Chapitre 1 :

Le soleil tapait dur ce mois de juillet sur la grande bâtisse des Malfoy, un suicidaire rayon de soleil eu le malheur de s'abattre sur la chevelure attacher en catogan du patriarche qui lançât un regard noir a l'astre qui avait décidé de le troubler dans son moment de lecture dans sa véranda.

A quelques mètres de là, un autre rayon, pas suicidaire mais plutôt ravi d'avoir trouver un endroit à réchauffer sans avoir à subir un regard glaçant, se déposât sur le corps du jeune Draco, fils unique et héritié de la Grande-Famille-Pétée-De-Thune Malfoy sang pur et grand aristocrate en devenir a l'éducation irréprochable était affalé sur une chaise longue du jardin familial à peine habillé de sa chemise d'uniforme au quatre premiers boutons défaits et son pantalon gris Hogwartsien, ses bras pendant faisant frôler de ses longs doigts l'herbe bien verte et méticuleusement entretenue par les elfes de maison, la tête reposant sur son épaule droite, la bouche entre-ouverte et les yeux fermer par le sommeil de sa sieste du premier jour de vacances d'été, sieste sacrée.

Lucius, ennuyé par son livre, relevât les yeux vers son fils en train de dormir comme un bien-heureux affalé sur sa chaise longue, inacceptable ! Et dire qu'il l'avait éduquer lui-même ! Il se levât donc de son fauteuil en cuir de dragon et posât son livre son le guéridon et sortit de la véranda et se plaçât juste à côté de son fils, le surplombant de toute sa hauteur.

« - Hum Hum... essayât-il

-...

- DRACO DEBOUT !

-Ah ! Merlin ! Vous m'avez fait peur ! Ne pouvez-vous pas me réveillé calmement comme mère !

- Ta mère est partit en voyage pour le premier mois d'été et je compte bien te ré-apprendre la bonne tenue Draco, à ce que je vois Narcissa t'as pouponné, trop pouponné, je vais faire en sorte que tu soit un vrais Malfoy avant son retour. Est-ce clair Draco ?

-Ou..Oui...

-Oui Qui ?!

-Ou..Oui p...Père..

Lucius se penchât sur lui,encadrant de ses bras son fils qui de peur n'avait pas osé se relever de sa chaise.

-Ça t'écorche la bouche de m'appeler père ? Tu croit que ça me plaît de voir qu'à chaque fois que tu est avec ta mère tu est heureux mais qu'à mes côtés tu est d'une froideur polaire ? Tu croit que je ne m'en rend pas compte ? Hein ? Me croit-tu dupe a ce point Draco ?

-Je..

-Lucius ? Tout va bien ? »

Severus était à quelques pas seulement de la scène, et n'avait rien perdu du spectacle. Merlin comment Lucius avait put oublier l'invitation à dîner qu'il avait fait a son meilleur ami ?

« -Tout va bien ? s'inquiétât le sus-nommé

-Oui Severus tout va bien je...

-J'y vais. Mordit Draco a son père.

-Et peut-on savoir où ?

-Dans ma chambre m'arranger... Pour Sev'.

-Sev' ? Demandât Lucius en se tournant vers Severus faisant comme s'il n'avait pas entendus la fin de la phrase de son fils.

-Un surnom qu'il me donne... Il m'a toujours appelé comme ça depuis qu'il et tout petit.

- Narcissa c'est Cissy, toi c'est Se' ou Sevy... mais moi il ne m'appelle même pas père quand je ne lui rappelle pas.. il ne m'as jamais appeler à vrai dire, il n'y a toujours eu que sa mère, cette sale...

-Lucius, calme toi, pourquoi ne pas me dire ce qu'il s'est passer plutôt ? Pour le départ de Narcissa alors que son fils vient à peine de rentrer de Hogwarts ? D'habitude elle lui saute au cou à peine la porte franchie. »

Lucius et Severus entamèrent une petite promenade jusqu'aux appartements privés de Licius, le petit salon dans lequel Severus était l'un des rares à pénétré était dans les beiges et blancs, deux fauteuils en cuir de dragon albinos ainsi qu'une table basse en verre reposant sur une moquette couleurs taupe clair décorait la petite pièce circulaire , mis a part la cheminée au feu ronronnant et aux rideaux épais empêchant les rayon du soleil de pénété la pièce.

Lucius appelât une elfe de maison et lui ordonnât sèchement de préparer du thé.

« -Apporte aussi le troisième siège et demande à Draco de nous rejoindre lorsqu'il serrât prêt.

-Bien Monsieur Maitre. »L'elfe de maison s'inclinat et quittat la pièce dans un ''pop'' sonore.

« -Bien, où en étions nous mon ami ?

-Et bien tu étais en train de te lamenter sur le manque d'affection que te porte ton -il d'un ton sarcastique. Comme si toi tu lui marquait ton affection.

-Mais je ne peut pas Severus !

-Et pourquoi donc ? Tu as la chance d'avoir un fils et une femme tous deux adorable mais toi tu les rejette pour ta fierté Malfoyenne, c'est écœurant,crachat Severus d'un ton dégoutté ,sait-tu le nombre de fois où j'ai retrouvé Draco en pleur dans sa chambre de préfet, il fait tous pour le rendre fièr mais ton tu l'irgnore et le rejette ! J'ai lus les réponses que tu lui envoyais aux lettre qu'ils t'envoie durant sa scolarité !

-Ce n'est pas moi, je n'ai jamais répondu aux lettre de Draco... Le ton de Lucius était désperé, triste...

-Comment ça ce n'est pas toi ? »

Severus lui ne comprenais plus rien, D'abord Lucius qui se plaint du manque d'affection de son fils et maintenant cette réponse on ne peut plus déroutante. Severus observât son interlocuteur en attente d'un ré rien ne vint. Lucius avait l'air mal à l'aise et triste, ses yeux étaient étains et il s'enfonçait dans son siège, et puis ses dents... il grinçait des dents.

