Allo tout le monde! J'ai décidé de vous mettre une de mes fics qui a connu beaucoup de succès. Je l'ai écrite il y a quelques mois et j'espère qu'elle vous plaira. Je mettrai, si possible, 1 chapitre par jour. C'est cette même fic qui a été quelque peu plagier. Alors vous pourrez par vous-même constater le plagia qu'avait fait Titaniafairy avec sa fic Laisse-moi t'aimer toute une vie. Alors il se peut très bien que vous reconnaissez quelques bouts. Sur ce, BONNE LECTURE À TOUS!!!!!!!

TITRE : Enfer ou paradis

Spoilers du tome 5

COUPLES : Ron/Hermione - Harry/Ginny

RÉSUMÉ: Harry, Ron et Hermione entrent en sixième année à Poudlard. L'amour est au rendez-vous pour nos trois amis mais aussi l'enfer est à la porte puisque Voldemort les regarde de loin. Une année mouvementée rempli de suspense, d'aventure, de tristesse et d'amour!!!!!!!

Chapitre 1

Alors que la pluie martelait les fenêtres du 4 Privet Drive, un jeune garçon du nom de Harry Potter était recroquevillé sous un des nombreux arbres du parc voisin. Il était trempé jusqu'au os, seulement vêtu d'un coton ouaté hérité de son cousin Dudley et d'un jean amplement large, traînant sa petite valise réduite par un sortilège. La pluie se faufilait entre les feuilles du bouleau et l'eau se glissant sur ses lunettes lui brouillait la vue. Il se sentait seul et abandonné. Cela faisait plus de 2 jours qu'il errait dehors. N'ayant rien mangé depuis, il se sentait faible. Les Dursley l'avait fichu à la porte. Il avait encore une fois perdu son sang-froid et fait éclater une bonne partie du vaisselier de la tante Pétunia qui avait littéralement fondue en larmes. Il était près de minuit et il était désespéré. Ses amis devaient dormir à Poudlard en ce moment. Ce matin il n'avait pu se rendre à la gare. Mais de toute façon peut-être était-il mieux ici, loin des personnes qui supposément étaient ses amis. « Personne n'a dû remarquer mon absence, se dit intérieurement Harry ». Pour ses 16 ans, il n'avait reçu aucune lettre, aucun cadeaux. D'ailleurs, il n'avait reçu aucune nouvelle de tout l'été. Aucune lettre de Poudlard, d'Hermione ou des Weasley. Il se leva doucement puis, avant même d'atteindre la sortie du parc, s'effondra sur le sol.

Il se trouvait dans le cimetière près de la maison des Jedusor. Il se voyait attaché à la pierre tombale portant son nom, la sueur perlant sur son front. Un serpent se frayant un chemin dans l'herbe l'entourant, Voldemort et les mangemorts riant ouvertement de lui, Lucius Malfoy en tête. Puis le décor changea. Il se regardait à présent à 6 mois, dans les bras de sa mère, près d'un sapin de Noël. Son père plaçait les cadeaux devant l'arbre puis s'approcha de Lily pour l'embrasser. Le petit Harry riait à présent, ce qui fit se séparer les deux jeunes adultes. Puis il se retrouva sur le terrain de Quiddich de Poudlard. C'était durant sa troisième année, au match contre les Poufsouffles. Les Détraqueurs se pointant, sa chute de plus de 15 mètres. Puis un soir d'Halloween, Voldemort pénétrant dans leur maison de Godrics Hollow, James criant à Lily de se cacher avec Harry. Puis un rayon de lumière verte provenant du premier étage. Puis Tom pointa sa baguette magique vers sa mère et prononça l'incantation mortelle...

- NNNNNNNNNNNNOOOOOOOONNNNNNNNN!!!!!!!

