Combien de temps s'est il écoulé ? Une seconde ? Treize minutes ? Sept heures ? Combien d'hivers ai je raté ? Combien de fois l'aiguille de ma montre à t'elle fait le tours du cadran ? Combien de fois me suis je remémorée l'histoire de la belle milieu des ronces ? Combien de fois le manoir a t'il eux le temps de brûler ? Combien de fois ce que je pourrais nommer vie a t'il disparut ? Combien de fois mon cœur a-t-il tenté de battre ? Cela n'a guerre d'importance. Combien de temps lui a t'il fallût pour m'oublier ? En Combien de temps ai je disparût ? En combien de temps le papillon bleu s'est il fait arraché les ailes ? En combien de temps la corneille à t'elle perdu sa voix ? Cela n'a plus de sens, tu n'est plus.
"Tic Tac Tic Tac... Crrrkk.. Tic Tac Tic"
Ce bruit, à la longue, aura la capacité de me faire perdre ma santé mental... Du moins... Le peu qu'il en reste... Et ses chaines qui me restreignent, m'entravent dans le moindre des mes mouvements.
Les engrenages au plafond commencent à rouillé Dame nature a repris ses droits mais... Aussitot eu t'elle passé les barrière de fer et d'acier, elle se retrouve étouffé par des ronces.
N'est ce pas malheureux... Des années de destructions, de batailles, vies prises pour me retrouver à devoir étouffé des racines pour combler ma soif de massacres.
Ma gorge est si sèche... Mes paupières si lourde... et ce silence... Il est assourdissant.
"Si deus me relinquit... Ego deum relinquigo..."
Cette maudite chanson... Finalement le silence n'est pas si mal... Cependant il a fallut qu'on me l'imprime dans la tête. Mais jamais... Jamais. Jamais je ne pardonnerais à un quelconque prétendue dieu ni même à ceux qui sont responsable de ma chute ici bas... Je ne cherche ici aucun pardon je ne cherche qu'a étancher mon envie, mon besoin vital de détruire, dévorer, de faire miens ce qui me résiste . Ce que j'ai fait dans mon passé je l'ai fait dans mon âme et conscience. Ils payerons tous... Mon cœur éteint plus ne pourrais plus m'arrêter, plus aucune chimères ou illusions de sa part ne le pourra ! J'ouvrirais la ruches et ils comprendrons. Ils seront eux aussi sans défense, à voir leur rêves, leur désirs partir en cendres...
"A-ARG !"
Malheur ! Je viens de feindre un seul mouvement et me revoilà contrainte, contenue plutôt par ces lourdes chaines et mon propre corps... Je ne parvient à peine à exprimer ma douleur. Ma voix s'est éteinte. Ma poitrine me fait souffrir atrocement, c'est gênant.. désagréable.
"...Ah !?"
Je me suis mise à tenter de bouger à nouveau, ma bouche s'est ouverte et un petit gémissement (ma fois) pitoyable à traverser mes lèvres. Je n'y croit pas... Est-ce bien ma voix ? Ma voix... Je puis donc briser ce silence... J'ouvre de nouveau la bouche, même pour si ce n'est que moins d'une seconde, je souhaite briser ce silence ! Je n'en puis plus. La ou jadis ce trouvais un cœur ce met a se soulever. Ce corps par ma bouche souhaite aspirer quelque chose... Par les tous les châtiments infernaux je me sent tellement à l'étroit dans ce corps, enchaîner comme une vulgaires prisonnière. Avec une force nouvelle dont j'ignore la prévenance, mon corps se soulève, faisant teinté les chaines qui m'encercle. Elles se serrent immédiatement, brûlant et lacérant ma chair. Un liquide se met à couleur de lèvres, il est chaud, quelque peu gluant et collant. Mon crâne ce déplace en arrière, le mystérieux liquide se met à couler le long de ma gorge si esche. Ce ne doit pas être le mieux pour hydraté cette dernière mais au point on j'en suis.
"AHhh ~ Qui est celui qui voulait me garder ici ?"
Bien qu'a un tout faible volume je parvint à entonné la mélodie qui jadis il me plaisait chanter. Le silence n'est plus tout comme cette prison.
