Nom de l'auteur: Oximore

E-mail: blood-stonehotmail.fr

Titre de la fic : Amen

Résumé : Harry Evans est un jeune prêtre à Hell's Kitchen, un quartier irlandais très pauvre de New York. Pour lui, la vie s'écoule relativement tranquillement jusqu'au jour où il requeille un très beau jeune homme blessé devans chez lui...

Personnages: Ceux de Harry Potter bien entendu, mais j'en amenerait peut-être de nouveaux, je verrais.

Couples : C'est évidemment un DracoXHarry mais je pense dévellopper d'autre couple en parallèles.

Rating : Je ne connais que le M même si le lemon est toujours très très long à arriver avec moi lol!

Genre : Science-fiction, Romance et peut être un peu dark... je vais voir comment ça évolue dans mon p'tit cerveau en tout cas c'est un UA.

Disclamer : Devinez quoi? Je ne suis pas J.K.Rowling! Oui, je sais c'est dur à croire mais bon... Donc bien entendu, les persos ne m'appartienne pas sauf ceux que je rajoute (et là pas touche sauf si on me le demande gentillement -). Et pire encore, même l'idée de base de la fic ne m'appartiens pas puisque c'est une réponse approximative au défis de Bloody doll.


Note :Voili-voilou, comme dit précédemment, cette fic est inspiré d'un des défis de Bloody doll (qui a d'ailleurs changé de pseudo récemment). J'emprunte l'idée mais disons que mon sénario est un peu partit en couille et que ne contrôlant plus rien je suis encore partie à l'opposé de ce que je voulais. Enfin j'essayerais tout de même de rendre un réponse valable à ce défis lol! Et promet de faire de mon mieux (encore une fic qui risque de traîner en longueur mais bon, je n'y peut rien!)


Note 2 : Je suis en quête d'une bêta-lectrice pour cette fic car je suis nulle en orthographe et j'impose honteusement mes fautes aux lecteurs (désolé...), donc 'il y a des volontaires...


Chapitre premier. Bienvenue à Hell's Kitchen


Hell's Kitchen était quartier pauvre de New York. Les habitants y étaient majoritairement d'origine irlandaise et bien qu'il soit plutôt mal famé, la vie y était, dans sa violence, aussi monotone qu'ailleurs. Les filles se prostituaient, les garçons dealaient où entraient dans la mafia ou bien tentaient de mener une vie honnête en trimant de toute leur force pour un salaire de misère et finissaient alcoolique avant la quarantaine.

L'arrivée du nouvel abbé de la petite eglise catholique du quartier avait donc été un événement relativement important dans la vie du quartier, où la religion avait une grande importance. Ce n'était pourtant pas temps le fait de changer d'abbé qui avait succité en soit une telle curiosité chez les gens de Hell's Kitchen mais plutôt le nouvel abbé en lui même.

Premièrement il était jeune, ce qui en cela changeait radicalement du vieux O'Hara qui les avaient quitté mystèrieusement, Dieu ait son âme!

Car personne à Hell's Kitchen ne se faisaient d'illusion quand à la « mystèrieuse » disparition du père O'Hara. En effet, tout le monde à New York avait remarqué que protester, sous quelques formes que se soit, contre les Deatheaters, racourcissait de façon certaine son espérance de vie. Aussi, personne n'avait été étonné de la disparition du vieil abbé peu de temps après que ce dernier est prononcé des pamphlets contre les Deatheaters, dénonçant leurs actions et l'inertie des gouvernements.

Les deatheaters était une sorte de mafia multinationale qui était née en Angleterre au début du siècle et qui n'avait pas tardé à devenir tentaculaire, s'imissant dans tout les états et dans tout les gouvernement. Il faisait regner la terreur et même les dirigeants ne pouvait s'y oposer de peur de finir avec une balle dans la tête le lendemain ou bien simplement parce que les deatheater leur fournissaient de petit extra peu recommendable.

Mais pour en revenir à Hell's Kitchen, ce qui avait surpris les habitants était qu'en plus d'être très jeune -il leur avait juré avoir vingt-six ans mais ne les faisait absolument pas- le nouvel abbé était d'une grande beauté.

Il était de taille moyenne, quoique plutôt petit pour un homme, avec une peau très pâle qui rendait le contraste de sa chevelure d'encre désordonnée encore plus saisissant. Son visage était étroit, ses traits fin à l'exeption de sa bouche qui était pupleuse, presque féminine et son nez adorablement pointu et retroussé, lui donnant un air d'elfe.

