Disclaimer: ... On est vraiment obligé de préciser que tout appartient à JKR ? Et surtout qu'on gagne rien pour vous offrir ce merveilleux produit ? Je vous en pris, ne perdez pas votre temps à lire ces lignes et passez à la fic immédiatement... Cessez de me regarder comme ça, aller, faites bouger ces billes qui vous servent de yeux et lisez !
Résumé: Attention!!!!!! Le Québec et la France se sont alliés pour vous offrir un produit hors du commun dont vous ne pourrez plus vous passer. Deux jeunes femmes en devenir débarquent des grands continents pour assaillir Poudlard de leurs...personnalités...peu orthodoxes, le tout assaisonné d'une sauce à la Maraudeurs d'excellente qualité. Nous ne sommes pas responsables des intoxications, réflexions intenses et/ou addiction au produit. Pour les plaintes, vous addresser au bouton review. Une fenêtre de messagerie prendra vos impressions et nous nous empresserons d'y répondre.
Note: Nous avons décidé ma partenaire et moi de vous offrir une note digne de ce nom...
Mireille - On va dire pleins de vacheries France/Québec héhé !
Mélissandre - Tu commences alors xD
Mireille - Pourquoi tu commencerais pas, je commence déjà dans le prologue
Mireille, regard vainqueur - Retour dans les dents.
Mireille, après dix minutes d'attente - Alorrrrs tu commence ?
Mélissandre - J'ai pas l'inspiration..
Mireille - tss pathétique la francaise, j'espérais mieux de ta part..
Mimi - Tu vois j'ai encore commencer les hostilités !
Méli, de mauvaise foi - Moi au moins je connais le nom de mon premier ministre..
Mimi - Mais on s'en fou de ça, ça change quoi dans ma vie, de toute façon, moi au moins, je connais pas, justement, le nom d'un crosseur invétéré et je préfère l'ignorer.
Méli - On comprend rien à ce que tu dis..
Mimi - On s'en fou de ça aussi..Bon on les laisse lire, oui ou merde ?
Méli, étonnée - Ah, j'allais dire la même chose, tu lis encore dans mes pensées !
Mireille - C'est à cause de notre connection interne lol.
Mélissandre - Bon, on arrête là notre délire, hein..
Mimi - Ouais mais on va le reprendre au chapitre suivant !
Méli, saute sur place - Je suis d'accord !!
La Québecoise - Bon chers lecteurs, on vous laisse à votre lecture si vous voulez un chapitre-délire entier, reviews na na na !La Francaise - Ouais c'est ca! À bientôt !
Prologue: L'avenir est à nous.
- Mademoiselle Archambaut, vous êtes demandée dans mon bureau à l'instant.
Ce fut mon amie Cindy qui me tira de ma rêverrie pour me dire qu'on m'avait appelée au bureau de Sylvain Tremblay, le directeur de mon école. Légende Urbaine était le seul établissement de sorcellerie qui offrait ses services au Québec. Située au coeur de la métropole de Montréal, l'école ne passait pas inaperçue... enfin, aux yeux des sorciers évidemment. Malgré sa taille de colisé romain et ses étudiants qui passaient leur temps libre à flâner sur le terrain, les moldus passaient devant comme s'il s'agissait d'un immense terrain vague... ce qu'ils voyaient en fait. Le seul moment ou l'immeuble devenait difficile à cacher était lors de la rentrée, le 20 août, alors que les élèves arrivaient des quatres coins de la province en gros autobus jaune. " C'est pour se fondre dans la masse " continuait de marmoné le principal aux parents qui trouvait ce moyens de transport inconvenable. Heureusement que j'habitais à quelques coins de rue de là, je n'avais qu'à prendre le métro et hop! j'étais arrivée.
- Quel connard, même pas foutu de venir me chercher personellement, marmonai-je alors que je me levais, le visage encore ensommeillé d'une nuit blanche impromptue.
