Intrappolato in una gabbia di amore (Prisonnier d'une cage d'amour)

Coucou à tous et à toutes!^^ Bon par où commencer...? Eh bien pour commencer parlons de ma fic Assassin's creed. Pourquoi ais-je choisis le couple CesarexEzio ? Eh bien tout simplement que j'ai un faible pour les couple **ennemis** (tout comme Sephiroth/Cloud ; Altair / Robert de sablet*me tuez pas !*; Kaname/zero...Même si mon preferer de tout les couples Assassin's Creed reste Ezio/Altair qui, je sais, n'as rien avoir avec les couples **ennemis**)J'en avais vaguement entendu parler au début et j'ai ensuite jouer a Brotherhood...OU JE SUIS LITERALEMENT TOMBER AMOUREUSE DU JEU! Le couple Ezio/Cesare m'avais vaguement effleurer l'esprit jusqu'à ce que je tombe sur une fic généralissime appeler «Je te baiserais Putana!» Je l'ai vraiment adorée et c'est là que m'étais venue cette idée de fic. J'espère que vous aimerez ma fic et soyez indulgent,c'est ma première sur Assassin's Creed^^. Bonne lecture!

Les personnages ne m'appartiennent pas mais sont a Ubisoft, je ne fais que jouer avec!(Même si je désire les posséder! T^T) hormis le cardinal d'Espagne qui n'aura qu'un tout petit rôle dans le prologue

Le couple: Cesare/Ezio

Rating: M(vous vous attendiez a quoi? XD)contient viols ,meurtres sanglants tortures,insultes, yaoi bref! Les âmes sensibles ou les homophobes, barrez vous!Je ne veux aucun commentaire comme quoi ma fic c'est de la merde! (oui j'ai déjà subit ça)

Les phrase en italique sont les pensées des personnages ou des flashs backs.

Prologue

Italie, époque de la Renaissance, Rome...

La nuit étais tombée depuis longtemps sur la capitale d'Italie, la belle Rome...qui n'était plus que l'ombre d'elle même depuis que les Borgias étaient au pouvoir. Ils dirigeaient les habitants de la citée avec dureté et cruauté, faisant un peu plus de victimes chaque jour. Le pauvre peuple en avait assez de leur cruauté mais il avait peur de mourir s'ils se retournaient contre eux, tous savaient quel sort était réservé a ceux qui osaient leur tenir tête! C'était le gibet ou le donjon voire même le fouet jusqu'à ce que mort s'en suive. Alors les pauvres citoyens ne pouvaient que se taire et subir en silence les maltraitance...sans savoir qu'un Assassin parcourait les rues de Rome, avec pour but d'éradiquer les Borgias de la surface du globe et de mettre un terme a leur règne de terreur .

La nuit était fraîche dans l'antique citée qui fut jadis la capitale du puissant empire des Romains. Les soldats patrouillaient dans les rues sombres de la ville pour trouver ceux qui ne respectaient pas les ordres et leur faire payer leur audace, quoique, vu l'heure, ils ne rencontreraient que des ivrognes ou des prostituées.

Pourtant, quelque chose troublait ce tableau de paisible nuit, quand une silhouette sortit assez précipitamment d'une riche maison visiblement pressée, encapuchonnée d'un long manteau noir avant de rentrer dans un carrosse stationnée juste devant sa maison protéger par un petit groupe de quatre cavaliers armés jusqu'aux dents.

L'étrange silhouette ignorait qu'elle était actuellement suivie par une ombre qui la guettait du haut du toit de sa maison. Le beau visage d'Ezio Auditore da Firenze était éclairé par la lumière de la lune malgré la capuche qui lui couvrait le haut du visage. Il restait là, calme, à observer sa ''future'' cible partir précipitamment de chez elle, se remémorant ce qu'il devait en faire.

FLASH-BACK

-Le cardinal d'Espagne ?

Dans sa cachette, sur l'île Tiberine, Ezio regardait Nicolo Machiaveli avec surprise, les bras croisés sur sa poitrine avec le reste de sa troupe d'assassins qu'il avait brièvement formé. Le penseur italien acquise d'un air soucieux.

