Titre : Courtiser un Serpentard
Auteur : Magdelena
Traducteur : Mag, Ada et Lalie
Couple : Harry/Sévérus (avec mentions Harry/Drago)
Avertissements : Contenu sexuel, langage adulte
Résumé : HP/SR, HP/DM SLASH ! COMPLET !
Harry et Sévérus sont tous les deux professeurs à Poudlard et entretiennent une relation professionnelle cordiale. Harry s'est entiché de Drago Malefoy et demande à Sévérus des conseils sur la façon de séduire Drago. Quelque part en chemin, Sévérus réalise qu'il veut Harry pour lui-même.
Disclaimer : Je ne possède aucun des personnages dans ce document (seulement le scénario et les personnages originaux que vous pouvez trouver en chemin). Tous les personnages de l'univers d'Harry Potter appartiennent exclusivement à J. K. Rowling, Warner Brothers et toute autre personne choisie par J.K.Rowling pour lui permettre de jouer avec eux. Je publie mes fanfictions seulement pour mon propre désir d'être une part de cet univers.
Notes de l'auteur : Un grand merci à Sev1970 et Nymphy pour avoir corriger ceci pour moi ! Le plot-bunny qui a inspiré cette fic est à l'honneur de mon amie Ataraxis. Merci aussi à Calanor qui m'a poussée à ajouter Harry et Sev dansant le tango dans une fic, avec des roses et du chocolat si possible, donc puisqu'elle le voulait… elle a obtenu d'être témoin de cela ! Vous pouvez voir son aspect caméléon comme « Calla Noir » la préfète de Serdaigle dans le Chapitre Cinq !
Notes de la traductrice : Je tiens tout d'abord à remercier Magdelena qui a eu la gentillesse de me laissez traduire cette fic. J'espère que vous apprécierez cette histoire autant que moi. Vous pouvez trouver l'adresse du site de Magdelena dans ma biographie. Perlelun a eu la gentillesse de corriger ce chapitre, je lui envoie donc plein de bisous ! A dans quinze jours pour la suite, enjoy and read !
Chapitre Un- Un secret écrasant
Quelques années plus tôt…
La machine écarlate souffla des bouffées de vapeur alors qu'elle tirait son chargement magique à travers la campagne écossaise avec une seule destination prévue : la gare de Pré-au-Lard. Pour trois Gryffondors de sixième année, c'était le temps d'une grande appréhension et anxiété.
Harry Potter, Hermione Granger et Ron Weasley étaient étendus paresseusement et silencieusement dans un compartiment du Poudlard Express. Le voyage était presque à la moitié et tandis qu'Harry regardait à travers la fenêtre, il pouvait voir le soleil qui commençait à descendre à l'horizon. A ce moment présent, l'Attrapeur de Gryffondor tentait de son mieux d'ignorer le couple heureux assis à côté de lui. Ron et Hermione avaient commencé à sortir ensemble plus tôt cet été, mais pour leur crédit, n'avaient jamais exclu Harry de leurs vies. Tandis qu'Harry les regardait tous les deux pendant un moment, il pensa qu'il ne désirait rien de plus que de trouver quelqu'un qui le regarderait avec la même sorte de gentillesse, d'affection et de passion que Ron et Hermione partageaient. Dans son cœur, il savait qu'il était plus qu'un peu jaloux du fait que ces deux-là aient trouvé l'amour.
Le regard d'Harry retourna vers la fenêtre, tout en fixant les collines ondulée qui défilaient, il réfléchit à la manière dont ses amis avaient été formidables et compréhensifs durant les grandes vacances. Ils l'avaient écouté fulminer, tempêter, éventuellement pleurer, à propos de la perte de Sirius. Ils lui avaient promis de demeurer à ses côtés, de ne jamais vaciller dans leur amitié lorsqu'il leur avait révélé les détails de la Prophétie. Ils l'avaient aidé à travailler sur ses sentiments de colère et de rage au sujet de tout ce qui avait découlé de la débâcle au Département des Mystère l'année dernière. En bref, ils avaient été de véritables amis.