Lentement, je me traînai jusqu'à son bureau . "Merdique, pourquoi il faut qu'il soit aussi loin, j'ai pas que ça à faire moi" . Merdique étais devenu mon patois depuis la fin de ma 4eme année. Quiconque entendait ce mot savait que c'était moi qui approchait. Après de nombreuse heures de retenue passée au bureau du proviseur, je trouvais toujours le moyen de pester contre le fait que cette salle était trop loin. C'est vrai, pourquoi travailler dans un endroit ou l'on est constamment en contact avec les jeunes si c'était pour s'en éloigner le plus possible à chaque occasions. Je saluai Julie, la secrétaire, qui lorgna mes vêtements, les lèvres pincés... Bon oui, je n'étais pas du genre... classique. Avec mon débardeur noir qui laissait entrevoir une partie de mon tatouage au dessus de mon sein gauche et mes pantalons à motif écossais qui faisait un bruit épouvantable lors des cours à cause des chaînes métalliques qui pendaient un peu partout, je n'étais pas du genre à plaire à belle-maman... une minute... quelle belle maman ?
J'entrai dans le bureau de Sylvain ( ouais, je l'appelais par son prénom, on était intime maintenant, se voir presque chaque jour avait de quoi améliorer une relation... ou au contraire la déteriorée ) puis je m'assit dans un fauteuil en face de sa table de travail sans avoir eu son consentement. Nonchalament, je posai mes pieds sur le coin du pupitre en prenant bien garde de ne pas salir mes converses en accrochant le pot d'encre qui traînait à coté de vieilles plumes. Que de trucs vieillots, y'avait longtemps qu'on s'était convertit aux stylos pourtant.
-Salut Sylvain, dis-je en empoignant un presse-papier pour le lancer en l'air et le rattrapper ensuite.
Le directeur, qui était debout face à la fenêtre consenti enfin à se retourner vers moi, un petit rictus aux lèvres. Son sourire disparu à la vue de mes chaussures décrépies sur son bureau d'acajou.
- Mireille! Enlèves tes souliers de ma table immédiatement
Oh! Tient il laissait tomber les politesse. À une vitesse d'escargot, j'entrepris d'enlever mes souliers révélant des bas troués de presque partout puis je reposai mes pieds là ou ils étaient. Le visage de Monsieur Tremblay pris une teinte tomate alors qu'il vociféraient contre ma conduite d'enfant gâtée pourrie. À cela s'ajoutaient les habituelles menaces de renvoie et tout le bla bla... Non attendez...
- Quoi! hurlai-je en échappant le presse-papier qui alla se fracasser sur le sol avec un bruit étouffé par le tapis. Par contre, le revêtement moelleux ne pu rien faire pour changer le destin de la pauvre bille de verre qui s'éparpilla en morceau tranchant un peu partout.
- Vous avez bien compris mademoiselle Archambaut, je vous renvoie à jamais de l'établissement Légendes Urbaines. J'ai l'accord de vos parents juste ici sur mon bureau. Un portauloin vous conduira à votre nouvelle maison ce soir.
Alors là, c'était vraiment la cata! Pourtant, je n'avais qu'emprunté les réponses de tous les examens du semestre, je l'avais déjà fait dans le passé, merci au concierge de m'avoir remis une clé passe-partout... Bon ok, j'avais aussi envoyé au diable quelques profs mais ça, c'était l'habitude, ils ne devaient pas en souffrir en ce moment... Putain, dans quelle galère m'étais-je fourrée? J'avais vraiment dépassé les bornes cette fois. Moi qui avait toujours testé les limites du directeur, je savais que je venais de les franchir avec un billet de non-retour. Il n'a même pas voulu me dire ou j'irais en plus ! Je sentais les larmes me monter aux yeux. Dire adieux à mes amis, à tout ce qui me permettait de sourire chaque matin me fendait le coeur en éclat... Je compatissais soudain avec le presse-papier mais lui au moins, on pourrait le réparer à l'aide d'un sort...J'avais tellement envie de revenir dans le passé et d'effacer mes derniers torts, juste pour rester ici. Ma vie était ici, à Montréal. Pas... ailleurs...Avec l'accord du directeur, je me levai et sortis pour me réfugier dans les toilettes. Je n'aimais pas que les gens me voient pleurer. C'est pourquoi je restai dans cet endroit répugnant jusqu'à la fin des cours. Je n'était pas en résidence moi, je ne pouvais pas rejoindre mon dortoir après les cours.
