Titre : Serais-tu mon prince charmant ?
Genre : U.A./O.O.C. présent sur certains personnages (désolée)/Romance/Compte de fée/Fantastique
Crédits : Les personnages de cette fiction appartiennent à Masashi Kishimoto du manga « Naruto ». Les titres des chapitres sont les paroles de la musique « Tant qu'on rêve encore » de la comédie musicale du Roi Soleil, de Kamel Ouali.
Résumé : Nous sommes à Konoha : ville riche et paisible du pays du Feu, dirigée par le Roi Uchiha, Fugaku Iè. Cette famille dirige depuis des décennies le pays du Feu ainsi que la ville de Konoha judicieusement, avec bienveillance et avec justice. La famille Hyuuga est l'une des plus riches et des plus puissantes de Konoha, de surcroit ami de la famille royale (le Duc Hiashi et le Roi Fugaku étant ami d'enfance). En ce temps de la Renaissance, chaque père aimerait trouver un mari à leur fille lorsque celle-ci atteint l'âge de seize ans. Le Duc Hyuuga ne fait pas exception à la règle et il lui faut trouver un époux à sa fille aînée, Hinata, qui deviendra ainsi Duchesse et une vraie femme. Mais, Hinata a d'autre projet, comme retrouver ce jeune homme qui hante ses doux rêves : serait-ce lui son prince charmant ?
Il était une fois…
Il neigeait. J'adorais la neige, car on se ressemblait. Elle était aussi blanche que mes yeux et ma peau. Ainsi, je me disais que je n'étais pas la seule, ou plutôt, que ma famille n'était pas la seule à avoir cette particularité. Je me promenais dans la forêt, qui était derrière chez moi, à la recherche de petites fleurs violettes. Ces plantes sont assez spéciales, car ce sont les seules fleurs qui arrivent à survivre à cette eau gelée. Elles ne sont pas très hautes, mais il suffit d'en voir une pour en trouver un champ.
Je marchais donc à leur recherche, sans me préoccuper du chemin que je prenais - qui était certes invisible à cause de la neige. Résultat, j'étais perdue. Sans le vouloir, je m'étais trop éloignée de la maison et je ne savais plus où j'étais. Cela ne me perturbait pas tant que ça, car je n'avais pas froid et je ne me sentais pas en danger. Pourtant, je n'étais habillée que d'une longue robe blanche, qui laissait voir mes bottines crème et couverte d'un manteau clair qui recouvrait entièrement ma tunique. Je m'arrêtai près d'un tronc d'arbre qui était là depuis des années, déraciné, pour admirer le ciel gris clair. Il est vrai que l'on aime rarement les nuages qui ont ce coloris, mais personnellement, ils ne me dérangeaient pas s'ils étaient accompagnée par ce climat froid et cette eau congelée. Je baissai la tête, tombant nez à nez avec le tronc d'arbre déraciné. En descendant un peu plus les yeux, je découvris mes fleurs tant recherchées. Je m'accroupis donc et en cueillis quelques unes aux anges. Plus rien ne comptait en cet instant que ma découverte.
Lorsque soudain, j'entendis une branche craquer dans mon dos. Instinctivement, je me retournai, effrayée de savoir qu'il y avait une personne derrière moi. Mais cette peur disparue bien vite. Devant moi se tenait un jeune homme, habillé entièrement en noir. Sa peau était laiteuse et ses yeux étaient sombres, mais envoûtants. Son visage était fin, encadré par deux mèches brunes et sans expression. Un ange… Oui, je le comparais à un ange.
