YO !
Alors : première fic, premier yaoi, premiers mots, je viens au monde, et je suis du genre à tartiner des tonnes de texte pour raconter ma vie désolée
C'est un Barnaby(te) Kotetsu (ça commence en finesse), désolée d'avance pour les fautes (j'écris la nuit pour pas me faire prendre), désolée pour le style d'écriture bien vieux qui rame autant que le scénar du vieux bouquin poussiéreux chez ta grand-mère que t'as essayé pasqui avait pas de réseaux et qui t'a endormi à la quatrième page malgré tes 12 heurs de sommeil (les mamies laissent dormir), désolée pour les blagues (genre barnabyte). Enfin, il fallait agir car cette fanbase est vide en France (larme).
Ça se passe après le film the rising, donc désolée pour ceux qui ne l'on pas vu mais en gros, si je me souviens bien : Tiger et Bunny sont de retour à la première league par ordre d'Agnès et donc yhalha bonne lecture (Et pas de lemon au premier chapitre pardoooon)
XOXOXOXO
Il ouvrit les yeux sur les ténèbres de sa chambre.
Encore un cauchemar à propos de ses parents… Marverick n'était plus là mais il y pensait encore.
Ce rêve était, de plus, différents des autres ; il n'avait pas vu le meurtrier dans un tourbillon de flamme mais seulement le corps de sa mère, ou de son père, c'était flou. Il entendait une voix derrière lui. Celle d'un type qu'il connaissait que trop peu : Lunatic, sa voix envahissait sa tête dans une langue imperceptible. Maintenant encore, dans la chaleur douce de son lit, elle résonnait en lui. Ce type lui faisait peur.
Il était 6h du matin, pas la peine de se rendormir de toute façon il s'était couché tôt et cela ne lui couterai rien d'arriver en avance au travail ; peut-être gagnera t-il des points au près du nouveau parton.
XOXOXOXOXO
Le réveil sonna, toujours aussi désagréable, Kotetsu ouvrit les yeux. Bien sûr, sa chance légendaire fit qu'un simple rayon de lumière issu du minuscule interstice entre les deux rideaux de sa chambre l'illuminait exactement là où il fallait pour qu'il se crame les rétines en ouvrant ses paupières.
Le voilà debout, prêt à partir et ne se souvenant déjà plus de la petite chose ridicule qui l'avait mit en retard ; tout les matins c'était une broutille différente.
Un train habituel : Bunny était déjà là, après le repas, une mission simple comme bonjour le fit se tourner en ridicule (c'était même pas sa faute, il n'avait juste pas fait attention à une marche et fit une chute mémorable emportant avec lui sont partenaire devant un parterre de fangirls excitées qui hurlèrent en même temps en les voyant empilés « HA GAAAAAAY »). Bref, tout se passa et en fin d'après-midi il invita le blond à boire un coup car cela faisait vraiment trop longtemps qu'ils n'avaient pas discuté. Combien de temps s'était écoulé depuis qu'il avait renoncé à son poste de héros ? Un an ?
Ils étaient tout les deux dans ce bar, en bas de la rue où vivait Bunny, accoudés, posey sur leur haut tabouret, un bon verre d'alcool à la main et ils discutaient de tout et de rien, d'eux au début, puis du reste, de ce qui les entourait. Ha, ils étaient bien, ils se retrouvaient enfin et cela les ravivait, vraiment, en quelque temps ils étaient devenus inséparables l'un de l'autre et cet écartement d'un an les affecta beaucoup, chacun à sa manière. Mais les voilà réunis, comme au premier jour ! Enfin, le premier jour… pas vraiment ; au premier jour ils ne se supportaient pas ! Disons…Comme deux frères, deux vieux amis. En tout cas, c'était l'impression qu'ils donnaient. Pourtant, ils se connaissaient à peine, en effet, Kotetsu avait percé la plus part des mystères de son Bunny, il était au courant de son histoire, de ce qu'il éprouvait et de son caractère froid (et il faut se l'avouer ; pleurnichard). Mais ignorait en tout sa perdition sur certains plans, notamment le plan affectif…
Quant à Barnaby il pensait tout savoir de son tigre (houuu le surnom) de part son caractère ouvert mais au final ignorait tout de son côté « sombre » et de son passé.
Bientôt l'heure du dodo, mais étant des adultes, ils se sentaient capables de se gérer seuls, alors à force de « Encore un verre Bunny ! » et de « Je ne veux pas rentrer Kotetsu-san, restons juste un peu plus » ils étaient raides mots à 4h du matin, enfin, Barnaby était plus ou moins bourré et épuisé alors que Kotetsu simplement éméché ainsi que particulièrement fatigué. Bien sûr, toi en train de lire ceci (bruit de vents dans le désert pour signifier la masse de gens), tu espère déjà un sublime : « Et ils rentrèrent bras dessus- bras dessous chez Bunny pour faire un bon lemon bien juteux que je vais dors et déjà vous détailler » non ? bon… moi c'est ce que j'aurai espéré, mais ce serait dommage, il faut se l'avouer que ça finisse ainsi !
Alors oui, sur le coup de la fatigue, ou de l'alcool, ils lâchèrent chacun leur secrets, ils délestèrent l'espace d'une nuit leur cœur, mais voilà pourquoi il ne faut pas boire d'alcool les enfants ! Car le lendemain, aucun des deux ne se souviendraient des paroles de l'autre et il serait, par conséquent, inutile de les retranscrire.
Mais malheureusement (ou heureusement ?) je suis, comme toi j'en suis sure, une petite yaotiste vicieuse qui n'aime pas quand les fics rament, donc.
Avant de se saluer, ne sachant même pas la différence entre un poteau et son partenaire, Kotetsu, en prenant Barnaby dans ses bras, le maintenant contre lui, et, épuisé, se laissa transporter par sa douce odeur. Il lui embrassa le cou. Pas de « il ne savait pas pourquoi » car il était dans un tel état qu'il ne savait même pas de qui il s'agissait réellement, et d'ailleurs, il était tellement cuit que le terme « embrasser » n'est pas approprié. Disons qu'il posa se lèvres sur son coup et aspira comme un maternelle ferait sur la joue de sa maman.
Barnaby réagit à ce contact bien sûr ; et ils restèrent comme ça un instant. Puis, là enfin, ils se séparèrent et firent au plus vite pour rejoindre les bras de Morphée.
XOXOXOXO
Whala. Encore désolée pour les fautes, je sens que quand je me relirai demain je me frapperai la tête contre les murs ^^
Simple précision : « inutile de les retranscrire » ne veut pas dire que j'ai la flemme ou autre ; juste que je n'aime pas les longues fics alors que je suis entrain d'en écrire une. Je ne veux pas vous ennuyer et un dialogue intéressant entre deux gars bourrés et bien… ça ne sort pas du cul d'une vache ! (et quant bien même ; des vaches ! on en trouve encore, des vaches ?)
Enfin, si vous y tenez, faites le moi savoir par review et je l'arrangerai !
Bref, je sais que vous bouffez cette phrase à chaque fois mais maintenant je réalise son importance : Review s'il vous plait ! ça ne prend pas de temps ;-)
AÏE kiss FIREEEE
