OS One Tree Hill/Les Frères Scott.

Titre : La première fois de Lucas.
Auteur : TheStoriesOfMovies.
Nombres de mots : 2,805.
Catégorie : Romance/FriendsShip.
Pairing : Lucas/Nathan
Disclaimer : Les personnages sont à Mark Schwahn.
Notes : Lucas à 16 ans, et Nathan à 19 ans, Nathan et Haley ne sont pas en couple.

POINT DE VUE : LUCAS.

Je me dirigeais vers la boulangerie encore ouverte à quelques centaines de mètres de la salle dans laquelle mon équipe et moi allions jouer ce soir. Derrière moi, je me coltinais l'autre polchtron qui me servait de demi-frère. Raaah, qu'est-ce qu'il pouvait m'énerver lui! J'attendis que le bonhomme passe au vert pour pouvoir traverser, et pendant ce temps là, Nathan eut le temps de me rejoindre. Il se tenait à côté de moi :
N : Tu sais, je voul..
Il n'eut pas le temps de finir, qu'une voiture s'arrêta d'un coup devant nous, et que deux homme nous prirent les épaules pour nous mettre dans leur voiture 5 portes noire. J'étais choqué, on venait de me kidnappé sans que j'ai vu le temps de voir un chemin de sortie. La voiture roulait, un peu vite, et moi je ne dis rien.
N : Qu'est-ce que vous nous voulez?
(Inconnu): La ferme!
L'homme qui avait parlé était à la place arrière côté passager, Nathan était devant lui. Moi, j'étais à sa gauche, et à ma gauche, se trouvait un autre homme, ainsi que le conducteur, à sa place.
L : Si c'est de l'argent que vous nous voulez..
I : J'AI DIT, LA FERME!
C'était toujours celui à ma droite, mais cette fois si, il avait pointé un flingue sur moi!
N : Wowowowoh, on se calme!
I : Tu voudrais peut-être que je tire sur ton pote?
N : N.. Non..
I : Alors, LA FERME!
Nathan se tut, et on continua sur 4/5 kilomètres dans le silence. Le conducteur s'arrêta sur un parking de supérette, et se tourna vers nous :
C(Conducteur) : Alors vous allez bien m'écouter les tafioles, vous allez nous chercher quelques magazines pornos avec un pack de bières.
L : Sinon?
L'homme à ma droite parla pour la première fois, et dit :
I2 : Sinon mon pote vous flingue.
N : Bon et bein, si il n'y a que ça, moi je suis ok!
C : Il n'y a pas que ça. Vous allez y aller en petite culotte, et les quelques billets qu'on va vous donner, vous allez les glisser dans votre élastique de caleçon, compris?
L : O-oui.. C'est tout?
C : Si tu veux, tu peux toujours y aller en string!
Lui et ses collègues rigolèrent, et je refusa son invitation.
Nathan et moi, on se changea à l'arrière de la voiture, enlevant nos caleçons pour des culottes roses et totalement gay et dégueulasse.
L : On fait vite.
N : J'suis d'accord.
On se dirigea au magasin tout en glissant nos billets entre les élastiques et nos bassins. On entra dans la supérette, et on chercha tout de suite le pack de bière.
N : Qu'est-qu'on est mal assis dans leur caisse!
Nathan s'étirait en arrière, alors que je me baissais pour empoigner le pack de bière. J'eus une magnifique vu sur ses abdominaux bien dessinés, ses beaux pectoraux, ainsi que la petite bosse qui laissait imaginer un équipement pas encore au garde-à-vous. Je me leva et il finit de s'étirer. On se dirigea vers les magazines, et une soudaine envie d'aller aux toilettes me vint. Avec les heures de car, je n'avais pas eu de temps pour y aller.
L : Nathan, j'arrive je vais aux toilettes.
N : Et bah je pense que je vais te suivre, parce que j'ai une étonnant envie de pisser.
On laissa le pack de bières deux minutes près des magazines, et on se dirigea vers les toilettes. Toutes les cabines étaient occupés.
L : Putain.
N : Il doit bien y en avoir une qui n'ait pas occupé!
J'allais vers le fond, pour vérifier si il n'y avait vraiment pas de cabine libre. Je vis une cabine entre-ouverte, et vit avec joie que personne n'était dedans. J'appelais mon demi-frère, et lui dit d'y aller.
N : On à tous les deux très envie à cause des heures de cars, on a cas y aller tous les deux.
Il dût voir mon air méfiant, puisqu'il souligna :
N : Oh ça va! C'est pas comme si j'allais regarder!
J'avais trop envie d'y aller pour attendre, et lui aussi d'ailleurs. Je baissa le haut de ma petit culotte en même temps qu'il verrouilla la porte, et je pus enfin me vider. Il me rejoignit pas trop longtemps après. Quand j'eus finit, je remis ma culotte normalement, et refit mes lacets de chaussure droite, étant défaits. Il manquerai plus que je me casse la gueule!