Je me relevai lorsque celui-ci mit un genou à terre, comme pour être à ma hauteur, à quelques mètres de moi. Alors doucement, prudemment, comme pour m'assurer qu'il n'était aucunement dangereux malgré mes comparaisons, je me dirigeai vers lui. D'un coup, je lâchai mes fleurs, qui tombèrent à ses pieds et mis mes petites mains froides sur ses joues chaudes. Il ne tressaillit même pas, mais je voyais clairement dans ses yeux qu'il était étonné de mon acte. Seuls ses yeux le trahissaient d'ailleurs, ou peut être était-ce parce j'arrivais à lire en lui. Je ne savais pas et je ne pensais pas le savoir un jour. Je lui caressai ainsi les joues, puis commençai à faire le tour de son visage : je remontai au front, redescendis par le nez, passai autour des narines, continuai sur ses douces lèvres, repartis sur le menton et terminai là où j'avais commencé. Je lus dans ses océans d'ivoire de l'incompréhension, de la stupéfaction et de la fascination mélangées, me rendant envoûtée. Je sentis qu'il voulait dire quelque chose, mais aucun son ne réussit à sortir de sa bouche. Je pris alors les devants et posai la question qui me brûlait quasiment les lèvres.
- Monsieur, est-ce que vous êtes un ange ?
Je pus percevoir pendant une faction de seconde que son masque tomba, lui tirant un air abasourdi, qui fut bien sûr très vite remplacé par son masque dénué de sentiments. Nous restâmes ainsi, sans briser le silence, sans arrêter de tenir notre regard. J'essayais de deviner le son de sa voix, en dépit du fait que j'étais consciente que cela était inutile. Pourtant, je sentais qu'il voulait prononcer quelque chose, mais en vain. Ce fut alors que nous entendîmes une voix grave qui venait de derrière lui.
- Hinata ! Je t'ai enfin retrouvé ma chérie !, s'exclama mon père.
Je retirai instinctivement mes mains d'où elles étaient, reconnaissant mon père. Mes yeux dérivèrent pour voir le nouvel arrivant qui s'approchait de plus en plus de nous, jusqu'à venir me prendre dans ses bras, à me soulever et à me maintenir contre lui avec ses bras.
- Je vous remercie d'avoir veillé sur elle Monseigneur, dit père en s'inclinant légèrement.
Mon ange se releva et lui répondit par un hochement de tête, en signe d'approbation, sans émettre le moindre son. Apparemment, je ne connaitrai pas sa voix, ce qui me laissa je dois dire rêveuse. Soit dit en passant, père avait l'air de le connaître…
- Aller ma chérie, on rentre à la maison.
Je lui souris et j'enlaçai mes petits bras autour de son cou, déposant ainsi ma tête sur son épaule. Il tourna le dos au jeune homme que j'avais rencontré et commença à marcher, s'éloignant progressivement de lui. Toutefois, je n'arrivais pas à détacher mon regard de cette personne en noir. Avant que je ne distingue plus les traits de son visage, je lui adressai un « au revoir » de la main droite, en la balançant de droite à gauche. Il leva juste l'une de ses mains et fit quelques mouvements, avant de la remettre le long de son corps. Je remis ma main où elle se trouvait auparavant et essayai de garder ces dernières images de lui en ma mémoire…
J'ouvris d'un coup les yeux. Encore ce rêve… Décidément, cela allait faire une semaine que je rêvais de ce jeune homme en noir. Je me redressai, mis mon oreiller verticalement et posa mon dos dessus. J'aimais rester un peu dans mon lit le matin, comme pour me mettre de bonne humeur. Même si je n'étais pas de nature colérique ou grognon, c'était comme un petit plaisir quotidien. Alors que mes pensées allaient se tourner de nouveau vers mon inconnu brun, on toqua à la porte de ma chambre.
- Hinata !, appela mon père. Es-tu réveillée ?
- Oui père. Deux…deux minutes, balbutiai-je en sortant vite de sous ma couette chaude et douillette pour enfiler ma robe de chambre grise pâle.
- J'entre !, prévient-il.
Je finis rapidement d'attacher les deux extrémités de la ceinture et me mis droite, malgré mon air endormi.
- Encore en train de dormir !
- Veuillez m'excuser père, fis-je en m'inclinant légèrement. Comment avez-vous deviné ?