Mais le plus fascinant de sa personne résidait certainement dans ses grands yeux légèrement ovale qui était d'une surprenante teinte vert émeraude, cachés dernière de grande lunettes ronde.

Plusieurs habitants lui avait demandé si c'était naturel et il avait répondu que oui. Il n'avait jamais parut étonné outre mesure de ces question et expliqua qu'on lui demandait regulièrement si la couleur de ses yeux étaient naturelle. Pour ce qu'il en disait, ils lui venaient de sa mère.

Très vite, les habitants de Hell's Kitchen s'attachèrent à se nouvel abbé car il était également doté d'une gentillesse et d'une candeur qui avait conquit leur coeur. S'ajoutait à cela un charisme étrange qui lui avait évité les ennuis avec les rabatteurs et les petits trafiquants du coins. Sans qu'il puissent l'expliquer, ils n'avaient jamais oser l'approcher.

Evidemment, le jeune homme s'était donc rapidement fait des amis. Il c'était grandement lié avec la famille Weasley, une famille qui avait quitté l'Angleterre plusieurs années auparavant pour fuir les deatheaters et qui avait dû se résigner, une fois à New York, à subir leur joug où qu'ils soient.

Chose étrange, et qui amusait grandement le jeune prêtre, tous les enfants Weasley – et il y en avait sept- était aussi roux que leur parent, même si l'age faisait blanchir et diminuer la chevelure de M. Weasley.

Harry Evans, car c'était le nom du jeune prêtre s'était souvent demandé si, statistiquement parlant, il était possible que neuf personnes de la même famille est toute la même couleur de cheveux... Apparement, oui!

Au sein de la famille Weasley, Harry Evans avait plus particulièrement sympathisé avec les jumeaux, Fred et George Weasley, agés de tout juste vingt-huit ans et avec Ron Weasley qui avait le même age que lui.

Les jumeaux étaient intelligent, malicieux, et très inventif, à tel point qu'avec l'aide de Harry, il étaient parvenus à créer dans les beaux quartiers de New York, une boutique de farces et Attraque qui leur permettaient de faire subsister leur famille. S'ajoutait à cela qu'ils eprouvaient une très forte attirance pour le jeune prêtre dont celui-ci ne semblait absolument pas avoir conscience

-Je me demande parfois si Harry est un être sexué, disait souvent Fred Weasley, ou s'il n'est pas un espèce d'ange débarqué dont ne sait où qui ne connait rien du désir...

-Voyons Fred, repondait George, Harry est prêtre! Que veux tu qu'il sache de ces choses la?

Pour ce qui était de Ron Weasley, il c'était créer entre lui et Harry Evans une forte amitié sans aucune ambiguitë. Il n'était pas rare de les voir se ballader ensemble dans les rues de Hell's Kitchen mais cela restait toujours aussi amusant à voir. Harry étant de taille moyenne et excessivement mince à côté de Ron, très grand et d'une large carrure, le contraste était particulièrement amusant.

Pour ce qui était des autres membres de la famille Weasley, les chose étaient moins simple. Percy Weasley s'acharnait tellement sur ses inutiles études qu'il avait à peine remarqué l'arrivée de Harry Evans à Hell's Kitchen.

En revanche, Ginny Weasley quand à elle n'avait pas manquée de remarquer l'arriver du magnifique jeune prêtre. En fait elle avait quasiment manquée de faire une syncope la première fois qu'elle l'avait vue et elle était complètement dingue de lui depuis se jour, se lamentant sans cesse sur le devoir de chasteté des prêtres et enviant grandement les protestants. D'ailleurs, elle avait la ferme intention de proposer à Harry de se convertir au protestantisme, ce qui faisait hurler ses parents.

Après tout, c'était quasiment la même chose... à la différence que les prêtres protestants pouvaient se marier...

Quand aux ainés, Bill et Charlie Weasley, Harry les voyaient rarement. Charlie était constamment en vadrouille on ne sait où et Bill avait semblé écarter le nombre de ses visites depuis l'arrivée de Harry sans que se dernier ne sache pourquoi, ni même si cela avait seulement un rapport avec lui.

Harry ne posait pas de questions. De toute façon, les gens finissaient toujours par venir lui parler. Pour dire des choses futile le plus souvent, mais il savait écouter et montrait toujours un intérets égal à chacun et chacune. D'une certaines manière, entre les meutres, les viols et la prostitution -chose malheureusement courante dans le quartier de Hell's Kitchen- la routine avait repris sont court depuis l'arrivée du nouvel abbé.

