Bon, je sais que j'ai beaucoup de fanfic en cours mais je fait celle si en coopération avec L'Oubliee, qui est une bonne amie a moi et qui a un bonne réputation en ce qui concerne les dattes de sortie. Je tien, également, à vous dire que j'aime particulièrement écrire cette histoire, sur ce, je vous souhaite bonne lecture.
Les Deux Sacquet.
À propos des hobbits... Les hobbits vivent de la culture de leurs terres, dans les quatre régions de la Comté, depuis plusieurs centaines d'années. Satisfaits d'ignorer et d'être ignorés du monde des grande gens. La Terre du Milieu est, après tout, remplie d'innombrable créatures étranges. Les hobbits semblaient de bien peu d'importance, car ils n'étaient jamais connus comme de valeureux guerrier, et ne comptaient pas non plus parmi les plus sage. En fait, il est de notoriété publique que la véritable passion des hobbits est la boustifaille. C'est une rumeur plutôt injuste, car nous avons aussi développer un intérêt certain dans le brassage de la bière et le fumage de l'herbe a pipe. Mais ce qui nous tiens a cœur c'est la paix, la tranquillité et une terre bien cultivée. Car les hobbits partage l'amour des choses qui poussent. Oui, sans aucun doute, notre façon de vivre est pittoresque, mais, aujourd'hui plus que tout autre, je prend conscience que ce n'est pas une mauvaise chose de fêter une vie simple. C'est la, dans la Comté, qu'avec mon bien aimé frère, je fis mon entrée. Car tout à fait par hasard, et par la volonté d'un magicien, le destin avait décidé que je ferais partie de cette aventure. Elle commença.. et bien elle commença comme on peut se l'imaginer; Dans un trou vivaient deux hobbits. Ce n'était pas un trou déplaisant, sale et humide, remplit de vers et d'odeur de moisi. C'était un trou de hobbit. Ce qui signifie de la bonne nourriture, un feu dans l'âtre et tout le confort d'un foyer. Bref, c'était une journée bien agréable, qui commençait comme n'importe quelle autre journée. Bilbon, mon frère, était dehors et fumait du vieux Tobby. Quant à moi, je préparais mes délicieux biscuit aux pépites de chocolat. À peine les avais-je déposer sur le feu, qu'une alléchante odeur s'installa dans toute la maison. Je pris une grande inspiration; que cela sentait bon! Normalement, je me serais assise et aurais profité au maximum de cette odeur, mais Bilbon, qui rentra en trombe dans la maison, m'en empêcha.
- Bilbon? Lui demandai-je en voyant son air affolé.
Il me fit signe de me taire avant de regarder par la petite fenêtre qui côtoyait la porte. Il émit un petit cri de surprise avant de s'éloigner rapidement de la fenêtre. Je me dirigeai donc, curieuse, vers une fenêtre. J'y aperçu un vieillard qui s'éloignait de Cul-de-Sac, un bâton à la main. Il portait une toge grise et un chapeau pointu qui était assorti avec sa longue barbe.
- Qui était-ce? Dis-je, tentant de comprendre ce qui avait put mettre Bilbon dans un tell état.
Bilbon, reprenant son calme, me répondit que c'était sans importance. Je fronçai les sourcils. Je n'aimais pas lorsqu'on ne répondait pas à mes questions. Je décidai tout de même de faire une exception pour mon frère. Au pire, je n'aurais qu'a lui en reparler durant le souper. Le reste de la journée ce déroula paisiblement et nous en vinrent, moi et mon frère, a quasiment oublier l'incident du vieillard. Toute fois, les problème survinrent juste avant que Bilbon puisse prendre une bouché de son poisson, et moi de mes biscuits. Car c'est a ce moment précis que le destin sonna a notre porte sous forme d'un nain a demi chauve, bourru et imposant.
- Dwalin, pour vous servir.
Nous ne réalisâmes évidemment pas tout de suite ce qui se passait. Il n'y avait guère de nain en Comtée! Bilbon reprit ses esprits plus vite que moi. Il attacha sa robe de chambre et répondit au nain d'une voix hésitante:
- Bilbon saquet... pour vous servir.
- Euh... Nïa saquet... pareillement.
Le nain entra dans notre demeure. Je vis du coin de l'œil mon frère frémir a la vu de la traînée de poussière et de terre qu'il laissait dans son sillage.
- Nous nous connaissons? Demanda t-il, probablement pour essayer de comprendre d'ou venait ce personnage.
Ce dernier ce contenta de répondre que non.