- A ton air enfantin et tes cheveux non brossé, remarqua-t-il en prenant une mèche de ma chevelure brune. Bien, j'espère que tu n'as pas oublié que nous sommes invités chez le Roi aujourd'hui. Ouvrez les rideaux, dit-il en s'adressant aux servantes.
La lumière du jour m'éblouit, m'obligeant à fermer les yeux. Je demandai quelque heure était-il pour que l'astre du jour me fasse cet effet. Je fus un peu confuse lorsque j'appris qu'il était près de onze heures et demie.
- D'ailleurs, j'ai un présent pour toi, me révéla mon géniteur.
Il me présenta une boite en carton assez large que j'ouvris avec hâte. Mes yeux reflétaient mille étoiles lorsque je découvris son contenu. A l'intérieur se trouvait une robe bleu foncé, brodée avec du fil blanc et embellit par de la dentelle aussi claire qui était au niveau du col. Je la pris et la sortis pour mieux l'admirer. Les manches devaient m'arriver à la moitié des avant-bras environ et de la dentelle fignolait les extrémités, que l'on retrouvait également en bas de la robe. Le bustier était resserré – en plus du corset en dessous – par des ficelles, lui donnant un côté très noble. Sur le devant, en dessous du bustier, débutait une partie blanche qui s'élargit au fur et à mesure qu'on approchait de la fin du vêtement.
- Elle est magnifique, réussis-je enfin à dire. Mais en quel honneur ai-je droit à un si beau présent de mon très cher père ?, demandai-je en voyant qu'il y avait anguille sous roche.
- Un père ne voudrait-il pas un bel époux pour sa fille ?
Je souris et partis derrière le paravent pour me changer, suivi par deux servantes. Tout en m'habillant, père m'expliqua que l'on allait y rester jusqu'à tard le soir, car le Roi avait organisé un bal pour que son fils aîné trouve une épouse. Evidemment, sans qu'il ne me le dise, je devinais que mon père serait heureux si j'étais choisie. Ce fut à ce moment-là que l'image de mon inconnu me revint… Il fallait pourtant que je l'oublie, mais mon cœur voulait à tout prix en savoir plus sur lui, comme si je n'étais attirée que par cette seule et même personne. Mon géniteur n'excellant pas dans la patience, me prévint qu'il m'attendait dans le hall d'entrée, avec mon cousin – ma sœur cadette étant encore trop jeune pour venir avec nous. Je finis donc de m'habiller à l'aide des servantes, ainsi qu'à me coiffer et à mettre un chapeau crème, tirant plus vers le blanc, qui était couronné par des ficelles de la même couleur et qui retenait quelques fleurs. Une fois prête, je pris mon ombrelle de couleur neige, me chaussai et quittai ma chambre.
Je traversai le couloir orné de tableaux, descendis l'escalier de marbre, main sur la rambarde en fer forgé et rejoignis mon cousin, Neji et mon père, qui avaient les yeux rivés sur moi.
- Veuillez me pardonner pour vous avoir fait attendre, m'excusai-je en m'inclinant légèrement.
- Ce n'est rien ma chère fille, nous sommes à l'heure si nous partons maintenant, m'informa père en passant le pas de la porte pour aller dans la calèche.
Je me tournai vers mon cousin. Il était en tenue bleu clair, bordée, comme ma robe, en blanc. Ses longs cheveux chocolat étaient toujours attachés en bas par un ruban clair, laissant croire qu'ils étaient détachés. Sa peau laiteuse était légèrement rosie par rapport à ses vêtements, lui allait plutôt bien. Remarquant que je le détaillai, je rougis et encore plus lorsque je compris qu'il faisait de même pour moi.
- Vous êtes ravissante, Hinata-sama, me complimenta-t-il avec un petit rictus sur les lèvres.
- Pas de vouvoiement et de –sama entre nous Neji-kun ! Je pensais que tu le savais depuis le temps…
- Pardonnez-moi… Hinata.
- Je préfère, déclarai-je en lui souriant. Même si tu continues de me vouvoyer.