POINT DE VUE : NATHAN.

Lucas venait de se baisser, et j'eus une vue magnifique sur son fessier. J'avais déjà pus le mater quand il s'était baissé pour attraper le pack de bières. J'avais utiliser tout mes forces pour ne pas bander. Il avait un petit cul un peu rebondit, et d'après mon expérience, il était ferme. Je fini de pisser, et remis mon sexe qui commençait à grandir. Je réutilisa toute ma force mentale, imaginant une vieille mémé nu et ridée de partout, et je réussi à débander. Mon demi-frère était vraiment sexy, avec ses abdominaux peu dessinés, ses tétons toujours pointés, sa légère ligne de poils descendant vers son engin sexuel, son fessier absolument parfait, des jambes musclés, et enfin, son visage magnifique, sexy, et mystérieux. C'est pour cela que, je ne pus m'empêcher de poser mes mains sur chacune des ses fesses, et des les embrassés. Lucas se releva, et avant qu'il n'ait pu dire un mot, se retrouva plaqué contre une paroi de la cabine par mon corps imposant, mon bassin se frottant contre ses fesses, réveillant mon érection, mes mains sur ses reins, et ma bouche sur sa nuque, distribuant des baisers mouillés. Je pus apercevoir Lucas fermer les yeux et se mordre la lèvre inférieur, sûrement pour éviter de gémir.
L : Nathan, pas maintenant, pas ici..
N : D'accord.
Je me recula de son corps chaud, et repensa à cette vieille grand-mère nu et ridée que j'avais imaginé. Lucas me regarda, me fit un sourire en coin, et sortit de la cabine. Je le suivi, on prit quelques magazines et le pack de bière, on paya le tout, et on revint vers la voiture des kidnappeurs. Ils nous jetèrent à quelques kilomètres plus loin, avec nos affaires, et repartir.
N : Bon et bien, je crois qu'on à raté le match.
L : Vois le bon côté des choses, ils ne nous ont torturé, séquestré, violé ou même tué!
N : Ouais t'as raison.
On se rhabillait, et on commençait à marcher. Lucas inspira un bon coup, et me dit :
L : Tu sais, dans les toilettes..
N : Nan, c'est bon, t'inquiètes pas. Je sais pas ce qu'il m'a pris. Excuse-moi.
L : Ah..
N : Quoi?
L : Dans les toilettes, je t'es pas dis non. C'est juste que.. Que je suis encore..
N : Oh! Oh, je vois.
L : Tu te moques pas de moi?
N : Pour quelle raison?
L : Et bah, t'as toujours l'habitude de te moquer de moi, et là, si tu t'étais moqué de moi, ça aurait été encore plus humiliant pour moi, donc plus drôle pour toi!
N : Quand je me moquais de toi, mon but c'était pas de t'humilier.. Bon, après rien n'empêche que oui, je l'ai déjà fait pour t'humilier, mais j'ai un coeur, et toi aussi. Mon but, c'est pas de faire du mal aux gens, même si beaucoup comprenne et pense le contraire..
L : Enfin, je ne suis pas contre qu'on.. Qu'on le fasse. Mais c'est juste que, d'une, j'ai toujours rêvé d'une première fois plutôt.. Enfin, pas Romantique mais, enfin.. Dans un endroit pas comme dans les chiottes d'un bar ou d'un supermarché, pas dans la rue. J'veux dire, l'idéal pour une première fois, c'est dans un lit. Dans un voiture, ou dans une douche ou une baignoire.
Je m'arrêta et lui aussi. Je me mis face à lui, me rapprocha jusqu'à ce que nos nez se frôlent et que l'un puisse sentir le souffle de l'autre. Je planta mon regard dans le sien, et lui dit :
N : Ta première fois, tu la décide. Tu décides toi même de là où tu veux la faire, quand tu veux et avec qui tu veux. Quand tu peux avoir le choix de la faire comme tu le veux, c'est génial. Moi j'ai pas eu le choix. J'ai dû baiser à la place de faire l'amour pour ma première fois. J'avais 15 ans, tous mes potes l'avait déjà fait. Et pour montrer que j'étais viril, j'ai dû le faire à la va-vite. Alors je t'en prie, choisi bien. Je ne te souhaite que du bonheur, moi. Alors qu'on soit demi-frère, ami, meilleur ami, amant d'un soir, moi je m'en fou. Je veux juste que tu puisse le faire comme tu le veux. Parce que tu le mérites.
