Coucou tout le monde !
Et voilà la première fic sur Harry P. écrite par le trio Lukomax ! Enfin, pour le moment juste par Lillule et Ritsuko, car Maxwelloune n'a plus internet ! Mais elle nous rejoindra bientôt ! Donc pour le moment, c'est Lillule aux commandes, qui fait le principal travail de rédaction, aidée par de Ritsuko pour les idées tordues (nombreuses il est vrai, c'est une association de cerveaux déglingués…).
Démenti (disclaimer pour anglophiles) : non, JK Rowling n'a pas encore de triple personnalité (ou alors, elle est vraiment devenue folle) donc il est évident que Harry et tous ses petits copains et copines ne sont pas à nous (juridiquement parlant bien sûr, parce qu'autrement…).
Couples : encore indéterminé, mais on penche fortement pour un Harry-Drago (ça se voit tant que ça ?). Pour les autres, ça se fera au fur et à mesure…
Blabla bête des auteurs : bon, bin on espère que ça va vous plaire, et s'il vous plaît, envoyez des reviews (de préférence des sympa, mais bon, rien ne vous oblige), sinon Ritsuko va pleurer tout plein encore…Bon, bin c'est parti ! Enjoy !
oOoOo Harry Potter et les Harpies Gauloises oOoOo
Chapitre 1
Tirage de Chocogrenouilles
Quelque part en France…
Un moulin à vent abandonné, au cœur de la garrigue, se détache dans la pénombre du soleil couchant.
« Eli, dépêche-toi ! On va encore être à la bourre ! »
« Oui, deux minutes, j'retrouve plus une de mes bottes ! »
« Eli, bordel, le feu s'est déjà actionné, dépêche, aujourd'hui faut vraiment pas être en retard ! Sinon, ça va encore gueuler ! »
« J'arrive, j'arrive ! »
« Òi, pitchoun ! Es aquo ! »
« Oh, mercés plan, papé ! » 1
« Bon alors ça vient ou quoi ? »
« Ça vient Méli, c'est bon… »
''Flouff !''
Une cigale se remit à chanter, collée sur le tronc d'un vénérable pin parasol.
oOoOoOo
Un mois plus tôt, ailleurs…
Il régnait une sourde agitation dans la grande salle de Poudlard ; étonnamment, le directeur avait sollicité une minute d'attention après la goinfrer…euh, le dîner. Tout le monde était passablement nerveux, car jamais le professeur Dumbledore n'aurait demandé une telle chose en temps normal –sauf pour le dîner de rentrée, et là, l'année était entamée depuis plus d'un mois. Les Gryffondor bien sûr, avaient tout de suite capté que quelque chose d'inhabituel se tramait, car Hermione, avec sa perspicacité habituelle, avait fait remarquer que la dernière fois que Dumbledore avait dit quelque chose, ils s'étaient retrouvés avec deux écoles étrangères pendant toute l'année, et un Tournoi ultra psychédélique dont l'un des coorganisateurs était quand même l'effroyable V. Harry se dit que cette fois, si ce vieux fou avait encore prévu un truc du style, il allait vraiment y passer.
Après le pudding au potimarron (dessert ce jour-là), Dumbledore se leva, et tapota le pupitre devant lui de sa baguette magique, s'éclaircissant la voix :
« Hum, hum ! Chers étudiants, je demande votre attention. » Il se tut un instant et fixa son regard curieusement vers la table Gryffondor. « Je demanderais d'ailleurs d'autant plus d'attention aux sixièmes années, car cela les concerne au premier chef… »
« Comme par hasard… », soupira Harry. Une année à la con s'annonçait encore.
« Tch'inqchète pas comme cha, Charry, ch'est churement une informachion chur les techt de tranchplanage ! », bafouilla Ron en avalant une énorme part de cake.
« ON PARLE PAS LA BOUCHE PLEINE ! », beugla Hermione en lui sautant au cou.
Une fois que toute la salle se fut retournée en ricanant vers le Golden Trio et que Malefoy ait pu balancer une vanne sur les Sang-de-Bourbe, Dumbledore put reprendre là où il en était. À savoir, que les sixièmes années devraient écouter plus attentivement au lieu de geindre, de s'empiffrer, ou d'hurler.