- Tenez ! C'est pour vous.
Surprise, je pris de qu'il me tendait, c'est-à-dire, un éventail blanc avec un peu de dentelle au bout. Simple mais élégant, c'était ce que Neji m'avait toujours offert et m'offrirait sûrement toujours. Non pas que ses cadeaux étaient toujours les mêmes, loin de là, mais ils étaient tous aussi beaux les uns des autres.
- Merci Neji-kun ! Il est magnifique, manifestai-je avec bonheur en l'enlaçant.
- Cela me fait plaisir alors.
Il dénoua notre étreinte et nous allâmes rejoindre père qui était en train d'attendre dans la calèche. Une fois tout deux assis, nous partîmes de la demeure pour le château du Roi.
Celui-ci se situait sur un terrain légèrement plus élevé que le reste de Konoha. Il était imposant, gris clair et majestueux, surtout avec ses sculptures et ses grandes fenêtres. Les jardins étaient tout aussi splendides ! Plusieurs buissons, arbres, fleurs et arbustes étaient aménagés ainsi que quelques fontaines. Le tout donnait un petit coin de paradis. C'était comme si la végétation était en harmonie avec les fontaines tellement on avait l'impression que chaque chose, chaque plante, était à sa place. Dans certaines parties des jardins, quelques statues étaient exposées, mais la plupart et les plus belles, d'après mes souvenirs, se trouvaient à l'intérieur du château. Autour des jardins, il y avait une petite partie de la forêt qui était utilisée pour la chasse.
Après une vingtaine de minutes à observer le ciel bleu de début juin, je m'aperçus que nous étions en train de passer les portes de l'imposant portail du château. Nous continuâmes d'avancer sur la grande allée délimitée par de grands bouleaux, nous laissant entrevoir la verdure bien verte et l'écurie au fond sur la gauche – côté où j'étais pour la voir. Puis, nous nous stoppâmes au pied de l'immense bâtisse. Un portier ouvrit la porte de notre calèche, nous invitant à descendre et un servant nous attendit sur le haut des escaliers. Tous les trois, nous montâmes les quelques marches, puis pénétrâmes dans le hall d'entrée aux couleurs claires et or.
- Bien le bonjour Monseigneur Hyuuga, s'inclina le servant. Nous prévenons le Roi de votre arrivée.
- Très bien, se contenta de dire mon père.
Pendant que nous attendions le Roi, j'en profitai pour détailler les lieux. Cela n'avait pas changé et pourtant, je n'étais venue qu'une seule fois. De belles sculptures et de beaux tableaux décoraient l'espace, rendant la pièce moins vide. Je vis plusieurs portes, qui menaient sûrement à des endroits bien différents, qui suscitaient ma curiosité. Nous ne patientâmes que quelques secondes avant que le Roi Fugaku Iè nous rejoigne. Sa tenue était en rouge et bordée en or, telles étaient les couleurs de la famille royale, soulignant bien son haut rang. Ses bas étaient blancs et ses chaussures dorées. Sa peau n'avait aucune ride et mettait en valeur la noirceur de ses cheveux courts. C'était tout de même un beau roi. Face à cette pensée, je rougis et fis la révérence pour cacher mes quelques rougeurs. Mon cousin et père firent de même.
- Hiashi, mon ami ! Relevez-vous voyons !, s'exclama le roi.
- Je vous remercie Monseigneur de nous avoir invités pour la vingt deuxième année de votre fils aîné, déclara Hiashi.
- Je vous en pris cher compère ! Depuis le temps, plus besoin de formalité ! Oh ! Que vois-je ? Neji, mon garçon, relevez-vous ! Comme tu as grandi… Tu es un beau jeune homme à présent.
- Je vous remercie votre Majesté, dit mon cousin en faisant la révérence.
- Hinata ! Montrez-moi comment êtes-vous devenue depuis ces quelques années.
J'inspirai et expirai quelques fois pour me donner un peu de courage. Puis, lentement, je me redressai, essayant de rougir le moins possible, jusqu'à être bien droite face à son altesse.
