Parce que mon amant aime les femmes...

Genre: Yaoi, Romance, UA, un peu Angst (faut bien un peu de torture mentale xD) mais happy-end assuré

Couple: SanjixLuffy (je vais me faire tuer xD)

Disclamair: Nan, pas à moi. Et pourtant, Luffy, Ace, Zoro et Sanji me tenteraient bien... * bave en imaginant tous ce qu'elle pourrait leur faire faire *

Raiting: Bah je sais pas... je ne pense pas faire de lemon... mais bon, y a toujours moyen de moyenner... * pose une boîte avec un écriteau : « Beaucoup de cookies = un lemon »

Béta-lectrice:Seiko, ma Vampire-Sempai (on l'applaudit bien fort, elle qui a le courage de corriger ma fic... alors qu'elle n'aime pas One Piece... elle va finir par appeler " SoS Béta maltraitée ")

Note: * Se campe sur ses deux pieds... légèrement tremblante tout de même * Allez-y, j'attends les tomates/couteaux/chaussures/objets contondants divers et variés que vous n'allez pas manquer de me lancer, fans incontestées de SanjixZoro/ZoroxSanji...

Je tiens à dire – et je vais me faire beaucoup d'ennemies d'un seul coup – que je déteste ce couple * se baisse pour éviter de se prendre une chaise, sous les huées des fans *

Cette fic ne fera pas beaucoup de chapitres, c'est juste une histoire qui trotte dans ma tête depuis un petit moment...

Par contre, j'aurais besoin de vous, chers lecteurs/lectrices (il y en a toujours, n'est-ce pas ?). Malgré que cette histoire ne va pas durer longtemps, j'hésite pour le couple final...

* sursaut d'espoir pour les fans de SanZo/ZoSan * SanjixLuffy ( je garde le couple principal) / ZoroxLuffy (mon histoire va leur laisser tout de même une belle opportunité ! )/ AcexLuffy ( Nan, vous ne rêvez pas ! C'est mon couple préféré d'ailleurs * pousse un cri aigu comme seules les yaoistes-fangirls savent le faire * Je me suis mise à aimer l'inceste, et ces deux là sont ma « Best Pair » *ç*)

Je vous laisse juger/voter/commenter... apprécier ? * croise les doigts *


Prologue.

Je suis assis sur le canapé en cuir noir du salon, devant la télévision.

Qui est éteinte.

Je fixe l'écran plasma lisse et noir, y distinguant mon reflet avec difficulté.

Des cheveux noirs en bataille, de grands yeux tout aussi noirs, les contours flous de ma silhouette... une télé n'est pas un miroir, normal que je ne m'y voie pas distinctement.

Je ricane doucement. Mes pensées partent vraiment dans tous les sens...

Un cri sonore retentit soudainement dans tout l'appartement. Je ne sursaute pas, comme les premières fois. L'habitude sans doute...

Après tout, ces cris font à présent partis de mon quotidien.

Un autre cri, moins fort, plus rauque... plus masculin.

Je cligne des yeux.

Mon regard se porte bientôt sur l'horloge. Il est vingt-heure passé. Cela fait une demi-heure que je suis arrivé.

J'ai été accueilli par ces éclats de voix.

Je ne sais pas si ils avaient commencé cinq, dix, vingt minutes avant que je n'arrive.

Peut-être y ont-ils passé leur journée...

Pour passer le temps, j'admire les lieux, que je connais déjà par cœur.

Un salon vaste, lumineux et chaleureux en pleine journée, plus tranquille et tamisé le soir. Tout en noir et blanc, décoré avec goût, avec quelques touches de bleu sombre. Peu, mais juste assez pour accrocher l'œil. Le blanc domine légèrement le noir.

Au fond de la pièce, la cuisine, plutôt grande, séparée du séjour par un bar en marbre noir avec des veines oranges. La cuisine en elle-même était aussi orange. Un orange clair, à la fois chaud et tendre. Gros contraste avec le séjour. J'aimais cette cuisine. Une volée de marche permet d'y accéder.

Sur le mur gauche du salon, deux portes, de part et d'autres de l'écran plasma. Elles mènent toutes deux à une immense pièce. De grandes fenêtres, quelques étagères de livres, des fauteuils confortables, cet endroit fait office de bureau, ou d'un endroit pour se relaxer. Tout est de couleur chocolat et pourpre.

Le mur attenant à l'entrée - celui de gauche, car l'entrée est placé à l'extrême droite - est parcouru par une grande baie vitrée aux lourdes tentures, donnant sur un balcon de pierre.

Et enfin, derrière le canapé, sur le mur de droite du séjour...

Trois portes.