Alors que le métro me ramenait chez moi, j'avais l'impression que tout tournait dans un impressionnant jeu de couleur. Mais je n'avais pas la tête à m'extasier devant cet art abstrait ce soir... Mon dernier soir à Montréal. Une fois chez moi, mes parents n'était pas là. C'était normal, ils travaillaient toujours jusqu'à des heures inimaginables au ministere de la magie section Canada. Papa était une langue de plomb alors que maman était simple employée pour le département des mystère. Ils s'étaient rencontré à cet endroit il y avait maintenant près de 18 ans. Je regardai une photo de nous trois à une époque ou j'étais plus... féminine... Moins différente aussi... Arrivée dans ma chambre, un hibou grand duc était perché sur le montant du lit. Une lettre reposait sur le matela, écrite avec de jolie lettre incurvée de couleur verte. "Que du fla fla " pensai-je en tirant sur le seau qui cachetait l'enveloppe, un P entouré d'animaux dans un blason.
" Poudlard, école de magie et de sorcellerie est heureuse de vous accueillir en ses murs pour votre dernière année... "
Poudlard? Chouette, en Angleterre. Je soupirai bruyamment. C'était beaucoup trop loin, et en plus, il pleuvait tout le temps là-bas...Je ne pris même pas le temps de lire ce qu'il y avait dedans, je la jetai simplement par terre en murmurant pour moi-même:
-L'avenir est à moi... Tu parles ouais...
" Everybody run now, everybody run now, break into another time, unity divides..."
Ma chaîne Hi-Fi hurlant des paroles à tout rompre, couchée sur mon lit, seule dans ma chambre, j'étais la reine du monde.
J'ai toujours été une fille un peu distante, mais en restant cependant très coquette. C'est dans cette petite maison du Nord de la France que j'avais vécu les dix-septs premières années de ma vie.
Je m'appelle Mélissandre Waltzer, et je suis une sorcière.
La musique toujours au maximum, je n'entendais pas les nombreux appels de ma mère, et lorsque qu'elle déboula dans la pièce avec fureur, j'en tombai du lit.
- Mélissandre ! Combien de fois dois-je te dire de baisser cette musique de fou ? hurla maman alors que je me relevais douloureusement.
- Stéphanie a appelé, sa mère est d'accord pour que tu ailles chez elle,continua-t-elle avant de quitter mon antre.
Joyeux samedi matin ! Encore en pyjama, je me précipitai vers mon dressing, pour décider de ce que j'allais porter.
Les vêtements, ma passion ! Les jupes, les robes, les jeans, les tops, bref j'aimais la mode. On me pensait un peu pouff' , et je m'en moquais bien. Comme disait Stéphanie, ma meilleure amie, j'avais la pouff' pouff' attitude.
J'optai donc pour un dos nu noir et un jeans taille basse, sans oublier les escarpins de cuirs qui allaient avec. J'allais donc dans la pièce à coté prendre une douche chaude, puis revint vers ma chambre, percutant ma guitare par accident, assasinant mon doigt de pied pour l'occasion.
Une touche de maquillage, quelques gouttes de Jungle de Kenzo et j'étais enfin prête pour partir.
Je quittai donc ma chambre sans oublier ma baguette et mon baladeur.
Je descendis les escaliers quatre à quatre, et j'entendis la douce voix de mon strangulot de frère.
- Pourquoi la Truite, elle a le droit de sortir et pas moi ?
Charmant frère n'est-ce pas ? Dire que le môme n'avait que 10 ans. Je n'étais pas spécialement moche je pense. Des cheveux blonds long et raide, des yeux verts olives et un jolie piercing à l'oreille gauche.
Enfin, maman me disait souvent que j'étais trop orgueilleuse...
Soit, j'arrivai dans la cuisine et vint faire la bise à mon père avant de m'assoir en face du morveux qui répondait au nom d'Augustin.
- Thé ou café ? demanda Martine, ma mère en prenant ma tasse.
- Café merci, lui dis-je mécaniquement.
Je bus le brevage chaud en silence, en réflechissant aux options possible de mon après-midi. Nous étions fin août, et le temps était assez chaud pour l'époque.
Lorsque j'eut finis, je mit la tasse dans l'évier, envoyai un rapide "À toutes", puis quittai la maison.
Mes parents étaient moldus. Je suis ce qu'on appellait une "Sang-De-Bourbe". Il n'y avait donc aucune magie chez moi pendant les grandes vacances. Stéphanie et ma guitare étaient donc mes seuls amis lorsque je rentrais chez moi pour les grandes vacances. Stéphanie était aussi une sorcière, et ses parents étaient tous deux sorciers. Nous nous étions rencontrées à Beaux-Bâtons, mon ancienne école.