-Lucius ? Tenta Severus incertain.

Mais toujours pas de réponse, juste le grincement de dents qui s'était emplifié sa bouche était hermétiquement fermée. Ils n'avaient jamais parler de ça avant,Severus avait essayer mais Lucius partait promptement son regarde accrocher à ses avait donc tenté sa chance avec Narcissa, mais elle ne faisait que répété que c'était un mauvais père sans cœur et mentionnait à chaque fois l'épisode de l'étang... Merlin, rien qu'a entendre les mots ''étang'' et ''Draco'' dans la même phrase, il avait des sueurs froides.

Il regardât de nouveau son ami, les yeux fixé sur ses chaussures, comme d'habitude, mais il observât son visage plus en détail cette fois, sa bouche hermétiquement fermée semblait vouloir s'ouvrir, pourquoi ne pas le faire alors ?

Et là, la réponse sautât aux yeux de Severus qu'il écarquillât d'horreur.

-Un maléfice de Silence...

Lucius relevât les yeux vers son confident, il allait ouvrir la bouche lorsque la porte s'ouvrit sur fils qui n'avait même pas pris la peine de frapper avant d'entrer. Il avait échanger son uniforme blanc contre de vêtements aux couleurs de maison. Il avait opté une chemise en soi verte bouteille, sur le col était broder des arabesques noires accompagnées de fines perles d'argents, le pantalon noir a pinces noir en lin qu'on aurait dit tout droit sortit des années 50 donnait l'impression qu'il était venu d'ailleurs, Lucius fût hypnotiser par la classe et l'élégance que dégageait son fils, mais le regard qu'il lançât à son géniteur garantit à ce dernier que Draco lui, ne partageait pas le sentiment de fierté qui envahissait le blond à cet instant.

Draco s'assit sur le fauteuil que lui avait apporté l'elfe de maison plus tôt et se servit une tasse de thé puis restât silencieux quelques instant, il décidât d'entamer une conversation pour couper au lourd silence qui planait dans la salle sans qu'il n'en connaisse la raison.

« -Alors, mon cher parrain, comment avance tes recherches sur la potion a basse de larme de sirène dont tu m'as parler ? Commençât Draco en prenant soin d'évité le regard de son père.

-Et bien justement je voulais t'en parlé, le phase théorique est terminé et je vais avoir besoin de toi pour la phase pratique, les ingrédients doivent être ajouter très vite et seul je ne pourrait pas y arriver, alors je me demandait si tu accepterais de m'aider à sa préparation vu que tu excelle dans les potions.

-Oh parrain ! Ce serait avec grand plaisir ! Quand commençons l'expérience ?

-Et bien pour qu'on puisse commencer il faudrait que tu vienne chez moi pour que tu puisse être le plus disponible mais... Snape hésitât, après ce qu'il venait d'apprendre sur Lucius, il voulait découvrir ce qu'on lui obligeait à cacher, et il sentait que ça avait un rapport avec Draco.

-NON ! Il en ai hors de question ! Draco reste ici pour les vacances, c'est comme ça chaque années, pourquoi cela changerais ?

- Parce que je vous supporte de moins en moins Lucius ! Si je retourne à la maison à chaque vacances, c'est seulement pour pouvoir passer du temps avec mère qui,e elle, m'aime et prend soin de moi et n'essaye pas de faire devenir quelque chose que je ne suis pas et que je ne veut pas être ! Un homme comme toi entre autre, je préfère passer mes vacances aux côtés de Severus que je considère ,lui, comme mon père ! »

Il s'était lever de sa chaise et rapprocher de son père en lui hurlant dessus, Lucius s'était ratatiner sur son siège, s'était la première fois que Draco hurlait et ça lui faisait peur, mais Draco était à bout, cet homme sans sentiment qui lui avait pourrit l'enfance ne voulait donc pas le laisser, et bien il allait lui faire lâcher prise. Lucius lui, était tétaniser,la personne a qui il tenait le plus lui hurlait dessus et il ne pouvait rien dire, rien faire, il se risquât à regarder Seveurs, ce dernier était crispé sur son fauteuil, il n'aurait jamais dût faire cette proposition.

Lucius qui regardait son fils furieux lui crier dessus et réfléchit à toute vitesse.

« -On as un laboratoire ici aussi, dans le sous-sols, vous pouvez rester ici et faire cette potion, comme ça tout le monde y gagne... Qu'en pense-tu Draco ?

-Non ! C'est hors de question que je reste une seconde de plus avec vous dans cette foutus maison !, cria-t-il en sortant de la pièce, je rentrerais pour voir mère ! Je vais préparer mes valises pour aller chez Severus, au revoir Lucius. »

C'était la deuxième fois qu'il l'appelais par son prénom au lieu de ''père'', il ne l'aimait pas c'était certain.

« -Écoute Lucius, Severus était enfin sortit de son mutisme, je pense que la meilleur chose à faire est de le laisser partir avec moi pour lui laisser le temps de respirer de mon côté j'essayerais de le calmer et de trouver des informations sur le sort qui t'empêche de parler. Qu'en pense-tu ?

-Je pense que tu as raison... Mais c'est dur... Puis-je au moins lui dire au revoir ?

-Oui je pense, tout dépend de Draco. »

Sur ce, Lucius se levât et s'en allât vers le long escalier qui menait aux chambres, il franchît les marches les mains moites et des sueurs froides, arrivé devant la grande porte noire gravé derrière laquelle on pouvait entendre des bruits et des plaintes énervés. Il ouvrit malgré sa peur la porte menant à la chambre de son fils.