L : Je crois que je t'aime.
N : Embrasse-moi.
Lucas posa ses lèvres sur le miennes, et laissa pendre ses avant-bras sur mes épaules, alors que je posais mes mains sur ses hanches.
(Note de l'auteur : Oui je sais, ça fait cliché tout d'un coup, mais j'arrivais pas à tourner la scène d'une autre façon)
C'était un baiser doux, presque amoureux. On était pas sûr de nos sentiments, enfin moi non.
L : Je ne t'es pas donné mon premier baiser, mais je te donnerai ma première fois.
N : Je t'invite à la maison ce soir? Il n'y a personne, mon père part pour un truc de son magasin de voiture pendant une semaine, et ma mère est repartie en voyage humanitaire pour 3 semaines.
L : C'est ok.
Je souris et lui aussi. Je pris sa main gauche dans ma main droite et on marcha pour retrouver une route.
L : Euh.. Nathan?
N : Mmh?
L : J-J'ai jamais..
N : Jamais quoi?
L : Je ne me suis jamais.. Enfin j'ai jamais fais des trucs tout seul, enfin..
N : Oh!
L : C'est tellement gênant!
N : Je te montrerai comment faire alors.
Je lui fit un clin d'oeil et on vit enfin la route. On marcha le long, et on vit soudain un bus avec de l'agitation dedans. Je reconnus alors deux ou trois joueurs des Ravens, je lâcha la main de Lucas, pour leur mimer "Allez dire au coach qu'on est là!". Lucas et moi, on couru sous la pluie qui commencer à cracher ses grosses gouttes. On vit le bus s'arrêter au loin quelques centaines de mètres plus loin. On couru de plus belle et on atteint enfin la porte qui s'ouvrait. On entrain dans le bus essoufflés et mouillés, voyant un coach furax.
W : Mais qu'est-ce que vous foutiez dehors? On vous a cherché partout! Vous avez manqué le match!
L : On peux.. Tout.. Vous expliquer.
N : Va te pose Lucas. T'as pas tes médicaments, fais gaffe.
L : T'inquiètes pas pour moi..
Il partit s'asseoir alors que plusieurs de mes camarades de basket lui demander sa version des faits. J'expliquais moi-même au coach ce qui nous était arrivé.
W : Si ton histoire est vraie, j'espère que maintenant tu demanderas à ta maman de te préparer des cookies elle-même plutôt que de se faire kidnappé près d'une boulangerie remplie de cookies et autre viennoiseries de ce genre. Allé, va t'asseoir, on va bientôt arriver.
J'allais m'asseoir à côté de Lucas. On ne discuta pas, trop crevé de notre périple. Il finit tout de même par s'endormir sur mon épaule alors que je demandai un résumé complet du match.
Un des gars me dit :
G : Hey, t'as vu, ton polchtron de demi-frère il s'est endormi sur ton épaule! -riant-
N : Mon polchtron de demi-frère, comme tu dis, il a des problèmes cardiaques graves, et il a couru des kilomètres pour pouvoir rentré plus tôt pendant qu'il pleuvait pour éviter d'attraper une pneumonie et de crever sur le bord de la route. Je pense qu'il a le droit à un minimum de sommeil et de confort, parce que je pense que t'as déjà eut l'expérience d'une sieste sur une vitre, et c'est pas très confortable, hein?!
Après ma réplique, tout le monde se tut et alla à sa place.
Une fois arrivés, Je réveilla Lucas, et on descendit. On reprit nos sacs de sports, et on se dirigea vers ma voiture.
N : Tu veux aller voir ta mère pour lui dire que tu restes à la maison ce soir?
L : J'vais lui envoyer un message.
N : D'accord.
Aucun de nous deux ne parla pendant la route.