Ancienne. Cette année, j'avais décidé sur un merveilleux coup de tête de finir mes études dans la prestigieuse école de Poudlard. Heureusement que mon père était Anglais. Je n'aurais jamais eu assez de base en anglais pour y étudier sinon. Parler anglais va me faire bizarre. Quitter Stéphanie va me faire bizarre également...
Sans m'en rende compte, j'étais déjà arrivée chez mon amie. Nous n'habitons qu'a deux rues l'une de l'autre. La maison était très grande, en fait, je pense pluôt qu'il s'agissait d'un manoir. Par habitude, je sortis ma baguette et l'introduisi dans le trou situé dans la gueule du loup qui trônait au centre de la porte, qui s'ouvrit aussitôt.
- Mélisssssandre ! m'interpella ma copine préférée.
- Quelle accueil, ça fait plaisir, souriais-je.
Nous passâmes notre dernier après-midi ensemble. Magasinage au programme. Il fallait "préparer une garde robe spécial Poudlard" avait dit Stéphanie. Et je ne m'en plaignais absolument pas. Comme vous le savez déjà, j'aimais la mode...
Le soir venu, mes paquets soigneusement réduis dans ma poche, je la quittai les larmes au yeux. Avant que je ne franchisse la porte, Stéphanie me conseilla en me remettant une petite boite :
- J'espère que tu va te trouver un Prince Charmant là-bas, pense à moi, et évite un peu d'avoir des ennuis, ca te changera !
Nous nous étreignirent fortement. Stéphanie était un peu ma soeur de coeur. Je marchais maintenant dans la rue qui me ramenais chez moi. J'ouvris la boite par curiosité.
Un magnifique pendentif en rubis représentant une petite licorne avec une fine chaîne en argent. Je pouffai de rire. Quel magnifique cadeau... Il n'y avait qu'elle pour m'offrir un truc pareil !
Je le passai autour de mon cou, et fermai les yeux.
Quand j'arrivai chez moi, j'aperçus un hibou grand duc qui cognait à ma fenêtre. Je me précipitai dans ma chambre. J'ouvris la fenêtre et l'oiseau s'engouffra dans la pièce, puis vint se poser sur mon bureau. Je détachai la lettre qui devait m'être destinée. Sur l'envellope blanche était marquée d'une encre verte " Mme Waltzer Mélissandre, 12 rue du Bois Vert, Mulhouse, France, Chambre du haut, 3 ème fenêtre". Je déglutis. L'envellope portait le cachet de Poudlard, representant un lion, un blaireau, un aigle, et un serpent.
J'ouvris enfin la lettre avec précaution:
"Cher Mme Waltzer,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée est fixée au 1er septembre, le Poudlard Express partant à 11 heures piles de la gare de King's Cross, voie 9 trois/quart.
Veuillez croire, cher Mme Waltez, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice adjointe du Collège Poudlard. "
Je me laissai tomber sur une chaise, alors que l'oiseau était déjà repartit.
Une nouvelle année commencait, et un curieux préssentiment me dit qu'elle ne sera pas de tout repos... De nouvelles amitiés, de nouveaux amours, un nouveau pays, que de changements.
Mais j'ai confiance... l'avenir est à moi !
Alors déja, la chanson est Oblivion de 30 seconds to mars, ensuite, voici la fin de notre délire, à lire avec précaution !
Mélissandre - Héhé, je suis sûre que je suis votre personnage préféré !
Mireille - T'es sûre ? Je crois pas que les gens apprécie une Mary Sue en devenir..
Méli, joue à la blonde - C'est quoi une Mary Sue ?
Mireille - C'est les 3 P : Pouffiasse, Puissante et euh..un autre mot en P que je trouverai plus tard...
Mélissandre, en mode Pouf' - T'en as pas marre de toujours dire des mots vulgaires, moi je suis une fille civilisée...
Mireille - Que veut tu, vive le Québec ! Bon c'est vrai que c'est pas tout le monde qui est comme moi, moi j'suis quelqun d'à part ! En plus j'ai juste dit pouffiasse, c'est pas si vulgaire, tu l'utilise partout dans ta partie...
Méli, fachée - Tu veux que j'énumère tout les gros mots de ta partie ?
Mimi - euh...passons au review...
Mélissandre - Ouais, ouais vive le courage, toi t'ira pas à Gryffondor...
Mireille - Comme si j'avais l'intention d'y aller
Mél - Ne dévoilons pas la suite !
Mimi - REVIEWSSSSSSS !
