Salut tout le monde ! Voici ma première fic sur Harry Potter. J'ai décidé de viser haut pour commencer (toujours viser la lune, car au moins si on se loupe, on tombe dans les étoiles ;)) elle parlera donc d'un retour dans le temps, effectué par Harry. Il ira au temps des Maraudeurs, sauf qu'il ne sait pas qui il est réellement. Mais voilà le résumé complet juste en dessous =)
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Magicien des temps modernes, Résumé :
Pour beaucoup il était le petit nouveau, pour d'autre, il était juste Raven, ou encore ce garçon amnésique et solitaire, mais pour certain il était Ithryn, celui qui changerait le monde. Lui, il voulait juste profiter de sa vie, qui qu'il soit. Et puis, après tout le Bien triomphe toujours, non ? Venu du futur il ignore tout de sa mission.
« Mais dans quoi je me suis encore embarqué moi ? »
Qu'il le veuille ou non, son destin est soit disant d'accomplir de grandes choses. Dans ce monde d'incertitude qui est le sien quotidiennement, il est sûr d'une chose, on ne peut pas échapper à son destin !
Les Maraudeurs sont de nouveaux réunis pour une septième année… Epique ! Entre les disputes James/Lily, les problèmes de Remus, les cachoteries de Sirius, les absences de Peter, les secrets de Raven, ce nouveau prof complètement fou à lier, les combats Griffondor/Serpentards, les complots dans les entrailles du château, les idées loufoques de Dumbledore, c'est une année bien mouvementée qui s'annonce. Et c'est parti, pour le choc de vos vies ! Avec des Maraudeurs plus déchainés que jamais, bien décidés à entrer dans les mémoires de Poudlard, prenez garde ! Quelques personnes risquent d'y laisser quelques plumes !
Au fait rien ne m'appartient, à part Entwan, Eyal (que vous verrez plus tard ^^) et peut-être Raven, et encore là rien n'est moins sûr, puisque techniquement il s'agit de Harry... Ahem ^^"
Voilà, en espérant que cela vous plaira :)
Bonne lecture ^^ !
Smile ! =D
Chapitre 1 : Sans espoir.
La jeune fille marchait d'un pas vif vers sa destination, ne souhaitant pas s'attarder plus que nécessaire dans la rue, en effet, elle se trouvait dans la cité en ruine de New York. Que ce soit le jour, ou la nuit, l'endroit n'était jamais sûr. Alors que faisait-elle dehors, à cette heure tardive ?
« C'est une bonne question » Songea la demoiselle.
Frissonnant devant l'aspect miteux des bâtiments, et ayant un mauvais pressentiment, la jeune fille accéléra encore le pas. « Courage, marmonna-t-elle, encore deux rues et je serai à la maison. » Seuls les fous sortaient de chez eux, au dehors c'était la guerre. La troisième guerre mondiale. Le monde se mourrait. Alors que la minute d'avant, les rues étaient pleines d'enfants qui couraient et jouaient, celle d'après il n'y avait plus rien. Les explosions, les cris, l'odeur acre du sang, la jeune fille ne se souvenait que trop bien, de tout cela. L'attaque avait été d'autant plus douloureuse, qu'elle avait frappé simultanément tous les pays. Les médias, les moyens de communications, tout avait été coupé. Rien n'avait résisté. Alors que les survivants tentaient de s'organiser, d'aider les voisins bloqués sous les décombres, des hommes en noir étaient apparus, comme par magie et avait tué, sans distinction, hommes, femmes et enfants. Ainsi avait été rayé de la carte New York. Washington, Chicago, Boston, Los Angeles, Londres, Paris, Rome, et bien d'autres avaient suivis. Personne ne savait qui était à l'origine de la première offensive. Elle avait été meurtrière, et radicale. Depuis ce jour, c'était chacun pour soit. La loi du plus fort. Perdue dans ses pensées, la fille ne se rendit pas compte tout de suite que les lumières des réverbères s'étaient éteintes. Ce ne fut que lorsqu'elle entendit quelqu'un ricaner qu'elle comprit que tout était trop calme.
« Le calme avant la tempête »
Soudain, elle fit volte face en hurlant :
-Qui va là ?
Nouvel éclat de rire. Il ne lui fallut qu'une seconde pour se décider à partir en courant. Elle entendit vaguement ses poursuivants, -car oui ils étaient plusieurs s'écrier :
-Tu ne peux pas nous échapper ! Cours petite fille, mais tu vas mourir…
La jeune adolescente s'enfuit, les rues se succédaient, tourner à droite, puis à gauche, à nouveau à gauche, et pourtant ses agresseurs étaient toujours là. Très vite, elle s'égara, la ville était méconnaissable, les décombres juchés sur le sol, rendant sa course plus difficile. Bientôt elle fut bloquée par un amoncellement de gravas.
-Endoloris. Fit l'homme.
Jamais elle n'avait ressentit pareil douleur, comme si des milliers de couteaux chauffés à blanc lui pénétraient la peau. Elle hurla, hurla encore et encore jusqu'à se briser la voix. A bout de souffle elle murmura :
-Pourquoi ? Il faut s'entraider….
-S'entraider ?