-Oui, il soutient secrètement les Borgias dans leurs guerres et apporte son aide en les finançant secrètement pour leurs projets et aussi en leur envoyant des hommes, mon espion l'a découvert assez récemment. Depuis la mort de son banquier, Cesare a réquisitionné l'aide de son oncle pour les financements et les troupes, chose que celui ci a accepté sans condition, vu qu'il a une profonde affection pour son neveu.

Ezio croisait ses bras sur sa poitrine, l'air songeur, en effet, il pensait avoir couper les vivres à Cesare en éliminant son banquier ainsi que le duc Valois, le privant de ressources, de soldats et d'argent. Jamais il n'aurait pensé qu'il irait demander de l'aide au cardinal d'Espagne, qui plus est, était un membre de sa famille également. Machiaveli reprit sur sa lancé.

-Nous devrions nous débarrasser de ce problème le plus tôt possible.

Le florentin regarda son ami, pas dupe, il savait où est ce que le penseur voulait en venir.

-Tu veux que je me charge de le faire disparaître?

-Oui, le plus tôt et discrètement possible. Si cela venait a courir les rues de Rome, tu peux être sur qu'un scandale éclatera. Tu dois donc faire ça le plus discrètement possible, ne prends donc pas tes assassins avec toi, tu risques de te faire repérer très facilement.

-Bene...

L'assassin enfila donc sa tenue ainsi que ses armes avant de rabattre la capuche sur son visage et se tourne vers son ami.

-Où puis je le trouver?

-Mon espion a découvert qu'il s'était installé a Rome depuis quelques jours et qu'il séjournait dans une villa pas très loin du château Saint Ange.

Ezio haussa les sourcilles de surprise, comprenant son étonnement l'autre assassin répondit.

-Tu dois te dire pourquoi il ne va pas vivre au château Saint-Ange n'est ce pas? Il ne veut tout simplement pas attirer l'attention. Il est malin, en couvrant ses agissements, il peut passer inaperçu quand il fait ses transactions d 'argent.

Il s'approcha d'Ezio et lui donna un bout de papier sur lequel étais inscrit une adresse.

-Voilà l'adresse de l'endroit où il vie, pour le reste j'ignore où il se rend pour transmettre l'argent. Tout ce que je sais, c'est qu'il se rend dans un endroit reculé pour faire les transactions. Pour la suite tu devras te débrouiller.

-Je vois, grazie Machiavelli.

Le penseur sourit et remit ses mains dans son dos

-Nous comptons sur toi Ezio, débarrasses nous de cette vermine.

L'assassin florentin sourit a son tour avant de sortir de sa cachette, se rendant a l'adresse indiquée par Machiavelli.

FIN DU FLASH-BACK

L'assassin continuait de réfléchir au moment où il devra trancher la gorge du cardinal. Il fallait que se soit rapide et précis. Mais avant, il devait l'interroger sur le fait qu'il soutenait son frère et son neveu dans leur soif de conquête et s'il était également un Templier, si c'était le cas, il lui soutirerait des informations avant de le tuer...

Le carrosse parti et l'assassin le prit en filature en passant par les toits, agile comme un félin. Il n'eut aucun mal a suivre la voiture du cardinal qui commençait a s'enfoncer dans les petits quartiers mal famés de Rome, jusqu'à finalement s'arrêter devant une ruelle. L'homme sortit de la voiture et s'enfonça dans celle ci...jusqu'à atteindre un vaste bâtiment insalubre et a l'abandon, ressemblant a un manoir. Il semblait que personne n'était venu depuis des années.

«Drôle d'endroit pour une transaction secrète...» Pensa Ezio.

Le florentin s'approcha du carrosse et, tel un aigle qui fondit sur sa proie, tua les deux gardes qui protégeaient l'entrée de la vieille battisse avec ses deux lames secrètes, puis il tua les deux autres cavaliers avec ses fléchettes empoisonnées. Il se redressa en soupirant et regarda l'entrée du bâtiment en fronçant les sourcils.

-Maintenant, à nous deux cardinal d'Espagne.

Il pénétra dans la bâtisse avec précaution et se lança à la recherche du Cardinal...qu'il retrouva plus tard dans une vaste salle ressemblant a une salle de réception. L'homme lui tournait le dos avec toujours sa même cape sur le dos, sa capuche noire cachant son visage. Ezio dégaina sa lame secrète et s'approcha doucement du cardinal qui semblait avoir la tête baissée.

