Voici ma première fiction, donc ne vous attendez pas à un talent exceptionnel ^_^
Je prends toutes critiques, bon ou mauvais et touts conseils. J'espère que vous prendrez plaisir à me lire, en tout cas :) !
"Tu n'es pas seul, Albus."
1ère année : Albus Potter et l'épée de Gryffondor
Chapitre 1 : Passage au Chemin de Traverse.
*Dring, Dring, Dring..*
-Albus ! Éteint ce réveil, crotte de licorne ! cria James qui occupait la chambre d'à côté.
Albus donna un coup de poing sur le réveil qui se brisa en plusieurs morceaux qui s'éparpillèrent sur le sol de sa chambre.
Le jeune Potter se redressa, trempé de sueur, son réveil lui avait peur, en un élan de stupeur, il l'avait cassé. En effet, Albus était en train de rêver -encore et toujours- du même cauchemar depuis plusieurs semaines, il en avait fait des nuits blanche.
Le "cauchemar" ne laissait rien paraître, Albus n'apercevait presque rien, pourtant il voulait trouver. Des tâches de couleur -rouge, bleu, vert et jaune.- étaient étalés au sol comme si quelqu'un donnait des coups de pinceaux et que la peinture giclait, puis un coup de vent arrivait et elles s'envolaient, disparaissaient.
Albus ne savait pas ce que pouvait signifier ce rêve, il cherchait, mais sans succès. Il se redressa, le matin commençait à poindre pour une douce journée, du haut de sa fenêtre, il voyait le soleil se lever, Albus dormait tout en haut de la maison des Potter. Une belle maison de sorcier, se trouvant en pleine campagne, non loin de celle des Weasley. Les rayons de soleil pénétraient dans la chambre pour l'illuminer.
Albus se leva, alla regarder à la fenêtre et il eu raison, car quelques secondes plus tard, une chouette hulotte apparaissait. Il s'agissait là de la chouette de Rose Weasley.
Il prit la lettre que tenait le hibou, puis commença à lire :
"Albus, enfin, depuis le temps que l'on attendait ça ! J'espère qu'on rencontra plein de sorciers géniaux ! Rendez-vous au chemin de Traverse, comme on l'avait prévu.
Bisous, Rose.W."
Le jeune Potter ne prit même pas la peine de répondre, ils allaient se voir d'ici quelques heures, il lâcha le hibou en dehors, et alla poser sa lettre sur son bureau.
Son bureau était très mal rangé, comme à son habitude, des lettres disparaissaient sous des parchemins, des livres que lui avait prêté sa mère, sous des plumes. Sa chambre était d'une couleur blanche, aujourd'hui, car il pouvait changé à volonté. Des posters ornaient ses murs, de Quidditch, souvent, ou des photos de lui et sa famille. Au-dessus de son lit, trônait un calendrier de fortune. Il indiquait "30 août.", Albus fut tout content à l'idée de partir pour Poudlard, dans deux jours, il s'évadait, enfin ! Depuis le temps qu'il l'attendait. Son grand frère, James, était à Poudlard depuis déjà deux ans ! Quelle chance il avait !
-Albus ! Le petit déjeuner ! cria sa mère du rez de chaussé.
Albus descendit, se précipitant.
-Jour' M'man. dit-il
-Bonjour, Albus.
Il s'assit à sa place habituelle, en attendant que le déjeuner soit servi.
Quelques minutes plus tard, James descendit, tout débraillé.
-James ! N'oublie pas qu'on va au chemin de Traverse aujourd'hui ! lui dit-elle.
-Je sais, je sais ! répondit-il.
Sa sœur, Lily, arriva en courant, suivi de son père, Harry.
-Regarde, maman ! Un papillon ! Il est beau, non ? lui parla-elle, en montrant du doigt le papillon qui voletait dans la cuisine.
-Oui, Lily ! Viens t'asseoir !
-Mais, maman !
-Lily !
-J'y vais, j'y vais...
Son père et sa mère avaient bien réussi leur vie. Après que son père est vaincu Voldemort, son père avait obtenu un poste d'Auror au ministère de la magie, ou Hermione travaillait avec lui, sa mère, elle, était devenue poursuiveuse en Quidditch. Ron, lui, travaillait avec George, depuis la mort de Fred.