Celle du milieu donne sur une salle de bain, dans les tons bleu pastel. Douche, baignoire immense. Bref une magnifique salle de bain, comme on en trouve qu'à la Tv.

Celle de gauche donne sur la chambre du propriétaire de l'appartement. Une penderie qui prend tout un mur, un lit à baldaquin vraiment très grand, un miroir sur pied des plus imposant, des tableaux d'artistes reconnus, une baie vitrée face au lit, avec le balcon qui va avec - mais plus petit que celui du salon - un tapis duveteux... Pièce luxueuse, comme toutes les autres. Les meubles sont en bois clair, à l'instar du parquet, et les murs, les draps, les rideaux, les tentures, dans différentes teintes de mauves.

Je n'ai vu cette chambre qu'une seule et unique fois. Et cette fois-là, j'ai essayé de graver le plus de détails possible dans un coin de ma tête.

Car cette pièce est unique. Il n'y emmène personne... moi encore moins. C'est son "antre" son havre de paix.

Je suis bêtement heureux à l'idée que personne à part lui n'est put y pénétrer. Car lorsque ça arrivera...

... cette fois là, tout sera vraiment fini...

L'autre pièce, à droite... la dernière...

La chambre d'"amis".

Lit immense aux draps de soie chocolat, des peaux de bêtes au sol, des canapés et fauteuil blancs aux coussins moelleux et sombres. Un meuble de bois sombre, du même bois que le parquet, avec des... accessoires.

Blanc et chocolat. Deux couleurs chaudes et rassurantes, que j'ai pourtant appris à haïr. Tout comme cette chambre aussi confortable et luxueuse soit-elle.

Car c'est dans cette pièce qu'il emmène ses nombreuses conquêtes... et moi aussi d'ailleurs.

Je suis sorti de mes pensées par des bruits de pas. Je me contorsionne pour regarder par dessus le dossier du canapé.

La porte de la chambre s'ouvre pour laisser passer une femme aux longs cheveux bleus. De longues jambes fines, une poitrine bien ronde, le tout mis en valeur par sa petite robe blanche d'été.

Un jeune homme la suit de près, vêtu d'un pantalon de costume noir et d'une chemise blanche encore ouverte.

Il la raccompagne jusqu'à la porte, tout deux ne m'ayant pas aperçu... ou m'ignorant délibérément...

- Au revoir Vivi. Fais attention en rentrant.

- Ne t'inquiète pas Sanji. J'ai mon chauffeur personnel qui va me raccompagner !

Ils s'embrassent.

Je ne réagis pas. L'habitude. Encore et toujours l'habitude.

"Vivi" s'en va, et Sanji soupire d'un air béat en passant sa main dans ses cheveux, blonds et fins.

Je m'appelle Luffy. Monkey D Luffy. Dix-huit ans.

Lui, c'est Sanji. Vingt ans. L'heureux propriétaire de cet appartement de luxe.

Ainsi que mon petit-ami.

Nous sortons ensemble depuis dix mois, et trois semaines. Tous les soirs, je le rejoins chez lui, avec la clé qu'il m'a donné - que j'ai exigé, j'ai failli la lui voler - et tous les soirs, j'attends qu'il renvoie sa conquête du jour - de la semaine, parfois du mois - pour passer du temps avec lui.

Nos amis proches savent que nous sommes ensembles. Personne ne sait qu'il me trompe.

On ne s'affiche pas comme un couple. A peine s'il me tolère au même endroit que lui lorsque nous sommes à l'extérieur.

Il a honte d'être avec moi. Et je me demande parfois pourquoi il ne me laisse pas. Car moi, je suis incapable d'arrêter notre "relation"

Je l'aime. Je ne sais pas si c'est le cas pour lui. Dans ce cas, j'aimerais pour deux.

Sanji sort sur le balcon pour s'allumer une cigarette. J'hésite entre aller le voir et rester là, à attendre un premier pas de sa part qui, je le sais, ne viendra jamais.

Je m'appelle Luffy, dix-huit ans, et je vis une relation malheureuse et destructrice – pour moi - avec mon amour - sûrement à sens unique - Sanji.

Pourquoi ?

Parce que mon amant aime les femmes...

A suivre...

Moi: N'oubliez pas de voter pour le couple, chers lecteurs ! * silence radio *

Sanji:Naaaaaan !!!! Je sors avec... avec... !

Moi: ... tu le trompes, alors la ramènes pas.

Luffy: Mais... c'est toi qui l'a décidé... attends, il me trompe ?!

Zoro: Misère...

Ace: C'est quand que j'apparais ? Dis, dis !

Moi, soupire: Pourquoi j'ai voulu écrire sur eux, déjà ?

Alors ? Une review ? * kawai-no-jutsu PLUS Cocker-eyes-no-jutsu *