Harry se réveilla en sursaut, haletant. Il se redressa et regarda autour de lui. À première vue il se trouvait à l'infirmerie de Poudlard. Des larmes coulaient sur ses joues. Pourquoi tout ça lui arrivait-il à lui? Pourquoi donc pas à un autre? Il sortit du lit, enfila rapidement un jean et un t- shirt à sa taille et se précipita hors de l'infirmerie, pleurant toujours. À peine eut-il franchit le seuil que le Professeur Dumbledore apparut devant lui.

- Harry! Tu vas bien?, demanda t-il en déposant sa main sur son épaule en remarquant ses joues humides.

- Laissez-moi tranquille, hurla t-il en se dégageant de sa prise. Je ne veux voir personne!

Puis il partit à la course, Dumbledore le regardant partir.

- Pauvre garçon.

Harry courait à travers les couloirs juste à temps de s'effondrer par- terre, épuisé.

- Sirius, murmura t-il. SIRRRRIIIUUSSSS!!!!! Pourquoi est-ce que tu m'a laissé tombé! Pourquoi! Pourquoi...

Depuis la mort de son parrain le printemps dernier, Harry se sentait seul. C'était la seul famille qui lui restait. Il lui manquait terriblement. Et ce qui lui faisait le plus mal était le fait que se soit sa faute s'il était mort. C'était encore à cause de lui et d'une de ses bêtises. Mais c'était plus fort que lui, il voulait sauver les gens qu'il aimait. Ce n'était pas seulement le fait de jouer les héros, comme le lui disait souvent Ron, mais de défendre les seules personnes chères qu'il lui restait. Un peu plus calme que tout à l'heure, il décida de se rendre au bureau du Professeur Dumbledore afin d'obtenir quelques explications et par le fait même, s'excuser pour son impolitesse. Surtout que l'an dernier, il s'était rebellé face aux aveux de son directeur et avait tout saccagé dans son bureau. Avec la mort de Sirius et tous les évènements affreux de l'an passé, il était trop irritable pour entendre une telle déclaration mais maintenant, il ferait moins l'enfant et essayerait de garder son calme.

Arrivé devant la gargouille qui gardait l'entrée du bureau du vieillard, il se maudissait intérieurement. Il s'était encore fait avoir. Pourtant il le savait bien. À chaque année, il voulait voir Dumbledore et à chaque fois, la statue était là pour lui rappeler qu'il ignorait le mot de passe. Il voulu rebrousser chemin mais, avant qu'il n'ait pu faire un pas, la statue grinça et laissa graduellement apparaître un étroit escalier en colimaçon. Il monta les marches, étonné, et cogna à la porte qui s'ouvrit d'elle-même.

- Bonjour Harry! Tu te sens mieux?, s'informa Dumbledore.

- Oui, ça va mieux, répondit-il, alors que la porte se refermait aussi toute seule. Est-ce que je peux?, demanda t-il timidement en s'avançant vers un des chaises placées devant le bureau.

- Bien sûr, Harry, assieds-toi! Tu voulais me demander quelque chose?

- En fait, commença-t-il, hésitant, je suis plutôt venu vous voir pour... pour m'excuser.

- T'excuser? Mais pourquoi donc, Harry?

- Pour mon impolitesse envers vous, répondit-il, en évitant le regard perçant du Professeur. L'an dernier j'ai vraiment agis de façon puérile, je n'aurais jamais dû vous parler sur ce ton et tout casser. Je crois que je n'étais pas en état d'entendre un pareille chose. Mais j'y ai réfléchit et après tout, ce n'est pas votre faute. Tout le monde peut faire des erreurs et de toute façon. Et je voulais aussi m'excuser pour mon comportement tout à l'heure.

- J'accepte tes excuses, Harry, dit Dumledore après un certain moment. Je suis parfaitement conscient que ce n'est pas toujours facile pour toi.

- Merci, Monsieur.