Les silhouettes éclatèrent d'un rire qui donnait la chair de poule.
-Pourquoi on t'aiderait ? C'est nous, qui avons plongé le monde dans son état actuel !
-Vous ? Souffla la jeune victime.
-Oui nous, et le Seigneur des Ténèbres, notre maître à tous ! Et maintenant petite idiote, tu vas mourir…
-Pitié ! Je ne vous ai rien fait !
-Sache qu'un mangemort n'a pas de pitié envers la racaille en ton genre.
-Endoloris, récita une voix.
De nouveau la douleur la pris. A cet instant elle souhaitait mourir.
Un des mangemorts leva un bout de bois et siffla :
-Avada Kedavra.
Il y eut un éclair vert, puis plus rien.
-Allons, Lucius. Pourquoi l'as-tu achevé ?
-Elle voulait mourir, et moi en bon prince j'ai accordé son souhait.
Les mangemorts éclatèrent de rire et dirent :
-Le monde appartient au Dark Lord !
OoO
A des milliers de kilomètres de là, quelque part en Grande Bretagne :
-Ne la toucher pas !
-Avada Kedavra.
-NON! HERMIONE! RON!
-Trop tard Potter, ils sont morts tous les deux! Ainsi que tous les membres de l'ordre du Phoenix. Tu es tout seul, Potter, et tu vas les rejoindre, mais d'abord je vais te briser ! Tu vas souffrir.
Harry Potter ne répondit pas, se contentant d'un regard haineux.
-Je vous déteste ! Hurla Harry.
C'était fini, il avait échoué. Tout était perdu…
OoO
Plusieurs mois plus tôt, Harry rentra dans la salle où tous les chefs de la résistance anti Voldemort l'attendaient.
-Bien. Bonjour à tous. Nous sommes actuellement le 20 mai 1996. Nous sommes le dernier espoir de la société Sorcière. Si nous échouons, plus personne ne pourra s'opposer au joug de ce tyran. Notre mission est donc primordiale, il faut détruire le dernier horcruxe qui est Nagini le serpent de Voldemort. Si nous réussissons, il redeviendra mortel. C'est notre seule chance, il faut la saisir.
Il dévisagea les derniers membres de la résistance : Remus Lupin, Kingsley Shacklebolt, Minerva McGonagall, Nymphadora Tonks, Emmeline Vance, Arthur Weasley et enfin Ron Weasley et Hermione Granger. Tous avaient les traits tirés, mais malgré la peur, ils avaient l'air déterminé à se battre, et même à mourir pour un monde meilleur.
-Bon écoutez, nous avons tous perdus des amis ; des proches, de la famille, dans cette guerre, qui n'a que trop durée. J'aimerais pouvoir vous certifiez qu'on va s'en sortir, mais je ne vais pas vous mentir, les chances de réussir cette mission sont maigres. Alors si vous ne voulez pas risquer votre vie je vous comprendrais…
-Harry, intervint gentiment Remus, on va t'aider, tu as besoin de nous… ne t'inquiète pas, on sait ce qu'on a à faire.
-Bien. Dans ce cas, merci. Nous vaincrons, ou nous périrons ensemble. Autant dire que je préfère qu'on gagne… Mais si jamais ce n'était pas le cas, je tiens à vous dire que je n'oublierais jamais tout ce qu'on a fait ensemble et …
-Arrête Harry, tu tombes dans le mélodramatique…
Harry soupira et avec un petit sourire ; il continua tout de même :
- Kingsley, merci d'avoir toujours été là pour me donner un coup de main, Tonks, je ne t'oublierais jamais, merci d'avoir su me redonner courage, Emmeline, je regrette qu'on n'ait jamais eu le temps de se connaître plus… Minerva, vous êtes une femme d'une grande sagesse, j'espère ne pas vous avoir fait trop tourné en bourrique toutes ces années.
L'intéressée eut un petit sourire ; tandis qu'Harry se tournait vers Arthur :
-Mr Weasley, je vous remercie de m'avoir accueilli chez vous toutes ces vacances, et de m'avoir donné de l'amour, et choyé comme votre propre fils. Remus, que dire pour toi ? Tu es mon oncle, je te remercie vraiment pour tout, et m'avoir permis de connaitre les très célèbres maraudeurs au travers de tes souvenirs ! Hermione, ma sœur de cœur, je t'aime, prends bien soin de toi et de Ron. Et toi Ronny mon frère de cœur, je te souhaite tout le bonheur du monde avec Hermione. Je vous aime plus que tout. Que la chance vous accompagne, et que le bonheur vous sourie…
Harry pleurait ils étaient tous tombés… Quand la cellule s'ouvrit, pour laisser placer Drago Malfoy. Il semblait triste et lui aussi pas en très bonne forme.
-Potter… je tenais à m'excuser…
Harry ne répondit pas.
-Écoute, le seigneur des ténèbres va nous exécuter demain matin.
-Nous ? S'étrangla le survivant.
-Oui… Je l'ai trahi.
-alors tu es de mon côté en fait…
-Il semblerait bien… marmonna le blond.
Le lendemain à la première heure, L'Elu et la Fouine se tenait, droits, fiers, acceptant leur destin.
