Le prologue ayant été trop violent, incluant la Fatalité (avec un F majuscule et gras), une pipe, pas de tabac das l'air, de la fumée rose, du grabuge et du rating M je ne le met pas (non, en fait c'est qu'il a été effacé par Suzuran après que la Fatalité (avec un F majuscule et gras) l'ait emmerdé).

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Dans une prairie pleine de fleurs, un Aminamaru gambadait gaiement avec des Mokona.

- Je suis dans le paaaaaays des Mokoooonaaaaa, je suis heureeeeeeux et je chantoooooonne !

C'est alors qu'un colonel fit son apparition.

Tout joyeux, et sans voir le danger, l'Aminamaru se dirigea vers le colonel, qui arborait maintenant un air sadique et pervers. Celui-ci osa, lorsque le petit (grand !) Aminamaru l'étreignit dans un câlin naif et pur, lui mettre la main aux fesses (bien musclées et rebondies, d'ailleurs, les fesses) !

Une tornade arriva alors et emprta le colonel dans une fougueuse enlaçade (eh ! Jamais je ne m'acquoquinerais avec pareil individu !), dans un combat incommensurable, puis se redressa, victorieuse.

- AHAHAHAHAHAHA ! J'AI CASSÉ DU COLONEL ! J'ai même entubé le colonel !

En effet, un tuyau d'arrosage sortait du *** de la malheureuse créature.

- Personne d'autre que moi n'a le droit de toucher mon Maître Aminamaru-sama ! Moi, la casseuse de briques à domicile ! JE SUIS LE ROI DU MONDE (euh, tu es une fille... Quoi que...) ! AHAHAHAHAHAHAHAHA...!!!

Et pendant ce temps, ledit Aminamaru s'en allait en chantonnant...