Harry avait aussi reçu plus de support du reste de la famille Weasley, Albus Dumbledore, Rémus Lupin, Nymphadora Tonks, et le plus surprenant, Sévérus Rogue. Bien qu'Harry ai toujours besoin de rester un mois déterminé chez sa tante, les membres de l'Ordre avaient organisé des tournantes afin de rester avec lui là-bas. Au choc et à la consternation d'Harry, la première semaine avait été couverte par nul autre que le Con Graisseux lui-même.
Harry n'avait cessé de pleurer depuis qu'il avait franchit la porte des Dursleys après leur retour de la gare. Il s'était lui-même enfermé dans sa chambre, refusant toute nourriture et toute boisson. Le matin après son retour à Privet Drive, quand Rogue était arrivé, Harry n'avait même pas réalisé que le carillon de la porte d'entrée avait sonné jusqu'à ce qu'il lève les yeux et voit son Maître de Potions qui l'observait.
Le mépris sur le visage de Rogue s'était changé en un masque impassible lorsqu'il avait vu les cercles noirs inscrits en-dessous des yeux enflés et rougis d'Harry. Le ton civil de Rogue lorsqu'il avait salué Harry représentait l'encouragement dont le jeune sorcier avait besoin pour dire tout ce qu'il voulait dire depuis la nuit de leur dernière leçon d'Occlumencie ensemble ; Harry se répandit en excuses pour sa propre invasion dans les souvenirs de Rogue ainsi que le traitement affreux que son père et Sirius avaient fait subir à Rogue. Son professeur avait été grandement choqué par la confession d'Harry, et une paix relative s'était établie entre eux.
Harry sut qu'il avait été véritablement pardonné lorsque le jour suivant, Rogue lui remis un volume afin de réviser la théorie derrière l'Occlumencie et lui promit que lorsqu'Harry retournerait à Grimmaurd Place, ils reprendraient leurs leçons. A la fin de la semaine, Harry avait réalisé qu'il avait incroyablement mal jugé Rogue et pensé qu'ils avaient une longue et difficile route derrière eux. Harry croyait maintenant de tout cœur à l'allégeance de Rogue envers Dumbledore.
Dans les semaines qui suivirent le départ de Rogue, Rémus et Tonks alternèrent les visites à Harry. Les journées d'Harry avec Rémus étaient remplies à la fois de larmes de peine et de joie tandis qu'ils partageaient les souvenirs de l'année passée ainsi que ceux de la jeunesse de Rémus ou des parents et du parrain d'Harry. Alternativement ses journées avec Tonks étaient pleines de rires et d'amusements. La combinaison des deux était plus que suffisante pour aider Harry à débuter sa guérison de la colère et de la tristesse qui demeuraient à l'intérieur de lui.
La touche finale fut la dernière nuit lorsque Dumbledore lui-même vint pour rester avec Harry, et après l'escorter jusqu'à Grimmaurd Place. Ils discutèrent tard dans la nuit de toutes les anxiétés et peurs d'Harry ou encore de ce qui allait se produire, tout comme du ressentiment et de la frustration d'Harry à propos de ce qui lui avait été caché. Dumbledore était compréhensif et gentil, s'excusant encore pour avoir blessé aussi profondément un jeune homme qu'il désirait seulement aider. Quand ils eurent finis, Harry possédait une meilleure vision sur la manière dont Dumbledore avait agi, et sentait reprendre le contrôle de sa propre destinée. Dumbledore lui avait aussi fait la promesse qu'il ne garderait plus les plans de l'Ordre cachés d'Harry aussi longtemps qu'Harry lui promettait de ne plus faire de secrets.
Le mois suivant à Grimmaurd Place passa comme un flash. Harry avait été avec ses amis et les Weasley et même s'il se sentait toujours aussi submergé à certains moments en raison de la tâche impressionnante que Voldemort lui avait imposée, il était consolé par le fait que ses deux meilleurs amis et ses loyaux mentors seraient à ses côtés quand le temps de la confrontation serait venu.