« Donc, concernant les sixième années, nous avons décidé une fois de plus de renforcer la coopération magique internationale, et, au vu des événements d'il y a deux ans, nous ne pouvons pas organiser un tournoi ou autre chose du même genre. C'est pourquoi le professeur Mc Gonnagal et moi-même avons eu une idée, basée sur un principe moldu… »
Une espèce de reniflement dédaigneux l'interrompit, et Mc Gonnagal aboya :
« M. Malefoy, on vous fait grâce de vos commentaires, d'ailleurs, venez ici tout de suite ! »
Evidemment, Drago protesta, d'abord qu'il voulait pas être associé à un truc de moldu, et qu'ensuite, pourquoi est ce qu'il venait au milieu, qu'il avait 16 ans et qu'il était trop vieux pour qu'on le mette au piquet, et qu'on en profitait bien parce que son papa était en taule…
Enfin, après que Drago soit arrivé aux côtés de Dumbledore sous les sifflets des Gryffondor, le vieux directeur reprit :
« Bien, je demande également à M. Goldstein, Miss Abbot et Miss Granger de rejoindre M. Malefoy, car nous allons procéder à un tirage au sort… »
Les trois élèves, respectivement de Serdaigle, Poufsouffle et Gryffondor, se plantèrent d'un air perplexe à côté du blondinet qui tirait toujours la gueule. Dumbledore fit un sourire malicieux à l'attention de la salle, et reprit :
« En effet, cette année, les sixièmes années vont pouvoir partir pendant deux mois dans une famille d'accueil suivre les cours dans une école étrangère, à savoir Durmstrang en Bulgarie, ou Beauxbâtons en France… »
Un murmure stupéfait parcourut la salle. Le directeur essaya de rétablir le calme en étendant les mains, et tenta de faire un discours, comme quoi suivre les cours d'une école différente, c'était autant de chance d'appréhender l'universalité de la magie dans toute sa splendeur pédagogique, mais il laissa vite tomber, car le brouhaha s'amplifiait, et Drago tirait les cheveux d'Hannah Abbot qu'il accusait de lui avoir marché sur sa robe tout neuve.
« Quarante points de moins pour Serpentard ! », beugla le professeur Chourave.
« …Bref ! », finit par hurler Dumbledore. « Chaque maison est représentée par un Préfet, qui vont avoir la lourde tâche de tirer au sort dans quelle école les élèves de sixième année de leur maison vont se retrouver ! »
Un murmure parcourut à nouveau la salle. Harry déglutit difficilement, et Ron était devenu cramoisi ; le Survivant l'entendit marmonner :
« Hermy, si tu tires Durmstrang, je t'éviscères ! »
Harry supposa que c'était la voix de la jalousie personnifiée. Quoique Viktor, malgré son QI de moule marinière, devait quand même avoir quitté l'école depuis deux ans maintenant. Dumbledore rétablit le silence encore une fois, et annonça :
« Très bien, honneur aux dames ! Miss Abbot, je vous prie… »
La petite blonde s'avança timidement, alors que le directeur sortait de sous ses robes un petit sac de toile bleu nuit. Elle tendit sa main à l'intérieur, et en retira un Chocogrenouille. Devant son air stupéfait, le directeur l'encouragea à l'ouvrir. Ce qu'elle fit. Ses yeux s'agrandirent, et elle tendit la petite carte au directeur, qui annonça d'une voix forte :
« Les élèves de sixième année de Poufsouffle iront à Durmstrang ! »
Drago croisa ses bras sur sa poitrine et fit la grimace. Cette andouille d'Abbot venait de compromettre une des chances des Serpentard d'aller en Bulgarie.
« Miss Granger ? »
Drago lui jeta un œil noir, du style : Granger, je te crucifie et t'arraches tes grandes dents si tu pioches Durmstrang. Instant magique : Malefoy et Ron réunis tous deux dans le même état d'esprit.
