Disclamer : ben euh, nan, j'avoue, c'est pas moi ki ai créé tous ces personnages ! c'est JK Rowling !

Le ti résumé : Et si, ce matin, le jour de ses 11 ans, Harry Potter connaît déjà out de la magie ? Et si les Dursley étaient des sorciers ? Et si...

Note : ben, comme je l'ai dis dans le résumé, c'est ma première fic alors ... Bon, je tiens à vous mettre en garde que, comment dire ? ... cette fic est un peu déjanté je dirais ! (mais après tout, à vous de juger !)

Re-note : désolé si ça fait "bloc", mais vu ke c'était ma première fic, j'ai eu un peu de mal avec la mise en page sur fanfic !

Re-re-note : (vi, z'aime bien les notes ! lol !) juste pour vous dire : ... bon courage ! lol !

Chapitre 1 :

"Toc, toc, toc"... le bruit si familier de la tante Pétunia qui cogne à la porte de son placard parvint aux oreilles de Harry. Il émit un léger grognement mais se ravisa de dire quoi que ce soit. Entendre les cris perçant de la tante Pétunia dès le lever n'était pas sa tasse de thé. Il chercha à tâtons ses lunettes, les posa sur son nez et se gratta le crâne tout en se redressant. Encore endormi, comme à son habitude en sortant du placard, il s'appuya contre la porte pour l'ouvrir et ... BOOM. Sans qu'il comprenne ce qu'il lui arrivait, Harry se retrouva face contre terre, les pieds enchevêtrés dans ses draps et ses lunettes de travers sur son nez. Il essaya alors tant bien que mal de se redresser et jeta un rapide coup d'oeil autour de lui. Ce qu'il vit lui fit écarquiller les yeux. Tout d'un coup, il se sentit parfaitement réveillé.

Autour de lui, le minuscule placard dans lequel il avait l'habitude de dormir s'était transformé en une chambre aux mûrs couvert d'un papier peint bleu ciel. Une grande armoire ainsi qu'un bureau avaient remplacés les petites étagères sur lesquelles il avait pour habitude de disposer ses affaires. Et à la place du matelas miteux sur lequel il dormait, se trouvait un accueillant petit lit. Toujours debout à côté de son lit, il n'avait pas remarqué la malle remplie d'objets plus bizarre les uns que les autres. Elle trônait juste en dessous de la fenêtre de ... SA chambre.

Il commença à s'avancer vers cette drôle de malle pourtant familière, lorsque soudain la porte de sa chambre s'ouvrit à la volée laissant entrer une tante Pétunia à l'air grognon. Harry s'apprêtait à ouvrir la bouche pour dire à sa tante qu'il n'y était pour rien dans l'apparition de cette chambre au moment où elle marmonna : "Rrrah, fichue porte ! Il faut que je demande à l'oncle Vernon de la réparer !" puis d'ajouter aussitôt, un sourire aux lèvres : "Ah, Harry, mon chéri, tu es levé, je commençais à en douter !". Elle s'approcha de lui. Harry, méfiant recula d'un pas mais elle le retint par les épaules et lui déposa un baiser sur la joue. Sous le choc, il ne prononça pas mots et resta bouche bée au milieu de la chambre tandis que tante Pétunia ouvrait les rideaux et lançait un : "Tu peux descendre mon Harrynouchet, le déjeuner est prêt !". Le déjeuner ? Mais quelle heure était-il ? Harry jeta un coup d'oeil au réveil posé sur la table de chevet : une heure moins le quart de l'après-midi ? Harry n'en revenait pas ; d'habitude, les Dursley ne le laissaient jamais dormir autant ! Il réussit à bégayer un "d'accord, je m'habille et je descends". La tante Pétunia acquiesça puis sortie de la chambre. Harry l'entendit descendre les escaliers, il n'avait toujours pas bougé du milieu de la pièce ! Ce ne pouvait pas être vrai, il devait y avoir quelque chose qui se cachait sous la gentillesse de sa tante. Elle qui était détestable avec lui et ce, il y avait seulement hier. Il rêvait probablement. A ses dires, il se pinça la cuisse : "Aïe ! ça fait mal !" s'exclama-t-il. Et bien non, il ne rêvait pas mais il décida de s'habiller et de descendre à la cuisine pour vérifier tout cela.

Traversant le couloir, lequel embaumant la bonne cuisine, il entendit le murmure d'une discussion entre l'oncle Vernon et la tante Pétunia mêlée à des bruits bizarres. Lorsqu'il poussa la porte de la cuisine, il entendit un très lointain "Bonjour mon garçon, bien dormi ?" de l'oncle Vernon car, outre l'amabilité de ce dernier, ce qui se déroulait devant ses yeux le stupéfia.