N.d.A : Coucou tout le monde ! Ceci est un petit poème sur Harry que j'ai écrit lors d'un tout petit moment libre, entre deux cours… Il est très court, mais bon… Je me suis fait plaisir en l'écrivant, et c'est le plus important ! Et peut-être que certains d'entre vous en auront également en le lisant ! Voilà !

Il a détruit ma vie, je vais détruire la sienne…

Partir vers un monde meilleur, un monde ailleurs,

Fuir le destin qui poursuit mes pas, sans me retourner.

Le sang et la mort, l'espoir sans ces horreurs

Je ne veux que ça. Peut-être même m'envoler

Vers ces cimes qui montent vers le firmament

Loin, là-bas, et qui se dépouillent des tourments.

Je suis la route qui ne va nulle part et disparaît

Au creux d'une colline, au fond d'un marrais.

C'est si facile d'oublier qu'un jour je vais tuer

À cause de l'invisible, rien qu'une volonté.

Mon cœur tremble et éclate si souvent à présent

Que j'en hurle à m'en faire éclater les tympans.

La source de mes larmes s'est maintenant tarie,

Je n'ai plus la force de penser à la fin de ma vie.

Tellement déjà l'on perdue sous mes yeux

Que je rêve le goût du sang et les cris d'adieu.

Ma famille, ceux que j'aime et beaucoup d'autres

Sont partis. Et la prochaine sera peut-être la vôtre.

Le nom sur toutes les bouches, honoré de prières,

Celui que l'on murmure pour conjurer le Malin,

Celui que l'on adore, celui-ci est le mien,

Mais dans mes oreilles résonne, comme amer.

C'est un fardeau qui chaque jour me consume

Pantin, on forge mon avenir comme une enclume.

Laissez-moi mourir ! Je ne suis déjà plus là,

Je l'entraînerai dans l'abîme qui s'ouvre sous moi.

N'ayez crainte, la seule chose que je veux perdre

C'est celle-là même qu'il ravira dans son avidité acerbe.

Il ne peux survivre car en périssant,

J'emporterai dans mon dernier souffle nos deux sangs.

N.d.A : C'est fini ! J'espère que certain auront apprécié !

Gros bisous,

Ambrazka.