Hermione s'approcha dignement ; tous les Gryffondor retenaient leur souffle quand elle retira la main, et ouvrit précautionneusement le petit Chocogrenouille. Dumbledore lui prit et annonça :
« Les Gryffondor iront à Beauxbâtons ! »
Un soupir de soulagement fut perceptible à la table des Gryffy. Mais Hermione eut l'air désappointée. Comment, étudier deux mois dans ce repaire à pétasses peroxydées ? L'enfer ! Elle aurait mieux aimé les mecs mignons de Bulgarie, mais bon. Elle se retourna pour rejoindre Hannah ; étrangement, Malefoy la regardait comme s'il s'apprêtait à lui rouler la pelle de sa vie. Bizarre, pensa-t-elle, j'ai toujours su qu'il était pas net. Blondasse.
Le directeur reprit la parole :
« Quel suspens intenable ! Il reste un Chocogrenouille pour Durmstrang, un autre pour Beauxbâtons…Bien, mettons fin à cette attente…M. Goldstein, si vous voulez bien ! »
« Eh ! », protesta Malefoy. « Pourquoi lui ? Je suis un sang-pur moi ! »
« Mais moi aussi ! », fit Antony. « On est sorciers depuis le 13ème siècle dans la famille… »
« Sang-pur ou pas, votre comportement inqualifiable avec Miss Abbot vous laisse la dernière place, M. Malefoy ! », trancha Mc Gonnagal.
Antony s'avança, piocha, et tendit son chocolat à Dumbledore, qui regarda la carte :
« Eh bien voilà qui scelle le destin des maisons Serdaigle et Serpentard ! » Il tendit néanmoins le sac à Drago, qui piocha le dernier Chocogrenouille. « La maison Serdaigle ira donc à Durmstrang ! »
Drago retira la petite carte du chocolat, alors que la grenouille lui sautait à la tronche, ébouriffant ses cheveux blonds filasses. Sur la surface lisse du papier luisait une petite fleur de lys dorée, accompagnée des mots « Académie de Magie de Beauxbâtons ». Le blondinet fit une grimace et se promit de torturer jusqu'à la mort Antony Goldstein, alors que celui-ci disait d'un air dépité :
« Zut, c'est con, et moi qui ai justement un cousin à Beauxbâtons… » 2
Le directeur congédia les Préfets, non sans qu'Antony Goldstein ne se soit étalé de tout son long dans la grande salle sous l'effet d'un croche-patte vicieux du Préfet blond, et s'éclaircit à nouveau la voix :
« Bien, maintenant que cela est fait, les élèves partiront dans un mois précisément, ce qui laisse le temps de s'organiser !… »
Quelques regards se tournèrent vers l'horloge suspendue au dessus de la porte d'entrée, et qui indiquait, en plus de l'heure, de la météo et de l'humeur du directeur de l'école (dont l'aiguille était pointée sur ''pâtissière'', ce qui reste une énigme quant à sa signification), le jour : 18 octobre.
« …Nous allons donc faire comme disent les moldus, un ''échange scolaire''. Ayant accueillis les élèves de Beauxbâtons et de Durmstrang il y a deux ans pour le Tournoi des Trois Sorciers, c'est donc là un retour de bons procédés ! »
« Un retour de bons procédés ? Partir en vacances avec les Serpentard ? », geignit Ron.
Harry lui tapa dans le dos.
« Allons, on les évite bien ici, on les évitera à Beauxbâtons ! »
« Hermione aurait dû piocher Durmstrang ! »
« Mais je croyais que tu voulais pas y aller… »
« Elle aurait dû tout piocher sauf ce qu'a pioché Malefoy. »
Harry laissa tomber ; pour le coup, la « mal foy », c'était Ron qui l'avait. D'ailleurs le rouquin fit ouvertement la gueule à Hermione, qui se leva sur un « Non mais franchement » outré, emportant avec elle une demi-douzaine de livres sous son bras, et rejoignit la tour Gryffondor, vexée qu'on pût lui reprocher ça.
oOoOoOo
Dix jours plus tard, Manoir Malefoy, heure des hiboux.