- Où est-ce mon gars, c'est par là? Dit-il d'une voix grave, s'adressant a Bilbon.
Ce a quoi mon frère répondit:
- Qu... qu'est-ce qui est par là?
- Le souper! Il a dit qu'il y aurait a manger... et en quantité!
Moi et mon frère étions complètement perdus.
- Il... il a dit..? Mais qui a dit? Demandai-je donc.
Mais Dwalin ne répondit pas. Il se contenta d'aller s'asseoir a table et il commenca a manger (avec ces main!) d'énorme portion du souper, qui était rester sur la table, sous nos yeux ébahi.
Je me souvient d'avoir eu un haut-le-coeur lorsqu'il croqua a pleine dent dans la tête du poisson de tout de suite après, il dit:
- Excellent ça, y en a d'autre?
- Comment? Soufflai-je.
Il était bien grossier ce nain. Mais évidemment mon frère, comme tout bon hobbit, se leva et, sans rater l'occasion de bégayer un peu, alla chercher un panier de galette. Je souris un peu lorsque je le vis s'en garder une pour lui-même, avant de tendre l'assiette au nain. Je lançai un regard a Bilbon, afin de lui faire comprendre qu'il devait faire quelque chose! On n'allait tout de même pas garder un nain chez nous! Bilbon fit donc une tentative:
- C'est que, je ne m'attendais a avoir de la compagnie.
Il venait a peine de finir sa phrase que, comme pour le contredire, la porte sonna. Moi et mon frère eurent le même réflexe; se retourner vers le bruit. Nous nous lançâmes un regard interrogateur. Le nain ajouta alors:
- Ça doit être la porte.
Nous nous dirigeâmes donc vers la porte. Derrière, il y avait un autre nain, plus vieux cette fois. Sa barbe était blanche et ses oreilles étaient plus longue.
- Balin, pour vous servir.
Dit le nouveaux arrivant, tout en s'inclinant. D'un ton neutre Bilbon et moi-même répondirent simultanément:
- Bonsoir.
- Oui, oui, il fait bon, Répondit-il en entrant, Quoi qu'il risque de pleuvoir cette nuit.
Puis il mit sa main sur mon épaule et me demanda:
- Suis-je en retard?
- En retard pour quoi? Demandai-je, hésitante.
Mais le nain ne répondit pas, car il venait d'apercevoir Dwalin, qui était en train de voler ma réserve secrète de biscuits. Il s'approcha alors, non sans d'abord avoir lâcher un long cri de surprise, et dit d'un voix sournoise:
- Bonsoir, mon frère!
- Oh! Par ma barbe, tu es plus petit et plus gros que la dernière fois. Répondit Dwalin.
- Plus gros, pas plus petit. Et suffisamment malin pour nous deux. Ajouta Balin en faisant un clin d'œil a son frère.
Les deux se prirent alors amicalement par les épaule avant de se donner un puissant coup de tête. Je me saurais normalement attendu a ce qu'un tel choque les assomme, mais il restèrent debout comme si rien ne venait de se passer. Bilbon fit a nouveau une tentative pour les faire partir:
- Pardonnez-moi, mais je ne suis pas tout a fait sûr que vous soyez dans la bonne maison.
Mais bien entendus, les nains n'écoutèrent rien et se dirigèrent vers le garde-manger. Bilbon me lança un regard désespéré. Je soupirai et continuai donc à sa place.
- Ce n'est pas que nous n'aimons pas recevoir des visiteurs, je... j'aime en avoir, comme n'importe qu'elle hobbit, mais j'aime bien les connaitre avant qu'il ne me rendent visite.
Les nains n'écoutaient toujours pas et, après s'être versé une bonne pinte de bière, il se tournèrent vers le fromage. Je continuai tout de même.
- Mais l'ennuis, c'est que... emmm... l'ennuis c'est que je... je ne vous connais pas le moins du monde ni l'un ni l'autre.
Les nains toujours occupés a fouiller, se débarrassèrent du fromage bleu de Bilbon en le jetant a l'autre bout de la pièce. Le fromage failli bien par m'atterrir dans le visage. Un peu plus énervée, je continuai.
- Et je ne veux pas être grossière mais je... je me devais de vous parler franchement, je suis navré.