-Navré cardinal, mais votre vie s'arrête ici, avez vous une dernière prière à annoncer à Dieu avant de mourir?

Un fin sourire se dessina sur les lèvres du cardinal qui lâcha un ricanement, ce qui surpris assez Ezio, qui, faut il avouer, ne s'attendait pas à une tel réaction.

-Qui a-t-il de si drôle? La mort ne t 'effraie donc t-elle pas?

Le cardinal s'arrêta de rire avant de murmurer, d'une voix glaciale et cruelle.

-C'est drôle parce que c'est exactement le genre de réplique que j'allais te dire... Ezio Auditore da Firenze !

L'assassin se figea en ayant peur de comprendre. Cette voix...Il la connaissait...Oh non...!

Aussitôt, profitant de la stupeur de l'assassin, le cardinal se retourna en dégainant son épée, frappant dans les lames secrètes d'Ezio avec violence.

-Hhhgt...!

L'assassin se recula mais riposta avec sa propre épée tranchant la cape du cardinal...et l'horreur se peignit sur son visage alors qu'il découvrait avec horreur le visage de celui qui lui faisait face.

Des cheveux noirs mis long encadrant un visage pale et cruel, d'épais sourcils noirs de jais comme sa chevelure, des yeux d'un bleu glacial et cruel, capable de transpercer l'âme d'un seul regard, une armure en argent lui protégeait la poitrine avec un chérubin en emblème sur le milieu du torse, une longue cape rouge écarlate qui trainais derrière lui...

Cesare Borgia! Fils et chef des armées du Pape Rodrigo Borgia, l'homme le plus cruel de toute l'Italie, si ce n'est celui du monde entier et surtout...son ennemi mortel!

-M...mais comment...?!

Cesare sourit de son petit effet sur l'assassin avant de poser un point sur sa hanche jonglant avec son épée dans une main.

-Ah, tu sais Ezio, tu es tellement prévisible. Je savais que tu ne pourrais résister a ce petit piège que je t'ai tendu.

-Qu'est ce cela veut dire?!

-La vérités? C'est qu'il n'y a jamais eu de cardinal d'Espagne, tout ça n'était qu'un piège pour t'attirer à moi. J'ai fais exprès de laisser tes ''espions'' découvrir que mon prétendu ''oncle'' me faisait parvenir des hommes et de l'argent pour m'aider dans ma quête.

Le florentin en tombait d'énu... Alors...tout cela n'était qu'un piège?!

-Mais...les espions ont pourtant bien vu un homme avec toi..! Et d'où te vient tout cet argent...?! Ces hommes...!

Le chef des armées du pape fit comme s'il réfléchissait a la réponse qu'il allait donner.

-Hum... Disons que j'ai pas mal de contact qui savent très bien jouer de la comédie et pour ce qui est de l'argent...c'était naturellement des faux. Tout cela n'était qu'une mascarade dans l'unique but de te faire enfin sortir de ton trou, Assassino!

Il avait prononcé ces paroles en pointant son épée dans sa direction et Ezio serra les poings sur ses dagues. Il s'était complètement fait avoir depuis le début! Il savait bien que c'était un peu trop facile que Cesare ait requis de l'aide auprès d'un membre de sa famille d'Espagne pour compenser sa perte de troupe et son banquier .

Cesare s'approcha de l'assassin avec un sourire au lèvres qui se voulait prédateur.

-Maintenant Assassin, tu vas mourir!

Sur ces mots il se jeta sur Ezio, épée en avant prêt à l'embrocher, le florentin jura et tira sa propre épée, parant celle de Cesare avant de se mettre a se battre. Ils combattirent durement et violemment, Cesare était vraiment très doué a l'épée! Une véritable fine lame qui rivalisait avec la sienne, dire qu'il était plus jeune que lui..merda!

Les coups de Cesare étaient d'une rare violence, forçant l'assassin a reculer un peu plus a chaque fois, ne pouvant rien faire que parer ses coups, jusqu'au moment où le fils du pape lui frappa la main du plat de son épée, forçant Ezio a lâcher son arme.

-Merda!

-Tu es fini!

Le brun leva son épée, prêt a pourfendre Ezio...qui répliqua en lui donnant un coup de pied dans le ventre, le repoussant en arrière et sortant une de ses lames secrètes, lui arrachant son épée a son tour en frappant dans sa main.