Narcissa Malefoy parcourut du regard le parchemin que le hibou grand duc de la famille Malefoy venait de lui rapporter de Poudlard.
Il y a plus d'une semaine, son Scroutt à pétard à elle, son adorable serpent venimeux de Dragounet, lui avait envoyé une missive désespérée, suite à une décision farfelue du vieux timbré de faire un échange moldu ou allez savoir ce qu'il avait encore été inventer.
Toujours était-il que son petit ver luisant chéri allait se retrouver pendant deux mois dans une famille française inconnue –horreur ! Loin de sa maman et du manoir, et encore plus loin de ce mollusque de Lucius qui était coffré à Azkaban, quelque part en pleine Mer du Nord. Narcissa avait d'abord écrit à Dumbledore, pour faire valoir que son scolopendre adoré ne pouvait s'éloigner tant que ça d'elle au vu des circonstances –père en prison, du coup, problèmes financiers…– car il raterait l'heure des parloirs, et ne pourrait plus aller contempler la lente décrépitude du Pater Malefoy, privé des ses robes coûtant les yeux de la tête et de ses précieuses toilettes. À la grande joie de Narcissa qui avait toujours détesté son mari, et qui répétait à son fils en revenant de chacune des visites à Azkaban :
« Tu vois, mon petit crapaud perfide, voilà comment tu seras si tu sers le Seigneur Ténébreux…Ton brushing saccagé, plus de balai de Quidditch ou de belles robes…Alors surtout, reste en-dehors de tout ça. Un Malefoy, et a fortiori, un Black, ne se mêle pas de si basses querelles… »
Mais malgré tous ces arguments, Dumbledore avait invariablement répondu que au contraire, prendre l'air de France ferait à Drago le plus grand bien, car, selon le directeur, il était un peu pâlot ces derniers temps –ce à quoi Narcissa avait répondu que non, son fils n'était pas pâlot, mais qu'il avait un teint de porcelaine délicate comme il sied à un sorcier de son sang et de son rang. Mais rien à faire, le vieux fou n'en avait pas démordu, et Beauxbâtons était d'ores et déjà prévenu de l'arrivée des Serpentard et des Gryffondor. Et Narcissa avait eu une idée de génie qu'elle avait soumise au directeur. La présente missive lui apportait enfin une bonne nouvelle. Elle prit une plume avec satisfaction, et inscrivit d'une écriture longiligne et penchée :
« Mon farfadet satanique,
Maman a arrangé ton problème en partie. Figure-toi que les Black ont une branche éloignée de cousins au quatrième degré en France, les Paturelles de Quercevalles, qui sont une ancienne lignée de sorciers, aussi pure que la nôtre, et qui ont justement un enfant à Beauxbâtons en sixième année. Je me suis arrangée avec le vieux fou, il est d'accord pour que ce soit eux qui t'accueillent ; apparemment, ils devaient organiser une sorte de tirage au sort pour déterminer les familles d'accueil, mais au vu de notre situation familiale, il accepte de faire une exception pour toi.
Je n'ai pas eu l'honneur de connaître cette branche éloignée de notre famille, mais nul doute qu'ils seront à la hauteur pour t'accueillir comme il se doit.
Je t'embrasse.
Ta mère. »
Elle rappela Anarazel, le hibou grand duc, lui flatta le cou, et murmura :
« Porte ça à mon lézard maléfique tu veux ? »
oOoOoOo
Quelques heures plus tard, Poudlard, au petit déjeuner.
« Bin, il en fait une tête, le Malefoy ! », fit Seamus, en avalant un toast.
Hermione leva les yeux de la Gazette du Sorcier, et fronça les sourcils.
« Apparemment, il a reçu une lettre qui a l'air de lui faire plaisir…Ça doit sûrement être des ennuis pour nous, ça… », conclut-elle.