Les deux frère finirent alors par se retourner. Heureuse d'avoir finalement attiré leur attention, je me racla la gorge afin de montrer que je ne reviendrait pas sur mes paroles. Alors quelle ne fut pas ma surprise lorsque Balin répondit:
- Excuse acceptées! Je me retournai vers Bilbon, mais il avait la même expression d'incompréhension que moi. Et comme si ce n'en était pas déjà assez, la porte sonna de nouveau. Terrorisés, Bilbon et moi allâmes l'ouvrir. Cette fois il y avait deux nains. Ils étaient beaucoup plus jeune et moins barbu. Le premier était blond aux yeux bleu et l'autre était brun aux yeux brun. Bilbon lâcha une sorte de gémissement qui fut cacher par la voix du blond.
- Fili.
- Et Kili.
Ajouta le brun.
- Pour vous servir. Dirent-ils en s'inclinant.
-Vous devez être les Socquet! Dit Kili.
A bout de nerfs, je tentai de refermer la porte.
- Non, vous n'entrez pas vous vous êtes trompés de maison! Dis-je.
Mais le nain brun s'avança, ouvrit la porte et s'empressa de demander:
-Quoi? Ça a été annulé?
- Personne ne nous a prévenu. Ajouta Fili en fronçant les sourcils.
Cette fois se fut Bilbon qui répondit.
- Quoi? Non rien n'a été annulé.
- Ah! Je suis soulagé!
Dit le brun avant de rentrer, suivis du blond, dans notre demeure. Kili se dirigea vers le couloir, suivit de près par Bilbon, alors que Fili vint a ma rencontre. Il me jeta ces armes si peu habillement que je faillis bien toutes les échapper. Il dut le remarquer, car il me demanda ensuite:
- Est-ce trop lourd?
-Quoi!? Non, évidemment que non.
Répondis-je.
- Alors faites attention, je viens de les aiguiser. J'allais lui expliquer que je n'avais d'emplacements pour les épées et que, même si j'en avais, ce n'était pas de mon devoir de s'occuper de ses épées, mais Kili, qui revenait d'avoir nettoyer ces bottes sur le coffre de mariage de ma mère, lâcha:
-C'est joli cet endroit.
- C'est vous qui l'avez construit? Me demanda Fili.
- Quoi? Oh non, elle est dans la famille depuis des années.
Dwalin arriva alors dans l'entrée et demanda à Kili et Fili de venir les aider. Les deux frères acceptèrent avec joie. C'est ce que Balin ajouta qui me glaça d'effrois...
- Il faut mettre tout ça dans le vestibule, ou tout le monde n'entrera pas.
Je fit un signe de tête a Bilbon pour qu'il aille s'en occuper, ce qu'il fit s'en tarder. J'eus à peine le temps de déposer les armes, que quelqu'un sonna de nouveau a la porte. Je me dirigeai d'un pas agressif vers la porte. Je fut surprise de me rendre compte que ce n'était pas des nains qui sonnaient a la porte, mais bien des jeunes filles. Elles auraient pu être des naines, mais elle n'avait pas de barbe et les traits de leur visage étaient trop fins. La première était rousse et était la plus petite des trois. Ses yeux étaient ambres. La deuxième était blonde et arborait un grand sourire. Elle avaient les yeux bleus clairs. Finalement, la troisième avait des cheveux bruns strié de blonds pâles et ses yeux était rouge pâle, presque rose. Elles étaient habillées étrangement. La rousse portait une robe bleue pâle sans aucune manche. La blonde, elle, portait une robe verte qui ne descendait pas plus bas que le milieu de ses cuisses en avant, et à ses chevilles derrière. La brune, elle, portait une chemise indigo, et un corset de cuir noire, ainsi qu'une jupe noire. Je tentai de dire quelque chose, mais ne réussit qu'a bégayer un tas de mots incompréhensible avant que la blonde ne me coupe.
- Bonjour! On peut entrer? Demanda t-elle. Oui? Super!
Sur ce, elles entrèrent toutes les trois dans la maison.
- Excusez-la, mademoiselle Sacquet... Elle est un peu... Envahissante... Me dit la brune en passant près de moi.
Lorsque Bilbon les remarqua, il me lança un regard accusateur auquel je répondis d'un haussement d'épaules. Je compris ensuite que la blonde s'appellait Deâhyrae, la rousse Ezhalee et la brune Asreathée. Des noms bien étranges... La porte se remit a sonner, et cette fois, Bilbon n'était vraiment pas content.
- Oh non! Il n'y a personne! Allez vous en! Allez ennuyer quelqu'un d'autre! Il y a déjà beaucoup trop de nain dans ma salle a manger et si... si c'est une andouille qui me fait un farce! Ha! Ha! Je n'ai qu'une chose a lui dire; elle est de très mauvais goût!