Depuis qu'ils étaient arrivés à la voie 9 ¾, le trio avait presque été constamment occupé. Tous leurs autres condisciples de maison, tout comme la plupart des membres de l'AD, les avaient arrêtés pour les saluer. Harry était ravi que personne ne semble considérer les événements au Département des Mystères comme de sa faute, même s'il était toujours embarrassé à chaque fois qu'il pensait à la manière dont Voldemort l'avait si facilement dupé grâce à une illusion. Heureusement sa voix intérieure assez ennuyante, qui, suspicieusement, possédait la même voix que son Maître de Potions, lui rappela rapidement que Voldemort avait trompé des sorciers parfaitement entrainés bien avant qu'il ne soit né.
Les lèvres d'Harry se courbèrent vers le haut en un sourire à la simple pensée que sa 'conscience' était la voix de Sévérus Rogue. Soudainement, il fut sorti de ses rêveries quand il entendit la porte de leur compartiment s'ouvrir. Il se tourna vers l'entrée avec un sourire, pensant que, peut-être, un autre de leurs amis était venu pour une visite, son expression changeant lorsqu'il réalisa qui stationnait dans l'entrée.
« Qu'est-ce que tu fais ici, la Fouine ? » questionna Harry, un air renfrogné assombrissant son visage.
« Hello le Balafré ! C'est bon de voir qu'il y a des choses qui ne changent pas. Tes manières sont aussi horribles qu'avant que nous nous quittions pour les grandes vacances. »
Drago se retira de l'entrée et se dirigea vers Harry, surprenant les trois amis en s'asseyant normalement sur la banquette à côté de l'Attrapeur de Griffondor. Le blond sourit d'une manière suffisante à leur expression choquée avant de formuler sa demande. « Vous devriez lancer des charmes de fermeture, de silence et de confusion sur la porte. »
« Pourquoi voudrions-nous faire cela ? » s'enquit Hermione.
« Premièrement, je ne veux pas que toute cette putain d'école sache que je suis ici en train de fraterniser avec vous trois. Et deuxièmement, parce que si je sors ma propre baguette pour le faire, vous me lancerez probablement de sales sorts avant que je ne puisse formuler mon premier sortilège. »
Harry renifla et surveilla le blond à côté de lui. Même si l'apparence extérieure de Drago semblait la même, Harry avait détecté une note d'insécurité dans la voix de Drago qu'il n'avait jamais entendue auparavant. Prenant une décision rapide, il se conforma aux demandes du blond et enchanta la porte sous les protestions étouffées de Ron et Hermione.
« Non, je veux entendre ce qu'il à dire, » assura calmement Harry à ses amis.
Drago acquiesça avec reconnaissance et se relaxa visiblement dès qu'il sentit les enchantements se mettre en place. Il s'effondra en arrière dans le siège et mis sa tête dans ses mains, massant ses tempes avec ses doigts fins. Les trois Gryffondors se lancèrent des regards circonspects. Aucun d'entre eux n'avait jamais vu Drago Malefoy aussi complètement exposé.
Harry évalua le blond pour ce qui sembla être la première fois. Avec toute sa splendeur habituelle et son attitude aristocratique écartées, Harry réalisa véritablement combien l'attrapeur de Serpentard était beau. Drago était habillé avec des vêtements Moldus stylés mais usés. Il arborait un jeans bleu de marque, un pullover Henley gris clair et une paire de baskets abîmées. Il avait apparemment grandit de quelques pouces durant l'été et ses mèches blondes habituellement longes et plaquées en arrière par du gel étaient désormais coupées court et encadraient son visage d'une manière attractive. Drago était svelte, mais avec de légers muscles apparents et il émanait de lui une véritable sensualité. Ses beaux traits étaient relâchés à ce moment, pas guindés et durs, et c'était cet étalage apparent de vulnérabilité qui fit que le cœur de Harry, et son pénis, remarquèrent finalement réellement combien le Serpentard blond était attractif.