- Tu ressembles tellement à ton père. Peut-être impulsif sur le coup mais aussi sage et réfléchi. Tu as de très belles qualités Harry, mais aussi quelques défauts, qui n'en a pas. Tu es devenu un charmant jeune homme. Aussi charmeur que ton père, faisant tomber toutes les filles du collège.

- Là par contre je ne crois pas, dit Harry, les joues un peu rosies par cette remarque. Enfin je n'ai aucun mérite, c'est seulement parce que je suis célèbre. Il n'y a personne qui sait ce que je vis. Tous les gens pensent que je ne suis qu'un pauvre petit garçon qui ne demande qu'à être sous les feux des projecteurs. Quelqu'un qui a une vie tellement extraordinaire et facile. Personne ne sait quel enfer je peux vivre.

- Je sais que c'est difficile, Harry. Mais maintenant, j'aimerais te parler des récents évènements, si tu n'y vois pas d'inconvénients.

- Non, moi aussi je souhaite comprendre.

- Très bien. Le jour de la rentrée, après le banquet, Hermione et Ronald sont passées me voir à mon bureau. Ils étaient terriblement inquiets. Ils m'ont racontés s'être inquiétés tout l'été de lettres qu'il t'ont envoyés et qui restaient sans réponses. Mais quand ils se sont aperçus que tu n'avais même pas pris le train et que tu étais encore moins présent dans l'école, ils se sont tout de suite affolés. Alors je suis allé moi-même te chercher chez toi. Et c'est là que je t'ai retrouvé, évanoui, dans un parc proche de te maison. Je t'ai alors amené à Poudlard et tu connais la suite. Mais ce que je me demande, c'est ce que tu faisais là?

- Je vais tout vous expliquer, Professeur, en devinant l'air sévère qui se lisait à présent sur le visage du vieil homme. Je tiens d'abord à préciser que je n'ai reçu aucune lettre de tout l'été. Aucune liste de fournitures scolaires et encore moins de Ron et d'Hermione.

- Je crois que les lettres ont été interceptées, Harry. Je vais devoir t'interdire d'échanger du courrier puisque que je doute que quelqu'un te surveille de près.

- Je comprends. Et si j'étais dans ce parc c'est tout simplement parce que les Dursley m'ont fichu à la porte. J'ai perdu mon sang froid et fais éclater la vaisselle, ce qui leur a fort déplu. C'est tout!

- Très bien. Je me doutais bien que nous ne pourrions pas compter très longtemps sur eux pour assurer ta protection. Je vais devoir trouver un autre moyen. Bien, fais attention à toi Harry. Et s'il y a quoi que soit, n'hésite pas à venir me voir. En passant, le mot de passe est Gargouille.

- Merci, Monsieur. Au revoir.

Il se leva puis ferma la porte du bureau derrière lui avant de se diriger vers la salle commune des Gryffondor.

En entrant dans la salle commune, il aperçu aussitôt Ron et Hermione, assis confortablement dans le sofa rouge près du feu. Vu l'heure tardive, seul quelques élèves de septième années traînaient encore dans la pièce. Il s'approcha de ses amis qui se retournèrent en entendant ses pas.

- Harry!!!, cria Hermione, en contournant le fauteuil pour le prendre dans ses bras. Tu es bien vivant! Tu nous as tellement fais peur! Ne nous refais jamais ça! Tu sais on a été tout de suite voir Dumbledore mais...

- Hermione, laisse-le respirer bon sang!, s'offusqua Ron. Je suis content de te revoir Harry.

- Moi aussi je le suis. Je croyais ne plus jamais revoir les gens que j'aime. Je n'avais plus aucun espoir, avoua tristement Harry.

- Assieds-toi donc et raconte-nous tout ça tu veux?, demanda Ron, avide de connaître le fond de l'histoire.

- Très bien.