-Hurgt..! Figlio de putana!

L'assassin lui donna un nouveau coup de pied, cette fois en plein visage, faisant tomber le Borgia sur le dos. Ezio s'approcha de lui...En effleurant sa lame du bout des doigts. Il devait tuer Cesare maintenant, il se rapprocherait de sa victoire contre les Borgias! Il s'arrêta a la hauteur du jeune homme et murmura froidement.

-C'est terminé maintenant Cesare Borgia, tu seras le premier de mes principales cibles a périr de ma lame.

Le chef des armées du pape lâcha un grognement de rage avant de finalement sourire et ricaner.

-Vraiment Ezio...ta naïveté me donne vraiment envie de mourir de rire parfois...

-Quoi?

-Tu es tombé dans le panneau!

Sur ces mots, Cesare siffla entre ses doigts et avant qu'Ezio ne comprenne ce qu'il se passe...un filet d'acier lui tomba dessus, le piégeant contre le sol.

-Ghh!...Putana!...

L'italien tenta de trancher les maille du filet, mais impossible hélas, étant faites d'acier, les mailles ne céderaient pas même si Ezio tentait de les trancher de toutes ses forces. Leur solidité n'était pas le seul problème en plus, étant fait de métal, le filet était vraiment très lourd! Et le poids de celui ci écrasait pratiquement l'assassin sur le sol, rendant sa mobilité impossible!

Cesare sourit d'un air victorieux avant de se redresser tendis que ses hommes, cachés dans le manoir, entourèrent l'assassin pointant leurs armes sur lui.

-J'ai gagné Assassino, désormais, tu es à moi.

Ezio lâcha un grognement de rage en fusillant du regard son ennemi qui ne pouvait que sourire devant sa mauvaise fois. Le fils du pape fit signe à ses hommes de le relever et de le ligoter.

Un des soldats s'approcha donc de notre Assassin avec une épaisse corde en mains, mais quand il se baissa vers Ezio, l'italien réagit et, ayant assee de force pour bouger sa main, la leva pour attraper l'homme au visage avant de sortir sa lame secrète, traversant les mailles du filet pour se planter dans son œil lui transperçant le cerveau. Le sang éclaboussa le beau visage d'Ezio ainsi que les vêtements de Cesare,qui se trouvait juste devant lui.

Les soldats se reculèrent avec panique, tandis que Cesare, amusé, s'approcha de son prisonnier avant de lui écraser la main sur le sol avec le talon de sa botte.

-Aie...!

-Décidément, tu ne sais pas comment t'arrêter. Même quand tout espoir de t'enfuir est perdu, tu continues de résister...J'ignore si tu souhaites vraiment mourir ou si tu es simplement idiot.

L'italien regarda Cesare en geignant de douleur mais un fin sourire se dessina sur ses lèvres.

-Eheheh... Et bien Cesare, si moi je suis un idiot, toi tu es le roi des abruti, stronzo!

Le fils du pape fronça les sourcils et donna un violent coup de pied dans l'estomac d'Ezio le faisant crier de douleur! Il avait senti au moins trois cotes se briser! Elles étaient en métal où quoi ses foutues bottes?!

-Ton arrogance ne te sauvera pas chien! Je ferai en sorte que ta vie devienne un véritable enfer! Tu vas souffrir ! Je te torturerai tellement que plus personne pas même tes petits assassins de mierda te reconnaîtront!

Il lui donna un coup de pied dans l'estomac avec une rare violence, tellement violente qu'Ezio en cracha du sang et finit par perdre connaissance.

Essoufflé, Cesare se redresse en rejetant ses cheveux derrière son crane et soupira.

-Bon, emmenez le au château de Saint-Ange maintenant, il est complètement dans les pommes, il ne résistera pas.

Un peu rassurés les soldats saisir l'Assassin après avoir ôté le filet, l'avoir désarmé et bien ligoté, ils l'emmenèrent au château de Saint-Ange, où de bien désagréables surprises attendaient notre Assassin...

A suivre...

Vous voulez la suite^^ ? Et bien review please ! Au moins cinq, sinon la suite je ne l'écris que pour ma gueule et je ne vous l'envoi rait pas, na !