Harry repoussa ces pensées alors que son visage virait au rouge en raison de son embarras. Harry avait eu du temps pour songer à sa sexualité cet été et avait commencé à suspecter que ses problèmes avec Cho provenaient plus de son manque de sentiments sexuels envers les filles en général, et non juste envers elle. Ces suspicions avaient été confirmées le jour où il s'était trouvé en train de se dresser stupidement contre la taille de Charlie Weasley, tandis que le roux lui montrait ce à quoi un vrai baiser devait ressembler.
Charlie avait aussi rassuré Harry sur le fait que l'homosexualité dans le monde Magique n'était pas seulement tolérée, mais était aussi attendue. Harry avait poussé un soupir de soulagement à l'idée qu'il n'y aurait pas autre chose pour le faire se distinguer de ses camarades. Quand il avait révélé ces quelques informations à ses deux meilleurs amis, Hermione comme Ron l'avaient incroyablement soutenu et avaient compensé leur nouvelle romance en suggérant des noms de camarades de classe comme soupirants pour Harry.
Harry étouffa un rire alors qu'il pensait à quel point ils seraient horrifiés s'il leur révélait combien son corps réagissait à l'Adonis blond assis à côté de lui. Craignant qu'il n'ait déjà laissé le silence s'éterniser trop longtemps, Harry s'adressa finalement à Drago.
« Très bien, Malefoy. J'ai fait ce que tu demandais. Pourquoi es-tu réellement ici ? »
Drago releva la tête et survola des yeux le groupe. « Tout d'abord mon nom est Drago, pas Malefoy. Je préfèrerais la plus petite association possible avec mon nom de famille que je puisse obtenir. Deuxièmement, je ne suis pas ici pour créer des problèmes ; je suis juste ici pour dire 'Merci' d'avoir envoyer mon père en prison. J'ai passé le meilleur été de ma vie ; c'est la première fois depuis des années que je n'ai pas été rabaissé, poursuivi ou été forcé d'apprendre la magie noire. Ma mère et moi avons été en vacances en France, seulement nous deux. Elle était si décontractée. Je ne l'avais jamais vue aussi heureuse. »
Le sorcier blond s'interrompit et soupira, l'anxiété et la détermination se combattant dans sa voix avant de continuer à parler alors qu'il rencontrait les yeux d'Harry. « En dernier, et pas le moindre, je veux que tu arranges une rencontre entre moi et Dumbledore. Je ne vais pas rejoindre le Lord Noir. J'ai été élevé toute ma vie dans la croyance de la supériorité des sang-purs, mais ce n'est pas à propos de ça qu'est sa bataille. Je ne suis même pas certain que ça l'ai déjà été. C'est une vendetta d'un homme fou contre toi, Potter. Je ne veux pas en faire partie. »
« Pourquoi moi ? Pourquoi nous ? Tu nous détestes, » lâcha Harry, l'air incrédule à propos de ce qu'il entendait.
« Ne sois pas bête, Potter, » renifla Drago. « Je n'ai jamais détesté aucun de vous trois. J'admets que j'ai été un putain de jaloux de vous tous, mais haïr est un mot trop fort. »
« Jaloux ? De quoi ? » Demanda Ron sur un ton incrédule.
« De votre amitié, de la façon dont vous prenez soin les uns des autres, la putain de façon dont vous êtes prêts à mourir les uns pour les autres. Je n'ai pas ça, » commenta tristement Drago, ses yeux rencontrant ceux des trois Griffondors à tour de rôle. « J'ai des gardes du corps, pas d'amis. Personne chez les Serpentards n'est assez intime pour connaître quelqu'un d'autre parce qu'ils sont trop effrayés de qui pourrait entendre, espionner ; c'est horrible. » Son regard triste se fixa sur celui d'Harry alors que sa voix se réduisait presque à un chuchotement. « J'ai voulu être ton ami dès la première année, tu sais cela. En regardant en arrière, je suis heureux que tu n'ais pas accepté ma main ce jour-là. Si tu l'avais fait, mon père aurait trouvé un moyen de te livrer au Lord Noir sur un plateau d'argent. » Drago renifla dérisoirement. « Après cela, je ne pouvais pas m'empêcher d'être en colère chaque fois que je te voyais rire et blaguer avec Weasley. Je ne cessais de penser que ça aurait dû être moi. »
« Donc tu entamais des bagarres avec nous à cause de ça ? » s'enquit Ron, clignant des yeux de stupéfaction en raison de ce que Drago avait révélé.