Effectivement, deux minutes après, on entendit une grande rumeur s'élever de la tablée vert et argent. Ron leva les yeux de son bacon, en entendant prononcer son nom, ainsi que les termes, en désordre, de « vieux fou », « tirage au sort », « pur-sang »…
Ce fut ce moment-là que Harry choisit pour entrer dans la grande salle, les yeux dans le flou. Hier, ils avaient encore eu un entraînement de Quidditch tard dans la nuit, et Harry, en tant que capitaine, avait dû tout ranger tout seul –Ron s'était barré dare-dare du terrain avant qu'il n'ait le temps de lui demander de l'aide. Le Survivant était donc rentré au dortoir d'une humeur massacrante sur les coups de deux heures du matin et avait fait exprès de faire un tas de bruit pour réveiller Ron et les autres ; il n'avait réveillé que Neville qui avait oublié de jeter un sort pare bruit sur son baldaquin. Un peu dans le brouillard, il se faufila entre les tables, et se fit interpeller par un Préfet Serpentard de très bonne humeur :
« Alors, le Balafré, on a fait des heures supp' hier soir ? T'aurais dû engager la Belette pour les faire, ça lui aurait permis de gagner quelques Mornilles pour sa famille de ploucs ! »
« RRrrrnnn. ZZzzz ? », fut la seule réponse intelligible qu'il pût obtenir du binoclard rouge et or avant qu'il ne s'effondre sur un banc tout proche. On lui tapota le bras. Harry tourna des yeux vitreux vers l'intrus : « NNnnn ? »
« Euh, Harry, je veux pas t'embêter… », commença la voix de Cho Chang. « …mais t'es un peu sur le banc des Serdaigle là… »
Evidemment, Harry bondit comme si Voldemort lui avait brûlé les fesses au fer rouge, et rejoignit presque à quatre pattes le banc des Gryffy, sous les hurlements de rire d'à peu près toutes les maisons. Malefoy se leva et brailla (dignement, c'est un Malefoy quand même) :
« Hé, Potty ! J'espère pour toi que tu vas pas tomber chez des mages noirs français dans ta famille d'accueil, il paraît qu'ils sont terribles ! Tout le monde ne peut pas avoir la chance d'avoir mes relations ! »
« Qu'esse y raconte ? », marmotta Harry en se servant du jus de citrouille qui tomba allègrement à côté de son verre.
« Des stupidités. », grogna Hermione, en attrapant le pichet et en reversant le jus au bon endroit. « Récurvite », prononça-t-elle machinalement pour nettoyer le jus orange qui commençait à se répandre partout. « Il raconte partout qu'il a déjà sa famille d'accueil en France, des cousins de sa mère, ou je sais pas quoi, alors que nous autres, on tirera ça au sort en arrivant là-bas, tsss. Comme si ça nous faisait quelque chose…Allez, mange, on a cours de potions dans un quart d'heure… »
Ron avala un bout de bacon :
« J'aimerais bien que sa famille française soit un ramassis de timbrés, ça lui ferait les pieds, à cet imbécile… »
Hermione soupira :
« Aucune chance, ils doivent être comme lui, des Malefoy, c'est forcément des mages noirs en boîte comme lui et son Mangemort de père… »
« NNnnnn. », approuva Harry, dont la tête plongea direct dans le bol de café bouillant juste devant lui que la jeune fille venait de lui servir.
« REFROIDIMENTIO ! RECURVITE ! », hurla Hermione, faisant sursauter toute la grande salle.
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Notes
1 « Eh, petite ! Elle est là ! »
« Oh, merci beaucoup pépé ! »
La langue dans laquelle ces phrases sont prononcées sera dévoilée ultérieurement…(Ne ruinons pas le pauvre suspens…)
2 Private joke désolée…
Le sondage de Ritsuko
Que pensez-vous de l'idée de l'échange scolaire dans Harry Potter ?
A. Super ! Trop coooooool ! Pourquoi mon bahut est pas jumelé avec Poudlard d'ailleurs ?
B. Ça a l'air intéressant. Faut juste voir comment ça va se finir tout ça…
C. Bof. Pourquoi Dumbledore piquerait une idée à ces moldus débiles ?
D. Quelle idée de merde ! Y sont en guerre contre l'effroyable V. et ils partent visiter la Tour Eiffel ?
Voili voilou, n'hésitez surtout pas envoyer vos réponses et vos avis ça fait toujours plaisir…
