréhension étaient allés faire un tour du côté d'un bistro pour se noyer dans l'alcool afin d'oublier la déchéance de son existence. Oui, il pouvait être extrême quand il le voulait.
- Joyeux anniversaire Stiles.
Les yeux exorbités, l'hyperactif se rappela qu'effectivement il avait aujourd'hui 17 ans et ce depuis quelques heures maintenant vu qu'il était né assez tôt dans la matinée -ou très tard dans la nuit, c'était assez relatif en l'occurrence-.
Il déballa le cadeau de son paternel, c'était une petite boite et quand il l'ouvrit, il y trouva une fine chaine en argent mais surtout, ce qui attira le plus son regard, une pierre noire hexagonale parsemée de points blancs ou bleutés qui donnaient l'impression qu'on avait arraché un morceau de l'espace pour en faire un pendentif.
- C'est ta mère qui voulait que je te l'offre à tes dix-sept ans. C'est un bien qui se transmet de générations en générations dans sa famille. Maintenant elle t'appartient.
Ému il prit son père dans ses bras, d'une part pour le remercier pour avoir pensé à son anniversaire et d'autre part parce que c'était le plus beau cadeau qu'on lui avait jamais fait. Bien qu'en soi, ce cadeau tenait plus d'un héritage qu'autre chose, Stiles le considérait comme tel.
Comme quoi cette journée n'était peut-être pas si pourrie.
Enfin, toujours moins pourris que la veille.
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Avis aux avis, j'ai besoin de vos avis ! (Beaucoup trop d'avis dans cette phrase…) Bien ? Pas bien ? Ridicule ? (insérer ici un mot qui rime en -ule) ?
Dans quelques chapitre ça va commencer à partir largement en cacahuètes donc si vous commencez déjà d'être perdu, je suis là ! Demandez-moi, je vous inculquerais le savoir ancestral de la courge suprême qu'est ma personne… Oui je suis une courge suprême, voir un poireau sacré, eh ouais tu me dois le respect mortel ! (Hein quoi ? Mes médicaments ? J'ai peut-être oublié d'en prendre depuis quelques temps…)
Oh et bientôt, je pense instaurer un genre de petit vote/propositions pour les lemons… Mais je vous en ferai part quand le moment sera venu~
Bref, dîtes moi ce que vous en pensez, on se retrouve bientôt (j'ai des chapitres d'avances mais le temps pour poster me manque cruellement, donc je ferais au plus vite mais comptez au moins une semaine) bisous ! :3
Et n'oubliez pas! Le Bonheur, c'est simple comme une review.