Harry raconta en détail tous les évènements qui étaient survenus depuis son départ de chez les Dursley. Ron et Hermione furent soulagés qu'il se soit rien passé de grave puis racontèrent à leur tour tout le souci qu'ils s'étaient fait tout l'été devant ses nombreuses lettres sans réponses. Vers minuit, ils montèrent se coucher puisqu'Hermione affirma devoir se lever tôt demain matin (Samedi) pour faire ses devoirs. Harry, qui avait perdu toute notion du temps, fut heureux de constater que demain serait déjà Samedi.

Le lendemain, Harry et ses compagnons de dortoir furent réveillés à 5 heures du matin par le réveil-matin de Ron qui s'était mit à sonner. Puisqu'il refusait de s'arrêter, le rouquin ne cessait de taper dessus et décida de le lancer à l'autre bout de la pièce, commençant à perdre patience. Harry alla le récupérer et le cacha sous un de ses coussins.

- Bonne idée, Harry, déclara Ron. Maintenant on ne l'entendra plus sonner. Espèce de cadran de mer..., depuis le temps c'est normal qu'il soit détraqué!

Après un réveil brutal, incapable de se rendormir, ils s'habillèrent et descendirent tous déjeuner dans la Grande Salle qui, à cette heure, était pratiquement déserte. Seuls les professeurs Dumbledore et Rogue, qui étaient en grande conversation, étaient présents. Quand ils pénétrèrent dans la salle, ce dernier les dévisagea alors que le directeur les gratifia d'un sourire avant de se retourner vers Rogue.

À peine une heure plus tard, les portes de la Grande s'ouvrirent à nouveau, attirant le regard des deux professeurs, d'Harry, de Neville, de Seamus, de Dean et surtout celui de Ron, les yeux exorbités. Hermione venait de faire son entrée et, à la place de l'habituel uniforme de Poudlard, portait, en cette chaude journée d'automne, de magnifiques sandales noires, une jupe courte rose mettant en valeur ses longues jambes fines ainsi qu'un petit gilet dans les même teintes. Elle avait aussi raidit ses cheveux châtains qui lui arrivaient maintenant dans le milieu du dos. Elle s'avança d'un pas conquérant vers les cinq garçons, étonnée de les voir là à l'aube.

- Salut les gars!, dit joyeusement Hermione. Qu'est-ce que vous faites debout à cette heure un samedi matin?

- C'est à cause du réveil-matin de Ron, renseigna Harry, en retombant sur terre.

- Ouais, il s'est mit à sonner pour rien, ajouta Neville, en arborant une moue boudeuse.

- Et toi qu'est-ce que tu fais ici?

- Je viens faire mon devoir de potion, répondit-t-elle en leur montrant ses cahiers. Je veux prendre de l'avance.

Les garçons hochèrent de la tête puis continuèrent leur conversation tout en mangeant. Cependant, Ron continuait à fixer Hermione d'un air béat, ce qui ne manqua pas à Harry.

- Ron, tu pourrais me passer le jus de citrouille s'il te plaît?, demanda Seamus. Ron? Ron? RON?

- Hein? Quoi, quoi?, dit-il en sortant de la lune.

- Tu peux me passer le jus?

- Oh oui bien sûr.

Ce petit incident attira l'attention d'Hermione qui rougit en voyant Ron la regarder comme ça. Peut-être ressentait-il les même sentiments pour elle? Ou peut-être était-il seulement attirée par sa tenue? Cela était beaucoup plus probable à son avis. Ron ne pouvait pas l'aimer. Elle était trop laide pour lui. Il ne l'avait jamais remarquer de toute façon. Cela avait prit plus de 4 ans avant qu'il ne se rendre compte qu'elle était une fille. Pff, pathétique. Elle prit une rôtie puis quitta la Grande Salle avant de dire au revoir aux garçon, le regard de Ron la suivant jusqu'à la sortie.