Harry, quand il ne s'occupait pas des affaire du quartiers, de ses messes ou de ses sorties avec Ron, s'occupait en peignant ou en jouant du violon. Il avait remarquer que les vieilles pierres de l'eglise isolait bien les sons ainsi personne n'était dérangé par son passe temps.

Aussi, en se mardi de fervier, le jeune prêtre avait abandonné sa triste tenue noir pour un jean et un sun pull de laine noir trois fois trop grand pour lui. D'abors, il avait marcher dans les rues glaciales et enneigé de Hell's Kitchen, tôt dans le matin, si tôt qu'il faisait encore nuit. Inévitablement, et bien qu'il ai tenté d'éviter les rues trop connues, ils croisa pas mal de prostitués, graçons et filles, au cours de sa promenade, court vêtus malgrés le froid mordant.

Ces derniers avaient souvent deux types de réactions bien distinctes en le voyant, lui faire du gringue ouvertement ou éviter son regard.

Les premiers offraient même de lui faire une « gâterie » gratuite rien que parcequ'il était vraiment mignon tandis que les second étaient honteux car ils le voyaient à l'eglise. Harry soupira. Evidemment, la misère était telle que pas mal de mère de famille étaient obligé de se prostituer pour nourrir leur famille, parfois même avec leur filles.

Il entraperçut notamment la jeune Hannh Abbot, une jeune fille rousse rondelette très croyante qui chantait souvent lors de ses offices, dans une ruelle sombre en train de sucer un client non loin de sa voiture, une porshe. Harry remercia le ciel que la jeune fille ne le voit pas, résistant à l'envie qu'il avait d'aller dire sa façon de penser à l'homme qui avait payé la jeune fille. Bon Dieu elle n'avait qu'à peine quinze ans!

Mais il savait parfaitement bien qu'il ne pouvait pas se permettre de faire cela. Il n'était ici qu'un simple prêtre et cette action aurait portée plus de tords à la jeune fille que s'il n'intervenait pas. Chacun devait rester à sa place...

Harry eu une moue dégoutée en jetant un dernier coup d'oeil à l'homme d'une quarantaine d'année qui s'était payé les service d'Hannah. Son visage lui rappellait quelques chose sans qu'il arrive à se souvenir quoi... Ce ne fut que plus tard, alors que le soleil se levait qu'il se rappella pourquoi l'homme lui rappellait quelques chose.

Pour ce qu'il en savait, l'homme s'appellait Jack Waltt -ou tout du moins c'était un des nom sous lequel il était connus- et officiellement, il dirigeait un groupe de boite de nuit et de nigth club. Officieusement par contre, on le soupçonnait de proxénètisme, de viols et de meutres entre autres choses.

Mais comme il était plus où moins lié au deatheaters, les rares enquêtes dont-il avait fait l'objet c'était soldés par des abandon, soit par absence de preuve soit par « mystèrieuse » disparition des enquêteurs et des rare personnes prêtent à témoigner contre lui.

« Ben voyons... » pensa rageusement Harry.

Ce sale type rodait régulièrement à Hell Kitchen pour recruter de pauvres filles et engager deux trois voyous à son services, ce qui n'était pas dur puisqu'il avait de l'argent. Et à Hell Kitchen plus encore qu'ailleurs, l'argent était le meilleur des outils de persuations...

Il fallait avouer que même lui avait parfois du mal à finir le mois et se demandait sincèrement comment il ferait si le gens du quartiers ne lui offrait pas un peu de leur maigres revenus à chacune de ses offices... Mais cela ne dérangeait pas foncièrement Harry. Depuis son plus jeune age, il avait toujours vêcu de presque rien.

Il mangeait peu, ce qui expliquait sa minceur, n'avait aucuns intérets pour son apparence physique, portant toujours de vieilles fripes, la plupart du temps trois fois trop grande pour lui et ses seuls dépenses importante était pour la peinture et la lecture.

Harry continua donc à trainer dans le quartier toute la matiné, hésitant à en sortir. Il connaissait Hell's Kitchen comme sa poche mais hors de ça, il évitait de beaucoup circuler à Nex York et quittait rarement le quartier. Même quand les Weasley lui proposaient des virées dans le quartiers marchants il refusait toujours poliment.