Sur ce, il ouvrit la porte et un total de huit nains tombèrent sur le sol de l'entrée. Mon frère et moi étions découragés. J'aperçus alors, derrière les nains, le vieillard que j'avais vu plus tôt dans la journée. Bilbon soupira.
- Gandalf... Les dix minutes qui suivirent furent un cauchemar total entre Bilbon, qui tentait de sauver ce qu'il pouvait de meuble et de nourritures, et les nains qui n'en faisaient qu'a leur tête. Je ne savais plus quoi faire. Lorsque tout le monde fut installés autour de la table et la nourriture installée par dessus cette dernière, on aurait cru que les choses se seraient calmées... mais il n'en fut rien. Les nains se jetaient de la nourriture et Fili marcha sur la table ( Ce blond commencait vraiment a m'énerver ). Les seuls moment de calme était durant les "Cul-Sec" ou tout le monde buvait en même temps. Ces moments étaient, évidemment, suivit d'un concourt de rot. Les filles étaient peut-être un peu plus calme, mais elles ne contribuaient en rien a calmer les choses. Bilbon et moi étions désespérés. Il ne restait que des miettes dans le garde-manger!
- Misère, misère la peste soit de ces nains!
- Mes chers Sacquet, que diable vous arrive t-il? Dit Gandalf lorsqu'il remarqua notre irritation.
- Que m'arrive t-il? S'exclama Bilbon.
-Nous somme envahis par des nain! Que font-ils ici? Ajoutai-je
- Ils forment une très joyeuse assemblée, quand on c'est habitué a eux. Se défendit le magicien.
- Je ne veux pas m'habituer a eux! Regardez ce qu'il ont fait! De la boue incrustée dans le tapis! Ils on pillés le garde-manger! Je n'ose même pas vous dire ce qu'il ont fait dans les toilette; ils ont quasiment ruinés la plomberie! Expliqua mon frère.
- Je ne comprend pas ce qu'ils font dans notre maison! M'exclamai-je alors, au bord du désespoir.
C'est alors qu'un nain, Ori si je ne me trompais pas, vint nous voir, Bilbon et moi, et nous demanda poliment:
-Excusez-moi de vous déranger, mais qu'est-ce que je dois faire de mon assiette? C'est alors que Fili arriva.
- Moi je sais Ori, donne-la moi! Dit-il en lui prenant l'assiette des mains. Saleté de blond! Qu'est-ce qu'il allait encore faire? Il lança l'assiette... Son frère l'attrapa en plein vol. Les autres nains commencèrent a taper sur la table et a frotter les ustensiles les uns contre les autres. Les assiettes volaient de nain en nain sous nos regards horrifiés car, comme s'empressa de dire Bilbon, cette vaisselle du quartier Ouest était a notre mère et avait plus d'un siècle. Les nains ne réagirent en aucune facon jusqu'a ce que Bilbon s'exclame qu'ils allaient émousser les couteaux.
- Oh! Vous entendez ça les gars? Il dit qu'on vas émousser les couteaux. Dit Bofur en riant.
Kili commença alors a chanter joyeusement.
- Tordez les fourchette puis les couteaux...
Fili continua sur le même air:
- Briser les bouteilles en mille morceaux...
Et puis tout les nains se mirent a chanter:
- Casser les verres et puis les assiettes... Vlà c'que Bilbon Sacquet déteste! A ce moment, je me mis a sourire et même a rire, ce qui n'était évidemment pas le cas de mon frère. Les nain continuèrent un peu plus rapidement et Bofur commença a souffler dans une sorte de flute.
-Couper dans la nappe, marcher dans le gras! Laissez les os sur le tapis en tas. Versez le lait sur le sol tout prooooopre! Que le vin éclabousse les portes! Vider les pots dans un bassine bouillante. Marteler les d'une perche broyante. S'il en reste, chose étonnnnannnnte, qu'ils roulent dans l'entrée et se fendent... Vlà c'que Bilbon saquet déteste!
Bilbon passa entre les nain et, sous le rire de tout les autre personne dans la salle, fut extrêmement surpris de découvrir une pile de vaisselle complètement propre et sans aucune égratignure. Les rires ne furent que de courte durée, car on entendit quelqu'un cogner trois fois a la porte. Il ne devait pas avoir vue la sonnette. Où il voulait juste faire une entrée dramatique... Tout les nains se retournèrent sérieusement vers la porte. Gandalf dit, d'une voix tout aussi sérieuse que l'air des nains:
- Ce sont eux...