POINT DE VUE : LUCAS.

K : J'envoyais un message à ma mère
L : Nathan m'invite chez lui ce soir, je peux?
K : Bien sûr, mais ne te sens pas obliger!
L : Je ne me sens pas obliger du tout!
K : Je ne peux rien te refusé, tu es un ange. Sois sage!
L : Maman, j'ai plus 5 ans!
K : Mais tu reste tout de même mon gros bébé! Tu n'as pas d'affaire?!
L : Je lui demanderai de m'en prêter!
K : Tu penses qu'il acceptera?
L : De toutes façons, il n'a pas le choix!
K : Haha! Dors bien!
L : Toi aussi maman! :)
La conversation s'arrêta là, et je fus déjà arrivé chez Nathan.
N : Ma chambre est là-bas, au fond. T'as qu'à déposé tes affaires près du bureau.
L : Ok!
J'allais dans sa chambre, et vit qu'elle était rangé. Un garçon comme Nathan avait plutôt l'air bordélique! Je vis des photos de lui et de ses amis, des trophées, des médailles.. Wouah! Je déposa mes affaires près de son bureau. Je vis Nathan arriver avec un plateau de cookies. Je me jeta dessus, et en pris trois dans ma main, en ayant déjà un à moitié avaler en un rien de temps.
N : Doucement morfal! -rigolant-
L : Mais j'ai trop faim!
N : Ca, je le vois bien!
Je mangea ce que j'avais pris, alors que Nathan n'en mangea qu'un. Je vis un livre sur son bureau, et je le pris.
N : Je crois que je l'ai déjà l.. Nathan? Nathan t'es où?
Je me retourna, et, qu'est-ce que je vis? Rien, je sentis juste un coussin me taper. Je lre regarda avec une tête choqué, et il se mit à rire de bon coeur! J'attrapais un coussin sur son lit, et on commença une bataille d'oreillers. Je tomba sur son lit, et il vint à califourchon sur moi. On rigola encore quelques secondes, puis il m'embrassa. Bien sûr, je répondis au baiser. Oui, je crois que je l'aime. Sa langue s'invita dans ma bouche et elle se lia avec la mienne. Nos lèvres se séparèrent, par manque de souffle. Je le regarda, il dirigea sa bouche vers mon oreille, puis me chuchota :
N : Et si on prenait une douche?
Je souris, puis on se dirigea dans la salle de bain, pour se déshabiller et profiter d'une douche bien chaude. Parce qu'après l'effort, le réconfort. Ca avait été difficile de ne pas geler sous la pluie battante, ce soir. Et puis sortit presque cul nu pour un pack de bières et quelques magazines, c'est pas l'idéal. Nathan alluma l'eau, qui devient à une température douce et chaude. Je le câlina longtemps, tout en lui embrassant le cou, lui caressa mon dos. On se lava, le corps ainsi que les cheveux, puis après s'être rincé, on s'embrassa comme des fous. Comme si l'un était affamé des lèvres de l'autre. Comme si nos vies en dépendait. On sortit de la douche, Nathan me prêtait un peignoir.
N : Oh, attend, je vais te faire une surprise! Reste dans la salle de bain!