- Hiashi, bon Dieu ! Quelle ravissante jeune femme est devenue ta fille ! Elle ressemble beaucoup à sa mère.
- Hn.
- Ton parti aura une de ses chances mon enfant.
- Voyons Fugaku ! Ne dites pas cela devant une jeune femme, vous l'embarrassez.
Mon père et le concerné se retournèrent pour avoir la nouvelle venue : le Reine Mikoto. Sa robe était d'un prune soutenu, où était bordée des perles rouges et des dessins avec du fil de la même couleur. Le haut de sa robe laissait voir ses fines épaules où ses cheveux ébène tombaient dessus. Qu'est-ce qu'elle était belle comme femme ! Lorsque je remarquai que Neji s'inclinait, je fis de même.
- Relevez-vous je vous pris, nous demanda la reine.
- Ah ! Ma femme !
- Mon époux ! Cher ami, excusez-vous auprès de cette jeune femme voyons, votre remarque était quelque peu déplacée.
- Très bien, très bien. Je vous pris d'accepter mes plus plates excuses jeune Duchesse, dit-il.
- Vos excuses sont acceptées votre Majesté.
- Bien. Si vous le voulez bien votre Altesse, allons discuter de choses importantes, prononça père.
- Oui, oui mon ami ! Je n'ai pas oublié. Allons dîner avant cela, voulez-vous ?
- Très bien, Monseigneur.
Joignant les gestes à la parole, nous quittâmes le hall d'entrée pour le salon. La pièce était éclairée par les grandes fenêtres qui étaient ouvertes pour faire passer la chaleur. Les couleurs étaient à peu près les mêmes que la salle précédente et la décoration était toute aussi belle. Outre cela, de nombreux nobles discutaient avec entrain, sûrement en attendant le roi. Une fois qu'ils le virent, tous cessèrent de parler et s'inclinèrent sans exception. Le roi murmura quelque chose à l'oreille de mon géniteur, qui acquiesça avant de me demander de le suivre. Ce que, bien évidemment, je fis sans broncher. Nous nous positionnâmes en milieu de table, derrière une chaise, attendant que le roi s'installe en premier. La pièce était à présent silencieuse jusqu'à ce que Fugaku Iè demande à la reine où étaient leurs enfants.
- On me dit que deux servantes sont parties les chercher, répondit-elle à son époux.
- Hn. Ah ! Les voilà !
Tout le monde avait les yeux rivés sur les deux nouveaux arrivants. Le premier était la copie exacte du second, mais de taille plus petite. Il était habillé en noir, avait la peau blanche et il semblait que ses yeux étaient en harmonie avec sa tenue. Sa chevelure était de couleur jais, courts et deux mèches encadraient son visage.
Le second était habillé pareillement, avait la même peau, la même couleur de cheveux, à l'exception que les siens était longue et attachée par un nœud papillon noir et peut être la même couleur d'yeux. Par contre, son visage était marqué par de grandes cernes, mais qui lui donnait un certain charme. Je sentis une fois de plus mes joues rosirent. J'ouvris alors mon éventail et m'éventa quelques minutes pour faire partir ce genre de constatation. Pourtant, ce visage me disait quelque chose… Je m'assis en même temps que mon père, qui était à ma droite – Neji étant à ma gauche – tout en réfléchissant à cette figure. Oui… Je l'avais déjà vu… J'étais petite… Nous étions dans la forêt… Il neigeait… C'était notre première rencontre… C'était dans mon rêve… C'était dans mes souvenirs… C'était mon ange…
Je vous conterai un nouveau souvenir une prochaine fois…
Hello tout le monde !
Voici le premier chapitre de cette romantique fiction.
J'espère que vous allez l'aimer… Et surtout, n'oubliez pas de donner votre avis !
Je tiens à vous préciser que je ne suis pas forcément fan du couple principal, mais je ne voyais personne d'autre à leur place ^^'
Sur ce,
Bye bye !