La journée se passa relativement bien pour nos trois amis qui se retrouvèrent dans la salle commune, après le repas du soir. Harry commençait à avoir de sérieux doutes sur les sentiments de ses deux meilleurs amis qui semblaient très attirée l'un par l'autre, mais malheureusement, trop orgueilleux pour se l'avouer. Il fut sorti de ses pensées quand Ginny, la sœur de Ron, vint s'asseoir à coté d'Hermione, sur le divan lui faisant face. Il devait vraiment avoir l'air idiot en ce moment, rouge comme une tomate, le regard rivé sur elle. Il se savait trop bien attiré par Ginny, mais refusait formellement de lui révéler. De toute façon, elle ne pouvait ressentir les même sentiments que lui à son égard. Depuis l'an dernier, elle s'était montrée très indifférente et avait sorti avec plusieurs autres garçons. Sans compté que Ron lui arracherait la tête s'il venait à apprendre qu'il était amoureux de sa sœur.

- Tu vas bien, Harry, demanda Hermione, amusée par le comportement de son ami.

- Oh oui, oui, très bien, très bien, dit Harry en détournant son regard de la jeune fille. Je vais bien. J'ai seulement un peu mal à la tête.

- Tu ne préfèrerais pas aller à l'infirmerie?, s'inquiéta Ginny. Je peux t'accompagner tu sais!

- Non, merci, ça va aller. Je... je vais seulement aller me coucher. Il me faut juste un peu de repos.

- Je t'accompagne, fit vivement Ginny. Je suis extrêmement fatiguée. Je monte me coucher aussi. Bonne nuit!, ajouta-elle à l'intention de Ron et d'Hermione.

- Oui, Bonne Nuit!

Quand les deux autres furent hors de vue, Ron et Hermione échangèrent un regard gêné, puis regardèrent le feu, arborant une jolie teinte rosée.

- Alors qu'as-tu fais pendant l'été avant de venir chez moi pour la dernière semaine?, demanda Ron à Hermione, pour couper le silence embarrassant.

- Oh et bien, rien de spécial. Je... non oublie ça.

- Quoi?

- Non, oublie tu veux!

- Non dis-moi ce que tu t'apprêtais à dire, insista Ron.

- Très bien, tu l'auras voulu. À la fin juillet, je... je suis allée passer une semaine en Bulgarie, chez... chez Viktor, termina Hermione, regardant son ami avec inquiétude, appréhendant sa réaction.

- Quoi?, s'exclama-t-il. Non mais tu n'as encore rien compris! Ce mec se sert de toi pour approcher Harry. Ce n'est qu'un profiteur. Et pourquoi tu ne me l'as pas dit plutôt!

- Tu ne me l'as pas demandé! Et tu n'es pas mon père, où je vais ne te regarde pas. Et la principale raison pour laquelle je ne t'en ai pas parlé est que je savais que tu réagirais et je préférais évité. Je croyais que tu étais prêt à l'entendre, mais il faut croire que je me suis trompée!

- Tu fraternises encore avec l'ennemi! Tu ne te rends pas compte que ce n'est qu'un hypocrite. Dès que tu auras le dos tourné il en profitera pour te trompé.

- Non mais tu dis vraiment n'importe quoi!, s'insurgea Hermione, qui s'était levé. Tu es tellement jaloux!

- Quoi, moi jaloux!, cria le roux, en se levant à son tour. On ne parlera pas de toi. Miss-Je-Sais-Tout! Mademoiselle la parfaite! Si j'étais toi je ne parlerais pas! Tu t'emballes parce que ce type te fais des avances alors qu'il se fiche carrément de toi. Tu es vraiment trop naïve. Ou peut-être est-ce parce que pour une fois qu'un gars s'intéresse à toi tu ne vois plus rien!

Hermione le regardait droit dans les yeux, la rage et la peine montant peu à peu. Cette fois il avait touché le point sensible. Elle le gifla de toute ses forces puis partit en courant vers son dortoir, laissant Ron abasourdi, une main posée sur sa joue droite terriblement rouge.