Bonjour tout le monde ! Désolé de ma longue absence ! J'étais VRAIMENT dans une phase de "je suis à cours d'inspiration" ce qui ne m'a pas plus du tout … La fanfic' "un nouveau monde va être réécrite car elle ne me plait plus et l'histoire de Zorro ne va pas tarder à recommencer.
On reprend donc avec une nouvelle fanfic', j'espère qu'elle va vous plaire ! Place à … "Le Warrior … pas si Guerrier que ça …" !
C'est Ace qui l'a trouvé. A moitié gelé, et dans un plutôt mauvais état.
Le commandant a ouvert le frigo cette nuit – en tout goinfre qui se respect – et il lui est tombé dessus.
Portgas l'a tout de suite amené à l'infirmerie en racontant à Maria et aux autres qu'il l'avait trouvé comme ça, sur le pont. Mais évidemment, personne ne l'a cru à en croire leurs tête.
Sur le bateau, on ne voyait que deux options possibles : soit il était apparut là comme par magie – très peu probable -, soit il s'était infiltré sur le bateau à la dernière escale puis s'était caché où il pouvait – ce qui aurait été le parcours du combattant pour échapper à tous les pirates et commandants, mais déjà un peu plus possible.
Donc en gros pas beaucoup de solutions mis à par le "Il est peut-être tombé du ciel !" d'Izou.
De toute façon il ne pouvait pas répondre car il était inconscient. Et puis d'abord, il l'était depuis quand ? Etait-il arrivé évanoui sur le bateau ou avait-il perdu connaissance une fois dessus ? Encore un mystère …
Sans le temps de plus les laisser réfléchir, Maria a renvoyé tout le monde se coucher pour qu'elle reste au calme avec son patient. Tout le monde est parti sans broncher. Le dernier à sortir a été Ace qui venait de se faire passer un savon par Satch comme il avait fouiné dans la cuisine. Ah … secret découvert ! Mis à par quelques petits jeunes – plus vieux que Portgas pour la plupart- qui avaient écarquillés les yeux, personne n'était surpris que le commandant de la deuxième division se fasse engueuler par celui de la quatrième.
Voilà une nuit plutôt inhabituelle sur ce bateau …
Le lendemain, à l'aube, les derniers encore endormis furent réveillés pas un cri –de guerre, de peur ?- et de … -d'un cochon égorgé, d'un poulet ?- provenant de l'infirmerie.