Les Weasley avait toujours mit ça sur le fait qu'Harry venait d'Angleterre et que l'immensité de New York l'effrayait un peu car il semblait toujours très réticent à l'idée de quitter, même très peu de temps, le quartier.

Harry, bien qu'il n'ai jamais validé cette hypothèse, ne l'avait jamais démenti non plus. D'ailleurs, pour ce qu'il en savait, aujourd'hui les Weasley allaient dans les quartiers commerçant en famille, puisque Ron lui avait encore proposé de les accompagner.

Le jeune homme esquissa un sourire amusé. A tout les coup, ils allaient encore se ruiner à cause des folies de fringues de Ginny et de la gourmandise de Ron! Ces deux là était vraiment impossible et leur père ne savait pas leur résister. Par contre, il était heureux que les affaires des jumeaux et de leur ainés aillent bien parce que sans l'argent qu'ils leur donnait, nul doute que la jolie Ginny serait déjà sur le trottoir...

Il savait, car Ron s'en plaignait souvent, que Ginny était régulièrement suivit par des recruteurs pour les maisons close à cause de sa beauté mais Dieu merci le caractère de la jeune filles les avaient toujours tenu à distance raisonnable.

Et en plus d'être ténieuse, Ginny Weasley ne se baladait jamais sans un electrochoc, un bombe paralysante et un petit pistolet à clous qui lui servait malheureusement plus souvent qu'Harry ne l'aurait souhaiter. Et lorsqu'un de ses frère était dans les parage, le rabatteurs avait intérets à mettre rapidement les voile s'il ne voulait pas avancer la date de son enterrement...

Finalement, Harry décida de manger dans un petit pub du coin, alla s'acheter quelques livres chez un bouquiniste, quelques peintures et flana encore un peu avant de rentrer. Il aima bien l'hiver, malgré le froid effrayant qui regnait à New York. Il marchait donc en observant d'un oeil amusé son souffle chaud rendu visible par le froid glaciale.

Lorsque vers cinq heures de l'après midi, la nuit commença à tombée sur la ville, Le jeune prêtre se décida à regagner son appartement, un petit batiment aux allures de construction anti- atomique collée à l'eglise, presque invisible entre deux grosse batisses noires et anciennes.

Une fois ces achats rangé, il pris une rapide douche brulante, se prépara une soupe vietnamienne toute faite et alla se vautrer sur son petit canapé, savourant précieusement la sensation agréable du bol brulant entre ses mains. Il laissa echapper un léger soupir de contentement et son regard vert dériva sur l'étroite et haute fenêtre du mur à sa droite qui laissait entrer les derniers rares rayons de soleil se perdant encore dans ce coin paumé de New York.

Finalement, Harry grignotta un peu de ragout qu'il avait fait la veille et sirota une bierre devans les esquisses de ses futurs travaux.

« Mouais, pensa t-il tristement, c'est pas encore ça... »

Jamais il n'était satisfait. Ses amis lui avait toujours dit qu'il avait du talents mais lui estimait être en retard, conscidérablement en retard, par rapport à ceux que d'autre artistes arrivaitent à faire. Alors oui, il avait une sorte de dons pour les couleurs, mais il avait encore beaucoup de progrès à faire avant d'avoir un niveau graphique satisfaisant à son goût.

« Dire qu'à douze ans Picasso avait déjà réalisé une crucifiction digne des plus grands maître de la renaissance! Je suis pathétique. »

Il jeta un regard fatigué sur ses inombrable esquisses et l 'idée d'y mettre le feu naquit une fois de plus dans son esprit. L'idée lui revenait souvent, un peu comme une mélodie entêtante que l'on ne peut se sortir de la tête, mais il n'avait jamais concrétisé. Alors que la tentation de passer à l'acte se faisait de plus en plus forte dans son esprit, des coups de feu retentir.

La nuit était bien tombée maintenant, et il n'était pas rare d'entendre des coups de feu à Hell's Kitchen, mais rarement aussi proche de l'eglise. En fait, il semblait même que cela se déroulait juste en bas. Etrange.

Prudemment, Harry descendit au rez de chaussée et observa ce qui se passait par une lucarne dans la porte. Il retint un tressaillement. Apparement, plusieurs hommes s'en prennait à un autre qui tentait de sauver sa peau en bougeant constamment et très rapidement. Ce qui permit à Harry de le repérer rapidement était la couleurs de ses cheveux, qui étaient d'une teinte peu commune de blond argent.

« Il se débrouille pas mal... » pensa t-il en observant la silhouette fluide du jeune homme esquiver ses poursuivants et en abattre deux.