Harry avait prit quelques cheveux blanc, et des rides qui commencaient à se prononcer. Dans le monde sorcier, comme dans le monde Moldu, ou le respectait car -déjà, il avait sauvé le monde- il avait fait instaurer des lois pour le bien de tous, il voyait les regards chaleureux se poser sur lui dont il répondait d'un sourire, ou d'un signe de main. Sa cicatrice ne lui faisait plus mal, depuis maintenant dix neufs années de paix.
Ginny, quand à elle, s'était interréssé au Quidditch à la fin de ses études, les entraînement étaient cinq fois par semaine, elle pouvait donc rester le plus de temps avec sa famille, comme Lily venait avec elle pour son entraînement.
James avait les cheveux désordonnés de son père, et son indiscipline était sans égal. Mais il faisait rire tout le monde, donc tout le monde l'aimait bien, même si il n'était pas très intelligent.
Lily était une jeune fille de neuf ans, et était d'une gaieté trs contagieuse. Rousse, comme sa mère, et ayant les yeux de la mère de Harry, elle allait faire chavirer des coeurs.
Lily ne tenait pas en place, elle sautait de partout :
-Moi aussi, je veux aller à Poudlard ! Moi aussi !
-Dans deux années, dit son père en ouvrant la gazette du sorcier.
-Et n'oubliez pas, ce soir on va manger chez Tonton Ron et Tata Hermione ! leur dit-leur mère.
Après leur petit-déjeuner, ils montèrent tous se préparer. Puis vint l'heure de partir, ils se rendaient en poudre de cheminette au chemin de Traverse.
Chacun son tour, ils passèrent, un par un après avoir crié le "Chemin de Traverse".
Arrivés au chemin de Traverse, ils attendirent les Weasley qui arrivèrent quelques minutes plus tard. Rose y comprit. Rose était tout comme sa mère, rousse. Rousse aux yeux bleu, elle entrait aussi en première année.
-On se rejoint, ici, dans une heure ! dit Ginny à Hermione.
-D'accord.
Les Potter se dirigèrent d'abord vers Gringotts. Le Chemin de Traverse était tout aussi bonder, comme à son habitude. Mais comme ce n'était pas la première fois qu'il s'y rendaient, ils n'étaient pas émerveillé plus que ça. Ils retirèrent puis leur mère leur indiqua ce qu'ils avaient à faire.
-James, tu viens avec moi, Harry tu pars avec Lily et Albus, sans protestation.
De la voix de leur mère, aucun n'eut une seconde l'envie de protester.
Ginny et James partirent vers le marchand de Potions.
-Dit moi, Albus, par quoi veux-tu commencer ? Lui dit son père.
-La baguette ?
-D'accord. Allons chez Ollivander.
En se dirigeant vers Ollivander, Harry eut un tressaillement. Il se retourna, Albus fit de même. Ils aperçurent un grand garçon, de l'âge d'Harry sûrement, blond platine accompagné d'un jeune garçon de l'âge d'Albus. Les Malefoy pensa Albus, ils se reconnaissaient facilement grâce à leur chevelure, comme les Weasley.
-Bonjour, Potter. dit Drago.
Harry et Drago n'était pas ce qu'on peut dire "Meilleurs Amis." mais ils se respectaient l'un l'autre et avait de bonnes relations amicales.
-Bonjour, Malefoy. Ton fils entre en première année, non ? répondit Harry.
-C'est exact. s'exclama-t-il. Enfin !
-Il sera donc avec Albus, penses-tu qu'il ira à Serpentard ? dit Harry d'un air soucieux.
-Je ne sais pas, admit Drago en une grimace. Il est aussi malin que moi, avantage pour aller à Serpentard. Il est courageux, fonction pour aller à Gryffondor. Il est intelligent, utilisable pour aller à Serdaigle. Et bon, pour aller à Poufsouffle. Je n'en ai vraiment aucune idée. Toi, tu penses que ton fils ira à Gryffondor ?
-Je ne sais pas, il demandera si il veut. Il peut aller dans n'importe quelle maison, je l'aimerai comme même. enchaîna-t-il en un regard pour Albus.
-Toujours aussi bon, à ce que je vois. Ton boulot d'Auror ce passe bien ? répondit-il pour continuer la conversation.