Drago haussa les épaules et manifesta son accord. « Et parce que mon père détestait le tien, ça plaisait donc beaucoup à Lucius que je te frappe de temps en temps. J'avais douze ans quand ça a commencé ; c'est devenu une habitude. D'un autre côté, sais-tu combien c'est difficile de regarder ta famille Weasley ? Je n'ai aucune idée de comment on se sent en étant embrassé ou enlacé par une mère ou un père. Giflé, oui… poursuivi, oui… embrassé, non. Je ne suis pas en train d'essayer de me trouver des excuses, mais vous avez tendance à montrer votre plus mauvais côté quand votre entourage consiste en des elfes de maison et des enfants de Mangemorts. J'aurais tout donné pour un seul de ces pulls Weasley.
« Quant à toi, Granger, qui pourrait ne pas te haïr ? Tu es brillante, tu es belle et tu bouscules toutes les raisons des sorciers de sang-pur de détester les nés Moldu. Tu fais du monde Magique un lieu plus fort, pas plus faible. Tu m'as fait m'interroger à propos de choses que je n'avais jamais pensées au sujet des Sang-de-Bourbes. Si je ne te haïssais pas, je devrais faire face à tout ça. »
« Je sais que vous n'avez aucune raison de me croire. Pour tout ce que vous en savez, je pourrais juste venir ici et jouer les deux côtés jusqu'à ce que je voie si mon père sort de prison. Et honnêtement, c'est dans mon intérêt et c'est une des raisons pour laquelle je ne veux pas le faire jusqu'à ce que je parle à Dumbledore. »
« Il voudra te mettre à l'épreuve, tu sais. Par l'Enfer, comme moi, » observa Harry.
Drago acquiesça comme s'il avait attendu les mots d'Harry. « Je serais plus qu'heureux de répondre sous Véritasérum aux questions qu'il aura ou qu'un d'entre vous aura. Il y a seulement une condition. »
« Je m'y attendais, » marmonna Ron.
« Je prendrai seulement le sérum si Granger le prépare. Je sais assurément que je ne peux pas faire confiance au Professeur Rogue, » déclara Drago tristement. « Ca me tue de le trahir ainsi, mais je dois le faire. Je l'ai vu avec mon père ; il est l'un d'entre eux. »
« Je ne savais pas que ton père et Rogue étaient de bons amis, » commenta Harry calmement tout en échangeant des regards nerveux avec Hermione et Ron.
« Comme larrons en foire. En fait, Sévérus Rogue est mon Parrain. »
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« Donc maintenant tu vois pourquoi je n'avais pas d'autre choix que de venir près de toi. » Le jeune homme aux cheveux corbeaux souriait stupidement tandis qu'il cessait enfin son discours décousu, s'affalant encore plus de manière non cérémonieuse dans la chaise opposée à celle de Sévérus.
Sévérus regarda l'homme plus jeune en face de lui, un regard rare de confusion absolue ornant ses traits aristocratiques.
« Actuellement, Harry, même si j'apprécie d'entendre à nouveau la défection de mon filleul pour la lumière de ton point de vue, » Sévérus roula ses yeux, « tout comme la CHARMANTE histoire de tes souvenirs de l'été après ta cinquième année, je ne suis vraiment pas certain du pourquoi tu m'as choisi pour partager cette fable quatre ans après l'événement en question. »
« Parce que en quatre ans, je suis passé de relations frustrantes en relations dévalorisantes et je pense que j'ai enfin trouvé pourquoi. J'ai été tellement aveugle. L'homme auquel je suis destiné est Drago ! »
« Très bien, » déclara dangereusement Sévérus, « mais je comprends toujours pas où je… »
« C'est simple. Tu vas m'aider à le séduire. »
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A suivre…
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