Il était jeune, sans aucun doute, bien que ses traits soient rendus indisinct pars ses mouvements, la distance et la nuit. Harry savait que personne n'interviendrait. On tenait chèrement à sa peau dans le quartier, même quand celle-ci ne valait rien.

Harry lui-même n'avait pas l'intention d'intervenir. La paix du Christ, les dix commandements, et l'amour entre les hommes c'était bien joli mais cela n'avait sauvé que trop peu de gens ces derniers siecles...

Les coups de feu ne cessaient pas au dehors et le jeune prêtre vit tombé un autres opposants tandis que les deux encore en vie prenaient la fuite, non sans tirer encore sur leur cible. Deux balles touchèrent le jeune homme blond, agravant encore sont état, et il s'effondra sur le sol.

Dehors, il neigeait doucement.

A ce moment là, Harry se décida à sortir. Après tout, c'était tout de même son « job » de venir en aide non? Et maintenant que les caïds avait soient rendus l'âme, soient mis les voiles, il pouvait bien sortir sans risque. Par précaution, il mit un couteau dans la poche de son jean et dévérouilla la porte pour sortir

Il n'eu que quelques mètres à faire pour atteindre « la scène du crime » et retint un sifflement admiratif en remarquant qu'il n'y avait pas moins de sept mecs mit à terre par le blond. En sa qualité de prêtre, marquer son admiration pour ce genre de prouesses aurait été d'un goût douteux...

Mécaniquement, il vérifia que chacuns d'eux étaient bien morts et leurs pris leur armes. Il eu un tressaillement en s'appercevant qu'il reconnaissait l'un d'eux, un nommé Amicus. Un deatheater. Qui avait d'ailleurs eu la bonne idée de se prendre une balle entre les deux yeux.

« En voilà un que je ne regretterais pas... » pensa laconiquement Harry. « Et que Dieu n'est pas pitié de son âme il n'en vaut pas la peine! »

Voir que des deatheater s'en étaient pris au jeune homme et que celui-ci avait réussi à les mettrent en fuite ne fit qu'accentuer les désirs de Harry de lui venir en aide. D'autant plus que si les autorité le trouvaient, il était fichu. Les deatheaters avaient leur entrées chez les flics.

Rapidement, il se dirigea vers le corps ensanglanté étendu sur le bitume, le visage à demi masqué par son bras, ses cheveux formant une tache pâle sur le bitume, renforcée par la pâleur de sa peau. Sans plus s'attarder sur les détails, le jeune prêtre souleva le corps inerte et le porta de façon à éviter que toute trace de sang ne donne une indication de l'endroit où il l'emmenait à la police. Chez lui.

Contrairement à ce que l'on pouvait croire de prime abors, Harry possédait une musculature puissante, mais une musculature de danseur. Son corps était fin, souple, et son corps ne possédait pas la moindre parcelle de graisse. Du muscles. Uniquement. Et il savait que son apparence fragile jouait en sa faveur. Jamais la police ne croirait qu'un homme aussi fluet que lui aurait pu en porter un autre qui mesurait une bonne tête de plus jusqu'à chez lui!

Une fois chez lui, il revérouilla les porte et monta le jeune homme à l'étage avant de l'étendre sur le sofa et de l'observer pour la première fois.

-Sainte mère de Dieu! Murmura t-il abasourdit.


Et voilà! Le premier chapitre de ma fic tente de poser la situation et donne quelques indices sur plein de choses qui peuves paraîtrent insignifiantes mais qui auront leur importance dans l'intrigue!

Enfin voilà, je me suis inspiré d'un des défis de Bloody doll et j'espère au moins que cela interressera. L'une des conditions était de placer l'histoire dans le monde moldus, il n'y aura donc pas de sorciers et aucun liens direct avec l'univers de J.K.Rowling (et oui c'est un UA).

Cependant, il y aura sans doutes des éléments surnaturels, paranormaux parce que j'adore ça (Stephen King, les X-mens -versions original de Marvel s'entend, pas la pathétique adaptation ni les comics actuels!-, Anne Rice, Final Fantasy, voilà le genre d'univers que j'affectionne lol!). Bref, ce n'est pas un univers moldus « normal », ni même la vrai ville de New York, cela peu donc être dans le futur (et j'avoue que je penche personellement pour cette idée) ou dans un univers parallèle, à vous de choisir!

Voili-voilou, j'espère que la suite plaira et rewiews please!