-Oui. Et le tien ? Médicomage, je n'y aurais jamais pensé venant de toi, Malefoy. s'étonna Harry en un sourire sarcastique.
-Très bien. Il faut bien construire sa vie. Désolé, Astoria arrive. Au revoir, Scorpius dit au revoir. Parla-t-il.
-Au revoir, monsieur. Albus, c'est ça ? On se voit à Poudlard. murmura Scorpius.
-Je vois que ton fils est mieux élevé que son père. dit Harry en riant.
-Astoria l'élève très bien, elle ne veut pas qu'il devienne un voyou. dit Drago dans un sourire.
-Au revoir, Malefoy.
Ils partirent en direction de la vieille boutique de baguettes. L'ancien propriétaire, celui qui avait vendu sa baguette à Harry, était mort. Quelqu'un lui avait succéder, son petit-fils, à ce qu'il parait. Harry n'avais jamais beaucoup aimé ce vendeur, mais il avait été attristé par sa mort. Ils pénétrèrent dans la miteuse boutique, une sonnerie retentit intimant au petit groupe d'avancer. Comme toujours, des centaines de baguettes rangés dans leur boîte, trônaient au-dessus de leur tête. La poussière tombait des étagères à cause des baguettes qui étaient amassées. La boutique sentait le moisi tellement elle était vieille.
-Ah, le jeune Potter, dit une voix qui les fit sursauter, devant eux.
-Bonjour. dirent Albus et Harry d'une même voix.
-Ventricule de dragon. Tenez.
Le jeune Potter lança un regard à son père qui hocha la tête d'un air encourageant. Albus agita la baguette, mais il n'y eut pas ce déclic, cette chaleur qui montait en lui.
-Avec vos enfants, c'est toujours difficile, Mr Potter. dit Ollivander.
Harry haussa les sourcils mais ne dis rien. Après plusieurs baguettes essayées, aucune ne convenant, Mr Ollivander était aller en chercher une dans l'arrière boutique.
-Bois de houx, crin de licorne, 30 cm. Souple et bonne baguette pour la métamorphose.
Il donna la baguette à Albus, qui cette fois, sentit une chaleur monté dans sa poitrine, et des étincelles jaunes jaillirent. Albus eut une bouffée de fierté en lui, il était tout heureux.
-Bravo, Albus. s'exclama Harry en souriant de toute ses dents.
-Bien trouvé. murmura Ollivander.
Harry paya la baguette, puis ils partirent en direction de Fleury et Bott. La fameuse boutique de livres. La boutique qui existait depuis aussi longtemps que celle de Ollivander.
Des centaines de livres s'entassaient sur les étagères, malgré qu'Albus n'aimais pas trop lire, il eut envie de tous les acheter. De tous les lires. Il se dirigea vers une étagère ou se trouvait "500 sorts pour faire rire votre ami(e)" Albus voulut l'acheté. Mais son père, contrairement à lui, n'accepta pas. Ils achetèrent les livres requis puis partirent chercher le nécessaire à potions d'Albus.
Quelques minutes plus tard, Albus ressortit tout content, son nécessaire à Potions en poche.
-Allons, plus que l'animal, ta mère a déjà acheté tes vêtements.
Ils pénétrèrent dans "Le monde des animaux." Accompagnés de ululements de hiboux, des miaulements des chats...Les animaux en liberté volaient et galopaient de tout côté.
Un vieil homme arriva.
-Oui, c'est pour quoi ?
-Un hibou.
Le vendeur les emmena dans une partie ou se trouvaient des centaines d'hibou, et les laissa là pour choisir.
Le jeune Potter choisit un hibou noir, une hibou des bois.
-Comment vas-tu l'appeler ? lui chuchota Harry.
-Que dirais-tu de ... Moony ? demanda Albus.
-Pourquoi pas ?! C'est très joli.
Harry paya, puis ils partirent en direction du rendez-vous, tout en discutant.
-Vous voilà ! dit Ginny à Harry. Nous avons tout acheté. Tiens, Al', tes habits. James arrête de faire le pitre !
-Oui. dit Harry qui rigolait aux grimaces de James.
-Allons-y, on dépose nos affaires puis on va chez Hermione et Ron, c'est ça Hermione ? dit leur mère.
-C'est ça.. répondit Hermione se pliant de rire devant James.
